De Blanche Gardin, nouvelle coqueluche féminine de la scène du rire, peut-on dire qu'elle est à l'humour chez les lectrices de "Elle" ce que JM Bigard est à l'humour chez celles de "Télé -7 jours" : un humour pour rien ou pour si peu ?
Car, là où une grossièreté transgressive serait attendue ( à défaut d'un humour subversif d'activiste militante ; mais pour ça, encore faut-il être politisé ! ), c'est bien une trivialité vulgaire qui semble dominer : une faute impardonnable pour tout artiste, humoriste qui plus est, cette vulgarité qui est le plus souvent "de la grossièreté sans talent ni art".
Privée de charisme ( aucune manière d'être ce qu'elle est... sinon dans " l'insignifiant" contrairement à disons.... une Foresti dont on peut penser ce que l'on voudra - n'empêche ! -, et dans les années 70-80...la remarquable Zouc), une mise en scène au panier (de son corps, de son visage... aucun accompagnement ni soutien de son texte excepté des bras qui brassent de l'air, maladroite), sans métier, difficile de ne pas voir chez Gardin la lycéenne de Terminale (privée de mecs dignes de ce nom ; par exemple : des mecs dont on n'aurait pas à se plaindre ; et de la pratique de la fellation non plus - 1), occupée à faire rire ses copines pour compenser un manque d'audace relationnelle inter-sexe et d'aptitude et d'appétence pour les études ; une dissipée qui n'aurait toujours pas raccroché 20 ans plus tard ; rien de surprenant à cela cependant car, à faire l'intéressante, Gardin a tout simplement oublié de passer son BAC contrairement à ces mêmes copines qui, tout en couchant avec des mecs dignes de ce nom avec force fellation, n'ont pas raté cette épreuve déterminante par tout avenir académique.
Humour sexué (préoccupations et points de vue féminins) - voire sexiste -, humour destiné à des femmes trentenaires (sans doute diplômées... même si d'universités médiocres, par opposition à la clientèle de caissières de supermarché de JM Bigard), se jugeant sûrement vigilantes et futées car conscientes bien que dépolitisées (2), Gardin est à l'humour ce que peut être un Philippe Katerine à la chanson ; et elle n'est pas la seule, lui non plus, hélas ; toute une génération aussi translucide que transparente qui n'a rien vécu, à qui l'on n'a rien donné à vivre non plus, et qui, par conséquent, n'a pour seule grille de lecture du monde et de son quotidien, qu'un nombril, un cordon ombilical mal sectionné gisant à portée de main dans une expérience de vie minuscule, sans profondeur ni hauteur ; d'où les thématiques abordés par tous ces humoristes sans histoire.
Un vrai tour de force dans "l'inadéquat" cette nouvelle école du rire (majoritairement féminine) et de la chansonnette !
"Blandine Gardin", c'est son nom ! Ou bien plutôt celui de ses parents. Ce qui confirme nos craintes : Gardin a rejoint le business-show (Pas de show si pas de business !) "en l'état" si l'on peut dire, brut de surcroît ; de sa chambre d'ado (attardée ?) à la scène : direct ! Sans transition, sans médiation, sans transformation (sans transmutation-transfiguration ?) et sans réflexion : qu'est-ce qu'un artiste ? Comment il se construit ? Qu'est-ce qui sépare l'artiste de son audience : celui ou celle qui fait et celle ou celui qui regarde faire ? Qu'est-ce que l'humour ? Qu'est-ce que le rire ? Sa finalité ? Son utilité ?
Autant de questions qu'elle ne s'est jamais posée : ce constat est criant de vérité lorsqu'elle monte sur scène ; même si elle n'est pas la seule ; en effet, ils et elles sont des dizaines dans son cas ; ce qui en dit long sur leur ambition artistique à tous et sur ceux qui les pilotent.
A ce sujet, Gardin ( et d'autres) pourra toujours se reporter à l'ouvrage suivant : "Paradoxe sur le comédien" de Denis Diderot (ICI)
( de Gardin, un peu de lèche au passage en faveur de ceux qui pensent que bon an mal an, la liberté d'expression se porte bien dans les médias dominants tout en apportant la contraction à ceux qui se plaignent d'une censure sans précédent dans ces mêmes médias (vidéo à 2.00) - au moins, Blandine sait-elle qui et quoi il faut craindre quand on veut faire son trou dans l'humour ; on pourra néanmoins saluer sa petite pique à propos du cas "Polanski")
Culottée et transgressive Blandine Gardin ? En comparaison.. . un Gaspart Proust - autre humoriste politiquement-incorrect décidément très correct - pourrait paraître vraiment subversif dans le sens de : remise en cause de l'ordre établi, de tout l'ordre établi ; ce qui n'est pas le cas bien évidemment en ce qui concerne ce dernier : provocateur transgressif en pure perte pour tout le monde.
Certes, on pourra objecter que Gardin aurait tort de bouder son succès ( un peu de notoriété et d'argent) : c'est vrai ! même si elle doit bien ignorer qu'elle entre dans la carrière avec un CDD en poche ; en effet, difficile de voir en Blandine Gardin entre autres, un potentiel laissant présager une longue carrière, pour ne rien dire de ceux qui font la pluie et le beau temps et qui décideront, un jour, qu'il est grand temps de passer à autre chose en ce qui concerne l'humour et les humoristes : on a pris, on jettera !
Rappelons toutefois que ce n'est pas la personne "Blandine Gardin née en telle année à tel endroit" qui est en cause mais ceux qui s'évertuent à nous faire croire que Blandine Gardin - et combien d'autres récemment ? -, c'est important : à savoir... Canal + qui, en 20 ans, a évacué l'intelligence, le courage et la subversion de toute ambition d'ordre humoristique. Canal +... l'humour merdique (dépolitisé et sans culture - les Nuls, Jamel Debouzze... humour collabo - 3 ) qui n'en finit pas de ruisseler sur deux générations...
Merci pour l'odeur !
Dans les faits, tous ces intervenants, leurs sketchs et autres chansons, n'auraient jamais dû quitter les chambres à coucher qui ont vus naître deux ou trois blagues pour les uns et deux accords de guitare pour les autres.
Mais alors, qui les en a donc sortis, et pour quel dessein ?
Les producteurs, les agents artistiques ne s'y sont pas trompés : ruiner à jamais tout esprit d'excellence et de courage au profit d'un projet qui aurait pour seule ambition : "Musique et rire mis à la portée de tous", public et artistes ?
Il est vrai que cela fait 20 ans que l'on a autorisé le public à monter sur la scène... et pour quel résultat !
Pour toutes ces raisons qui en valent bien d'autres, Blandine Gardin, ses consoeurs et confrères (ainsi que leur public) sont plus un symptôme socio-culturel qu'un courant auquel l'on pourrait attribuer une quelconque valeur d'ordre artistique ! alors qu'il s'agit pour ces humoristes d'aller chercher dans le public une thérapie susceptibles de soigner les bobos de la petite enfance et de l'adolescence.... mais vingt ans après.
Aussi, c'est bien un humour régressif qui nous est proposé ; un humour qui a pour seuls engagement... et position : celle du foetus suçant son pouce. Et c'est encore la même entreprise d'infantilisation qui se poursuit, et ce depuis les années 60 avec son consumérisme débilitant
Car enfin...
Où est cet art qu'est le rire dans cette démarche de Gardin, consoeurs et confrères ? Parmi tous ces "comiques" où trouver un rire de résistance contre notre impuissance, un rire qui permet de reprendre la main et le pouvoir sur nos vies, où donc ?
Tout comme pour la littérature, c'est la déprime, encore et toujours la déprime qui nous est servie.
1 - Gardin oublie de préciser que la vaste majorité des femmes sont incompétentes sur une fellation ; rien de surprenant puisque seules les prostituées savent y faire : normal, c'est leur métier. Pour ce qui est du cunilingus, même constat du côté des hommes : seules les lesbiennes sont compétentes pour des raisons évidentes.
2 - A propos de son mini-sketch sur "la merde à la télé", Gardin se garde bien de mentionner les émissions, les producteurs et les animateurs concernés.
En ce qui concerne son traitement des réfugiés, là encore Gardin se dégonfle : le politiquement-incorrect ne consiste pas à dénoncer la xénophobie mais ceux qui sont responsables de la destruction de toute une région (depuis 2001) avec pour conséquence des millions de morts et de déplacés : Bush junior, Obama, Cameron et Sarkozy (Afghanistan, Irak, Syrie et Libye) pour le plus grand bénéfice de trois Etats voyous : USA, Israël et Arabie Saoudite.
"Allez, encore un effort Blandine : t'y est presque ! Mais ça va vite tanguer si tu t'y mets sérieusement ! j'espère que t'as le pied marin."
3 - Debouzze qui dans ses sketchs n'a pas cessé d'incarner le petit beur menteur, voleur et inculte : merci pour eux !
Hum. Pardonnez-moi. Humour, rire et justice ... qui permettraient de reprendre la main sur la tyrannie du réel ... eh beh ... Et moi qui croyait que l’humour et le rire, étaient les réalités les plus injustes qui soient ! Où précisément, tous les humoristes ont droit de cité, indépendamment de toute militance ou parti-pris politique. Pour cela, un seul exemple : dans son spectacle, « Gaspard Proust tapine », le one man show énonce que, « on peut penser ce qu’on veut des nazis, au moins ils avaient une vision européenne, devant nos dirigeants actuels » ou par là. J’imagine que ce vous est atrocement injuste, fade et irréel, comme humour. Mais c’était précisément un message, et pas exactement nazillard, non plus. Au final, rire du dépressif, c’est rire de l’époque, c’est savoir rire de soi, c’est avoir de l’autodérision, ce dont vous semblez - aïe ! - manquer ! Heureusement que vous jouâtes les justiciers. Cordialement
yep, va écouter écouter ça ( http://lelombrik.net/106895 ) et mate juste la chetron de ATTAL, le kapo en chef du bizz.
Et là apparaît que non seulement son rien à elle est -comme tu l’as si bien écrit plus haut- déjà des milliards de fois plus que celui d’ULESKY, mais surtout, c’est prodigieux de voir comment en 10 minutes chrono, elle relègue en ligue2 les milliards de signes que Serge (fais péter les cahouètes ^^ ) imprime pourtant ici ou ailleurs en vain ! Car là il joue comme jamais contre « son » camp !
Bref, le plomb durci, il est tombé pour de bon sur l’auteur ici pas présentable !
Dans la couenne du l’ard/t, c’est vraiment un cochon (il nous avait déjà fait le coup pour Brassens )
Eh bien, cette charge d’artillerie lourde pourrait m’incliner à penser que vous avez peut-être un léger problème avec les femmes qui ont un peu de caractère.. Mais c’est peut-être juste une impression
@norbert gabriel. Petit format hérissée de piquants, m’Amie la porque-épique me
lança le reproche : « Oh toi ! Tu as des
problèmes avec l’autoritarisme féminin ! ».
Ne soyez jamais le fils, le frère, le père ni le mari d’une féministe ! Elle vous fera payer très cher le délit de masculinité, que vous commîtes rien qu’en naissant.
La journée de la féministe est assez répétitive : Reprendre le pouvoir, reprendre le dessus, envoyer une bordée d’insultes, benner un tombereau de reproches, faire subir une colère, et reprendre au début, avec des variantes quant à l’ordre des opérations. Ainsi l’ordre « benner un tombereau de reproches, reprendre le pouvoir, faire subir une colère, reprendre le dessus, envoyer une bordée d’insultes » est tout aussi valide dans l’emploi du temps de la féministe. Et puis ça introduit de la variété.
Sur les frêles épaules de la féministe repose un apostolat harassant, épuisant, de tous les instants, son devoir envers le Parti : ne jamais relâcher la guerre de longue durée contre l’existence même des mâles, ce scandale intolérable de l’existence des chromosomes XY et de la reproduction sexuée. Ah si seulement le Créateur l’eût écoutée, il n’y aurait que des lesbiennes dans la ville, et grâce à la parthénogenèse, ce serait le paradis sur Terre : aucun enfant ne pourrait plus jamais échapper à la toute-puissance matriarcale ni contracter d’autre mariage qu’avec sa maman.
Comme la perfection n’est pas encore réalisée, il y a encore des féministes qui pratiquent l’hétérosexualité. Toutefois, il convient qu’elles soient très rigoureuses dans le dressage de leur mec. Il ne sera jamais tolérable que le mec échappe à la guerre de longue durée, ni ose développer la moindre réflexion qui échappe au sexisme misandre victorieux. Prenons le cas des freudiens et de leur parlance carabistouillée : le mec sera autorisé à critiquer les amphigouris précieux de Pascal R., mais la féministe lui volera dans les plumes s’il ose critiquer les mines entendues et supérieures de Ghislaine K. sur telle de leurs expressions volontairement fallacieuses. Dans le second cas, le mec est coupable de misogynie, et il faut le lui faire payer cher.
En amours hétérosexuelles, la règle du jeu est que la somme soit négative. Qu’importe combien la femme y perd, pourvu que l’homme y perde davantage, qu’il n’oublie jamais que lui doit fournir tous les services, sans jamais rien demander ni obtenir en retour. C’est elle la maîtresse, et lui le serviteur, qui doit toujours exhiber une attitude soumise.
La féministe choisira elle-même les peintures et papiers peints que le mec posera chez lui : il doit poser du vieux rose dans son couloir, afin de montrer que même chez lui, c’est encore une maison vaginale.
La féministe peut-elle être intelligente en amour, et heureuse en amour ?
Bah oui, la féministe peut faire illusion quelques jours, au mieux quelques semaines, aussi longtemps que les hormones sont là, et lui imposent l’intelligence de l’espèce via la stratégie de l’espèce, aussi longtemps que les orgasmes l’inondent d’ocytocine et d’endorphines.
Mais quand l’intelligence de l’espèce perd de son emprise, nulle intelligence individuelle ne peut prendre le relais, chez la féministe : autoritariste née, elle ne songe plus qu’à sa guerre à mort pour le pouvoir, tous les pouvoirs. Bien qu’il soit possible qu’individuellement, elle ne soit pas diagnostiquable comme paranoïaque, elle demeure adhérente à une doctrine paranoïaque, et la loi générale lui est collectivement applicable : les paranoïaques ne jouissent pas, et baisent atrocement mal et le plus rarement possible, de peur qu’une micro-parcelle de contrôle, de pouvoir et de suprématie leur échappe.
Est-ce à dire que la féministe ne baise plus ? Si, à une condition : soit que son vagabondage sexuel lui serve à dénier et humilier ses précédents amants, rabaissés au rang d’ustensiles passés de mode ou usés, soit que ses adultères lui servent à bafouer et humilier son cocu. Voilà ce qu’il lui reste d’héritage de la stratégie de l’espèce, et encore, seulement aussi longtemps que les hormones lui durent, seulement le temps que les horloges biologiques n’aient sonné.
Mon billet ne traite aucunement du bien et du mal mais du bon et du mauvais ou de l’insuffisant... il y est aussi question d’un peu de sociologie... et de culture ; de sa transmission en particulier....
Oui non mais... bien sûr ! La télé, la radio, personne n’est obligé de la regarder et de l’écouter... la mal-bouffe personne n’est obligé d’en manger,...
Sinon, Esprit critique, de votre esprit critique vous en faites usage quand et à quel sujet ?
Parce ce que bon... la politique non plus, personne n’est obligé de voter... etc... etc...
@Serge ULESKI Cette fille a un style , particulier, je n’en voie pas d’autres actuellement sur ce créneau.
Une écriture faussement naïve , mais extrêmement incisive et précise, elle donne un aspect totalement nouveau au thèmes classiques qu’elle aborde. L’Educ Nat , Le couple etc...
Mon esprit critique je l’utilise parfois contre « le Mal a propos » de certain, pas de bol aujourd’hui c’est tombé sur vous !
En gros vous nous dites « J’aime pas »... J’aime bien Foresti aussi mais c’est un autre style, Blanche est très crue dans son langage, mais vous ignorez la différence entre grossier et vulgaire. Il est plus vulgaire de critiquer quand on a fait preuve d’aucun talent d’humoriste, que de dire « bite » avec un second degrés bien senti.
je n’ignore pas la différence entre grossièreté et vulgarité.... puisque dans mon billet, j’en donne les définitions... merci de faire l’effort de « me lire »...
Quant à Foresti, j’insiste sur le fait qu’il a la manière (l’art) d’être son personnage (composition) : merci de vous reporter au texte de Diderot : « Paradoxe du comédien »....
Cette fille est pétillante. Si les « héros black- blanc- beurs » de l’humour politiquement correct devant lesquels nous sommes priés de nous prosterner depuis 15 ans avaient la moitié de l’humour de cette fille, on pourrait reprendre le chemin des salles de spectacle....
ll n’est pas question de comparer ou d’opposer qui que ce soit mais d’illustrer ce qui suit :
« »Blandine Gardin« , c’est son nom ! Ou bien plutôt celui de ses parents. Ce qui confirme nos craintes : Gardin a rejoint le business-show (Pas de show si pas de business !) »en l’état« si l’on peut dire, brut de surcroît ; de sa chambre d’ado (attardée ?) à la scène : direct ! Sans transition, sans médiation, sans transformation (sans transmutation-transfiguration ?) et sans réflexion : qu’est-ce qu’un artiste ? Comment il se construit ? Qu’est-ce qui sépare l’artiste de son audience : celui ou celle qui fait et celle ou celui qui regarde faire ? Qu’est-ce que l’humour ? Qu’est-ce que le rire ? Sa finalité ? Son utilité ? »
C’est un phénomène générationnel ; Gardin n’est pas la seule concernée...
en effet, difficile de voir en Blandine Gardin entre autres, un potentiel laissant présager une longue carrière
Gardin est une artiste et artiste ne veut pas dire maîtriser un art. Artiste c’est un état d’esprit sans plan de carrière et ce n’est surtout pas un métier. Elle a été un moment punk à chien, puis s’est mise à l’écriture. Elle se fiche de savoir si ce qu’elle a à dire va porter. Elle le fait parce qu’elle a envie de le faire et si elle se trouve un public (ce qui est le cas) tout va bien.
Pour l’avoir vu en Vendée, son One woman show est plutôt bien troussé. Elle joue bien la comédie (La colle, adopte un veuf). De plus elle a participé à l’écriture et a joué dans Problemos d’Eric Judor.
C’est le genre de personne qui se fiche de passer à la TV et qui n’est jamais là où on l’attend. Un peu comme Gaspard proust.
On va finir pas grandement s’intéresser à ce que vous critiquer un peu comme un baromètre inversé
Je n’aime pas les acteurs, musiciens, peintres etc pour ce qu’ils sont mais pour ce qu’ils font.
Mais comme tout le monde en est réduit à se trouver une case dans laquelle se mettre, on se choisit sans aucun sens critique les artiste qui iront bien dans cette case et on critique le reste. On appelle cela du conditionnement mental
Thomas VDB fait une chronique sur France Inter et est trés suivi par les gauchos de tout bord. Car ces derniers pensent qu’il est dans leur case.
Un jour il écrit une chronique où il établit un parallèle entre les identitaires qui arrêtent les migrants sur un col et les black blocs qui cassent les vitrines à Paris. Ben là il s’est fait dézinguer par la mouvance gauchos et s’est fait insulter de « traite à la cause ». Quelle cause ? Personne ne le sait.
Qui est Thomas VDB ? un humoriste juste et rien qu’un humoriste