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Bonjour, Lynwec
Vous avez raison. Mais comme toujours l’on préfère s’en prendre aux « lampistes » car ils sont beaucoup plus facilement accessibles, même s’ils n’ont pas pris la moindre part active dans l’occupation du pays.
Nombre de femmes déchaînées contre les « putes à boches » étaient en réalité frustrées de les voir prendre du bon temps ou défier les usages tandis que leurs propres époux ou amants étaient prisonniers ou au STO, plus rarement dans les maquis, voire ne les regardaient plus.
C’est humain, hélas ! Mais c’est consternant de sottise.
Les comportements des temps de guerre ont été très bien décrits dans la remarquable série Un village français.
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