2012, la fin du monde politique connu

Ça prend du temps de devenir Français.

Pour les petits nés en France dans une famille vivant en France depuis longtemps et totalement intégrée au décor qui l’entoure, L’Inception (*) Française prend très facilement. Leur cerveaux sont baignés dans des rites culturels, et parfois cultuels, et on remarque aisément les particularités des petits élevés sous l’influence de leurs cultures locales. Ils deviennent souvent des grands qui restent des locaux et continuent envers et contre tout à défendre leurs particularités locales, ce qu’ils appellent leurs "racines". Des fois, ils se déracinent, sous l’influence de l’époque moderne qui a réduit la terre à une peau de chagrin sur laquelle on peut mieux s’éparpiller, découvrir de nouvelles cultures, de nouveaux modes de pensée, s’enrichir de tout cela. Mais le petit Français devenu grand aime toujours ses racines. tel Corse, tel Basque, tel Marseillais, tel Parisien, tel Nicois, tel Lyonnais, tel Bordelais, tel Brestois, ils ont finalement tous des identités territoriales très affirmées. Ils en arrivent, depuis la dernière réforme inventée pour les rassurer mentalement s’il se sont un peu éloigné de leurs terres de naissance, à affubler leurs plaques d’immatriculation de leur numéro de département... d’origine.

Voilà comment on devient Français.

En y vivant et en étant en contact permanent avec des gens qui eux-même ont vécu le même processus. Et quand bien même tu expliqueras à un Lillois, ou à un Ch’ti que le soleil de Marseille est merveilleux, il ne déménagera pas. Pareil pour un Marseillais, à qui tu expliqueras que Lille regorge de trésors cachés et de gens étonnants, il ne déménagera pas. Non pas qu’il n’y a pas de trésors cachés et de gens étonnants à Marseille, ou qu’il n’y ait pas, parfois, du soleil à Lille. Les gens sont attachés à leurs racines qui leur auront tout appris.

Quid des populations immigrées récemment ?

Comme chaque peuple, les grands immigrés que la France a accueilli depuis des années ont été des petits inceptés de la même manière par leur environnement d’alors : leur pays d’origine. Ils se sont installés en France car on leur proposait un job pour lesquels les Français se sont rendus compte qu’ils ne voulaient pas y voir travailler leurs enfants. Ces jobs ont souvent été des métiers de service public, ou de service tout court, ou aussi des métiers durs comme le bâtiment pour construire les maisons des Français. La motivation de ces immigrés a été sans doute multiple. Gagner de l’argent, gagner la France pour sortir des carcans "non évolués" de leurs contrées d’origine en rêvant à un monde meilleur, plus vert et plus tangible en terme d’espérance dans le monde.

Nous avons une population immigrée déjà installée, et régulièrement d’autres tentent leurs chances via les enclaves espagnoles ou en apparaissant soudain devant nos côtes (ceci dit, principalement en Italie, mais pour combien de temps encore principalement en Italie ?) sous la forme de boat-people (terme que bizarrement plus personne n’utilise de nos jours). Nos populations immigrées, installées, formées, employées, ont commencé à se fondre dans la paysage. Enfin... se fondre, c’est un bien grand mot...

Là où, nous autres Français depuis des générations, avons une vision très ethnocentriste des choses, nos immigrés, devenus légalement Français en quelques générations, en ont une aussi : la leur. Et eux aussi aiment à retourner à leurs racines : leurs pays d’origine.

Dans une hypothèse d’intégration réussie, les populations immigrées auraient dû être éparpillées sur le territoire, de manière à ce qu’ils ne puissent pas communiquer entre eux et ainsi être en contact avec des idées différentes de celles que les cultures locales allaient leur montrer afin qu’ils en soient inceptés sur 2 ou 3 générations. Également, nos immigrés, pour procéder à leur intégration, n’auraient pas dû avoir la possibilité de rentrer dans leurs pays d’origine pour se ressourcer dans leurs racines, et/ou les faire découvrir à leurs enfants nés, depuis, sur le territoire Français. C’est en coupant quelqu’un de ses racines depuis tout petit qu’on le fait devenir quelqu’un de local. Car les racines, c’est tout simplement de l’Inception... et une fois que c’est dans la tête, ça n’en sort plus jamais tout seul...

Nos immigrés ne sont donc pas intégrés. Ils ont pu avoir accès via satellite à leurs émissions de télé locales, maintenant leurs temps de cerveaux disponibles sous l’emprise de leurs racines. Ils ont pu avoir accès aux ferrys de méditerranée. Ils ont même une compagnie aérienne française qui s’est spécialisée dans leurs transports revolving.

Depuis, deux visions de la France "s’affrontent" : l’expression multicuturelle, dont la finale de coupe du monde 98 a été un point d’orgue populaire, et celle qui regarde d’un oeil douteux la mondialisation envahir ses cités.

Laquelle définit le mieux la France de 2010 ?

Il est évident que nous sommes dans un monde globalisé et mondialisé depuis l’avènement de la fin des guerres entre les peuples européens, depuis l’avènement du transport de masse, depuis l’avènement de l’ouverture des frontières européennes et mondiales, et depuis l’avènement d’internet, cet outil fabuleux de connaissances et d’informations sur le monde. Face à toutes ces nouvelles libertés d’agir et d’être, nombreux sont aussi les Français partis découvrir le monde extérieur. Néanmoins, même si des enclaves de Français, en général riches, existent à l’Étranger, il n’existe pas, comme chez nous avec nos immigrés, d’enclaves de Français pauvres dans des pays étrangers.

Il ne s’agirait donc que d’une question de richesses et de racines ?

Le peuple Français est un peuple riche : riche de son pays, de ses territoires, de son histoire, de ses terroirs, de ses coutumes, on nous les apprends à l’école. On assimile ces informations qui nous font nous sentir bien là où nous sommes. Et l’on assimile ces informations complètement que quand on n’est pas confronté à des racines extérieures... Un petit Français, en contact permanent avec des enfants d’immigrés étrangers continuant à être inceptés à domicile par les racines de leurs parents, va finir par se poser des questions sur sa propre identité nationale dont il doit découvrir les tenants et les aboutissants, normalement, à l’école.

Pour le reste, tous les membres issus des populations immigrées ne sont pas pour autant des pauvres, loin s’en faut. Et le développement du commerce mondial a conduit à une certaine standardisation des catégories socio-professionnelles dans toutes les strates de la société. La réussite sociale dépendant ensuite grandement des capacités intellectuelles à comprendre comment s’adapter et évoluer dans un système existant depuis quelques années : le capitalisme marchand à la compétition inter-humaine de plus en plus féroce... et dont les peuples commencent par ailleurs à se lasser à cause de ses excès tout simplement inacceptables... ceux-ci créant de plus en plus de nouveaux pauvres...

Des peuples conquérants ont essayé un phénomène de mise à l’écart des populations pauvres et différentes : l’esclavagisme et la ségrégation américaine, l’apartheid sud-africain, les banlieues françaises que l’on nomme pompeusement Cités, alors que ce ne sont que des ghettos modernes. Ces méthodes ont échouées. Ces contraires de l’intégration ont permis le développement en cercles fermés d’idées totalement contraires aux idéaux de la nation Française d’autrefois : une culture chrétienne baignée dans ses campagnes ou ses grandes villes. En outre, le regroupement des immigrés en bastions pauvres, et le maintien de l’ouverture des frontières, a favorisé l’arrivée de nouveaux immigrés au sein de communautés rassurantes car familières.

Certains pays essayent de maintenir leurs peuples dans une Inception permanente. Pour n’en citer que quelques uns, Iran, Chine, Corée du Nord, on s’aperçoit qu’il ne s’agit que de régimes totalitaires ayant souvent verrouillés leurs frontières dans les deux sens afin que le peuple soit le moins en contact possible avec l’extérieur, ceci afin que leurs identités nationales ne soient pas diluées dans un vaste melting-pot de pensées multiculturelles néfaste au maintien des pouvoirs en place et de l’essai de gouvernement effectué sur ces peuples.

En France, du fait de comment s’est passé notre histoire, nous n’avons plus aucuns moyens d’inception sur nos populations immigrées récemment. Nous devons faire avec et admettre que notre modèle français n’est plus adapté au monde récent.

La France devient une terre multiculturelle, et c’est une bonne chose car c’est ainsi que l’on s’enrichit des autres. Néanmoins, certains aspects de la culture des peuples immigrés nous font redouter une Inception à l’envers.

Là s’est posé récemment le problème de la burqa, qui, quoi qu’on en dise, n’est que l’expression d’une mentalité locale d’hommes dominateurs, et peu sûrs d’eux, et de femmes soumises et inceptées par l’idée de leurs propres faiblesses. Ces idées de dominants-dominés, dont l’expression vestimentaire est la burqa, doivent être combattues. Enlever la burqa de sa femme est une possibilité et doit devenir une réalité. La cacher sous une burqa sous prétexte que c’est ta femme (possessivité) et que l’on doit la cacher au regard des autres hommes pour ne pas attirer leurs regards et risquer de la voir séduite par un autre (manque d’assurance et peur classique du mâle ayant vécu dans un univers où femmes et hommes sont différents, inégaux, et ayant peur de l’abandon et/ou d’être dépossédé de son bien matériel) sont de problèmes psychologiques liés au fait que dans ces peuples là, la femme et le combat entre mâles pour une même femelle est encore quelque chose de prégnant.

Une thérapie française peut intervenir.

On a pris l’habitude de créer des lois en France. Pour les appliquer on utilise la force publique et ou l’administration. C’est ce qui dirige le peuple vers la direction que l’on veut lui donner : moins boire, rouler moins vite, mangerbouger... et ça donne une image d’un Etat soit policé soit policier.

Qu’un Etat soit policé, c’est normal afin de maintenir un ordre de pensée commun. Pour que le peuple continue de favoriser dans sa tête l’avancement de l’Etat qui lui impose ces règles pour son bien, car ces règles fonctionnent pour le bien commun, il faut y aller doucement, mais sûrement. D’où l’idée intéressantes des réformes Sarkozyennes et du concept de rupture de 2007 qui se sont finalement transformées en mascarade granguignolesques sous l’influence d’événements ayant porté un discrédit ahurissant sur la capacité des hommes et des femmes de l’UMP à sortir de leurs propres auto-inceptions à force de ne se fréquenter qu’ensemble aux rênes du pouvoir depuis des années.

Quand l’Etat devient policier... qu’une loi nouvelle est créée à chaque découverte d’une phénomène "étranger" à la pensée étatique et culturelle d’un pays, c’est que la pensée des dirigeants créant ses lois commence à sérieusement paniquer...

Or il ne faut pas paniquer.. Tout est encore possible en France.

A la condition que l’on redevienne révolutionnaires.

Non pas à la manière des utopistes anarchistes, ou des révolutionnaires Français du 19ème siècle, mais à la manière d’hommes modernes, réfléchis et assertifs. Etre assertifs, c’est dire non quand on doit dire non.

Devenir assertif sur les bons sujets est finalement quelque chose de dur à accomplir. Nous sommes en permanence distraits d’un sujet sur lequel réfléchir par un nouvel événement qui nous coupe de notre effort de concentration initial. De là vient le risque de devenir assertif pour tout et n’importe quoi, par panique et comme un aveu d’impuissance, en oubliant l’essentiel, et de voir les gens du peuple, petit à petit, se braquer contre une pensée Etatique qui vise à côté des vrais problèmes... L’exemple des radars multipliés sur nos routes et la résistance qu’ils ont parfois engendrés quand ça n’a pas été de la lassitude, est assez frappant car souvent les vitesses demandées sont bien trop faibles par rapport à certaines routes qui sont capables de capter plus de vitesse et que l’Etat limite de tel manière qu’on se demande si ce n’est pas fait exprès pour nous pousser à la faute permanente...

Se concentrer d’abord sur le vrai sujet : l’éducation du peuple et de son Etat de Conscience.

Les hommes inventent des chemins nouveaux au fur et à mesure qu’ils se sont libérés des contraintes matérielles et des inceptions religieuses. Le concept de laïcité a d’ailleurs été posé afin de leur permettre de se libérer des anciennes rhétoriques utilisées. Ce concept doit être complété et peut-être officiellement incepté aux nouvelles générations comme condition sine qua non à la vie française. Ce concept, et seul celui-là, est à même de faire évoluer les mentalités vers plus d’éclaircissements.

Comment ne pas expliquer à nos enfants que les dangers des idéologies conquérantes comme l’islam sont des freins au développement serein du peuple français enfin libéré de l’idéologie chrétienne autrefois extrêmement conquérante de par le monde ? Nous avons réussi à vider nos églises, vieux outils de manipulation des peuples, et maintenant nous construisons des mosquées aux peuples que nous avons oubliés d’intégrer au prétexte de la liberté de conscience ? Nous permettons alors à des imams souvent inceptés à l’étranger, même si ça s’améliore, de faire de l’inception à hautes doses à des populations qui ont constatée, de manière sans doute un peu surprise, l’abandon progressif de l’inception chrétienne au sein de nos communautés. Plutôt que de passer d’une inception à l’autre, il vaudrait mieux construire des temples de la laïcité, ou réaffecter l’utilisation de certaines églises nationales à cet usage. Notre Dame De Paris pourrait en devenir le symbole fort, fort car visuellement accessible et de portée mondiale. Au bout de 2 ou 3 générations, la séparation de l’apparence du bâtiment et de son utilisation intérieure pour le bien commun aura pû être finalement incepté aussi. Notre Dame de la Garde aussi, beau symbole d’une France libre dans ses idées et rayonnante sur le monde latin dont le Vatican est la porte d’entrée. Montrer au monde que nous sommes un peuple laïque qui a grandi et que nous n’hésitons pas garder des bâtiments magnifiques et chargés d’histoire pour en faire le symbole d’un renouveau dont l’évidence nécessaire nous est apparu un certain 11 septembre puis un certain 11 mars. L’obscurantisme religieux est à nouveau à nos portes, sous couvert de la liberté de conscience. Il s’agit de le combattre de manière forte dans ces aspects les plus dégradants pour l’égalité homme/femme notamment. La liberté de conscience pourra survivre. De toute manière, se rassurer face à la mort et à ses devoirs sur terre par le christianisme, par l’islam ou par autre chose, pourquoi pas. Mais c’est quand les idées religieuses deviennent des idées dangereuses au développement de l’esprit et de la pensée libre que celles-ci doivent être combattues. A ce titre, construire une mosquée à Ground Zero semble anachronique. Comme un lieu donné symboliquement aux musulmans, dans lequel une pensée non laïque va se développer, juste à côté de ces anciennes tours symboles d’un melting-pot culturel dont le seul dieu était le commerce mondial, échappatoire inventée par les hommes pour se concentrer sur leur développement commun sur terre. Mais les Américains ne sont pas non plus les Français...

A l’intérieur des peuples, des communautés se développent. Telle communauté prend ses références à l’étranger, telle communauté prend ses références au niveau local. C’est le mix des deux et leur rencontre permanente qui crée de la richesse intérieure et de l’ouverture d’esprit pour un peuple. Néanmoins, si nous avons pu en un temps rédiger une texte fondateur comme la déclaration des droits de l’homme et du citoyen pour chapeauter toutes nos consciences, il nous faudrait aussi être révolutionnaires à notre époque pour compléter cette déclaration avec des mots actuels tirés d’une idée universelle de la laïcité, garante de notre particularité, au moins, française. Créer de nouveaux articles à celle-ci. Préciser ces textes afin de favoriser une conscience universelle de l’influence des cultures locales afin de mieux les contrer pour libérer l’homme de sa pensée nécessairement étriquée d’être humain... et sa femme par la même occasion...

Changer de référentiel.

Comment expliquer à nos enfants qu’une déclaration des droits de l’homme, pensée au 19ème siècle, puisse encore à elle seule régir nos modes de pensées actuels ? Comment expliquer à nos enfants qu’un chant guerrier soit encore notre hymne national au 21ème siècle ? Et comment ne pas expliquer à nos enfants que les tags "liberté", "égalité", "fraternité" ne sont sans doute que les mots les mieux associés pour symboliser une France idéale au sens idéologique ? Comment, sinon, ne pas expliquer à nos enfants que nous sommes un peuple dont l’expression mondiale et conquérante d’antan n’est plus leur problème ? Nos enfants ont une histoire, qui est glorieuse ou ne l’est pas. Mais nos enfants sont des êtres nouveaux qui ont le droit d’apprendre des erreurs du passées pour ne pas les reproduire. De tout ceci peut réussir à émerger une pensée idéologique nouvelle liées aux erreurs passées de leurs ancêtres, de nos ancêtres. Il ne manque plus que l’application à un niveau Etatique de ces idées. Le gouvernement actuel a choisi une voie inadaptée car non reconnue avec la même valeur par les populations inceptées différemment, la loi, pour se faire entendre. Tant d’exemples de lois inappliquées ou inapplicables. Tant de temps perdu face à l’avancée du monde. Tant de contacts détruits entre les populations immigrées et leur ancien référentiel habituel policier qui les accompagnait dans leurs cités et jouait le rôle de travailleur social. Tant d’incompétence en 2010 serait-elle aussi la preuve qu’il faille par ailleurs réformer également les programmes de l’ENA dont est issue toute notre intelligentsia politique ? A force de se pencher sur le passé, de le vénérer, on oublie que, dans notre avenir commun sur la planète, tous les peuples finiront par se mélanger, et tout changement ne peut venir que de la laïcité. La chose politique, bien que complètement dévoyée par l’utilisation drolatique des médias faite par la classe politique actuellement au pouvoir, est encore le meilleur moyen d’y parvenir en rendant les gens fiers d’une telle nouvelle révolution française. 2012 peut être la clé de ce changement. Aux armes (intellectuelles) citoyens !

* INCEPTION de Christopher Nolan, 2010, qui va sans doute devenir une référence en tant que moyen de compréhension anthropologique. Déjà 4 millions de spectateurs pour un film éducatif, c’est un beau résultat. Quelle innocence de croire que les films ne nous racontent que des histoires dont nous pouvons nous débarrasser aussi facilement ensuite dans nos vies de tous les jours. Les films sont aussi des moyens de mettre des populations sous emprise mentale par inception, en plus de les amuser et de faire de l’argent culturel à partir de cela. Le Grand Bleu, Titanic, Le Parrain, Bienvenue chez Les Cht’is, Camping, Le Gendarme à Saint -Tropez ou encore Les Bronzés, il y en a tellement qui ont marqué des générations... à vie. Inception en est le point d’orgue car finalement il vient nous montrer, sous couvert de l’entertainment, que les peuples de la planète sont sous l’influence du cinéma mondial depuis des années, et exponentiellement depuis la création de cet outil de diffusion d’images extérieures à nos localités, par le phénomène que le film décrit lui-même dans une spirale sans fin : une idée qui rentre dans la tête n’en sort plus toute seule... le seul remède est l’éveil à la conscience.