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Après la dissolution, la politique continue...

Majorité relative à l'Assemblée nationale, conflits entre le président et le chef du gouvernement, mauvais résultats aux européennes.
La situation politique était difficile.
Mauvais résultats aux législatives sans majorité même relative, premier ministre désigné sous influence.
La dissolution par le président n’a rien amélioré.

24 septembre 2024

Après la dissolution, la politique continue...

Après la dissolution, la politique continue...

Majorité relative à l'Assemblée nationale, conflits entre le président et le chef du gouvernement, mauvais résultats aux européennes.
La situation politique était difficile.
Mauvais résultats aux législatives sans majorité même relative, premier ministre désigné sous influence.
La dissolution par le président n’a rien amélioré.
En 2017, Emmanuel Macron, ex-banquier, ex-Parti socialiste, ex-ministre de gauche forme un gouvernement ni de gauche, ni de droite, rallie des personnalités de la gauche de gouvernement.
Sa politique de droite attire une partie de la droite de gouvernement, pousse l’autre, dépitée, à se droitiser ou à s’allier avec l’extrême droite.

Lors de la présidentielle, en 2017 comme en 2022, Emmanuel Macron n’obtient, au 1er tour, que des majorités très relatives.
En 2017, 24,1 % des suffrages exprimés, suivi de près par Marine Le Pen (21,3), François Fillon (20,01), Jean-Luc Mélenchon (19,58).
En 2022, 27,85 % des voix, seulement 3,75 points de plus qu’en 2017, malgré le remplacement de François Fillon par Valérie Pécresse, une candidate de faible poids (4,78 %).
Le Pen, 2ème (23,15 + 1,85), Mélenchon 3ème (21,95 + 2,37).

Malgré cette faible majorité au 1er tour, il est élu président les 2 fois au 2nd, en même temps par les citoyens de droite, de gauche et tous ceux qui ne veulent pas voir Marine Le Pen à la présidence de la République.
L’élection d’Emmanuel Macron en 2017 est due beaucoup plus à la qualité de repoussoir de la candidate d’extrême droite qu’à son programme, à sa personnalité et, en 2022, à ses réformes.

Il y voit un exploit personnel, un soutien à sa personne, à sa politique.

Après la dissolution, la politique continue...

 

Les 2 fois, Emmanuel Macron est élu par des citoyens de gauche.

La réticence croissante à sa réélection, à ses réformes apparaît au 2nd tour.
2017, Marine Le Pen est battue (66,1 % contre 33,9), un écart de 32,2 points fortement réduit en 2022 à 17,1 points ( 58,55 contre 41,45).
D’une élection à l’autre, au 2nd tour, Emmanuel Macron perd 2 millions de voix, Marine Le Pen en gagne 2,5.

La politique de Macron renforce l’extrême droite.

Les urnes confirment le mécontentement populaire exprimé dans la rue par la longue crise, violente des gilets jaunes et la plus forte répression depuis la guerre d’Algérie. Par les manifestations syndicales, pacifiques, fermes, continues.
Et vaines.
Malgré le large soutien, constant de l’opinion publique dans les 2 cas.

Les législatives qui suivent une élection présidentielle, favorisent le parti présidentiel par un effet d’entraînement.
En 2002, l’accès très confortable de Jacques Chirac à la présidence est suivi de l’élection de 359 députés, majorité largement supérieure à la majorité absolue (288).
Effet plus modeste avec Nicolas Sarkozy (320 élus en 2007), François Hollande (297 en 2012), Emmanuel Macron (314 en 2017).
Après sa réélection en 2022, la majorité présidentielle n’est plus que de 245 (- 69) députés.

Le Rassemblement national (RN), bondit de 8 à 89 députés !

Après la dissolution, la politique continue...

 

Résultats des élections européennes du 9 juin 2024, scrutin proportionnel, à un tour, avec circonscription unique nationale.
Pour les 7 listes sur 38 ayant obtenue plus de 5 % des voix.

Liste

Tête de Liste

NB de voix

 %

NB de sièges

La France revient

Jordan Bardella

7765936

31,37

30

Besoin d’Europe

Valérie Hayer

3 614646

14,6

13

Réveiller l'Europe

Raphaël Glucksmann

3424216

13,83 %

13

France insoumise

Manon Aubry

2448703

9,89

9

La droite pour faire entendre la voix de la France en Europe 

François-Xavier Bellamy

2448703

7,25

6

Europe-Écologie

Marie Toussaint

1361883

5,5

5

La France Fière

Marion Maréchal

1353127

5,47

5

 

Besoin d’Europe (Valérie Hayer, liste présidentielle) largement battu par La France revient (Jordan Bardella, RN) avec 2 fois plus de voix (31,37 % contre 14,5) et de sièges (30 contre 13) ! 

Le jour même, le président dissout l’Assemblée nationale !!

Quel sentiment, quelle idée ont pu pousser Emmanuel Macron à prendre cette décision malgré le risque d’un échec électoral annoncé ?
Déprime après les échecs successifs, dépit devant des citoyens qui ne reconnaissent pas ses mérites, fascination par l’extrême droite qu’il dit combattre et renforce sans cesse, machiavélisme et sentiment qu’il peut tout faire ?

Après la dissolution, la politique continue...

 

Le résultat des législatives confirme toutes les craintes.

Au premier tour, le RN arrive en tête, 29,26 % des voix, suivi du Nouveau Front Populaire (NFP, 28,06) et, en troisième position (20,06), la majorité présidentielle.

Ces résultats font craindre un 2nd tour dévastateur, par suite des nombreuses triangulaires, et la possibilité d’une majorité importante, voire absolue, du RN à l’Assemblée. Pour l'éviter, les candidats se désistent en faveur du concurrent le mieux placé pour vaincre le candidat RN.
Les électeurs appliquent la discipline républicaine et le Front républicain, le RN ne triomphe pas.

Par nécessité, en 2017 et 2022, les citoyens de gauche ont élu Emmanuel Macron. En 2024, ils protègent le parti présidentiel d’un effondrement électoral et votent pour LR, par discipline républicaine.
Les citoyens de gauche ont voté pour les 2 partis du gouvernement qui vient !!

Pour le président il n’y a pas de vainqueur à cette élection.
Bien que le NFP soit le groupe le plus important de l’Assemblée, avec 193 sièges, majorité très relative.
Bien que le RN soit le parti le plus important avec 126 députés.
Grande vaincue : La Coalition présidentielle avec 166 élus contre 245 (- 79) députés sortants.

Le parti présidentiel ne peut prétendre, au poste de premier ministre, ni numériquement, ni moralement.

Les résultats connus, Jean-Luc Mélenchon demande la nomination, d’un représentant du groupe le plus important, le NFP. comme premier ministre.
Beau coup politique. Si un nom avait été proposé immédiatement.
Au lieu de quoi, de longues disputes publiques pour proposer, un peu tard, le 23 juillet, le nom de Lucie Castets, engagée dans la société civile, strictement inconnue du public et du monde politique. Tout en martelant le programme, tout le programme, rien que le programme . Comme un mantra ou un slogan dans une manifestation.
Difficile à réaliser avec une majorité relative de 193 élus !

 

Après la dissolution, la politique continue...

 

Malgré la défaite de La Coalition Présidentielle, l’opposition n’a pas un groupe assez fort pour dominer l’Assemblée et gouverner.

Plus jeune président, Emmanuel Macron a choisi 4 premiers ministres successifs en 7 ans, à la durée de fonction de plus en plus courte. Il a terminé avec le plus jeune premier ministre, le plus jeune et le plus rapide ancien premier ministre. Le 5ème premier ministre, le plus âgé, est là pour combien de temps ? 

Au décours des législatives, le président a refusé de nommer Lucie Castets, proposée par le NFP, groupe le plus important de l’Assemblée.
Invoquant la trêve olympique, ayant des difficultés à trouver un premier ministre acceptable, il a beaucoup joué avec le microcosme politico-médiatique. Au bout de huit semaines, après des consultations dans toutes les directions, le président nomme Michel Barnier.
Les choses n’étaient pas ncore réglées. Il a fallu deux semaines de plus au premier ministre, pour former son gouvernement. Avec l'aidé du président et de multiples candidats aux postes ministériels.

À l’ombre du président ? Aux mains de la majorité précédente ?

Pied de nez à la démocratie, à l’Assemblée, le promu, minoritaire au LR (troisième lors de la primaire, 2021, en vue de l’élection présidentielle), hier le parti le plus faible de l’opposition (?) , aujourd’hui le plus faible de la majorité relative.
Les 2 partis qui soutiennent le nouveau gouvernement sont riches de personnalités qui pensent avoir été dépouillées indûment d’un poste ministériel, qui préparent les échéances prochaines avec ambition.

Avec de tels soutiens, est-il nécessaire d’avoir une opposition ?

Ni le NFP, ni le RN ne peuvent, seuls, censurer le gouvernement. Le NFP et ses électeurs ont participé au Front républicain contre le RN. Peut-il voter une motion de censure présentée par celui-ci ? Posera-t-il une motion de censure susceptible d’être votée par le RN ?

Le vote d'une motion de censure, avant septembre 2025, entraînerait une crise gouvernementale et la formation d’un nouveau gouvernement. Après cette date, une nouvelle dissolution de l’Assemblée serait possible. Et, à tout moment, une démission du président de la République.

Après la dissolution, la politique continue...

 

Le danger principal pour Michel Barnier est probablement dans son camp. Le charivari autour du mot, justice fiscale, en témoigne alors que l’état des finances semble intenable. Il devra utiliser toutes les possibilités réglementaires pour faire passer des mesures homéopathiques sans vote...

Le choix de Michel Barnier peut être heureux pour Emmanuel Macron si ses talents proclamés d’excellent négociateur, d’équilibriste, s’avèrent efficaces pour faire vivre le gouvernement, proposer des mesures avec humilité, c’est son mot, sans le mépris affiché par Emmanuel Macron.

Finalement, ses adversaires principaux ne sont pas les opposants vainqueurs aux législatives, NFP et RN. Mais la Coalition, les barons et Emmanuel Macron lui-même, s’il n’est pas capable de prendre du recul, de laisser le premier ministre déterminer et conduire la politique de la Nation, atténuer la rugosité de certaines de ses réformes.

La réforme électorale pourrait trouver une majorité. Avec l’introduction de la proportionnelle qui semble en cour dans toutes les formations mais a-t-elle les qualités qu’on lui prête ?
Elle ne résoudra pas les problèmes politiques …

Les politiques ont beaucoup joué aux petits chevaux. La récréation est terminée. Depuis dix semaines, les Français attendent calmement.

Dissolution, gouvernement, la politique reprend...

Le moment du concret est venu. Le budget et tout ce qu’il conditionne dont il a peu été question ces jours-ci entre postulants aux responsabilités au moins publiquement : transition écologique, inflation, inégalités, immigration, enseignement, système de santé, la montée de l’extrême droite en France et ailleurs, les guerres, l’Europe, sans oublier l’Outre-Mer, Nouvelle Calédonie, Martinique

 


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16 réactions à cet article    


  • Gégène Gégène 25 septembre 2024 08:48

    Une dissolution sans solution, alors ?


    • xana 25 septembre 2024 17:21

      @Gégène
      Je ne comprends même pas comment ces discussions oiseuses peuvent encore intéresser quelqu’un.
      Sommes-nous encore en démocratie ? Certainement pas. En dictature, alors ? Oui, bien que ca arrache la bouche de certains de l’admettre.
      Alors, que faut-il faire ? Se soumettre ou se rebeller ?
      Moi j’ai compris depuis longtemps que le peuple français n’a plus le courage nécessaire pour se révolter. Et je ne vais pas faire tout seul ma petite révolution. Donc j’ai quitté mon pays pour ne pas me retrouver comme les Allemands après 1936.
      Donc, braves gens, dormez en paix sous la houlette de Macron 1er.
      Demain matin la police viendra vous arrêter...


    • Paul ORIOL 25 septembre 2024 22:36

      @xana
      Dans quel pays démocratique êtes-vous installé ?

      En 1964, à la fin de mes études, je suis parti en Algérie avec l’idée de ne pas revenir, suite au comportement de la France pendant la guerre d’Algérie.

      Double illusion.
      Bien à vous.
      Paul


    • rogal 25 septembre 2024 09:07

      D’après votre tableau, Bardella + Maréchal = 31,47 % + 5,47 % = 36,94 % aux européennes.
      Sans commentaire.


      • Paul ORIOL 25 septembre 2024 22:37

        @rogal
         D’accord
        Paul


      • Ouam (Paria statutaire non vacciné) Ouam (Paria statutaire non vacciné) 26 septembre 2024 23:02

        @rogal
        "..sans oublier l’Outre-Mer, Nouvelle Calédonie, Martinique

        "
         
        Ben oui dans la liste pas Mayotte non !..
        Ca votes mal la bas 55% au RN au 1er tour des européennes..
         
        Comme la nouvelle caledonie
        on soutiens d’un coté pour la bas la notion d’independance et du refus de sa colonisation et de peuple 1er cad les autochtones du cru et de sa culture
        par pourtant cette fois de..Francais !

        Bref c’est cela etre le camp du bien
         

        En France ici, ces memes revendictions seraient celle du
        ventre fécond d’une extreme droite nauséabonde pétainiste des pires heures de l’histoire de la xénophobie raciste au bruit des biotttes à clous et du Doriot(isme) Ruffinesque desormais ..
        au moins ca ...
        J’abrege la liste sans fin pour la brieveté du post 


      • Eric F Eric F 25 septembre 2024 14:16

        La fin de l’article liste de nombreux ’’besoins’’ pour le budget, bref si on prend tout en compte, il ne devrait pas représenter 55% du PIB mais 200% du PIB !

        Une réforme électorale ne trouverait pas plus une majorité, mais au moins la représentation ne serait pas distordue par des combines contre nature. Après ça, il faudra que des coalition post-électorales se constituent pour constituer une majorité, comme quasiment partout ailleurs (sauf au Royaume Uni avec son scrutin uninominal à un tour, où le RN aurait raflé la majorité absolue puisqu’il était en tête dans 296 circonscriptions !).


        • Eric F Eric F 25 septembre 2024 14:17

          précision : ’’RN+alliés’’


        • Octave Lebel Octave Lebel 25 septembre 2024 15:55

          Macron est la duplicité incarné et en même temps cohérent dans sa démarche. Il est arrivé au bout de ce qu’il pouvait faire pour protéger et renforcer l’oligarchie qui contrôle l’économie et s’est emparé d’un des outils de pouvoir le plus puissant, les médias. Outil qui inclut la fabrique de l’information sans oublier les instituts d’information essentiellement au service du business mais drôlement pratiques et efficaces pour fabriquer l’opinion dite publique (« les français pensent que" pérorent les diplômés d’instituts de journalisme...) puisqu’elle en est un des principaux commanditaires. Avec le pouvoir d’en définir les sujets et les formes pour en assurer ensuite la promotion. Et donc Macron continue son travail. Il travaille à étouffer ce qui reste de formes démocratiques tout en organisant les conditions d’accès au pouvoir de Marine le Pen. Qui lui a servi dans un premier temps de marche-pied électoral et qui est logiquement promue au rôle, connu depuis les origines des extrêmes-droites, de roue de secours du système en place.

          Difficile de dire que les premiers pas de ce gouvernement de la honte ne nous en fassent pas la démonstration. Attendons de voir la suite, les numéros d’acteurs et les péripéties tentées. Les conseillers de l’ombre sont remontés comme des coucous smiley


          • Eric F Eric F 25 septembre 2024 18:17

            @Octave Lebel
            Les marche-pieds électoraux de Macrons sont ceux qui appellent à se désister pour ses candidats, ou à voter pour lui (ou contre son adversaire, ce qui revient au même dans l’urne). Voter pour l’oligarchie contre sa roue de secours alléguée, c’est de la politique de Gribouille.

            Mais Macron est le plus rusé, il a même réussi à caser des macronistes à l’économie et au budget, les pyromanes sont chargés d’éteindre l’incendie des déficits (du moins a-t-on échappé au tonneau des Danaïdes ènèfpistes). Quoique sa ruse a des limites puisqu’il s’est mis sous dépendance de la neutralité vigilante des parias.


          • Octave Lebel Octave Lebel 26 septembre 2024 21:55

            @Eric F
            Déjà posté mais comme inlassablement vous jouez à cache-cache avec la collusion de fait du RN et de Macron qui fait son dernier boulot au service de l’oligarchie.

            ► Macron, cohérent avec sa dissolution et ce qui a suivi fait le jeu du RN.Le RN, entretenu épouvantail dans un premier temps, puis la cartouche Macron épuisée , promu en roue de secours.Les deux cartes de l’oligarchie depuis que nous avons des démocraties représentatives.Le gaullisme ayant été une parenthèse forte et souverainiste issue de la guerre et revenu au pouvoir par une guerre.Comme par hasard viscéralement combattu par l’extrême-droite qui a besoin de citoyens sans mémoire à qui on propose la division, garantie de la survie des oligarchies qui s’apprêtent à bien ficeler avec son nouveau partenaire la démocratie, le travail ayant déjà bien été avancé par la macronie et l’extrême-droite qui partagent mot à mots toutes les caricatures visant la gauche citoyenne qu’il s’agit d’exclure de la vie politique selon le modèle américain et anglo-saxon d’ailleurs, le parti travailliste anglais ayant été dynamité avec un successeur de Blair à sa tête maintenant.Inutile de vous dire que ce n’est pas gagné en France smiley


          • Ouam (Paria statutaire non vacciné) Ouam (Paria statutaire non vacciné) 26 septembre 2024 22:48

            @Octave Lebel
            Tout ce blablabla vide pour essayer minablement de dire que :
             
            Vous avez appelé à voter pour E Borne qui est celle de cette retraite injuste la au second tour des législatives
             
            Que vous avez aussi appelé a voter au second tour contre le RN et sa retraite a 60 ans pour les plus précaires bien souvent cad deux ayant travaillé avant 20 ans et 62 pour ceux ayant bossé apres
            Alors que c’etais clairement ecris noir sur blanc dans la promesse de macron de passer la retrairte a 65 ans , bref qu’il etais impossible d’ignorer !

             
            Dites tatave, ai vu que du aux exploits de l’extreme gauche (Tsipras ca vous cause) ?
            Que depuis l’exploit ..la Grece veut passer a la journée de travail de 6 (SIX) jours (ouvrés donc) et à 70 ans pour la retraite
             
            J’imagine bien qu’aux prochaines éléctions..
            vous ne manquerez pas une enieme fois de voter et d’appeler pour le candidat qui propose ceci au second tour ... pour ne pas changer smiley smiley
             
            On ne change pas une équipe qui gagne, hein tatave (lol)
             
            Dire qu’il y a encore des gogos pour voter pour vous ...
            j’suis impressionné tiens ^^


          • placide21 25 septembre 2024 17:26

            Notre Ministre chargé des Affaires européennes Benjamin Haddad est pro-sioniste et pro-américain : https://youtu.be/Kr2c6k6c4OA


            • leypanou 25 septembre 2024 23:07

              @placide21
              Giorgia Meloni vient de recevoir l’Atlantic Council Global Citizen Award des mains d’Elon Musk à New-York.


            • LeMerou 25 septembre 2024 19:20

              @Paul ORIOL

              Bonjour

              « Après la dissolution, la politique continue... »

              Hélas oui, des propositions exprimées par chaque partis certaines sont assez communes, il fallait attirer de l’électeur, donc sécurité, immigration, pouvoir d’achats, etc..

              Jamais, mais alors jamais la politique et ses représentants n’ont atteint un tel niveau de mensonges, de gamineries, et autres hypocrisies pour rester correct. Nous assistons au bal des pédants, incompétents en plus.

              Comme le Ministre des finances à peine arrivé à son poste il préfère être derrière les micros au lieu de s’occuper de son job. Pour dire quoi ?

              Que l’on doit respecter la fonction de député, ne pas le faire c’est anti-démocratique, et dans la seconde qui suit, précise que tout dialogue avec les députés du R.N est inenvisageable, inacceptable ! Précision, l’individu en question est toujours en fonction au lieu d’être démissionné, car il n’aura même pas l’honneur de quitter sa place après de tel mots.

              A croire que tout est fait pour le maximum de citoyens votant, soit écoeuré, ne vote plus à cause du spectacle de ces guignols (encore que guignol fait rire), car franchement, leur fanfaronnades, leur grand discours, leur grand engagement de responsabilité devant les citoyens, nous ont conduits ou ?

              Je ne dis pas que la tache est facile, mais compétences, efficacités, efficiences, ne font pas partis des qualités d’un homme ou d’une femme politique depuis un bail. Même dans l’art de la rhétorique, ils/elles ne sont pas bon, nous servant à longueur de décennies les mêmes mots. C’est vous dire l’intelligence. Ils/elles sont peut être bardés de diplômes qui ne servent à rien au vu de ce qu’ils/elles ont fait du Pays.

              Ce n’est pas le Gouvernement qui est honteux, mais l’ensemble de la « classe » politique Française.


              • Mustik 26 septembre 2024 08:20

                Finances :

                La création de monnaie doit traduire une création de richesse. Si ce n’est pas le cas, il faut compenser par :

                - soit une accroissement du travail,

                - soit une diminution des gains,

                - soit une ponction de l’épargne

                voire un combinaison des 3 ; sinon c’est la Crise !

                Ph Dessertine, BFM Business, 15/04/20


                Puisque c’est la Crise :

                Le moment est venu de payer la note.

                Désigner le payeur c’est indiquer la ressource...

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