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@Eric F

J’ai oublié de vous dire.

Chez l’être humain il existe des cellules qui sont insulino-dépendantes et d’autres qui ne le sont pas. Ces cellules ont besoin de l’insuline pour faire pénétrer le glucose chez elles.

Ainsi, en présence d’une « insulino-résistance » (caractéristique chez les diabétiques de type 2), les cellules dépendantes de l’insuline « boudent » l’entrée du glucose chez elles. En revanche, les cellules non insuline-dépendantes, pour « compenser », en quelque sorte, se « gavent » de glucose. C’est le cas, par exemple, des cellules de la rétine. Et une « surcharge » en glucose entraine des rétinopathies, bien connues chez les diabétiques (La rétinopathie diabétique,atteinte des yeux : œil et rétine, est une grave complication du diabète qui touche 50% des patients diabétiques de type 2.).

Il se trouve que les « macrophages » sont également non insulino-dépendants. Ils se gavent, par conséquent, de glucose (par faire leur part du ménage du glucose dans la circulation sanguine). Mais les macrophages, gavés de glucose, se mettent à dysfonctionner : ils se mettent à produire force cytokines « pro-inflammatoires » et à nuire à la production d’oxyde nitrique (NO) le puissant vasodilatateur des vaisseaux sanguins.
 
En situation de pollution augmentée, si trop de nanoparticules issues de la pollution descendent vers les alvéoles pulmonaires, le recrutement des macrophages, sur place, sera intense. Mais comme ces macrophages sont gavés de glucose, la production de cytokines pro-inflammatoires sera considérablement augmentée. Cela s’appelle une « tempête de cytokines », tellement décrite dans la maladie portant le nom de « covid19 ».

...« Plusieurs formes « d’orages cytokiniques » sont associés à la sévérité et la mortalité dans la Covid-19 »...
https://presse.inserm.fr/plusieurs-formes-dorages-cytokiniques-sont-associes-a-la-severite-et-la-mortalite-dans-la-covid-19/42738/

Les vaccins ne protègent jamais personne de leur hyperglycémie, que celle-ci soit examinée à jeûne ou qu’elle soit « post prandiale ». Ainsi, comment la « vaccination » pourrait-elle avoir une quelconque influence sur le maintien à un haut niveau de l’immunité de première ligne dans les voies respiratoires (alors que l’on sait que le glucose envahit celles-ci et contribue à la dégradation de l’immunité). Comment la « vaccination » pourrait-elle empêcher les macrophages alvéolaires (résidant aux abords des alvéoles pulmonaires) de produire des quantités délétères de cytokines pro-inflammatoires ?
Et bien, la « vaccination » ne le peut pas et ne le pourra jamais ! Le mieux, pour se sortir d’affaire, c’est de prendre en considération la régulation de sa glycémie.