Agissons contre l’exécution de Sakiné
Le cas de Sakiné provoque une vive condamnation du régime islamique de la part de la communauté internationale. L’ONU, le parlement européen, le Vatican et certains personnages politiques ont rappelé au régime islamique l’annulation de sa lapidation mais toutes ces réactions ne suffissent pas assez, le danger de son exécution sous une forme ou une autre reste en l’air car le régime islamique a besoin un climat de peur et d’intimidation pour continuer sa vie parasitique. Il est urgent de répondre à l’appel des enfants de Sakineh, Fasride et Sajjad Mohammadi Ashtiani, pour sauver la vie de leur mère. Signons-nous des pétitions lancées sur l’internet en faveur de Sakiné Mohammadi Ashtiani.
Sakiné Mohammadi Ashtiani 43 ans, une mère de trois enfants et une femme condamnée à lapidation par le régime des mollahs pour l’adultère, est une victime de la justice islamo-inquisitioniste qui s’impose en Iran contre toutes valeurs humanitaires. La lapidation de Saknié fut prévue le 11 juillet mais suspendue sous la pression de communauté internationale. Compte rendu de la campagne d’intimidation du régime menée contre le peuple iranien en colère, Il n’est pas impossible que ce verdict suspendu soit effectué après Ramadan, après le 10 septembre, sous une forme d’exécution.
En attendant, le fils de Sakiné, Sajjad, a récemment confirmé un nouvel châtiment selon lequel sa mère ait été condamnée au 99 coups de fouet pour ”diffusion de la corruption et de la prostitution” à cause d’une photo d’elle sans voile, photo qui s’avère être celle de quelqu’un d’autre, et qui fut publiée dans le ”London Times” du 28 août 2010, a attiré l’attention des médias et à provoqué une colère internationale dans le monde contre cet acte barbare du régime islamique — le hijab islamique (voile / foulard) est obligatoire pour les femmes iraniennes, même parues en étranger—. Coups de fouet sont souvent un châtiment supplémentaire pour les condamnés de mort sous le régime des mollahs.
D’autant plus que depuis deux semaines, le régime Islamique a interdit toute visite à Sakiné, ce qui renforce la possibilité de son exécution après Ramadan, le mois saint des Musulmans.
Sakiné n’est pas la seule victime de lapidation. Le régime islamique, a déjà condamné une centaine de femmes et hommes à la lapidation. Elle est une méthode de punition archaïque souvent liée aux crimes sexuels et aux blasphèmes. De fait que ces deux " péchés " sont principalement importants pour l’islam, la jurisprudence islamique n’y a pas été pour rien, elle l’avait introduite dans le code judiciaire islamique, la charia. Sous le régime des mollahs, de sérieux progrès ont été faits en matière de souffrance et humiliation des condamnés ; les condamnés souvent subissent de coups de fouet et la similitude d’exécution avant sa mort.
Au moment de lapidation, les condamnés sont enterrés dans le sable jusqu’à la ceinture (pour homme) et les seins (pour les femmes) et puis frappés par des pierres asses grandes pour prolonger la souffrance de l’agonie. Les blessures sur le corps montrent le degré de la peine que subissent les condamnés. Mis a part le coté sadique de lapidation, elle a aussi un rôle d’intimidation pour faire une leçon morale à la communauté musulmane. Pour ce faire milliers de femmes et d’hommes en Iran ont été condamnées au fouet, à l’imputation, à la lapidation ou à d’autres peines dont la punition en public est une leçon punitive. En effet la lapidation ainsi appliquée est une leçon punitive à la société iranienne quoi est en train de quitter les normes et valeurs islamiques depuis la prise du pouvoir par le régime islamique.
Pour le verdict de lapidation il faut quatre témoins qui ont distinctement vu l’acte d’adultère. Sans ces témoins oculaires, la lapidation ne peut pas avoir lieu. Pour régler ce problème, le régime islamique n’a que forcer les accusés prétendus aux fausses confessions contre eux-mêmes. Sous la torture psychosomatique les victimes confessent dans un show-procès staliniste leurs péchés commis, ce qui était le cas de Sakiné dans ses aveux télévisés qui ont été préparés il y a peu de temps.
Le cas de Sakiné provoque une vive condamnation du régime islamique de la part de la communauté internationale. L’ONU, le parlement européen, le Vatican et certains personnages politiques ont rappelé au régime islamique l’annulation de sa lapidation mais toutes ces réactions ne suffissent pas assez, le danger de son exécution sous une forme ou une autre reste en l’air car le régime islamique a besoin un climat de peur et d’intimidation pour continuer sa vie parasitique.
Il est urgent de répondre à l’appel des enfants de Sakineh, Fasride et Sajjad Mohammadi Ashtiani, pour sauver la vie de leur mère. Signons-nous des pétitions lancées sur l’internet en faveur de Sakiné Mohammadi Ashtiani.
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