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Accueil du site > Tribune Libre > Algérie, la guerre des appelés (France 5, dimanche 3 novembre (...)

Algérie, la guerre des appelés (France 5, dimanche 3 novembre 2019)

JPEG Une de mes connaissances rencontrées samedi m'a parlé de cette émission. Et France Info me l'a rappelée dimanche matin par l'ouverture d'une vue vidéo en avant-première (cf image).

J'ai donc j'ai suivi cette émission.

Évidemment, la "guerre des appelés" (en Algérie) ne peut se résumer à deux heures d'images et témoignages. Et une telle émission ne peut être exhaustive... Néanmoins, avant d'en dire du bien, je tiens à émettre une critique : cette guerre, pour le "contingent", ne s'est pas terminée avec les retours massifs de troupes montrés à l'écran. Des soldats appelés, généralement métropolitains, sont restés en Algérie après le 3 juillet 1962 (c'est d'ailleurs le cas de la personne rencontrée samedi). Et, pour le maintien de l'ordre, ont dû faire cause commune avec l'ALN (pour eux, des hommes encore appelés "fellouzes") ; certains ont réellement connu la peur. Ont eu à connaître des faits (enlèvements, règlements de comptes, etc) tout en ayant interdiction de s'en mêler, d'intervenir comme soldats. Ont été ressentis comme "occupants" par la population algérienne (musulmane) après l'avoir été par la population européenne depuis la fin 1961 (personnellement, après 27 mois et une semaine, j'ai été rendu à la vie civile en novembre 1961 et n'ai pas vécu cette dernière période). Bref, la fin de l'émission, sur ce plan, est trop abrupte.

Mais cette émission montre à quel point ces soldats, de 1956 à 1962, dans leur majorité ont surtout subi les aléas de la politique coloniale puis celle de décolonisation, ont été confrontés à l'insupportable au plan moral (les gorges nouées et les yeux embués près de 60 ans plus tard en disaient beaucoup), ont été transplantés, voire jetés, dans des paysages et un climat, au sein de populations... tellement différents de ce qu'ils vivaient chez eux, "en métropole"... Enfin, l'un des témoignages (fort de mon point de vue) montre comment un "facho" (ses propres mots) analyse ces évènements, son vécu y compris d'ex OAS, et en est venu à une tout autre attitude profonde et à un engagement (rédempteur ?).

À titre personnel, et parce que les incompréhensions existent dans le cadre des rencontres d' "anciens combattants", je voudrais rappeler que... "les évènements d'Algérie" (belle pudeur politico-médiatique d'alors), les "opérations de maintien de l'ordre" (là, c'est mon livret militaire qui l'indique ; et après tout, l'Algérie n'étaient-ce pas des départements français, étudiés à l'école ?)... racontent le dernier théâtre d'opérations militaires sur lequel la France (la Patrie) a envoyé, sans leur assentiment, ses pioupious "appelés sous les drapeaux".


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37 réactions à cet article    


  • JulietFox 5 novembre 2019 09:38

    Il y a une anecdote racontée dans ce film. Un des interviewés rapporte qu’entendant un algérien être torturé, il a réussi à aller le voir , et lui donner a boire.

    Il est aller trouver l’ aumonier, qui a opposé un fin de non recevoir.

    Il faut savoir que le haut clergé français, avait donné pour consigne aux séminaristes appelés, qu’il s’agissait d’une guerre contre le communisme.

    Lire « Le choix de larmes » de Jean Pierre Vittori aux Editions Arte.



      • Bella Ciao 5 novembre 2019 17:14

        Oui, mais aussi plus récent : L’ennemi intime.


      • Carte Senior Carte Senior 5 novembre 2019 18:21

        @kimonovert Merci


      • Carte Senior Carte Senior 6 novembre 2019 16:35

        @kimonovert
        C’est d’ailleurs l’une des contradictions, ou LE paradoxe de la notion d’Honneur pour un militaire (un officier) de carrière. Les trois dernières guerres de type Etat contre Etat (1870, 14-18 et 39-45) ont été des guerres au cours desquelles « l’ennemi » a porté le fer, la mitraille et plus, sur le sol de la Patrie. Il ne s’agit donc ni de corps expéditionnaire (Algérie 1830, Indochine, etc), ni de guerre coloniale. Ajoutons pour 39-45 qu’il s’agit de la lutte contre le nazisme. Il me semble que Philippe de Hauteclocque, le général Leclerc, avait bien compris et intuité cela lorsqu’il représentait la France à Hanoï. Il fut rappelé !


      • jymb 5 novembre 2019 13:25

        J’ai commencé à visionner cette émission avec bienveillance, espérant pour une fois un lecture moins monomaniaque d’un guerre que mon père a fait, comme mes deux oncles, et dont mes voisins rapatriés ayant tout perdu se souviennent de maniére poignante...Et j’ai fini par éteindre le poste lorsque aprés de longues minutes à entendre parler en substance des « méchants soldats et des gentils résistants », j’ai entendu que ces soldats devaient se comparer... aux occupants nazis

        Avec de tels moments outranciers, ce l’est pas demain que la paix des mémoires se fera ( ni la paix dans les quartiers ...) 

        PS Dans ma ville les deux seules rues portant le nom d’appelés morts en Algérie sont des rues privées, désservant un petit lotissement, la mairie refusant encore et toujours ce devoir de mémoire pour d’autres lieux...ou comment raviver éternellement les blessures


        • CN46400 CN46400 5 novembre 2019 14:43

          @jymb
          hé bien moi, je regrette que ce film ai 50 ans de retard alors que « le chagrin et la pitiè » n’en avait, en 70, que 30. Moi, j’ai évité, de peu, cette saleté puante qui consiste à aller faire la guerre à des « indigènes » qui rechignent à continuer de baisser la tête. Me reviennent les discutions, au lycée, sur les divers tuyaux, toujours percés, que nous échafaudions, pour échapper à la conscription qui approchait.
          Et aussi, ces insultes racistes, que deux permissionnaires ont infligé à l’unique algérien de mon village, ancien de la fameuse armée des « indigènes » de 43-44-45 et de Monté-Cassino, qui, hasard de la vie, s’était incrusté dans plus grande ferme de la commune, où il avait tous les pouvoirs, pendant que son patron jouait de l’accordéon dans les fêtes du pays.
          Ouais, le racisme anti-arabe, des Zemmour, Le Pen et consort doit énormément à la guerre d’Algérie, et à la convocation du contingent par le socialiste Guy Mollet !
          Récemment c’est venu sur le tapis dans une conversation avec un voisin, catho profond, qui au soir de sa vie m’a fait cette confession :« savez-vous qu’elle est ma fierté principale ? Avoir traversé la guerre d’Algérie (25mois) sans avoir ni tué ni blessé personne... » et un autre, coco comme moi, qui vient de mourir « J’ai vu plein d’Oradours en Algérie... »


        • marmor 5 novembre 2019 15:11

          @CN46400
          Ouais, le racisme anti-arabe, des Zemmour, Le Pen et consort doit énormément à la guerre d’Algérie, et à la convocation du contingent par le socialiste Guy Mollet !
          Vous êtes sûr de ça ? C’est peut-être l’attitude des 3ème et 4ème génération d’arabes qui déclenche ce phénomène de racisme,non ?


        • CN46400 CN46400 5 novembre 2019 15:46

          @marmor
          En Algérie, l’outil de base de Le Pen, et de bien d’autres, était la gégène... Allez dans un repas de la FNACA et vous entendrez de quoi il est question... Le seul auquel j’ai participé a eu lieu en 83, pendant les grèves Citroën qui concernait des marocains, çà m’a vacciné définitivement !
           Il est curieux que dans le doc dont on parle, c’est celui qui après avoir boudé le galon de caporal, est fier de celui de sergent, au point d’être volontaire pour une « corvée de bois », qui note le développement du racisme boosté par la guerre d’Algérie...


        • Bella Ciao 5 novembre 2019 16:56

          @CN46400
          Effectivement, le cas que vous citez du caporal n’affichant pas ses chevrons de couleur (étonnant, d’ailleurs !) mais qui devient particulièrement obéissant comme sergent est surprenant et choquant. Mais il montre en même temps tout à la fois nos contradictions individuelles au sein d’un collectif lui aussi bourré de contradictions et les conséquences d’actes perpétrés par l’adversaire, soit directement connus, soit racontés par les officiers de l’action psychologique...


        • Bella Ciao 5 novembre 2019 17:12

          @jymb
          Je suis moins catégorique que vous et j’ai aussi entendu parler de soldats découpés à la hache, de victimes du « sourire kabyle »...
          Cela dit, il y avait un double risque : celui du manichéisme, celui du seul filtre de ces témoins interviewés.


        • Bella Ciao 5 novembre 2019 17:30

          @CN46400
          Cessez-le-feu, et indépendance reconnue : 1962

          La Bataille d’Alger (Gil Pontecorvo) 1970
          Avoir vingt ans dans les Aurès (René Vauthier) sorti en 1966 mais autorisé seulement en 1971
          Le vent des Aurès (du réalisateur algérien Lakhdar Amina) : 1972
          La guerre d’Algérie (Yves Courrière) : 1972
          RAS (Yves Boisset) : 1973
          Récemment (2007) : L’ennemi intime.

          Il y a eu beaucoup d’autres films soit directement sur cette guerre, soit avec cette guerre en arrière plan. Il y a déjà eu des émissions du genre de celle-ci (avec parfois débats suivant la projection)...


        • Carte Senior Carte Senior 5 novembre 2019 18:18

          @Bella Ciao Vous avez raison en parlant des contradictions du soldat (et pas que là !) et des contradictions de l’armée et du politique durant toutes ces années...


        • Carte Senior Carte Senior 5 novembre 2019 18:22

          @Bella Ciao Tout à fait.


        • JulietFox 5 novembre 2019 18:26

          @jymb
          Dans les souvenirs écrits de mon frère classe 58, il y ces mots terribles : « Nous nous comportons comme les SS en France ».


        • Carte Senior Carte Senior 5 novembre 2019 18:41

          @JulietFox C’est tout le cas de conscience du général de Bollardière : issu, comme tant d’officiers supérieurs et généraux, des forces françaises libres, ces gens s’étaient jurés « plus jamais ça ! ». L’Indochine est passée par là, puis l’Algérie. Cette dernière défie les « lois de la guerre telle qu’enseignée dans les hautes écoles militaires. C’est l’amorce des guerres »asymétriques« . La doxa de la lutte contre »le terrorisme« est développée à l’occasion de »la bataille d’Alger« . Bollardière (cherchez sur wikipedia) refuse d’appliquer les consignes de Massu, refuse l’extorsion du renseignement par la torture. Et brise une »belle" carrière (j’ai écrit belle entre guillemets car l’idéal militaire n’est pas partagé par toutes et tous).


        • CN46400 CN46400 5 novembre 2019 21:26

          @Bella Ciao
          Ces films sont des bonnes fictions, or j’ai comparé avec « le chagrin et la pitié » qui, lui aussi, est une suite d’interviews...


        • CN46400 CN46400 5 novembre 2019 21:40

          @exol
          Ma compassion est totale pour tous les innocents, y compris les têtes brûlées de tout bord, qui croient qu’on peut grandir en obéissant à des ordres idiots.


        • Carte Senior Carte Senior 6 novembre 2019 00:36

          @CN46400 Le chagrin et la pitié est un vrai film, c’est l’œuvre d’un cinéaste. Je n’ai pas trouvé que ces deux épisodes d’interviews avaient une réelle qualité cinématographique.


        • Nass 6 novembre 2019 00:51

          @jymb Ainsi ! Tes « oncles » et « voisins » avaient tout...« perdu » ! Les Algériens, eux, rien !
          https://www.fichier-pdf.fr/2015/12/23/habart-michel-histoire-d-un-parjure/habart-michel-histoire-d-un-parjure.pdf


        • CN46400 CN46400 6 novembre 2019 08:01

          @Carte Senior
          Je ne parle pas de la qualité cinématographique, mais du contenu, et uniquement du contenu. Comme vous j’attends le Max Ophuls de la guerre d’Algérie....


        • jymb 5 novembre 2019 13:47

          En fait, celà m’a rappellé les « micro trottoirs » ou bien encore l’émission « Le téléphone sonne » où les inervenants sont trés soigneusement triés sur le volet pour coller à la pseudo réalité que les réalisateurs veulent fabriquer de toutes pièces.

          Quelques recherche sur internet vous aideront à trouver des témoignages, notamment en livres, beaucoup moins trafiqués 


          • Bella Ciao 5 novembre 2019 17:04

            @jymb
            Je ne sais pas si cette émission avait l’ambition d’embrasser réellement ces huit années et toute la toile de fond de cette guerre. D’ailleurs il y a peu de repères historiques saillants (pas de « bataille d’Alger », pas de janvier 60 avec les barricades...) mais des faits-clés suggérés : par exemple la visite de De Gaulle implique qu’il y a eu le 13 mai 1958, que la 4ème est tombée.
            Personnellement, j’ai pensé que la guerre ainsi racontée est celle vécue (là où ils étaient) et mémorisée par ces quelques personnes interrogées.


          • Carte Senior Carte Senior 5 novembre 2019 18:14

            @Bella Ciao C’est aussi mon point de vue. Plutôt que « Algérie, la guerre des appelés » il aurait fallu titrer « Algérie, des appelés dans la guerre ». Nous avons tous (du moins mes aînés -par exemple les rappelés de 1956- et ma génération) des « souvenirs » à raconter et des choses à dire ; en moins de 10 ans, des dizaines de milliers de jeunes hommes sont entrés dans la vie d’adulte sous un uniforme et « là-bas ». Et le tout est d’une complexité phénoménale qui interdit toute simplification manichéenne. C fut un drame humain pour toutes les personnes et toutes les populations concernées...


          • Carte Senior Carte Senior 5 novembre 2019 18:19

            @jymb Je ne sais pas si c’est à ce point là...


          • JulietFox 5 novembre 2019 18:37

            @Carte Senior
            A lire autres que Le choix des larmes : L’Algérie a en mourir de Jack Roland ed Corollys, Les Egorgeurs qui me fut prêté.
            La FRance refuse encore de nous mùontrer la vérité.
            Mais dans ce téléfilm, ces appelés, ou rappelés, comme mon frère, relevèrent la misère du peuple algérien. Les grands colons, considérant les fellahs, comme des chiens.
             Je ne cautionne pas bien entendu les horreurs de part et d’autres.


          • JulietFox 5 novembre 2019 18:50

            @Carte Senior
            Souvenirs de mon frère.

            "Arrivé à Tiaret, chef lieu de la région, le train ne va pas plus loin. Des camions nous hissent jusqu’au poste militaire, sur les hauteurs de la ville. Heureusement ! Le paquetage pèse lourd. Tiaret, la cité la plus pro-française,  à 98 % lors du dernier référendum. En remerciement, de Gaulle est venu visiter « sa ville ». Ce jour-là elle était particulièrement  propre. De l’eau courait dans les caniveaux. Mon Général, on ne vous a pas dit qu’elle sortait de camions citernes garés là-haut, tout en haut. "


          • CN46400 CN46400 5 novembre 2019 21:52

            @JulietFox
            Et aussi un petit livre qui a fait beaucoup de bruit lorsqu’il paru sous le manteau (1958) : La Question d’Henri Alleg


          • Carte Senior Carte Senior 6 novembre 2019 00:28

            @JulietFox J’ai connu Tiaret en août 1958. J’essaie de me souvenir si ce camp qui dominait la ville s’appelait citadelle, fort, redoute...


          • Nass 6 novembre 2019 00:53

            @Carte Senior Le « drame humain » fut en premier celui des Algériens.
            Pour t’en convaincre : https://www.fichier-pdf.fr/2015/12/23/habart-michel-histoire-d-un-parjure/habart-michel-histoire-d-un-parjure.pdf


          • Andy21 5 novembre 2019 18:21

            1961 : je suis sursitaire , étudiant et enseignant stagiaire. On casse mon sursis et on m’envoie directement en Algérie. Classes pendant 4 mois. Je devais suivre la formation des élèves officiers. Je profite d’une hospitalisation à Alger ( cloison nasale modifiée ) pour éviter de devenir un acteur de ce conflit que je désapprouve : les Algériens sont chez eux, et pas les Français depuis leur colonisation. Je suis muté à Oran : 61è BI ( = Bureau d’Information = service de renseignements = DOP ... = service dédié aux opérations utilisant la torture... ). Nous sommes en Mars 1962 ; entretiens d’Évian ; De Gaulle interdit les tortures et dissout le 61è BI ; Accords d’Évian ; 21 Mars : Cessez-le-feu . Alors après le push des Généraux de L’OAS, le Port d’Oran est en feu... Référendum = indépendance de l’Algérie. Juillet = Événement d’Oran , l’armée française n’intervient pas ; plusieurs centaines de morts à cause des fusillades causées par certains Bataillons de l’armée algérienne... 4 appelés de nos services rattachés au SDECE ( Renseignements ) sont enlevés... Retour en France à la fin de mon incorporation de 18 mois... L’émission n’a ni mentionné ni développé " l’après cessez-le-feu en Algérie... dommage.


            • Carte Senior Carte Senior 5 novembre 2019 18:29

              @Andy21 Témoignage qui renforce ma présentation en ce qui concerne l’après 3 juillet 1962. La personne rencontrée samedi (bâchelier, licence, diplômé CREPS... mais EOR cassé et envoyé en disciplinaire) qui m’avait indiqué ce programme télé a vécu cette période. Peu attaché à la chose militaire (c’est le moins que l’on puisse dire) il est néanmoins encore outré qu’on ait pu ne pas donner la carte « du combattant » (et la retraite afférente) à sa génération.


            • Nass 6 novembre 2019 00:57

              @Andy21 Et « l »émission« n’a pas plus »développé« TOUTE LA RÉALITÉ.
              Lis »L’honneur de Saint-Arnaud" (que condamne Victor Hugo). Et juste pour t’éclairer un peu, ce lien : https://www.fichier-pdf.fr/2015/12/23/habart-michel-histoire-d-un-parjure/habart-michel-histoire-d-un-parjure.pdf


            • CN46400 CN46400 6 novembre 2019 09:16

              @Andy21
              « L’émission n’a ni mentionné ni développé » l’après cessez-le-feu en Algérie... dommage."
              Vous avez raison, mais dans ce cas il aurait fallu parler de l’OAS et de ses relations avec les pieds noirs. Mais on peut en parler avec le maire de Bésiers, ou avec le compagnon de Marine et alors vous comprendrez...


            • Carte Senior Carte Senior 6 novembre 2019 10:10

              @CN46400
              Ils ont parlé de l’OAS, du moins en Algérie (sur le tout début de la période « terre brûlée »). Mais le témoignage de l’ancien « pied noir » passé à l’OAS après avoir été soldat (volontairement affecté en Algérie) est, en quelques mots, significatif et... lucide un demi-siècle plus tard.


            • bebert titi 6 novembre 2019 17:33

              @Andy21
              Ni les accords secrets d’Evian entre la France et le FLN permettant à notre pays de finir les expérimentations de l’arme nucléaire contre monnaie sonnante et trébuchante pour ceux que celà interresse : http://www.lescobayesdelarepublique.org/  

              http://www.moruroa.org/Texte.aspx?t=329

              http://www.3emegroupedetransport.com/FermetureBases.htm


            • JulietFox 5 novembre 2019 18:41

              Comme m’a dit un de mes amis, lieut’ dans les commandos de chasse de Bigeard« La guerre c’est sale, les Conventions de Genève, du pipeau. Donc, il ne faut pas la faire.

               »La guerre, n’est que la continuation de la politique, par d’autres moyens" Clauzewitz.

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