3/3 Avec Macron nous sommes en dictature
L’application de la fenêtre d’Overton pour obtenir le contrôle total…
Philippe de Villiers sur RMC « les grandes gueules » le 12/04/2021 :
[1]« J’ai découvert que ce que nous avons vécu a déjà été joué. C’est-à-dire le 18 octobre 2019, bien avant qu’on ne parle du Covid, il y a eu un exercice de simulation fictif à New York avec Big Data, enfin avec les grands profiteurs du numérique, des puissances privées, et ils ont simulé une pandémie ; tenez-vous bien de Coronavirus. Alors, cela veut dire quoi ? Je ne dis pas qu’ils ont inventé virus, mais simplement qu’ils se préparaient au virus ! Pourquoi ? Parce qu’ils ont fait un monde sans cloison délibérément, et qu’un monde sans cloison est un monde pathogène. Donc, ils savaient qu’un jour il y aurait un virus ; ils s’y préparaient, et j’ai apporté un livre incroyable qui a été la base de mon travail. Ce livre mérite d’être connu, c’est « Covid 19 la grande initialisation - Klaus Schwab - Le forum de Davos qui dit : Il faut que la pandémie, le 2 juin 2020, soit une fenêtre d’opportunité ; oui, retenez bien ce mot. Et le 3 juin, c’est-à-dire, il y a une vidéoconférence de presse mondiale avec le gratin mondial dont le secrétaire général de l’ONU qui dit : « Voilà ce que c’est la fenêtre d’opportunité, c’est la digitalisation du monde et le changement climatique ; c’est-à-dire le futur virus. En d’autres termes, il y a effectivement des victimes que nous sommes tous plus ou moins : les petits, les faibles ; ceux qui n’ont pas pu se défendre, ceux qui sont masqués, ceux qui sont bâillonnés, ceux qui attendent la levée d’écrou ; et puis, il y a les profiteurs, et parmi eux, il y a la classe dirigeante parce que quand un pouvoir est faible, et c’est le cas de celui d’Emmanuel Macron et de Castex, son obsession, c’est le contrôle total… »
Ce contrôle total dont parle De Villiers se situe à l’étape 1 : De l’impensable au radical, et les dirigeants du monde entier, plus ou moins, en ont posé les jalons.
Macron préparé de longue date pour être le petit dictateur que nous connaissons…
Le professeur et psychiatre Adiano Sagatori nous révèle ce que pourrait être la genèse de cas Macron :
[2]« L’analyse que j’ai faite sur Emmanuel Macron provient à la fois des images que j’ai en ma possession et de la biographie dont le candidat se revendique. Le jeune Emmanuel Macron à l’âge de 15 ans a subi une grave agression sexuelle via sa professeur qui à l’époque avait 39 ans. Au lieu de la vision à l’eau de rose de cette union qu’on pourrait définir grotesquement comme un mariage réparateur (pour réparer le viol), je vois plutôt le fait que s’est bloqué prématurément le développement d’Emmanuel Macron en pleine adolescence à cause d’une opération de séduction à la fois psychique et physique. Ce qui s’est passé, c’est à la fois dépasser un tabou et dépasser une limite. La limite que prescrit le tabou. Donc, le premier passage a été la conviction que tout est permis.
Naturellement, ce sentiment de toute-puissance a eu lieu au sein de la bonne société bourgeoise d’Amiens, dans le nord de la France. Si cette union avait eu lieu dans l’environnement social prolétaire, cet environnement qu’Emmanuel Macron méprise profondément, eh bien il aurait été détruit et serait suivi par les services sociaux et Brigitte Macron serait en prison. C’est la triste vérité. Nous sommes confrontés à un problème de type pédophile.
Une fois les limites du tabou dépassées, il s’est passé que l’idée d’omnipotence propre à chaque enfant a été ultérieurement encouragée, jusqu’à dépasser un propre chevauchement de la réalité qui, renforcé par des avantages intellectuels, lui font extrapoler ses limites personnelles. Le paradoxe veut qu’il semble pathologiquement normal, mais nous sommes en plein narcissisme. Depuis sa jeunesse, il nourrit une ambition hors norme. Il a besoin du regard et de l’admiration des autres pour compenser un complexe d’infériorité. »
Ce qui fait qu’au fil des années et des circonstances, Macron est devenu un pervers narcissique, un sociopathe atteint du syndrome de l’hubris qui séduit, utilise et il jette. Pour lui, voilà ce que sont les « gens » des « moins que rien » ou des « peu de chose ». Des kleenex qu’il jette dès qu’il les a utilisés. Macron n’a pas de fidélité. Aucun véritable sentiment. Une fausse empathie qu’il joue en mauvais acteur qu’il est en voulant trop en faire. Il n’éprouve aucune reconnaissance pour quiconque. Il se prend pour Jupiter. Un être à part. Par conséquent, né pour être servi, et pour humilier.
Voici ce qu’ils disent en général ses anciens amis :
« Il te charme, t’utilise et te jette »
« Sa grande force, derrière ses grands sourires et ses poignées de main appuyées, est d’être sans affect, froid, cynique. »
« C’est un pervers narcissique. »
« Il se sert des gens et ne renvoie jamais l’ascenseur. »
« Ils sont en tout cas nombreux, les déçus sur le bas-côté de son ascension fulgurante. »
Macron est « de la chair à président » : mieux « de la chair à petit dictateur ». Il a été préparé par Jacques Attali qui l’a conseillé à Hollande, et avant par Alain Minc, l’ami de Rothschild, à qui il conseilla de prendre Macron. Pourquoi ? Il le dit très clairement :
« Parce qu’il était exceptionnellement charmant et intelligent et que ce sont les qualités d’un banquier d’affaires qui doit être intelligent, souple, rapide et si en plus il peut être charmant, car c’est un métier de putes. Et ces qualités il les a toutes et il a merveilleusement réussi. »
Macron n’a jamais contredit Minc, bien au contraire, il l’a confirmé devant des journalistes du Wall Street Journal le 8 mars 2015 :
« D’une certaine manière, on est comme une prostituée. Le boulot c’est de séduire. »
Macron a braqué la république avec la complicité des milliardaires de l’industrie, de la finance, tous et toutes propriétaires des chaines, radios, journaux. Il a réussi le casse du siècle en obtenant l’investiture présidentielle selon les propres de ses complices (Bayrou, Collomb), et les siennes :
[3]« On vient de réussir un braquage. C'est comme dans Ocean's Eleven, sauf qu'on était moins nombreux. Faut dire qu'on connaissait le proprio et qu'on avait les plans. »
Donc Macron, selon lui et Minc, est une pute au service des très riches. À la tête du pays, il peut jouer au dictateur , et défouler ses instincts de pervers narcissique, de sociopathe atteint du syndrome de l’hubris sur le dos des Français les plus humbles de préférence.
Macron déteste les Français
En août 2017 en Roumanie, Macron s'est posé devant la communauté française de Bucarest comme l'homme capable de changer l'état d'esprit des Français qui, selon lui, « détestent les réformes ».
« La France n'est pas un pays réformable. Beaucoup ont essayé et n'y ont pas réussi, car les Français détestent les réformes. Dès qu'on peut éviter les réformes, on le fait. »
« Il faut lui proposer de se réformer pour répondre à un chiffre, ou une contrainte ? Notre pays n'est pas fait ainsi. Mais se transformer en profondeur pour retrouver le destin qui est le sien, emmener l'Europe vers de nouveaux projets, porter l'universalisme. Ça, c'est un combat qui fait rêver les Français. »
Et il continue, en se mettant humblement en avant :
« Les Français ont fait le choix un peu fou d'un mouvement politique nouveau, d'une personnalité politique qui n'existait pas dans leur quotidien depuis longtemps. »
En septembre en Grèce :
[4]« De Bucarest à Athènes, Emmanuel Macron répète son envie de réformer la France. Vendredi dans la capitale grecque, il a dit "assumer" ses propos polémiques tenus il y a deux semaines en Roumanie, sur la France qui "n'est pas un pays qui se réforme" et "les Français détestent les réformes". "D'aucuns faisaient semblant de découvrir cette forme de provocation que j'assume. La France n'est pas un pays qui se réforme", a-t-il déclaré devant la communauté française à l'école française d'Athènes, au second jour de sa visite d'État en Grèce. "Il ne se réforme pas (...) parce qu'on se cabre, on résiste, on contourne. »
Le chef de l'État a même été plus loin cette fois-ci :
« Je serai d'une détermination absolue et je ne céderai rien, ni aux fainéants, ni aux cyniques, ni aux extrêmes. Et je vous demande d'avoir, chaque jour, la même détermination", a conclu le Président français devant ses concitoyens. »
Et il a jouté bon enfant, pour rassurer :
« Nous allons le faire sans brutalité, avec calme, avec explication, avec sens. »
En août 2018 au Danemark, Macron aurait plaisanté en déclarant :
« Il ne s'agit pas d'être naïf, ce qui est possible est lié à une culture, un peuple marqué par son histoire. Ce peuple luthérien, qui a vécu les transformations de ces dernières années, n'est pas exactement le Gaulois réfractaire au changement ! Encore que ! Mais nous avons en commun cette part d'Européen qui nous unit. »
Les Français détestent Macron
[5]« Selon un nouveau sondage Elabe publié hier, Emmanuel Macron est "rejeté et détesté". Tous les indicateurs sont mauvais pour le président, notamment en ce qui concerne la réforme des retraites. Près de 61% des Français souhaitent qu'il renonce à cette dernière, 62% sont déçus par ses actions, et 82% jugent que l'action du chef de l'État depuis le début de son quinquennat n'a pas amélioré la situation personnelle des personnes interrogées. Enfin, sept Français sur dix pensent qu'il ne sera pas réélu en 2022. Son image se détériore. Il est jugé "plus inquiétant", "moins sympathique" et "plus arrogant" ».
[3] Synopsis : Après deux ans passés dans la prison du New Jersey, Danny Ocean retrouve la liberté et s'apprête à monter un coup qui semble impossible à réaliser : cambrioler dans le même temps les casinos Bellagio, Mirage et MGM Grand, avec une jolie somme de 150 millions de dollars à la clé. Il souhaite également récupérer Tess, sa bien-aimée que lui a volée Terry Benedict, le propriétaire de ces trois somptueux établissements de jeux de Las Vegas. Pour ce faire, Danny et son ami Rusty Ryan composent une équipe de dix malfrats maîtres dans leur spécialité. Parmi eux figure Linus Caldwell, le pickpocket le plus agile qui soit ; Roscoe Means, un expert en explosifs ; Ruben Tishkoff, qui connaît les systèmes de sécurité des casinos sur le bout des doigts ; les frères Virgil et Turk Malloy, capables de revêtir plusieurs identités ; ou encore Yen, véritable contorsionniste et acrobate.
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