Bibracte au mont Beuvray est le plus grand scandale archéologique de tous les temps. Français, on vous ment !
M. le Maire de Chalon-sur-Saône, Chalon-Nord, Mme la Maire de la ville de Saint-Rémy, Chalon-Sud.
L'origine de notre histoire nationale n'est pas à rechercher au mont Beuvray, dans les forêts du Morvan, mais dans le port chalonnais et sur la hauteur de Taisey qui le domine ? Il s'agit là, d'une réflexion de simple bon sens qui s'explique dans la logique d'une immigration venue du Proche-Orient.
Jeune officier d'origine saint-cyrienne, de retour des campagnes d'Afrique du Nord, le hasard a voulu que je sois affecté dans la garnison de votre ville. J'y ai rempli successivement les fonctions de commandant de compagnie, de commandant en second, directeur de l'instruction, puis d'officier adjoint au général commandant l'Ecole et la place. Souhaitant prendre une retraite militaire anticipée, un marchand de biens me propose plusieurs maisons anciennes dont un château versaillais dit de Taisey qui courait à la ruine ; j'achète, puis la tour antique voisine, puis ce qui reste de l'ancien parc qui a échappé aux lotissements. Merci à l'érudit Pierre Chenu qui, en m'accordant son amitié, m'a fait entrer dans la société d'histoire et d'archéologie de la ville.
Ma vision militaire perturbe. Par lettre en date du 10 Novembre 1995, il m'est interdit de faire état de ma qualité de membre de la Société : " Votre approche de l’Histoire n’est absolument pas partagée par les membres de la Société d’Histoire et d’Archéologie, qui sont obligés de se désolidariser de votre démarche ". Signé Jean-Paul Thomas, président.
Même réaction au journal de Saône et Loire et à FR 3 Bourgogne. Vous comprendrez dans ces conditions que nous ne souhaitons pas nous lancer dans un tel débat incompréhensible pour la majorité de nos lecteurs, d'autant qu'il risque de ne jamais être véritablement tranché (le directeur départemental du journal de Saône-et-Loire, 29.9.2016)......dans la communauté scientifique, ça fait belle lurette que plus personne ne doute. Ça fait au moins 130 ans que plus personne ne doute de la localisation de Bibracte...Vincent Guichard au mont Beuvray, 14/4/1999, FR3 Bourgogne.
J'ouvre pourtant la propriété à la visite, y compris les intérieurs. J'autorise l'association "Patrimoine Saint Rémy" à y organiser un goûter et la ville de saint Rémy à y faire un concert ouvert au public ; mais je n'arrive pas à obtenir le moindre soutien ; on me vole mes clefs, mes souvenirs d'Afrique du Nord, outils et objets divers.
Dans une lettre du 18. 8. 2005, Paul Roncière, préfet de la région Bourgogne, me refuse le classement de la tour antique sous prétexte d'un intérêt d'art insuffisant. Au pied de la tour, un terrain non constructible devient miraculeusement constructible.
Par article en date du 18 décembre 2020, immobilisé pour une opération chirurgicale, je lance un appel au secours pour replacer trois tuiles qui ont glissé sur le toit de la dite tour... sans succés.
Les propriétaires du lotissement me refusent des servitudes actives dûement établies.
Je dors en ayant près de moi une épée de combat. Je remet à la police un jeune voleur qui est entré de nuit en enfonçant les portes. Mes enfants alertent la police quand mes vidéos leur signalent d'autres tentatives.
Le 9 mai 2022, je vous ai adressé la copie d'un de mes articles dans lequel j'explique que la tour de Taisey est le vestige d'une forteresse cananéenne à l'époque de l'expansion phénicienne.
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/chalon-sur-saone-metropole-des-241379
Un extrait de carte ancienne y prouve que Bibracte ne se trouvait pas au mont Beuvray mais à Mont-Saint-Vincent, non loin de la ville de Chalon. Merci au commentateur Rinbeau pour cette importante découverte.
Incroyable ! depuis sa fondation, la capitale chalonnaise est restée telle qu'elle. Le druide Divitiac jusqu'aux comtes de Chalon siègent dans la forteresse de Taisey mais se replient, en cas de danger, dans celle beaucoup mieux fortifiée de Mont-Saint-Vincent, vraie Bibracte.
A Chypre, inscrite sur le monument dit "le prisme d’Assarhaddon", il existe une liste de rois payant tribut aux Assyriens au VIIème siècle avant JC. Or, parmi eux, on trouve un roi de « Qartihadashti » et un autre de « Nuria/e ». Ces deux noms soulèvent de sacrées interrogations (Chypre au VIIe siécle de Sabine Fourrier). Fabuleux et pourtant logique !...Carthage et Chalon/Taisey étaient colonies phéniciennes, plus précisément galiléennes ! Merci au commentateur Antenor de m'avoir communiqué cette importante information.
Hécatée de Millet, historien et géographe grec, évoquant notre région « barbare », ne cite que trois villes : Narbonne, Marseille qu’il situe en Ligurie et, au-delà de Marseille, Nuerax, habitée par les Celtes… Nuerax, Nuria, c’est Chalon-sur-Saône (et tour de Taisey), ville des Celtes (Chaldéens)... confirmation du Nuria/e du prisme d'Assarhaddon.
Le horst de Mont-Saint-Vincent est en forme de lion couché. En Auvergne, Gergovie est en forme de salamandre, reptile dinausaurien craché par les treize volcans d'Auvergne.
La légende du Louvre dit ceci : Persée (à gauche, portant un chapeau et des bottes ailées, avec la kibisis sur l'épaule) détourne le regard pendant qu'il tue Méduse, représentée ici comme un centaure femelle. Détail d'un pithos orientalisant à reliefs. Date vers 660 av. J.-C. Technique/matériaux terre cuite. Origine : Thèbes, Boétie...
Médaille de Pixtillos, alias Rixtillos, druide suprême de la Gaule, père de Vercingétorix, frappée pour sceller ou renouveller la réconciliation de la cité arverne avec Rome, après la défaite de Bituit (ancienne collection de M. Hucher). On y voit représentée la louve romaine qui allaita Romulus et Rémus, ainsi que la salamandre de Gergovie, celle qui figure sur le pithos, en haut, à droite.
Bibracte, capitale du peuple éduen se trouvait donc à Mont-Saint-Vincent. La forteresse a été rasée par le roi Louis VII mais ce qui reste de son oppidum "troyen" est toujours là ; et il existe des preuves encore plus convaincantes ; il suffit d'ouvrir les yeux.
À l'entrée du temple de Perrecy-les-Forges, dans le chapiteau de gauche, un ange apparaît, solidement campé sur le horst caractéristique de Mont-Saint-Vincent, véritable Bibracte, forme de lion couché, tête à droite, queue à gauche. L'épée dressée, il garde l'entrée du sanctuaire divin contre le “Mauvais” du dehors et il invite la population de la contrée à venir se placer sous sa protection, derrière son bouclier.
Dans le chapiteau de droite, un autre ange, porteur de la lance, écrase le dragon des anciennes croyances arvernes. Ce dragon est de toute évidence le dragon de Gergovie, la tête au Crest, le corps dans la montagne de la Serre. L'ange de Bibracte invite avec la plus grande douceur la population craintive. « Entrez dans le temple, dit-il, aux hommes et aux femmes apeurés. » Le message est clair. C'est comme un drapeau que la cité éduenne a planté face aux Arvernes, dans sa progression de conquête de la Saône à la Loire et dans laquelle s'inscrit l'installation des Boïens au mont Beuvray.
Rien de romain ! Que du gaulois !
À gauche, relief de Mont-Saint-Vincent/Bibracte, forme de lion couché. L’enceinte de la ville en forme de courbe, avec ses deux extrémités garnies de tours, semblait avancer ses deux bras pour te recevoir, autre vision (Actions de grâces à Constantin Auguste, ch. VII ; il s'agit, en réalité, de Constance-Chlore). À droite, relief de la montagne de la Serre, forme de corps de reptile, portant à son extrémité, sur l'éperon, l'oppidum et la ville de Gergovie, au Crest.
Que conclure de ce bref résumé ?
Qu'en ne voulant pas reconnaitre le bien fondé de mon débat, vous confirmez les thèses officielles absurdes qui perdurent ? Vous privez notre pays d'une véritable renaissance, d'une fabuleuse histoire originelle de bien avant la conquête romaine qui s'explique dans un large contexte mais dans le langage des symboles : Thésée, c'est le monde grec ; le cheval Epona, c'est Chalon, Gergovie, c'est la Gorgone...
Pourquoi Chassey-le-Camp sur cette croupe rocailleuse, dans une région manifestement infertile ? L'ancien officier que je suis plaide l'évidence. Il ne peut s'agir que d'un site militaire, un site militaire qui surveillait et gardait l'entrée du couloir de la Dheune. Et si ce site commandait cette entrée, c'est qu'il existait, en retrait, un pagus où se pratiquait un élevage et une culture protégés... à l'époque chasséenne. Au centre de ce pagus, une position crève les yeux par ses avantages défensifs et d'observation : le horst de Mont-Saint-Vincent, là où je place le site de Bibracte.
Au Vème siècle avant J.C., Hérodote écrit qu'au-delà des colonnes d'Hercule - donc, en abordant la Gaule par la côte atlantique après avoir franchi le détroit de Gibraltar -, on trouve les Kinèsioi, qui sont, à l'Occident, le dernier peuple d'Europe. Tout de suite après eux - donc à l'est - se trouvent les Celtes (de Bibracte/Mont-Saint-Vincent et de Chalon/Nuria). Or Kinèsioï est un mot très proche de Kinneret, première capitale et plus ancienne ville du pays de Canaan située à l’extrémité sud du lac de Galilée. Déduction/hypothèse : une colonie cananéenne en Auvergne, à Gergovie au Crest, à quelques kilomètres au sud de Clermont... Une colonie cananéenne (celte) en Bourgogne, à Mont-Saint Vincent/Bibracte et Chalon... Deux cités avec forteresses qui dominent une Gaule naissante... bien avant l'arrivée des Romains.
Voilà ce qu'a vu Jules César en arrivant en Gaule :
Emile Mourey, 90 ans passés, 18 juin 2023. les images peuvent être soumises à droits d'auteur.
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