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Accueil du site > Tribune Libre > Aimé Jacquet au secours de Ribéry : les dures contraintes du statut de (...)

Aimé Jacquet au secours de Ribéry : les dures contraintes du statut de modèle

M. Aimé Jacquet a osé reprendre une formule mitterrandienne employée dans des circonstances autrement plus tragiques, le suicide de Pierre Bérégovoy, pour dénoncer le traitement de l’affaire Ribéry-Zahia par les médias : « Je suis déçu, aurait-il dit selon Le Monde.fr, que sa vie privée soit donnée en pâture aux chiens, surtout dans notre milieu  » (1).

Il a l’air d’oublier que le football professionnel, avant d’être donné en pâture, ne cesse pas auparavant d’être donné en modèle à la jeunesse française pour son éducation. Et dans ce cas, le goût de Ribéry pour « les escort girls » qu’il est loin d’être le seul à avoir dans son milieu - on lui l’accorde - doit-il être passé sous silence ? Le sexisme et le niveau culturel indigent répandu dans cette industrie du spectacle n’en sont-ils pas la cause : « Nul n’est hypocrite dans ses plaisirs » dit Clamence, le personnage de « La chute » d’Albert Camus. Si le football professionnel a des prétentions d’éducation de la jeunesse, ne doit-il pas être au-dessus de tout soupçon comme la femme de César ?
 
M. Jacquet devrai-être le premier à le savoir. Après sa victoire dans la Coupe du Monde de 1998, n’ a-t-il pas, contre rémunération, on le suppose, été fort sollicité pour appuyer de sa prétendue « autorité morale » certaines initiatives humanitaires ? La plus scandaleuse est encore celle imaginée par le ministère de l’Éducation nationale pour rendre attractifs auprès des élèves, orientés le plus souvent par défaut, les malheureux lycées professionnels, il y a tout juste 11 ans, du 4 mars au 4 avril 1999. On y retrouve les techniques habituelles de subornation des esprits que n’importe quelle agence publicitaire emploie pour faire adhérer une cible à une idée, un homme ou un produit. Le Ministère de l’Education nationale, en effet, use sans retenue des leurres et des stimulations de réflexes. Singulière conduite pour l’institution en charge de l’éducation dans un pays !
 
1- Le leurre d’appel sportif
 
Un leurre d’appel sportif, par exemple, vise d’abord à provoquer un réflexe inné d’attirance et d’identification chez une population adolescente grisée par un sport magnifié à longueur d’antenne et de papier journal : une photo présente un groupe d’élèves autour d’ Aimé Jacquet, l’ex-entraîneur de l’équipe française de football professionnelle, championne du monde 1998, conformément à l’image rituelle d’une équipe de football photographiée avant ou après le match, les uns debout, les autres accroupis. Ce procédé, que l’on appelle intericonicité, - conduisant à reconnaître dans une image inconnue une image déjà connue - associe ainsi abusivement une classe à une équipe de football, bien que ni l’une ni l’autre ne soient en rien comparables.
 
2- Le leurre d’appel autoritarien
 
Dans ce leurre d’appel sportif, la présence d’Aimé Jacquet ajoute simultanément le leurre d’appel autoritarien dans sa variante du pouvoir de séduction de la star. De même que Johnny Halliday conseille telle paire de lunettes ou Claudia Schiffer vante les mérites de telle voiture ou tel shampooing, Aimé Jacquet, lui, célèbre les mérites de l’enseignement professionnel ; et les collégiens sont invités à le croire sur parole.
 
Mais ce n’est qu’un leurre car les collégiens sont pressés d’adhérer à cette information, moins en raison de sa fiabilité qu’en raison du réseau d’influence affective que la star a tissée avec ses fans, depuis cette victoire en Coupe du Monde qui l’a canonisé et hissé sur « les autels du nationalisme ». Et c’est un leurre à deux titres : 1- car, d’abord, si la compétence d’Aimé Jacquet ne peut être discutée en matière de football, elle ne saurait être, sans amalgame, étendue à l’enseignement professionnel. 2- Ensuite, on croit savoir qu’ A. Jacquet n’a pas connu la réussite ni la notoriété dans son premier métier de simple ouvrier fraiseur, diplômé d’un CAP décerné par un lycée technique, comme on disait alors, mais en l’abandonnant prestement pour le monde du football professionnel, autrement plus lucratif. Il se présente donc comme un contre-exemple des avantages de l’enseignement professionnel où l’on ne réussit, selon la formule, qu’à condition... d’en sortir le plus tôt possible.
 
3- La tautologie et l’euphémisme
 
L’information donnée explicitement par cette star, elle, est résumée en une phrase placée, pour légende, en lettres cursives, au-dessus de la photo, comme un autographe : « Croyez-moi, c’est beau de faire un métier qu’on aime. Aimé Jacquet. »
 
Si on néglige l’injonction de l’argument d’autorité faisant appel à la foi aveugle du croyant, cette phrase est une variante de la tautologie : qui peut, en effet, contredire une telle évidence, cette lapalissade ? C’est évidemment mieux de faire le métier qu’on aime que le métier qu’on peut et qu’on n’aime pas ! Seulement, le Ministère de l’Education nationale sait qu’une tautologie a l’avantage, sous les dehors de l’évidence qui, apparemment, ne mérite pas d’être soulignée, bien qu’on la formule, de laisser au récepteur la responsabilité de remplir du commentaire qu’il lui plaira, l’enveloppe vide à quoi elle se réduit. Or, énoncée dans le contexte des lycées professionnels vers lesquels se dirigent les élèves qui ne peuvent poursuivre le cycle de l’enseignement général, cette tautologie tient de l’encouragement compassionnel à l’intention d’élèves contraints d’envisager seulement le métier qu’ils peuvent et non celui qu’ils aiment : nombre de BEP, d’ailleurs, n’offrent que trop peu de places au trop grand nombre de candidats qui se présentent. Cette phrase est donc un bel euphémisme qui, en cherchant à l’atténuer et à la masquer, ne change en rien la rude réalité des choses : on ne pouvait pas, il est vrai, faire dire à Aimé Jacquet : « Ce n’est sans doute pas folichon de ne faire que le métier qu’on peut, mais il faut s’en contenter !  »
 
Du moins, telle peut être l’interprétation bénigne de cette tautologie. Car on ne peut en écarter une autre, dans un contexte où son auteur a trouvé la réussite, non à son poste d’ ouvrier qualifié, mais dans l’univers si peu recommandable du football professionnel qu’on s’étonne même qu’un Service Public d’Education puisse l’offrir en modèle. Dans la mesure, en effet, où cette information s’adresse à des élèves qui, raisonnablement, ne peuvent tous espérer effectuer le même « parcours glorieux », il faut alors une certaine dose de cynisme pour faire miroiter à qui est condamné au pain noir, le goût de la brioche !
 
4- L’ ambiguïté volontaire
 
Quant à l’apparente énumération suivante au bas de l’affiche : « Lycées professionnels, un diplôme, un métier, un emploi  », l’ellipse entraîne le procédé de l’insinuation par ambiguïté volontaire qui incite, mais sans oser tout de même l’écrire, à lire cette série comme une équation : un lycée professionnel = un diplôme = un métier = un emploi. Un jeu de courbes concentriques sur le fond orangé focalise d’ailleurs le regard sur le mot « emploi ». Or, un diplôme de lycée professionnel est-il vraiment toujours synonyme d’un emploi assuré ? Ça se saurait. 
 
Leurre d’appel sportif, leurre d’appel autoritarien dans sa variante du pouvoir de séduction de la star, amalgame, tautologie, euphémisme et ambiguïté volontaire sont donc autant de leurres qui ont été ici additionnés par le Ministère de l’Education nationale pour inculquer par réflexes, dans l’esprit des collégiens, une image valorisante de l’enseignement professionnel qu’il ne paraît pas avoir. Mais cette représentation tissée de leurres n’est qu’un leurre elle-même.
 
« Une campagne d’information pas comme les autres  » !
 
Le Ministère de l’Education nationale avait osé, à l’époque, appeler cette publicité « une campagne d’information pas comme les autres ». Le mot « information » qu’il entend et enseigne comme étant « un fait avéré », apparaît, du moins, pour ce qu’il signifie seulement : « une représentation d’un fait ». Et ici, ce ministère offre « une représentation illusoire des lycées professionnels. »
 
Le magazine officiel de l’Education nationale s’était même félicité du succès de cette campagne publicitaire : faut-il s’en réjouir ? Sous le titre « L’enseignement professionnel plébiscité  », le magazine officiel du ministère de l’Education nationale, « XXI ème siècle  », dans son numéro de juillet 1999, avait fait état, avec une satisfaction évidente des retombées positives de la campagne publicitaire menée en faveur des lycées professionnels. À en croire le magazine ministériel, l’étude « Post-test  » réalisée par BVA, « du 15 au 24 avril, sur un échantillon de 1.101 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus  », « montrait que 69 % des personnes interrogées avaient une bonne opinion de l’enseignement professionnel, 60 % estimaient que la campagne avait amélioré son image et 80 % pensaient que les lycées professionnels permettaient une insertion plus efficace dans le monde du travail.  »
 
Même si parmi ces heureuses nouvelles, on ne sait quelle est la plus affligeante, il ressort bien que l’industrie du football professionnel est un instrument d’éducation auprès de la jeunesse. Est-ce donc trop demander à M. Jacquet, à ses collègues et aux joueurs donnés en modèles qu’ils offrent au moins un visage à peu prés présentable ? Paul Villach
 
(1) Le Monde.fr, 7.05.2010
 

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23 réactions à cet article    


  • BlackDjai BlackDjai 10 mai 2010 10:53

    Le privé reste le privé, que l’on soit un citoyen Lambda ou une figure connue.
    Ce que les gens font en dehors de leur métier, ne regarde qu’eux. 
    Le reste, c’est du voyeurisme mal placé pour vendre des torchons que malheureusement beaucoup de gens s’arrachent !!!

    A croire, que dans la vie, il n’y a rien de plus intéressant que d’observer la vie des autres !!!!

    @Pasou

    Foutez la paix à l’islam et aux musulmans !!!
    Personne n’a dit ou écrit quelque part que les musulmans étaient parfaits !!!!

    En plus si Ribéry a choisit ce culte, il faut respecter son choix(c’est pas ce que vous pronez sans arrêt, le libre choix !!!) à moins que cela ne soit libre qu’à partir du moment ou cela vous convient !


    • jean 10 mai 2010 19:27

      Non ! quand tu rends ta vie publique elle ne peux l’être que totalement en foot comme en politique
      sinon tu restes chez maman


    • LE CHAT LE CHAT 10 mai 2010 11:02

      après avoir montré du doigt ceux qui fument un joint , on stigmatise ceux qui aiment la pipe ! veut on des footballeurs ou des enfants de choeur ?  smiley


      • Lorenzo extremeño 10 mai 2010 11:52

        @ LE CHAT

        on pourrait se passer des deux non ? smiley


      • Tang Tang 10 mai 2010 11:14

        Depuis des années, le prosélyte Franck Ribéry s’ingénie à montrer avec ostentation à des millions d’yeux rivés sur le petit écran combien lui, le petit français converti à l’islam, est un pieux musulman. À moins que sa conversion aux valeurs de l’islam ne soit finalement qu’une hypocrite pantalonnade, cette star du ballon rond qui n’a de cesse de faire la promotion de sa nouvelle religion ne devrait voir aucune objection à se faire lapider. En effet, la peine que prévoit la loi musulmane est la lapidation. Non pas pour avoir batifolé avec une mineure prostituée (dans son infinie largesse, la loi musulmane permet d’avoir des rapports sexuels avec des enfants de 9 ans, à l’instar de Mahomet, le prophète de l’islam), mais pour avoir trompé sa femme.

        Moralité : il faut toujours bien réfléchir avant de se réclamer de l’islam.


        • Il est leurre Il est leurre 10 mai 2010 11:54

          Bonjour Maître :

          "Il a l’air d’oublier que le football professionnel, avant d’être donné en pâture, ne cesse pas auparavant d’être donné en modèle à la jeunesse française pour son éducation.

          Et oui, comme certains auteurs qui se prennent pour des références.

          Je vous rassure Maître, ce sera tout car cela ne vaut pas plus.


          • L'enfoiré L’enfoiré 10 mai 2010 13:13

            « Le rire ou la colère, c’est pareil. La seule différence réside dans le traitement du sujet », Jean Yanne
            Par ici, je n’ai vu ni colère, ni rire, ni Maître.
             smiley


          • brieli67 10 mai 2010 18:02

            jaloux l’Enfoiré !!


          • L'enfoiré L’enfoiré 10 mai 2010 18:36

            briel,

             Le problème, je ne pourrais pas dire de quoi...
            « J’ai la faculté d’assimiler la connerie ambiante comme les abeilles butinent les fleurs et prennent le pollen pour en faire du miel » disait Jean Yanne.
             Je dois avoir quelques racines de ce côté.  smiley


          • brieli67 10 mai 2010 20:40

            - Avez-vous conservé un bon souvenir de Valéry Giscard d’Estaing ?
            - Oui, très bon.
            - Pourquoi ?
            - Parce que je devais le rencontrer et ça a été annulé.
            de Jean Yanne 
            dont j’ai eu l’honneur de soigner une « cousine » Debes

            Alsace qu’il a « débarrassé » d’un proche du Petit Nico lors d’un tournage.

          • cmoy patou 10 mai 2010 12:15

            Les footballeurs ne sont pas des leurres ils ne sont que le reflet de notre société décadente, avant Jacquet,- MR VILLACH il y a des tas de zélites qui devraient nous montrer l’exemple, les hommes politiques, les avocats, les notaires etc.......ah j’oubliais même certain .........PROFS dont l’égo est hors norme et révèle une pathologie qui n’est pas un exemple pour nos enfants.

             Un homme regarde un match de foot en compagnie de son épouse et bien évidemment, c’est lui qui a la zapette en main.

            Il passe son temps à alterner entre le match de foot et un film, presque pornographique, dans lequel deux amants ont des échanges torrides et s’embrassent à qui mieux mieux.

            http://life-in-the-dead.over-blog.com/article-foot-49970401.html

            Faut jouer avec les pieds

            http://life-in-the-dead.over-blog.com/article-footballeurs-50057256.html


            • LADY75 LADY75 10 mai 2010 12:42

              Lady Paname dit :

              « Et voila ! Encore une histoire de »femelle tentatrice« .

              Thème récurrent chez l’auteur... où les »leurres d’appel sexuels" débusqués/dénoncés.. sont toujkours des parts d’anatomie féminines destinés à manipuler l’innocent consommateur..


              • LADY75 LADY75 10 mai 2010 13:19

                Lady Paname dit :

                « Pour cette récurrence de la figure de la »femelle tentatrice« dans les articles de notre auteur préféré, z’y étais allé de ma p’tite analyse.. que pour l’instant personne n’a validé, ni invalidé..

                J’la propose donc à nouveau :

                 »Personne ne s’y colle ? Personne pour tenter d’analyser notre pourvoyeur préféré d’analyses ? Nul lacanien dans les parages ?

                Et bien.. Sacrifions-nous !

                De toute cette somme d’articles apparait une curieuse récurrence : celle du leurre d’appel sexuel !

                Omniprésent pourtant depuis les débuts de la réclame, on en retrouve même des traces dans les enseignes de la défunte ville de Pompéï... et peut-être même à Lascaux, mais les connaissances sur le monde fantasmatique de nos ancètres cavernicoles nous sont encore un vaste terrain à défricher.

                Ce leurre d’appel sexuel, même lorsque parfois, dans le cas du cigare (merci à notre archiviste maison, Herr Briely), il est des plus évidents, l’auteur semble convaincu qu’il est le seul à l’apercevoir. D’où des réactions un peu lasses parfois, comme celles cet individu mal rasé, adepte du travestissement dans des tenues maritimes, nous a habitués..

                Mais curieusement, ce leurre d’appel sexuel ne semble concerner que la monstration de l’anatomie féminine.. Curieux !

                D’autant plus que.. il y a belle lurette que nous autres femmes constituons une cible bien repérée par l’industrie du marketing.. qui nous fournit, comme à ces messieurs, notre dose quotidienne de torses musclés et d’abdominaux apétissant comme des tablettes de chocolat !

                Quen penserait un adepte du Dr Freud, habitué à déceler les contenus latents dans la logorrhée de ses analysants ? Un cas évident d’homosexualité inconsciente parce que refoulée !

                Et pourquoi cela ?

                Ce qui apparait sans cesse ici, c’est la dénonciation de la femelle tentatrice, de cette « coquette » tant crainte par les Invertis qui voient en elle une concurrente dangereuse et déloyale !

                Si un analyste de par sa déontologie, ne pouvait se permettre d’inciter l’un de ces analysant au passage à l’acte, d’autres suggéraient de se rendre dans ces quartiers réservés comme il en existe aujourd’hui dans le centre de nos villes, comme cette ravissante enclave que l’on nomme à Paris « Le Marais ».

                Des établissements y accueillent une clientèle de tout âge et nul ne doute, au charme viril qui émane de la photographie qu’affiche l’auteur sur chacun de ces articles, qu’il ne trouverait une bonne âme pour l’initier à des plaisirs dont je suis suûre qu’il brûle de goûter !

                Ainsi, transformé par cette expérience, il pourrait croquer la vie à pleine dents sans ressasser sans cesse les mêmes obsessions paralysantes... et prendrait goût alors à élargir le cercle de ses connaissances à moins que, si telle est son inclination, ils ne préfèrât que celles ci lui élargissent le sien !


                • brieli67 10 mai 2010 13:34

                  Trop tôt le dégommage !!

                  Docdory est entrain d’aiguiser sa plume.... entre ses deux prises de tension et ses prescriptions de Prozac Lexomil ... en génériques.

                  Rémora , la moutarde qui monte au nez


                • Clouz0 Clouz0 10 mai 2010 14:48

                  Je vais finir par croire que l’auteur est plus Maso que Sado.


                  • brieli67 10 mai 2010 16:05

                    Dans le genre point Godwin et Tesla du jour


                    de loin Olivier vire en tête devant Sylvain et Pierre-Yves Chereul 

                    qui a commis 
                    Sous le pseudonyme de Paul VILLACH 
                    « Béa de Capri à Carnon », un roman d’amour sous l’enchantement de la grâce féminine dont l’érotisme est la liturgie de la célébration pour goûter de courts moments d’éternité.

                  • Castor 10 mai 2010 16:53

                    Je ne suis pas loin de rejoindre le constat de l’auteur sur l’image des footballeurs.

                    Ceci étant dit, je m’interroge tout autant sur l’image que peuvent donner les quelques professeurs les plus prolixes du site quant à la politesse, l’écoute et le respect d’autrui, valeurs qui, ce me semble, sont quelque peu malmenées par ces monstres de nombrilisme et d’autosatisfaction.

                     smiley

                    • brieli67 10 mai 2010 17:55

                       de l’école 


                      si nous en parllons Pà l.S. Pour vos lecteurs, il peut être intéressant de confronter votre critique à quelques autres très différentes :
                      - Daniel ARNAUD, Blog Nouvel OBS.com - “Béa de Capri à Carnon”
                      http://generation69.blogs.nouvelobs.com/archive/2010/04/25/bea-de-capri-a-carnon.html

                      Jean-François CHALOT, AGORAVOX - “Un livre à déguster : une oasis culturelle et érotique”
                      http://www.agoravox.fr/culture-loisirs/culture/article/un-livre-a-lire-et-a-deguster-bea-68743

                      Jean-Paul DEBUICHE, GOLIAS - “Au-delà du vertige”
                      http://www.golias.fr/spip.php?article3381 « 

                      Il est étrange que les critiques de journalistes soient si souvent dithyrambiques !


                       P.S. Pour vos lecteurs, il peut être intéressant de confronter votre critique à quelques autres très différentes :
                      - Daniel ARNAUD, Blog Nouvel OBS.com - “Béa de Capri à Carnon”
                      http://generation69.blogs.nouvelobs.com/archive/2010/04/25/bea-de-capri-a-carnon.html

                      Jean-François CHALOT, AGORAVOX - “Un livre à déguster : une oasis culturelle et érotique”
                      http://www.agoravox.fr/culture-loisirs/culture/article/un-livre-a-lire-et-a-deguster-bea-68743

                      Jean-Paul DEBUICHE, GOLIAS - “Au-delà du vertige”
                      http://www.golias.fr/spip.php?article3381 »

                      Il est étrange que les critiques de journalistes soient si souvent dithyrambiques !




                      • Alpaco 11 mai 2010 00:29

                        P.Villach,
                        les piliers de bar vous reprochent, une fois de plus, de dénoncer les méthodes publicititaires basiques, qui sont pourtant efficaces pour convaincre un client potentiel d’acheter un produit inutile.

                        En plus vous parlez de foot, du sacré. De l’entaineur dénigré par les professionels de l’information vérifiée et recoupée qui a sélectioné Duguary.
                        cette vidéo : http://www.youtube.com/watch?v=HsTaVox5Fjk
                        illustre bien votre propos : plus le leure est affriolant plus les prises seront nombreuses.

                        Sinon, prenez plus de temps pour répondre à vos contradidacteurs, car ils se tournent dans des croyances complotistes et paranoïaques.


                        • jmcn 11 mai 2010 06:56

                          Peut-être faudrait-il leur donner d’autres modèles que celui qui consiste à « avoir le cerveau vide et les mollets pleins est suffisant pour gagner des sommes infâmes avec des efforts idiots ».

                          Non mais vraiment, ... les footballeurs comme modèle. Pourquoi pas les joueurs de jokari ? Les modèles que se choisit une société donne une idée des directions qu’elle prend.


                          • Francis, agnotologue JL 11 mai 2010 08:24

                            « Quiconque procède à la vaccination cesse d’être un fils de Dieu : la variole est un châtiment voulu par Dieu, la vaccination est un défit contre le ciel. » (Léon XII )

                            « Un célèbre économiste français (Frédéric Bastiat) a exposé comme en un tableau les bienfaits multiples que l’homme trouve dans la société et c’est une merveille digne d’être admirée. » (Léon XIII)


                          • Francis, agnotologue JL 11 mai 2010 19:20

                             gd, vous êtes pitoyable : pourquoi ne serait-ce pas vous Jean Lucien Maurel ?

                            Vous me rappelez ce type qui disait sur AV, il y a 2 ans que, s’il ne croyait pas en dieu il se suiciderait. Quand j’y pense, c’est peut-être le seul que je vois ici qui pourrait m’en vouloir autant que vous : si vous êtes celui-là, vous auriez pû comprendre ce que je veux dire, mais apparemment, ce n’est pas le cas.

                            Par ailleurs, je crois que les néolibéraux ne m’aiment pas beaucoup, et ils sont nombreux à voir en moi un adversaire qui les défrise. Votre admiration pour Léon XIII, càd Bastiat, fait de vous à mes yeux, l’un d’entre eux.

                            Si ce que je vous ai dit vous occasionne une telle blessure narcissique, je suis désolé que mes mots vous aient fait si mal, mais si vous êtes si sensible, vous ne devriez pas venir ici : AV n’est pas une pouponnerie.

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