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Accueil du site > Tribune Libre > 105 économistes envisagent la dissolution de l’euro !

105 économistes envisagent la dissolution de l’euro !

Suite à un précédent billet, la liste des économistes envisageant la fin de l'euro s'est allongée.

Elle compte désormais 105 économistes, dont au moins 5 "prix Nobel" d'économie (sans compte les "prix Nobel" décédés, dès le début hostiles à l'euro (Hayek, Friedman, Allais...), le 3ème économiste le plus cité au monde dans les papiers scientifiques déconomie, un ancien économiste en chef du FMI etc...

Il faut par ailleurs signaler la publication d'une récente étude sur la sortie ou la dissolution de l'euro en Finlande.

Ainsi qu'une étude plus ancienne de la banque Meryll Lynch sur les gains positifs pour tous les pays (sauf l'Allemagne) à un éclatement de la zone euro.

Il est donc temps d'arrêter de dénigrer continuellement la position des personnes, citoyens ou politiques, prônant la dissolution de l'euro.

 

Liste non-exhaustive

d’économistes envisageant la

dissolution de l’euro comme

une possibilité.

 

 

PDF : fichier pdf

 

  • Florin Aftalionprofesseur émérite à l’ESSEC[1]

 

  • François Asselineau, Inspecteur Général des Finances, ancien délégué général à l’intelligence économique [2]

 

  • Vincent BrousseauDiplômé de l’École Normale Supérieure de Saint-Cloud et titulaire de deux doctorats, l’un en mathématiques et l’autre en économie, a travaillé pendant 15 ans à la Banque centrale européenne (BCE) et était, jusqu’au 1er janvier 2014, l’un des deux économistes français du département de la politique monétaire.[3]

 

  • Gabriel ColletisProfesseur de Sciences économiques à l’Université Toulouse-I Capitole[4]

 

  • Bernard Conte, maître de conférences en sciences économiques à l'Université Bordeaux IV[5]

 

  • Alain Cottaéconomiste, professeur à HEC et à Dauphine[4]

 

  • Dominique Garabioldiplômé de l'ESSEC et docteur ès sciences économiques, commença sa carrière à la Banque de France en 1981. En 1986, il devint chef de la section des études au secrétariat général de la Commission bancaire.[6]

 

  • Jacques GénéreuxProfesseur d'économie à Sciences po Paris[7]

 

  • Jean-Pierre Gérard, Ancien membre du Conseil de la Politique Monétaire, il est Président du club des N°1 mondiaux français à l'exportation[4]

 

  • Gael GiraudChargé de Recherches (1re Classe) au CNRS. Chercheur associé à l’École d'économie de Paris et consultant scientifique[8]

 

  • Alain Grandjean, diplômé de l’École Polytechnique et de l’École Nationale Supérieure de la Statistique et de l’Administration Economique et docteur en économie de l’environnement[9]

 

  • Brigitte GranvilleProfesseur d’économie internationale et d’économie politique à la « School of Business and Management », Queen Mary, University of London[10]

 

  • Jean-Luc Gréauéconomiste, ancien expert du Medef, membre du conseil scientifique de la Fondation Res Publica[4]

 

  • Gérard LafayProfesseur émérite de sciences économiques, Paris II[4]

 

  • Serge Latouche, professeur émérite d'économie à l'Université Paris-Sud 11[11]

 

  • Bruno Lemairediplômé d’Harvard, professeur honoraire de Management à HEC, Expert auprès de la MIME (Mission interministérielle pour les mutations économiques)[12]

 

  • Frédéric LordonDirecteur de Recherche au CNRS, Directeur d’Etude à l’EHESS[13]

 

  • Bernard Maris Professeur des universités à l'Institut d'études européennes de l'université Paris-VIII. Il a également enseigné la micro-économie à l'université d'Iowa (États-Unis) et à la banque centrale du Pérou, membre du conseil général de la Banque de France[14]

 

  • Jacques Mazier, Professeur de sciences économiques, Université de Paris 13[15]

 

  • Bruno Moschettoprofesseur de sciences économiques à HEC[16]

 

  • Philippe Murerprofesseur de finance à l’Université Paris 1[4]

 

  • Jacques Nikonoff, ancien élève de l’ENA, professeur associé à l’Institut d’études européennes de l’université Paris 8, ancien président d’Attac et aujourd’hui porte-parole du Mouvement politique d’émancipation populaire (M’PEP)[17]

 

  • Steve Ohana, professeur assistant en finance à ESCP Europe. Il est diplômé de l’Ecole Polytechnique[18]

 

  • André Orléanadministrateur de l’INSEE en 1974, puis directeur de recherche au CNRS en 1987. Directeur d’Etude à l’EHESS[19]

 

  • Christophe Ramauxéconomiste français, Maître de Conférences à l'Université Paris I et chercheur au Centre d'Économie de la Sorbonne[20]

 

  • Xavier RagotProfesseur à l’Ecole d’Economie de Paris *

 

  • Claude Rochetancien élève de l’ENA, professeur de gestion à l’Université Aix-Marseille, Directeur du laboratoire de recherche en intelligence économique au Ministère de l’Economie et des Finances[4]

 

  • Jean Jacques RosaProfesseur émérite d’économie et de finance à Science Po Paris[21]

 

  • Michel Santi, professeur de finance à Genève, ancien conseiller de banques centrales de pays émergents[22]

 

  • Jacques SapirDirecteur d’Etude à l’EHESS[23].

 

  • Henri SterdyniakDirecteur du Département économie de la mondialisation de l'OFCE, ancien administrateur de l’INSEE[15]

 

  • Jean-Richard Sulzerdiplômé d’HEC, Agrégé des facultés en sciences de gestion, Professeur à l’Université Paris-Dauphine[24]

 

  • Jean-Pierre VesperiniAgrégé de sciences économiques (major), Professeur d’économie à l’université de Rouen, ancien membre du Conseil d’Analyse Economique auprès du Premier Ministre[10]

 

  • Philippe Villin, banquier d'affaires, ancien élève de l'Ena[4]

 

  • Jean-Claude Werrebrouckancien professeur d’économie à l'Université de Lille [24]

 

 

 

  • Charles B. Blankart, professeur à l’Université Humboldt de Berlin[25]

 

  • Wilhelm Hankel(†) ancien professeur honoraire à l'Université Johann Wolfgang Goethe de Francfort[26]

 

  • Rolf Hasseprofesseur d’économie à l'Université de Hambourg Forces Armées Fédérales (1981-1998) et à l'Université de Leipzig (1998-2006). Directeur de l'Europa-Kolleg Hambourg (1992-1998)[27]

 

  • Hans-Olaf Henkelancien président de la Fédération des Industries Allemandes, Professeur d’Economie à l’Université de Mannheim[10]

 

  • Markus Kerber, économiste et expert financier, chef de la direction de la Fédération de l'industrie allemande (BDI), auparavant chef du Département de la politique au ministère fédéral des Finances[28]

 

  • Jörn Kruse, professeur de politique économique à la Faculté des sciences économiques et sociales, Helmut-Schmidt-Université de Hambourg[29]

 

  • Bernd Luckeancien économiste à la Banque Mondiale, professeur de macroéconomie au département d'économie de l'université de Hambourg[29]

 

  • Helga Luckenbach, professeur émérite à la Justus-Liebig-Université de Giessen[29]

 

  • Dirk Meyerprofesseur à l’Université Helmut Schmidt à Hambourg[29]

 

  • Georg Milbradt fut professeur à la faculté de sciences économiques de l'université de Münster, actuellement professeur à l'université technologique de Dresde. Ancien ministre-président de la Saxe[30]

 

  • Wilhelm Nöllingdiplômé des Universités de Berkley et de Hambourg, ancien professeur d'économie à l’Académie des sciences économiques et politiques, Hambourg[27]

 

  • Thilo Sarrazin ancien membre du directoire de la Deutsche Bundesbank[31]

 

  • Wolf Schäferancien professeur de sciences économiques à l'Université Helmut Schmidt à Hambourg[27]

 

  • Roland Vaubelprofesseur d'économie à l'Université de Mannheim[29]

 

  • Hans Werner Sinnprésident de l'Institut für Wirtschaftsforschung (ifo), membre de la National Bureau of Economic Research à Cambridge, Massachusetts[32]

 

  • Joachim Starbattyprofesseur émérite de sciences économiques à l' Université de Tübingen[27]

 

  • Alfred Steinherrancien économiste en chef de la Banque européenne d’investissement, Professeur à la « School of Economics and Management » de l’Université Libre de Bozen-Bolzano, Italie[33]

 

 

 

  • Geminello Alvi, membre du Conseil national de l'Economie et du Travail, ancien économiste à la Banque d'Italie et à la Banque des règlements internationaux *

 

  • Bruno Amorosoprofesseur d’économie.[34]

 

  • Alberto BagnaiProfesseur associé d’économie politique à l’université G. d’Annunzio et L. Da Vinci de Chieti[35]

 

  • Marco BiagettiEconomiste statisticien, docteur en économie de l’université « La Sapienza » de Rome *

 

  • Claudio Borghi Aquiliniéconomiste et chroniqueur, professeur à l'Université catholique du Sacré-Cœur – Milan[36]

 

  • Emiliano Brancaccio professeur d'économie à l'Université de Sannio à Bénévent[37]

 

  • Sergio Cesaratto Professeur à l'Université de Sienne, Département d'économie et de statistique.[38]

 

  • Michele Fratianni, professeur d'économie à Indiana University, Kelley School of Business[39]

 

  • Nino Galloni membre du conseil des commissaires de l'Institut national de sécurité sociale, ancien professeur aux Universités de Milan, de Modène, et de Rome[40]

 

  • Vladimiro Giacchéprésident du Centro Europa Ricerche[41]

 

  • Giuseppe Di Taranto, Professeur d'économie et d'histoire à la « Libera Università Internazionale degli Studi Sociali »[42]

 

  • Antonio Maria Rinaldi, Professeur de Corporate Finance à l’université Gabriele d'Annunzio[43]

 

  • Tancioni Massimiliano Professeur d'économie, Université La Sapienza de Rome[44]

 

  • Gianluigi Nocelladocteur en économie de l'Université La Sapienza de Rome[35]

 

  • Marco Passarellaéconomiste, université de Leeds[45]

 

  • Cesare Pozzi professeur d'économie appliquée à l'Université de Foggia[46]

 

  • Andrea Ricci professeur d’économie à l’Université d’Urbino[47]

 

  • Paolo Savonaprofesseur de politique économique à la Carli Université LUISS-Guido de Rome, diplômé du MIT[48]

 

  • Gennaro Zezzaprofesseur agrégé d’économie à l'Université de Cassino, et chercheur à l'Institut Levy Economics des États-Unis[49]

 

 

 

  • João Ferreira do Amaral, Professor of Economics and Economic Policy at the University of Lisbon and economic adviser to the Portuguese president[50]

 

  • Beatriz Armendáriz, Harvard University & University College London[51]

 

  • Elina Berghäll, ancienne économiste à l'OCDE et au FMI, aujourd’hui au Government Institute for Economic Research[52]

 

  • Peter Boone, chercheur associé au Centre for Economic Performance, London School of Economics[53]

 

  • Roger Bootleancien maitre de conférence à l’Université d’Oxford, fondateur du cabinet de recherche économique « Capital economics »[54]

 

  • Brendan Brown, directeur exécutif de Mitsubishi UFJ Securities International[55]

 

  • Marc Faber, économiste, docteur en économie de l'Université de Zurich[56]

 

  • Dirk Faltin, Head of Thematic Research (Director) UBS Wealth Management Research[57]

 

  • Mojmír HamplVice-gouverneur de la banque central de République Tchèque depuis 2008[58]

 

  • Andreas Höfert, économiste en chef de Wealth Management & Banque suisse et le chef mondial de Wealth Management Research[59]

 

  • Vesa Kanniainen, diplômé de la London School of Economics, ancien professeur invité à l'Université de Brown, Professeur d'économie à l'Université d'Helsinki[60]

 

  • Stefan Kawalec, économiste, ancien directeur général du ministère des finances et sous-ministre des finances polonais[61]

 

  • Pia Koskenoja, professeur à l'Université d'Helsinki, économiste au Government Institute of Economic Research, experte après de la Commission Européenne[62]

 

  • Costas Lapavitsasprofesseur d’économie à la “School of Oriental and African Studies”, University of London.[63]

 

  • Juan Francisco Martín Seco, “Academic lecturer” d’Introduction à l’économie et de finance publique[64]

 

  • Sami Miettinen, économiste[65]

 

  • Jens Nordvigchef mondial de la stratégie FX et chef de la recherche Fixed Income, Amériques chez Nomura Securities[66]

 

  • Peter Oppenheimerchercheur en histoire économique à l’Université d’Oxford[67]

 

  • Ernest PytlarczykEconomiste en Chef de la BRE Bank S.A[68]

 

  • Alejandro Reynoso, professeur de finance à l'Université de Cambridge[69]

 

  • Christopher Smallwood, économiste à Capital Economics[70]

 

  • Antoni Soy, Professeur d’économie appliquée à l’Université de Barcelone, ministre délégué à l’industrie et à l’entreprise dans le gouvernement de Catalogne[10]

 

  • Mark Weisbrot, co-directeur du CEPR (Center for Economic and Policy Research) de Washington[71]

 

 

 

  • Robert AliberProfesseur émérite d’économie et de finance internationale à l’Université de Chicago[72]

 

  • Robert BarroProfesseur d’économie à Harvard, classé 3ème économiste le plus cité au monde (IDEAS)[73]

 

  • Simon Johnsonancien économiste en chef du FMI, professeur au MIT[74]

 

  • Nouriel RoubiniProfesseur d'économie au Stern School of Business de l'Université de New York. Avait annoncé la crise en 2005-2006[75]

 

  • Dani RodrikProfesseur d’économie politique à Harvard[75]

 

  • Heiner Flassbeckancien économiste en chef de la CNUCED de 2003 à 2012[75]

 

 

 

  • Christopher PissaridesPrix Nobel 2010, Professeur à la London School of Economics[75]

 

  • Paul Krugman, Prix Nobel 2008, Professeur à l’Université de Princeton[75]

 

  • Joseph StiglitzPrix Nobel 2007[75]

 

  • Thomas SargentPrix Nobel 2011[75]

 

  • James MirrleesPrix Nobel 1996[75]

 

 

 

(* : sources personnelles)

 


[1] "La fin de l'euro est non seulement possible mais inévitable". Le Figaro, 28 Apr 2011, p. 14-14

[6] Le Monde, 30-09-2011

[16] Le Monde, 30-09-2011

[57] "La zone euro, champ de tension", UBS research focus, Wealth Management Research, Février 2011

[59] "La zone euro, champ de tension", UBS research focus, Wealth Management Research, Février 2011

 


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34 réactions à cet article    


  • claude-michel claude-michel 19 mai 2014 10:25

    Quand on regarde la liste des gens qui sont pour l’euro et l’UE...on ne peut que se poser des questions sur l’honnêteté de ces personnes..au vu des résultats présents.. ?

    Vite..quittons au plus vite ce nid de vipères.. !

    • taktak 19 mai 2014 10:46

      Oui, il faut sortir de l’Euro et au delà de l’UE.
      Ce sont des leviers de l’oligarchie capitalistes pour exploiter les peuples, les diviser, pour leur expansionnisme qui menace la paix.

      Oui il faut sortir de l’UE, de l’Euro et de l’OTAN comme le propose les communistes du PRCF qui ont été les seuls à toujours mener ce combat.


      • lsga lsga 19 mai 2014 10:55

        alors, je t’invite à lire le Manifeste du Parti Communiste.

         
        Il est expliqué comment les réformes libérales du marché unissent les petits peuples nationaux en un grand prolétariat mondial plus fort, plus à même de renverser l’Oligarchie.

      • Bergegoviers Bergegoviers 20 mai 2014 06:26

        Excellente référence que ce manifeste qui a permis le massacre scientifique et humanitaire de plus de 100 millions de personnes avant que malheureusement il fut trahi par les peuples à qui il avait pourtant permis de vivre heureux et épanouis.

        Heureusement, la Corée du Nord permet à cette idéologie merveilleuse de ne pas s’éteindre et il est heureux qu’on trouve ici cet homme rare, un homme debout, qui est prêt à, dès que l’occasion lui en sera offerte, à reprendre ces massacres salvateurs pour le genre humain.

        Mais je souhaite que cette fois-ci le communisme soit imposé à la terre entière et que jamais plus les peuples ne puissent même penser à se révolter.

        Debout, fier camarade, prends ton fusil et montre-nous le chemin !



      • gorgonzola 8 décembre 2014 18:09

        L’UPR le propose également depuis 2007. A savoir que l’UPR est :

        • Un rassemblement temporaire (donc pas de carriérisme politiques et union provisoire qui ne demande pas de renier ses convictions politiques)
        • Indépendant financièrement et politiquement (pas de pressions)
        • Hors clivage droite/gauche (rassemblement des 50% d’électeurs de « droite » et des 50% d’électeurs de « gauche » qui ont voté non en 2005)
        • En pleine croissance malgré un gros boycott des grands médias (nombre d’adhérents multiplié par 10 depuis janvier 2012)
        • Et qui se structure progressivement pour amener plus d’horizontalité dans sa structure hiérarchique...
        Cdt

      • scylax 19 mai 2014 11:35

        Tout d’abord envisager ne signifie pas approuver. 

        Et surtout la liste dévoile une chose bizarre : on y trouve des ultra-libéraux (majoritaires) et quelques post-keynésiens. Bref des gens qui aboutissent à « envisager » la liquidation de l’euro pour des raisons strictement opposées.
        Sur quoi d’autre Nikonoff et Cotta sont d’accord en matière de politique économique ? Sur rien, sauf sur l’euro...

        • gonehilare gonehilare 19 mai 2014 12:48

          Selon les derniers chiffres Eurostat*, l’Allemagne à réalisé un excédent commercial de 31,7 Milliards en Janvier-Février 2014, soit plus que les déficits cumulés de la France et du Royaume Unis (30 milliards).

          Si l’Allemagne s’enrhume, c’est toute l’Europe qui finira aux urgences...


          * repris sur le site de Charles Sannat


          • BA 19 mai 2014 13:37

            Bon anniversaire, la Décadence !

             

            Le 19 mai 1974, il y a 40 ans, c’était l’élection de Valéry Giscard d’Estaing.

            Mai 1974 – mai 2014 : les Quarante Décadentes.

             

            Depuis mai 1974, les européistes du centre, les européistes de gauche, les européistes de droite dirigent la France.

            Depuis mai 1974, tous les présidents de la République et tous les premiers ministres ont comme priorité numéro un : la construction européenne.

            Depuis mai 1974, les élites politiques et les élites médiatiques nous expliquent que plus on fera l’Europe, mieux ce sera.

            Depuis mai 1974, la majorité du peuple français a cru les belles promesses des européistes, la majorité du peuple français a voté pour les européistes … mais le résultat a été exactement le contraire de ce qui avait été promis.

            Depuis mai 1974, cette construction européenne aboutit à un désastre industriel, à un désastre économique, à un désastre financier, à un désastre social, à un désastre moral, à un désastre démocratique, à un désastre politique.

             

            Maintenant, il est temps de quitter le bateau « Union Européenne » : le bateau coule.

             

            http://www.upr.fr/wp-content/uploads/2012/07/eurotitanic.jpg


            • lsga lsga 19 mai 2014 13:38

              et oui, la décadence commence avec le Choc Pétrolier, c’est à dire avec la sortie de l’Afrique du modèle néo-coloniale européen et son entrée dans le marché Capitaliste mondial.

               
              cela a logiquement pour conséquence la chute des industries françaises. 

            • HELIOS HELIOS 19 mai 2014 15:35

              Le fait qu’une centaine ... « d’économistes » envisagent la dissolution de l’Euro n’implique pas qu’ils aient raison !


              Cela veut simplement dire qu’il y a une prise de position face a un probleme donné. Il y a plusieurs manieres de poser le probleme, plusieurs manieres de le resoudre et selon ces manieres tous auront des avis differents.

              Comme pour le temps, des centaines de gens envisagent le retour du beau temps, mais les vendeurs de parapluie n’ont pas le même avis.

              Alors, quand je regarde l’interet des peuples d’Europe, moi qui voyage partout dans le monde, je pense trers sincerement que l’Euro est une bonne chose qu’il faut certe ameliorer et c’est un outil fantastique pour nos peuples. Reste a nous de l’apprivoiser pour qu’il ne serve pas (seulement) aux predateurs economiques et surtout qu’il ne servent pas d’excuse a ceux qui veulent briller par leur opposition sur le dos des interets des citoyens.

              Reformons l’Europe, c’est elle qui dirige l’Euro mais gardons l’Euro, il vaut le coup.

              • ObjectifObjectif 19 mai 2014 16:04

                Bonjour Helios,

                "Comme pour le temps, des centaines de gens envisagent le retour du beau temps, mais les vendeurs de parapluie n’ont pas le même avis.« 

                Ici les vendeurs de parapluie sont les banquiers qui ont créé pour plus de 19 mille milliards d’unités d’euros, sans aucun travail. Et en plus ils vous font croire qu’il pleut par leurs petits soldats (ie personnes à leur solde) : marionnettes politiques, marionnettes journalistes, marionnettes économistes,...

                 »Reformons l’Europe, c’est elle qui dirige l’Euro mais gardons l’Euro, il vaut le coup."

                Non justement, les €uros ne valent rien, ce sont des chiffres sans valeurs, et tout le jeu des banquiers qui le alignent dans leurs comptes est de vous faire croire qu’ils pourraient en avoir, en demandant à leurs marionnettes de vous faire rêver... tout en travaillant pour alimenter LEURs machines. Pour refaire l’europe, il faut arrêter la machine folle : tirer le fil électrique !

                Pour ouvrir enfin les yeux :
                http://www.agoravox.fr/actualites/citoyennete/article/scoop-le-referendum-populaire-151846
                et les articles cités en suite...


              • HELIOS HELIOS 20 mai 2014 09:52

                merci pour votre réponse, interressante et sur le fond, je suis d’accord avec vous.

                Seulement nous ne parlons pas de la même chose.
                Regardez la réponse de GOC ci-dessous, peut etre vous comprendrez ma position : nous avons besoin d’une monnaie commune, mais nous la voulons efficace, sure et « serviable »... nous avons l’Euro, il faut qu’il devienne cette monnaie là !
                Il faut par ailleurs faire attention, car l’operation de creation ex-nihilo d’une monnaie n’est pas une operation reproductible facilement. En general, cela passe l’asservissement des uns envers les autres, par pays interposés. cette fois nous avons reussi a le faire par la raison, pourra -t-on le reproduire, si nous virons l’Euro ???

              • goc goc 19 mai 2014 15:56

                le problème est qu’il faut sortir de l’euro mais en même temps, il faut que l’euro reste, sinon nous seront à la merci du dollar et/ou du yuan

                Car le seul rôle que doit avoir l’euro est celui de monnaie de référence mondiale en lieu et place du $$$. Il ne doit pas être utilisable comme monnaie nationale (pour acheter le pain par exemple). Et les différents pays de l’Europe doivent définir leur monnaie par rapport à cet euro.


                • alteréconomie alteréconomie 19 mai 2014 16:54

                  Si, puisqu’ils l’envisagent comme une « solution ». 


                  • Pere Plexe Pere Plexe 19 mai 2014 17:35

                    Le crédit des économistes et proche de celui des voyants et autres marabouts...

                    Alors qu’ils soient 105 ne prouve pas grand chose.

                    Pas plus que le fait que leurs détracteurs soient quelques milliers prouve qu’ils ont tord.

                    Comme pour les émules de madame irma il se trouve que dans les millions de prévisions certaines se réalisent. Donnant alors une certaine aura et peut être un Nobel à son auteur. 

                    Il convient alors,grâce à une terminologie bien roder et des équations sibyllines, de donner un caractère scientifique au coup de bol.L’influence des fluctuations monétaires sur l’expansion de la masse du M3 est le pendant de l’influence de Jupiter dans la constellation du lion.


                    • eau-du-robinet eau-du-robinet 19 mai 2014 18:15

                      Bonjour alteréconomie,

                      Merci pour votre article.

                      105 économistes envisagent la dissolution de l’euro ainsi l’UPR depuis la création le le 25 mars 2007 – jour du cinquantième anniversaire du traité de Rome.

                      L’UPR est le seul partie présent aux élections européennes qui propose la sortie de l’Europe par l’article 50 du TUE ... puis une fois sortie de l’Europe nous pourrons également sortir de l’Euro et un peu plus tard de l’Otan.

                      http://www.election-europe.fr


                      • Jean-François Dedieu Jean-François Dedieu 20 mai 2014 08:54

                        @ Eau-du-robinet. Pour quelles raisons l’UPR se présente aux européennes alors qu’elle prétend qu’il faut en sortir ? Si c’est pour être plus visible dans le paysage politique... ou pour émarger aux subventions, plutôt l’ABSTENTION !

                        De plus votre lien qui voudrait faire sérieux ne signifie rien ! pff de la promo pour le vote électronique ??? Et la présentation de la liste de F.A. ne dit rien non plus sur le pourquoi de cette participation ? 

                        Si c’est pour ajouter à l’enfumage...


                      • steph bigorneau steph bigorneau 20 mai 2014 16:10

                        @ Jean François Dedieu.
                        Si l’UPR se présente ce n’est pas pour changer les choses, ils ne pourront que voter contre tout ce qui nous mène à la ruine, le TAFTA par exemple.

                        Le but et de dénoncer l’union européenne et ses mécanismes de l’intérieure, Vous n’avez pas entendu parler de Farrage et de l’UKIP ? Bien que ce parti soit très différent au niveau de son positionnement il a a montré que le parlement européen pouvait être une formidable caisse de résonance pour les euroréalistes
                        .
                        Si nous ne présentons à aucune élection à part les présidentielle quelle sera notre légitimité pour les médias qui se font un malin plaisir à nous censurer.

                        Les élections européennes sont le moment où les français parlent d’union européenne, c’est assez rare alors que nos lois et orientations politiques dépendent de Bruxelles. C’est donc le meilleur moment pour exposer un argumentaire qui n’est pas présent dans les médias.

                        Ces élections ne sont pas un but en soit c’est un tremplin pour 2017 et la recherche des parrainages. L’explosion de la recherche UPR sur les moteurs de recherche est une indication que ce choix n’est pas en pure perte. Les principaux médias commencent même à nous laisser la parole.

                        http://www.upr.fr/vos-questions-nos-reponses/le_positionnement_politique_de_l_upr/pourquoi-lupr-va-t-elle-presenter-des-listes-aux-elections-europeennes-de-mai-2014-2


                      • Jean-François Dedieu Jean-François Dedieu 21 mai 2014 05:51

                        Merci pour ces précisions recevables... apportant du grain au moulin... 


                      • eau-du-robinet eau-du-robinet 25 mai 2014 16:08

                        Bonjour Jean-François Dedieu,

                        Que dit le président François Asselineau au sujet de la candidature de l’UPR aux élections européennes en 2014 ?

                        A ceux qui font mine de s’étonner qu’un parti anti-UE comme le nôtre participe à des élections européennes, nous répondons :

                        a)- que c’est un moyen pour nous de gagner en notoriété nationale,

                        b)- que nous avons des partis similaires dans d’autres pays d’Europe qui vont également se présenter pour sortir de l’UE (cf. notre participation au colloque de l’EPAM en Grèce en décembre 2013)

                        c)- que les élections européennes sont les seules élections où l’on peut voir surgir un mouvement anti-UE, comme l’a prouvé notamment le UKIP au Royaume-Uni par exemple (quoi que l’UKIP ait des différences substantielles avec nous, son atlantisme et son positionnement très à droite notamment, alors que l’UPR veille à rester au-dessus du clivage droite-gauche je le souligne de nouveau).

                        d)- que si nous ne nous présentions pas, nous laisserions la voie libre soit à l’abstention (ce qui ne gêne aucunement les européistes), soit à des mouvements-leurres comme le FN.

                        e)- enfin, que c’est la réponse logique à tous les partis européistes qui se présentent à nos élections nationales, en ayant à l’esprit l’idée de détruire la nation France de l’intérieur. Objectif explicitement énoncé désormais par EELV.

                        Puisque les européistes participent aux élections nationales avec pour objectif de détruire la nation française, nous allons nous présenter, nous, aux élections européennes avec pour objectif de détruire l’UE.

                        -------------------

                        je complèterai avec le point suivant :

                        C’est un moyen efficace pour dénoncer le futur traité du grand marché transatlantique TAFTA devant les parlementaires européens, ainsi devant le médias européens !

                        En ce qui concerne le vote électronique voici un court extrait de notre programme de libération :

                        Inscrire dans la Constitution :
                        « les élections s’effectuent au scrutin secret et manuel, au moyen de bulletins de vote en papier, d’urnes transparentes et sous la surveillance du public.
                        les scrutins par machines à voter électroniques sont interdits. »

                        Un autre point parmi des nombreuses autres propositions qui figurent dans notre programme de libération :

                        « Reconnaître le vote blanc comme un vote à part entière.
                        Annuler le scrutin et convoquer de nouveau les électeurs en cas de vote blanc majoritaire, avec interdiction aux candidats du vote précédent de se représenter.
                         »

                        Ce point est un de nos projets, hors je vous signale qu’il y à même un partie politique qui à osé à se présenter aux élections européennes en proposent que ce point dans leur programme.

                        Alors je me demande qui enfume et divise les Français ? Certainement pas l’UPR.

                        L’UPR réunit des gens haut dessus de tout clivage droite, centre, gauche !!!

                        Je vous invité à lire notre programme de libération

                        Nous sommes un partie politique de libération et nous volons restaurer la démocratie en France et restaurer la souveraineté !!!

                        Si quelqu’un enfume les Français ce sont avant tout les grands médias qui ont mis le FN au centre des élection européennes 2014.

                        Nous sommes un partie politique qui se bat entre autres contre c’est enfumage médiatique !

                        Je vous invité également à visiter mon site internet http://www.election-europe.org


                      • tf1Groupie 19 mai 2014 18:21

                        On est encore loin des 4500,312 ingénieurs qui nous disent la vérité sur le 11 septembre !

                        Bougez-vous.


                        • straine straine 19 mai 2014 19:39

                          Le PIRE reste à venir ! Le 25 je vais remercier ces grands malades ...........
                          ...................................................................... ...............
                          "CRISE 2.0 IL Y A LE FEU A LA DEUTSCHE BANK QUI CHERCHE 11 MILLIARDS (ET SE VEND AU QUA
                          TAR)
                          Ecoutez bien : pour lever ces 11 milliards, la banque vous fait une ristourne de 30% sur l’action. Si vous achetez pour 1000 euros, vous ne paierez que 700 euros... Dingue... Cela vous montre à quel point les Allemands sont désespérés !
                          En fait, deux banques brûlent en ce moment, la JP Morgan et la Deusche Bank. A elles deux, leur exposition en Credit Default Swaps sont pratiquement deux fois le PIB de la planète entière...

                          [...]

                          TEMOIGNAGE D’UN CADRE SUR LA DETERIORATION DU CLIMAT DES AFFAIRES (lisez bien)
                          Eric est l’un de nos lecteurs de longue date. Pour la première fois, lui aussi a constaté l’arrêt brutal : "Je travaille dans la vente de composants électroniques pour les grandes entreprises européennes, et en l’espace de 2 mois (notre entreprise étant pourtant parmi les leaders) a vu son CA chuter de 30 % en moyenne. Y compris ici au siège en Allemagne. Ca sent le sapin.
                          .....
                          Et c’est aussi le cas pour mes voisins de table, les Allemands. Les prestigieux groupes allemands que nous connaissons viennent tous de tirer le frein à main. C’est brutal. En 2009, la chute n’avait été que de -20%, pour se rétablir sur une moyenne de -10% en 2009.
                          Ce que je vois venir est bien pire...

                          [...]

                          LA JUSTICE N’A PLUS UN CENTIME A NIMES ET MONTPELLIER
                          Les bienfaits de l’Union Européenne se voient chaque jour de plus en plus. Ainsi, la presse locale ainsi que FR3 nous apprennent que "Les parquets généraux de Montpellier et Nîmes ont lancé, vendredi, un cri d’alarme sur la situation budgétaire des tribunaux, craignant "une paralysie du fonctionnement de la justice en raison d’une embolie du budget«  »

                          http://www.jovanovic.com/blog.htm
                          ...................................................................... ..
                          N’oublions pas
                          Eurostat :
                           Qui publie les chiffres de la dette publique du quatrième trimestre 2013 dans l’Union Européenne !
                          Neuf pays en faillite....
                          Quand ces 9 pays vont-ils se déclarer en défaut de paiement ?
                          « 1- Médaille d’or : Grèce. Dette publique de 318,703 milliards d’euros, soit 175,1% du PIB.
                          2- Médaille d’argent : Italie. Dette publique de 2069,216 milliards d’euros, soit 132,6 % du PIB.
                          3- Médaille de bronze : Portugal. Dette publique de 213,631 milliards d’euros, soit 129 % du PIB.
                          4- Irlande : dette publique de 202,920 milliards d’euros, soit 123,7 % du PIB.
                          5- Chypre : dette publique de 18,442 milliards d’euros, soit 111,7 % du PIB.
                          6- Belgique : dette publique de 387,159 milliards d’euros, soit 101,5 % du PIB.
                          7- Espagne : dette publique de 960,676 milliards d’euros, soit 93,9 % du PIB.
                          8- France : dette publique de 1925,292 milliards d’euros, soit 93,5 % du PIB.
                          9- Royaume-Uni : dette publique de 1460,975 milliards de livres sterling, soit 90,6 % du PIB »


                          • izarn izarn 25 mai 2014 15:37

                            Un état ne peut etre en défaut de paiement s’il possède sa monnaie. Ce qui est un pléonasme, sauf en zone euro.
                            L’Argentine avait calé sa monnaie sur le dollar...Il suffisait d’y renoncer, ensuite bien sur, rembourser les dettes en nouvelle monnaie dévaluée...Les capitalistes ont appellé ça : Faire défaut !
                            Et mon cul ? Tu l’as vu ?
                            Pareil pour l’Islande qui a décidé que les dettes des banques privées, meme islandaises, ne concernaient pas le peuple. Ils les ont laissé couler, et en plus mis en taule leurs présidents ! Ils ont fait défaut ?
                            Et mon cul ? Tu l’as vu ?
                            Bref un état « en défaut de paiement » c’est de la foutaise, de la lobotomisation des esprits.
                            Ca n’a aucun sens, sauf, en zone euro...
                            A vous de voter en conséquence...


                          • Bergegoviers Bergegoviers 20 mai 2014 06:31

                            Pas sûr que ce soit par peur, l’endoctrinement méticuleux ayant produit plusieurs générations de zombies formatés n’ayant absolument aucune idée de leur situation et prêts à se battre courageusement pour la conserver.


                            Une autre raison est aussi la stupidité congénitale, très répandue parmi les travailleurs.

                          • Ector Erlioz Ector Erlioz 20 mai 2014 00:14

                            Voici un commentaire toujours pas modéré sur votre site : http://altereconomie.unblog.fr/2014/04/17/liste-non-exhaustive-deconomistes-envisageant-la-dissolution-de-leuro-comme-une-possibilite/comment-page-1/#comment-6

                            "Bonjour, dans la même série, ce serait bien de dire que le second et le troisième de la liste sont aussi respectivement président de l’Union Populaire Républicaine pour François ASSELINEAU et Responsable National de l’UPR en charge de l’euro et des questions monétaires pour Vincent BROUSSEAU.
                            Et peut-être dire aussi qu’ils sont tête de liste UPR aux européenes 2014 pour l’Ile de France ainsi que pour la région Centre Auvergne Limousin.
                            Bien à vous

                            Your comment is awaiting moderation.

                            laurentdup 6 mai 2014 à 17 h 20 min Permalink"

                            Comme ce commentaire est entre celui de Nikonoff et celui d’un autre je m’autorise cette petite relance sachant que pour Nikonoff vous avez bien noté son poste au sein de son parti politique. smiley

                             

                            • Bergegoviers Bergegoviers 20 mai 2014 06:39

                              Quand on parle avec des politiciens il serait naïf de ne pas comprendre qu’on parle avec des menteurs et que donc la censure est nécessaire.


                              Car la vérité agit immanquablement comme un électro-choc sur les membres de la secte et, si certains peuvent trouver en eux-mêmes les ressources nécessaires pour s’en échapper, la plupart deviennent fou-furieux et incapables de se contrôler.

                              Il est tellement plus facile de tromper quelqu’un que de lui faire admettre qu’il l’a été que, pour la santé mentale des membres des sectes politiques, ainsi que pour l’épaisseur du portemonnaie et l’égo des gourous, il faut reconnaître que sur les salons partisans la censure est aussi nécessaire que salvatrice.

                            • alteréconomie alteréconomie 20 mai 2014 05:02

                              Cette liste n’est pas une tribune politique. Je ne mentionne que les compétences techniques des gens ;) 


                              • Ector Erlioz Ector Erlioz 20 mai 2014 13:53

                                @ alteréconomie
                                Je comprend bien pour la « tribune politique » des européennes, en revanche, je ne comprend pas pour les fonctions politques, vous les notez pour Nikonoff « porte-parole du Mouvement politique d’émancipation populaire (M’PEP). » mais pas pour les cadres de l’UPR...d’autant plus que pour Vincent Brousseau ses fonctions sont en rapport avec le sujet de votre billet. C’est curieux votre affaire !  smiley


                              • BA 20 mai 2014 07:08

                                Le parti politique UPR veut que la France sorte de l’Union Européenne.

                                 

                                C’est le seul de tous les partis politiques à réclamer une sortie de l’Union Européenne.

                                 

                                D’autres partis politiques veulent que la France reste dans l’Union Européenne : ces partis politiques veulent juste renégocier les traités européens.

                                 

                                Mais l’UPR est plus radicale.

                                 

                                L’UPR ne veut pas renégocier les traités : il n’y a rien à négocier.

                                 

                                La France doit sortir de l’Union Européenne, un point c’est tout.

                                 

                                Lisez le programme de l’UPR :

                                 

                                Sortons de l’Union Européenne !

                                 

                                Il est parfaitement possible de sortir de l’Union Européenne sereinement et légalement (article 50 du Traité sur l’Union Européenne), ce que seule l’UPR propose vraiment. Tous les autres partis ne proposent que de « renégocier les traités », allez vérifier leurs programmes !

                                 

                                http://www.upr.fr/wp-content/uploads/2014/05/Profession-de-foi-UPR-EP2014-France-metro.pdf


                                • Jean-François Dedieu Jean-François Dedieu 20 mai 2014 08:58

                                  @ BA. Prouvez que ce n’est pas de l’enfumage : rien n’est dit sur votre lien sur les raisons qui poussent l’UPR à vouloir rentrer au parlement européen alors qu’il veut sortir de l’Europe !


                                • steph bigorneau steph bigorneau 20 mai 2014 16:15

                                  J’ai déjà répondu au dessus à votre question. Ce n’est pas de l’enfumage c’est une volonté de gagner en visibilité pour mieux dénoncer cette union.

                                  Si vous voulez savoir quelles sont les raisons pour se présenter :
                                  pourquoi l’UPR va t elle présenter des listes aux élections europeennes ?


                                • Denzo75018 20 mai 2014 08:49

                                  105, bon....mais sur combien de dizaines de milliers d’économistes Européens !!!!??????


                                  • Jean-François Dedieu Jean-François Dedieu 20 mai 2014 09:07

                                    En attendant, les quelques uns, toujours les mêmes parmi les prétendus spécialistes des émissions « C’est à dire qu’on a toujours la même chose à dire », ressassent auprès des masses anesthésiées, la propagande pour le système en faisant passer les opposants pour des cinglés !
                                    « ABSTENTION ! », « HOLLANDE DÉMISSION ! », « VIVEMENT LA VIème ! » 


                                  • christophe nicolas christophe nicolas 25 mai 2014 22:12

                                    C’est une très bonne initiative, il faut sortir du paradigme européen qui ne marche pas. 


                                    Je pense que dans 3 ans, et j’espère que le CEA et tout le monde sera revenu à la raison, on pourra envisager la production d’énergie très peu coûteuse. Une crise déflationniste ne fera pas de mal mais il sera impératif d’être maître de sa souveraineté et de sa monnaie pour refonder le pacte social. Ca ne peut pas se faire dans l’Europe, c’est impossible, il faut une politique volontariste et soucieuse des intérêts de tous, bref en famille à l’ancienne. 
                                    Dans un tel scénario l’Europe ne sert à rien et tombera de toute façon, mieux vaut anticiper sa disparition.
                                    Ca peut mettre un peu le bazar, il ne faut pas se le cacher mais les énergies gratuites mettront le bazar, c’est obligé.
                                    Elle consomme combien votre voiture au 100 en énergie ? Rien... et le moteur, il est où, je ne vois que la batterie ? C’est le moteur...
                                    Et la maison pour le chauffage ? comme tout le monde 0 €
                                    Etc...

                                    Mieux vaut que chaque pays revienne dans ces frontières pour que les dirigeants aient tous les leviers entre les mains. Ca s’appelle un demi tour au frein à main à 130 km/h sur l’autoroute.... merde, j’ai écrasé Rompuy...

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