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320 pages plus tard, la cote présidentielle remonte… au Figaro, chez Bernard Henry Lévy et chez les « bobos »

Valérie Trierweiler est détestée, pourquoi ?

17 mots pour 9 ans de vie commune en janvier 2014 et une détestation généralisée pour cette malheureuse Valérie et son futur best-seller, neuf mois plus tard.

A l’annonce de la publication de son livre,

Un torrent de « saloperies » est venu la souiller en quelques heures : “Déshonorant”, “obscène”, “pornographique” :

  • Renaud Dély, du Nouvel Observateur : "cette œuvre de démolition"
  • Laurent Sagalovitsch, écrivain : “Cette façon putassière de créer l’événement"
  • Yves Thréard, du Figaro : "l’obscénité à son comble"
  • Élisabeth Lévy, directrice de la rédaction de Causeur : “un truc dégueulasse” et même de “la pornographie”.
  • Bernard-Henri Lévy : “vulgarité insoutenable”.

Parés de la dignité que leur confère une autorité intellectuelle certaine, les voilà qui s’indignent !

En fait, tous ces « intellos » dérapent et viennent de rejoindre le pitoyable Pierre Salviac qui s’était fait virer et dont ils n’avaient pas pris la défense à l’époque, pour avoir déclaré : « baisez utile, vous avez une chance de vous retrouver première dame de France ! »

Quant au Président,

Ce communiqué de 17 mots pour « répudier » sa compagne de neuf ans aura suffi. François Hollande termine les histoires d’amour comme on congédie un Valet de Chambre. Au titre du respect de la fonction, il eut fallu donc que Valérie supporte cette humiliation ? Mais qu’en a-t-il fait de la fonction en trônant sur un scooter pour visiter sa maitresse ? Qu’en a-t-il fait de la fonction en trahissant sa profession de foi de 2012 et ses électeurs ?

Mais j’en reviens à Valérie,

« Je fais savoir que j'ai mis fin à la vie commune que je partageais avec Valérie Trierweiler » cela n’aurait fait que 18 mots, s’il avait rajouté « Madame » Un communiqué à rapprocher d’un autre, le déplacement rentrée scolaire du même Président publié le 01 Septembre 2014… « Le Président de la République, François HOLLANDE, se rendra à Clichy-sous-Bois en Seine-Saint-Denis à l’occasion de la rentrée scolaire, le mardi 02 septembre 2014 » 24 mots !

C’est sidérant ! La distance à l’évènement est quasi du même ordre. Pendant que l’une allait expier son péché à l’hôpital, d’être la compagne du président, sa majesté le mâle résumait donc l’évènement dans un style lapidaire.

Apres la lapidation de janvier, vient la lapidation publique par les « Bobos » en septembre :

Comme beaucoup, j’ai couru les antennes. J’ai pu m’apercevoir qu’une majorité d’intervenants de tous bords, se rassemblaient pour un réquisitoire collectif. Curieusement, il s’agit souvent de femmes ! Qui sont-elles ? Des chroniqueuses, des journalistes, des écrivains de toutes sortes, souvent formatées par des hommes. Elles ont toujours quelque chose à intellectualiser y compris cette fois-ci, sur le mode de la mauvaise foi, s’agissant du livre de Valérie Trierweiler.

Qu’est-ce qui les inspire dans un ouvrage qu’elles n’ont peut-être pas lu ?

Leur venin semble trahir une sorte de jalousie maladive pour les femmes qui en ont… (pas du venin, autre chose) Qu’est-ce qui justifie les qualificatifs les plus ignominieux pour écraser la dignité de cette femme ? Principalement la protection de la fonction présidentielle ! Quelle belle hypocrisie ! C’est une anomalie… bizarre, bizarre… Ce ne serait tout de même pas parce qu’elles tiendraient un morceau de velours du pouvoir discrétionnaire… des hommes ? Alors, même à être en désaccord avec Valérie Trierweiler, pourquoi cette escalade dans les « insultes » quand les mêmes se taisent sur certains crimes de guerre à Gaza ?

En arrière-plan, de quoi s’agit-il ? Tout simplement de la domination masculine sur la femme et le monde.

A la rigueur, poser la question de savoir si la dignité de la femme doit s’effacer devant l’exercice du pouvoir exécutif, peut-être… Ce qui d’ailleurs risquerait d’imposer à la meute, un exercice d’équilibriste dangereux. Mais certains, pour exister, n’en sont pas à une hypocrisie près.

En fait, c’est plus simplement de la femme face au pouvoir des hommes dont il s’agit ! Et ce combat-là, c’est bien naturellement celui des femmes. Certaines combattent debout comme Valérie, d’autres en restant assises sur leur capital.

Le pouvoir des hommes existe bel et bien et il se perpétue par la dégradation de la femme avec la complicité coupable d’autres femmes aussi ! Le pouvoir du mâle est enraciné au plus profond de l’ADN des hommes et hélas, de celui de certaines femmes ! C’est un genre inéluctablement transmis de génération en génération. Il a embrasé le monde. Révoltant sous des formes extrêmes dans certains pays, il est rampant et malicieux dans nos sociétés dites avancées…

Ce pouvoir masculin est exercé à tous les échelons de l’organisation de nos sociétés. A l’évidence, il est la marque distinctive de l’identité masculine.

Il est facile d’en débusquer les attributs,

Tous les hommes, même les plus faibles, aspirent à les porter. Quels sont-ils ? La force physique, évidemment, et son corollaire, l’art d’impressionner le plus faible, le pouvoir de promouvoir, le pouvoir de propriété, le pouvoir de l’argent et bien sûr l’ultime domination, le pouvoir du sexe. Tous ces attributs conjugués à la fonction du pouvoir masculin en général et présidentiel en particulier permettent au mâle de s’approprier tout ce dont il a besoin pour se maintenir… au pouvoir, y compris la femme ! François Hollande est loin d’être le seul concerné…

En vérité cette logique, les mâles la veulent inaliénable et ils s’emploient à la maintenir inaliénable avec la complicité des femmes qui en tirent un avantage Est-ce donc bien honorable de tancer cette malheureuse Valérie et de le faire au nom de l’application de cette logique à la fonction suprême ?

Quid de ce passage dans la charte de la laïcité : «  Oui, la laïcité, c’est aussi cela : l’égalité entre filles et garçons. On a trop longtemps négligé, et on oublie aujourd’hui encore trop souvent que l’égalité entre les femmes et les hommes est une conquête, certes tardive mais essentielle, du combat laïc et républicain pour l’égalité entre les citoyens. »

John F. Kennedy a jadis déclaré : « Les choses ne se produisent pas d’elles-mêmes. Il faut agir pour qu’elles se produisent. »

Et dans cette histoire, c’est bien l’attitude des hommes publics et de leur groupies qui produit l’aliénation de la femme et c’est simple :

D’abord, il y a réduction de la femme à sa dimension physique et ensuite, toutes les insuffisances supposées de son cerveau qui devraient aller avec ! Et franchement, Valérie Trierweiler elle digère mal comme toutes les femmes de la planète en grande majorité, ce genre de théorie !

Et bien tant que règnera au plus haut niveau de l’Etat, ce comportement méprisant que les hommes pensent pouvoir, dans l’impunité, infliger aux femmes, il faudra des femmes pour dénoncer ces hommes-là, surtout s’ils nous gouvernent ! Et ce sont bien ces femmes qui comme Valérie Trierweiler ont le culot de tremper leur plume dans le poison craché imprudemment par les mâles eux-mêmes, qui contribuent à lutter pour nos filles. Et elle le fait bien mieux que celles qui la jalousent d’un succès commercial qui leur a échappé autrefois dans des ouvrages bâclés et moins bien écrits ! N’est pas Première Dame et journaliste qui veut…

La fatwa présidentielle de répudiation en janvier 2014 aura sans doute déclenché la machine à gifler de 320 pages. Et s’il est presque facile de comprendre les réactions masculines à l’offense faite à sa Majesté le mâle, l’hystérie grossière de cette meute de louves auxquelles les hommes ont parfois fait une place avantageuse, est plus difficile à accepter. Même s’il s’agit de prendre fait et cause pour un homme ordinaire devenu Président normal.

Mais à quelque chose malheur est bon puisque Valérie aura eu plus d’efficacité que les frondeurs, l’U.M.P. et le F.N. réunis pour faire ciller François Hollande…

Enfin j’ai trois questions pour tous les détracteurs de Valérie Trierweiler :

  • La fonction présidentrielle autorise-t-elle l’humiliation publique, dès lors qu’il s’agit d’une femme ?
  • Autorise-t-elle de mépriser le peuple dans le boudoir et de le flatter en tribune électorale ?
  • Enfin, quelque fut la motivation, en quoi la révolte d’une femme bafouée et jalousée mérite elle les sarcasmes aussi violents comme : “Déshonorant”, “obscène”, “pornographique” ?

Non ce qui est obscène et déshonorant, c’est l’attitude majoritaire de celles et ceux qui sont à la botte du système. Tout ce qui affaiblit le régime peut menacer leurs privilèges. Toutes et tous claironnent leur censure avec la complicité de certains médias. Ils ont tellement peur d’une crise de régime qu’ils réagissent de concert contre toute atteinte aux 13 % résiduels de popularité de François Hollande. Et pour la popularité du Président, Valérie Trierweiler dérange !


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27 réactions à cet article    


  • bourrico6 8 septembre 2014 09:08

    Comme on dit dans certains milieux, « ça lui fait la bite ! », à l’huître présidentielle.

    L’argument de la fonction présidentielle .... la bonne blague. smiley
    Quand on voit le gueule de la fonction présidentielle... depuis le nabot, la « fonction présidentielle » n’est plus ce qu’elle était., tout le monde crache dessus, moi le premier.

    Ah puis BHL, c’est bien l’abruti congénital qui voit des « raz de marée d’antisémitisme » en France ?

    De toute façon, ils peuvent pousser leur cris de pucelles, le bouquin à scandale semble se vendre.


    • jmdest62 jmdest62 8 septembre 2014 10:24

      « ...le bouquin à scandale semble se vendre....... »

      c’est surtout ça qui les emm..de le plus .

      @+


    • jef88 jef88 8 septembre 2014 14:37

      il en est aussi qui combattent dans leur lit !


    • René PICHON-COSTANTINI 8 septembre 2014 15:17

       Je n’avais pas osé...


    • alinea alinea 8 septembre 2014 10:03

      Le combat d’une femme contre le pouvoir d’un homme ? Vous plaisantez ; elle en fut très heureuse de ce pouvoir, c’ est quand elle ne l’a plus eu qu’elle s’est fâchée ; et si n’importe qui en souffrirait, n’importe qui ne s’abaisserait pas à cette vile vengeance ! Quelle petitesse d’âme coincée sous un ego !!


      • bourrico6 8 septembre 2014 10:58

        Tu réagirais comment si ton cocufiage faisait la une des journaux avec la photo de ton jules en scooter masqué ?

        Ca va un peu au delà du « c’est quand elle ne l’a plus eu qu’elle s’est fâchée » tu crois pas ?

        Quelle petitesse d’âme coincée sous un ego !!

        C’est toi qui est toute petite oui, avec ta version des faits pour simplets, je me demande si tu serais pas un peu jalouse  ? smiley


      • alinea alinea 8 septembre 2014 14:04

        J’en souffrirais beaucoup bourrico ! mais la souffrance n’autorise pas tout, et si cela est à vos yeux une petitesse, c’est que vous avez bien intégré tous les diktats de l’indécence et de l’égotisme, très modes, c’est vrai, mais parfaitement mortifères ! Nous ne sommes pas encore tous dans les basses fosses de l’abjection, et, tant pis pour elle, elle s’est grillée !!


      • bourrico6 9 septembre 2014 10:13

        T’as raison, je suis comme ci, comme ça, et pifétou.

        Allez circulez va !


      • René PICHON-COSTANTINI 8 septembre 2014 11:56

        Bien sûr que je trouve votre réaction pertinente. D’ailleurs pour l’essentiel, je la partage. J’ai juste un désaccord, je vous cite : « Des vengeances de cet acabit il en existe tous les jours et partout »

        Elle me parait tout de même réduire le sujet que j’ai juste tenté de traiter. Là, nous ne sommes plus « tous les jours et partout »

        Ou j’ai été maladroit dans ma rédaction, soit la question principale vous aura échappée tant vous êtes « crispée » sur votre point de vue.

        Il s’agit de l’exemplarité d’ un homme qui devrait habiter la fonction suprême et dont chacun des comportements engage notre pays... Hormis qu’en tant que papa d’une fille, je me méfie parfois de ce qui touche à l’excès de pouvoir par les hommes, je n’ai bien évidemment pas la prétention de libérer les femmes !

        Mais en vous relisant, même si vous vous faites un croche-pied en admettant quand même que FH est un représentant emblématique de ceux que vous dénoncez, je m’aperçois que nous sommes d’accord et qu’au fond vous l’écrivez bien mieux que moi : « Si les journaleux qui occupent en permanence l’espace du bruit inutile perpétuel qu’ils s’entêtent à appeler « information » (sans rire...) s’en prennent au bouquin de Trierweiller c’est parce que la plupart sont des sociaux-libéraux, pour certains agrémentés d’une pincée de libertarisme gauchisant, et que cette femme est juste en train d’achever l’un de leur représentant, même si ce dernier représente surtout ce qu’ils sont en réalité : c’est-à-dire des foireux menteurs, arrogants, sans empathie ou presque et que la « cote » du monsieur s’effondre vers la cave où errent les nombreux petits esprits qui ont tant détruit déjà notre pays et humilié le peuple. »

        Il arrive parfois qu’ une plume « nerveuse » se laisse entrainer à gommer ce qu’elle vient d’écrire un instant plus tôt...

        Oui, c’est bien sur l’égalité Homme/Femme que j’ai tenté de donner un point de vue, bien que vous pensiez autrement : « A vrai dire, l’égalité homme / femme n’a pas grand chose à voir dans cette affaire de femme humiliée. »

        Merci pour la pertinence de votre point de vue, j’y souscris presque totalement


      • egos 8 septembre 2014 16:37

        @musima


        l’égalité femmes et hommes n’est à ce jour pas plus avérée (le Diable se dissimule dans les détails d’un exaspérant quotidien) que l’égalité raciale aux USA ou en Europe, hormis qqs sa affichés en trompe-l’oeil

        sur ce sujet il serait judicieux de revenir (thème traité récemment sur 1 radio indépendante) au détournement du mouvement féministe noir durant les 70th par les mouvements antiségrégationnistes (blancs entre autres) et qqs spécimens particulièrement crapuleux de la communauté en question, 

        de ce point de vue acceptons le fait que la conquête des droits féminins ne puisse rs’accomplir que par les intéressées, du moins celles ne se joignant pas à la meute traquant cette Messaline contemporaine

        s’agissant du sujet de l’article, notons que la presse en question oscillait lors de la révélation de l’affaire DSK (le personnage est en lui même une anthologie vivante des comportements et attitudes que l’on peut désigner par le terme scabreux) entre propos laconiques et justifications oiseuses et pour certains (acte quasi blasphématoire), complotiste.

        la majorité des arguments avancés à l’encontre de VT dans une forme d’hystérie propre à la chasse aux sorcières s’articule, étonnement sur avx , par des gens de robe, l’un affublé d’une soutanelle ou surplis, une auteure ... recycle les thèmes communs associés à la nature féminine, séduction, vénalité, versatilité , perfidie ... pour les plus véniels

        le concile de Macon en guise de boussole

        FH représenterait à lui seul , avec son scooter et ses divagations nocturnes, toute la majesté, la dignité de la fonction présidentielle, 
        ds une sorte d’infaillibilité républicaine, de lévitation planant au dessus des contingences
        souillée par les révélations (ds les faits bien anodines) criminelles d’une courtisane dépravée.

        à croire qu’il faudra bien plus que la détermination des femens afin de déplacer les lignes


        ps (abréviation abhorrée mais les circonstances)
        « qu’est ce qu’elle a pu lui trouver »
        question que se pose invariablement toute femmes à un moment ou autre ,
        accessoirement les hommes (en référence à la scène de la rencontre entre Ondine et Hans, pièce de Jean Giraudoux)

      • César Castique César Castique 8 septembre 2014 11:09

        « La fonction présidentrielle autorise-t-elle l’humiliation publique, dès lors qu’il s’agit d’une femme ? »

        Ce n’est pas la fonction présidentielle qui est en cause, mais la personnalité du président. Flamby est un faible et un mufle, et sans doute, sa faiblesse est-elle la cause de sa muflerie.

        «  Autorise-t-elle de mépriser le peuple dans le boudoir et de le flatter en tribune électorale ?  »

        Les « sans-dents » pourraient bien être à Guimauve le Conquérant, ce que la « fournée » a été à Jean-Marie Le Pen - à ce propos, si quelqu’un a des nouvelles des plaintes pénales que trente-six officines antiracistes ont annoncé à son de trompe... -, un terme extrait de tout contexte dans l’optique d’une instrumentalisation préméditée.

        « Enfin, quelque fut la motivation, en quoi la révolte d’une femme bafouée et jalousée mérite elle les sarcasmes aussi violents comme : “Déshonorant”, “obscène”, “pornographique” ? »

        C’est très excessif. « Minable », « mesquin », « petit », « médiocre » suffisent amplement. Et si on rapproche cette vengeance poissarde de la dignité d’Anne-Aymone Giscard d’Estaing, de Danièle Mitterrand, de Bernadette Chirac, d’Hillary Clinton et d’Anne Sinclair, on se dit qu’il y a du vrai dans l’une des réflexions de Pompimou : "Elle est pas jojo la famille Massonneau..."

        Maintenant, il faut bien reconnaître que, par le gros temps actuel, cette torpille envoyée au ras de la ligne de flottaison du pédalo amiral, met du pep dans l’actualité smiley


        • sleeping-zombie 8 septembre 2014 11:31

          Hello,

          Il y a un truc que je ne comprends pas vraiment dans cet article.

          Non ce qui est obscène et déshonorant, c’est l’attitude majoritaire de celles et ceux qui sont à la botte du système. Tout ce qui affaiblit le régime peut menacer leurs privilèges. Toutes et tous claironnent leur censure avec la complicité de certains médias. Ils ont tellement peur d’une crise de régime qu’ils réagissent de concert contre toute atteinte aux 13 % résiduels de popularité de François Hollande. Et pour la popularité du Président, Valérie Trierweiler dérange

          C’est ta conclusion, je suis 100% d’accord, et elle explique tout. Mais pourquoi faire un article complet sur une histoire de domination masculine, une forme de guerre des sexe, quand la conclusion n’a rien à voir avec le contenu, et suffit à clore la problématique évoquée en intro ?


          • René PICHON-COSTANTINI 8 septembre 2014 12:56

            Tu as un peu raison.. C’est vrai que pour finir je m’énerve tous azimuts !


          • Fergus Fergus 8 septembre 2014 11:40

            Bonjour, René.

            Trierweiler ne mérite pas une once de respect après ce qu’elle a commis. Je ne parle pas là de la femme bafouée qui, à ce titre, mérite de la compassion comme n’importe quelle autre femme répudiée de manière cavalière. Mais cela aurait dû rester du domaine du privé, comme c’est le cas pour toutes les autres femmes confrontées à des situations semblables.

            Or, là, à quoi assiste-t-on ? A la vengeance fielleuse d’une concubine répudiée transformée par sa haine en harpie qui entend démolir le chef d’état en exercice. Et cela en balançant des affirmations contredites partout, y compris par les adversaires politiques de Hollande qui ont côtoyés l’homme. En agissant ainsi, Trierweiler interfère en outre gravement avec le vote des Français, cela dit quel que soit l’opinion que l’on puisse avoir de Hollande. Et ça, c’est inacceptable et scandaleux.

            Un point encore : expliquez-nous comment cette femme a pu rester 10 ans au côté d’un individu aussi abject que celui qu’elle décrit...


            • René PICHON-COSTANTINI 8 septembre 2014 12:04

              Salut Fergus !

              « Un point encore : expliquez-nous comment cette femme a pu rester 10 ans au côté d’un individu aussi abject que celui qu’elle décrit... »

              L’amour doit rendre aveugle et sourd, voir stupide... A moins que ce ne soit une ambition personnelle...

              V.T. n’est pas une icône !

              Mais pour autant, cela ne justifie pas l’arrogance de la meute !


            • foufouille foufouille 8 septembre 2014 13:37

              lis le livre, tu comprendras. p17-18


            • julyah 8 septembre 2014 13:46

              « Et cela en balançant des affirmations contredites partout, y compris par les adversaires politiques de Hollande qui ont côtoyés l’homme. »

              C’est normal qu’ils contredisent, car lorsqu’on lit ce « livre » si on peut l’appeler ainsi, c’est tout le milieu politique, toutes familles confondues qui est touché. Il m’a été envoyé en PDF à défaut de quoi je ne l’aurai jamais acheté. Néanmoins l’ayant parcouru je pense qu’elle ne fait pas que « soulever son propre voile », c’est aussi celui qui cache le véritable visage de tous ce milieu politique qui vit de façon « monarchique » alors que le peuple est écrasé d’impôts de toutes sortes et dont le quotidien devient de plus en plus difficile et aléatoire. Les « sans-dents » , les handicapés qui se servent de leur handicape pour se faire de la pub, etc.... Il en a fallu moins que ça pour que le règne des Bourbons s’achèvent avec entre autre, une histoire de brioche .... J’ai eu la nausée de cette lecture nauséabonde ! mais pour parler et avoir une opinion il est nécessaire de savoir de quoi on parle ! 

            • jef88 jef88 8 septembre 2014 14:45

              Au plan de la répudiation, on peut noter qu’un communiqué officiel a été publié !
              Donc il aurait le droit de mettre leur couple sur la place publique ?
              C’est vrai il y a une nuance entre 17 mots et 320 pages....
              mais y a tt’il une méthode plus cool que l’autre ?????
              NB : pour être respecté, il faut être respectable !


            • Henri Diacono 8 septembre 2014 12:24

              A l’auteur,
              Cette histoire de séparation est somme toute banale et n’aurait jamais du atteindre la popularité que veut lui donner un livre écrit au bon moment mercantile pour celle qui l’a rédigé. Je ne pense pas que la dame en question l’ait publié par « amour désespéré » mais par jalousie (souvenez vous du fameux twitt) et surtout parce qu’elle a été écartée des « ors et oripeaux du pouvoir ». Ensuite cette dame Valérie, ne l’oublions pas a été mariée à deux reprises et à deux reprises a quitté son époux après l’ avoir trompé. Ni ’un ni l ’autre n’ont écrit un livre sur le mal quelle leur a fait. Enfin en son temps Ségolène Royal n’a pas rédigé 320 pages pour jeter en pâture aux pourfendeurs celui qui,père de ses quatre enfants, l’avait humilié pendant tant d’années.
              Je suis d’accord avec vous pour croire que question pouvoir la femme subit le machisme de l’homme mais surtout pas dans le cas que vous décrivez. A mon avis c’est en agissant de la sorte que la dame en question s’est suicidée. En employant des justifications enfantines.
              Au fait et si les hommes se mettaient à écrire sur les malheurs d’alcôve que leur ont fait subir leurs compagnes !


              • Hétérodoxe 8 septembre 2014 12:38

                C’est quoi ce féminisme de bas étage ??

                « La fonction présidentrielle autorise-t-elle l’humiliation publique, dès lors qu’il s’agit d’une femme ? »
                Quand Sarko a prononcé sa célèbre maxime : « Casse-toi pauvre con ». Qui s’est soucié du sexe de son interlocuteur ? Il serait donc tolérable d’insulter, dés lors qu’il s’agit d’un homme ?

                Parler d’humiliation quant à Trierwieller, c’est d’un comique. Elle a voulu monétiser son cul, comme le font de nombreuses femmes et a profité de la bonne soupe du pouvoir sans avoir eu à se présenter devant les électeurs, elle a juste sucé la bonne queue. Tant mieux pour elle. Mais elle en connait le prix, désormais. Le pouvoir public n’est pas partagé par les hommes, ils se battent entre eux pour l’obtenir. Et c’est parfois violent. Elle vient de recevoir la plus belle leçon d’égalité sexuelle : elle a gouté à la technique masculine de gestion des conflits. Les femmes font ça de manière plus sournoise du seul fait de leur faiblesse physique. Quand le physique ne joue plus (genre même catégorie de poids, à la boxe, par exemple) les femmes ne sont plus les gentilles oiselles qu’on veut bien nous vendre. J’aurais même tendance à les trouver plus « méchantes ».

                Quant au pouvoir de l’argent, tsss ... Les mecs veulent du pognon pour pouvoir avoir des femmes. Parce que les femmes aiment le pognon, parce qu’elles aiment ça. Point.
                Je n’ai jamais demandé à une amante combien elle gagnait. Elles me l’on SYSTEMATIQUEMENT demandé. Et quand les espérances ne sont pas satisfaites, la réponse est toute autant systématique : « Moi, tu sais, je veux un mec qui a de l’ambition », et pas l’ambition de sauver le monde, de gravir l’Everest ou de trouver la solution des équations de Shrodinger, l’ambition d’avoir du pognon.
                Quand j’enseignais, les filles étaient clairement plus vénales que les garçons. Ils pensaient sans cesse à elles quand elles pensaient à elles aussi.

                Bref, les filles et les garçons, c’est différent. Et chaque situation a ses avantages et ses inconvénients.


                • Hétérodoxe 8 septembre 2014 13:01

                  C’est quoi ce féminisme de bas étage ??

                  « La fonction présidentrielle autorise-t-elle l’humiliation publique, dès lors qu’il s’agit d’une femme ? »
                  Quand Sarko a prononcé sa célèbre maxime : « Casse-toi pauvre con ». Qui s’est soucié du sexe de son interlocuteur ? Il serait donc tolérable d’insulter, dés lors qu’il s’agit d’un homme ?

                  Parler d’humiliation quant à Trierwieller, c’est d’un comique. Elle a voulu monétiser son cul, comme le font de nombreuses femmes et a profité de la bonne soupe du pouvoir sans avoir eu à se présenter devant les électeurs, elle a juste sucé la bonne queue. Tant mieux pour elle. Mais elle en connait le prix, désormais. Le pouvoir public n’est pas partagé par les hommes, ils se battent entre eux pour l’obtenir. Et c’est parfois violent. Elle vient de recevoir la plus belle leçon d’égalité sexuelle : elle a gouté à la technique masculine de gestion des conflits. Les femmes font ça de manière plus sournoise du seul fait de leur faiblesse physique. Quand le physique ne joue plus (genre même catégorie de poids, à la boxe, par exemple) les femmes ne sont plus les gentilles oiselles qu’on veut bien nous vendre. J’aurais même tendance à les trouver plus « méchantes ».

                  Quant au pouvoir de l’argent, tsss ... Les mecs veulent du pognon pour pouvoir avoir des femmes. Parce que les femmes aiment le pognon, parce qu’elles aiment ça. Point.
                  Je n’ai jamais demandé à une amante combien elle gagnait. Elles me l’on SYSTEMATIQUEMENT demandé. Et quand les espérances ne sont pas satisfaites, la réponse est toute autant systématique : « Moi, tu sais, je veux un mec qui a de l’ambition », et pas l’ambition de sauver le monde, de gravir l’Everest ou de trouver la solution des équations de Shrodinger, l’ambition d’avoir du pognon.
                  Quand j’enseignais, les filles étaient clairement plus vénales que les garçons. Ils pensaient sans cesse à elles quand elles pensaient à elles aussi.

                  Bref, les filles et les garçons, c’est différent. Et chaque situation a ses avantages et ses inconvénients.


                  • René PICHON-COSTANTINI 8 septembre 2014 15:29

                     De mon article, vous dîtes : « C’est quoi ce féminisme de bas étage ?? »

                    On peut être en désaccord mais en choisissant des termes appropriés à la nature de la critique...

                    « Féminisme » ? sans doute, de « bas étages ? »

                    Cher lecteur

                    je préfère que ma plume s’égare dans ce que vous appelez « féminisme de bas étages » ce qui n’est d’ailleurs pas ma position dans l’article,qu’une paire de c... en guise de cerveau et qui resterait coincée entre le tapis de sol et le plancher. Juste en dessous des « bas étages »...

                    La suite de votre réaction est cependant beaucoup plus digeste...


                  • pens4sy pens4sy 8 septembre 2014 14:18

                    Rien que parce que tous les journalopes lui tombent dessus, je lirai le livre de Valérie T.


                    • Yohan Yohan 8 septembre 2014 15:31

                      Manque plus que Johnny et vous avez lune belle brochette patentée de cire pompes à géométrie variable.
                      Je vous laisse deviner lequel du panel n’a pas déjeuné chez Laurent avec Hollande ? smiley 


                      • gotjy gotjy 8 septembre 2014 18:45

                        Qu’est-ce que vient encore fôutre BHL dans cette histoire ?Il est prêt à tout pour exister dans les médias et je pense que tout le monde se tape de ses prise de position bidons,il en est pathétique.


                        • gotjy gotjy 8 septembre 2014 18:45

                          Qu’est-ce que vient encore fôutre BHL dans cette histoire ?Il est prêt à tout pour exister dans les médias et je pense que tout le monde se tape de ses prise de position bidons,il en est pathétique.


                          • Jelena XCII 8 septembre 2014 20:16

                            DA-llaaaaaas !! Ton univers impoyableeeeeeuuuu !!

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