Armes silencieuses pour guerres tranquilles

Il se retrouve publié en 1991 par l'écrivain William Milton Cooper ; une 5eme Dan de cette lointaine contrée ; dans l'annexe de son livre Behold a pale horse.
Le contexte de ce document : une troisième guerre mondial aurait commencé en 1954 dans les coulisses du pouvoir. Elle opposerait non pas une nation contre une autre, mais une Élite Internationale contre les peuples souverains du monde entier.
L’objectif explicite de cette « guerre tranquille » pour l’Élite Internationale serait de réduire en esclavage les peuples des différentes nations en sabotant et piratant de manière subtile leurs systèmes économiques et sociales ; avec bien entendu leurs consentements ; en vue d’un futur ordre mondial dans lequel les 1% hyper-organisés régneraient sans partage des richesses sur les 99% complètement atomisés et lobotomisés.
En effet, toute science est essentiellement un moyen vers un but. Le moyen est la connaissance. Le but est le contrôle. Au delà de ceci demeure une seule question : Qui sera le bénéficiaire ?
Les principaux fondements du pouvoir occulte de cette hyperclasse interconnectée au capitalisme financier néo-libéral, Mayer Amshel Rothschild en avait bien compris les rouages. Si bien que la technologie actuelle des armes silencieuses ne serait que l'extension d'une idée simple qui sortit tout droit des méandres abyssales de son subconscient mercantile.
L'emprise de cette confiance lui a permis de bâtir son empire du côté obscur de la force...
D'après ce guide de reformatage des sociétés et des masses qui les conditionnent, des études scientifiques auraient été menées en vue d'appliquer ce même contrôle absolu de la monnaie tout simplement sur la masse de la population, à savoir les 99%. L'idée centrale serait de remodeler la nature de l'homme ; comme de la pâte à modeler malléable à souhait ; afin de mieux le prédire et le manipuler.
Ces expérimentateurs de la pensée se serviraient systématiquement de chocs, de décharges électromagnétiques, puis observeraient les différentes réactions de leurs sujets de laboratoire comme on observeraient sur un écran les oscillations et fluctuations de nombreuses variables de données.
L’homme moderne est ainsi décrit de manière schématique. Il est comparé à une « boîte noire » avec ; comme une machine électronique ; des entrées (Inputs) et des sorties (Outputs) qu’on manipule, toujours dans la bonne humeur, en lui infligeant des « shock-tests » au niveau de ses stimulus entrants pour mieux observer les changements provoqués dans son comportement psychosocial.
En ce sens, les travaux du mathématicien Norbert Wiener ; inventeur de la cybernétique, la science de la gestion des systèmes ; ont permit de booster les recherches sur ce nouvel homme-machine programmable à la personnalité plastifiée.
Elle tire des situations, au lieu de balles ; propulsées par le traitement des données, au lieu d'une réaction chimique ; tirant leur origine d'octets d'informations, au lieu de grains de poudre ; à partir d'un ordinateur, au lieu d'un fusil ; manipulée par un programmeur d'ordinateur au lieu d'un tireur d'élite, sous les ordres d'un banquier au lieu d'un général d'armée.
Une remarquable synchronisation...
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