Cher Mark Rutte, je préfère encore devoir apprendre le russe, bien qu’à mon âge ce soit sans doute assez dur, plutôt que devoir utiliser en continu la langue de l’occupant nommé ANGLOSAXONNERIE, même si pour celle-là je m’y débrouille un peu. Après tout, je connais bien quelqu’un qui vit depuis 30 ans à Taïwan, et qui a donc dû apprendre le vieux chinois mandarin, à la différence de la Chine continentale qui a adopté un chinois simplifié. Élément confirmé par une dame qui était venue en visite, infirmière-chef au pôle chirurgie de l’hôpital de Taïpeh, avec qui j’ai pu discuter – en anglais évidemment....
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