Boutin : « Le Délit de Sale Gueule »
- Selon le propriétaire,
(...) En aucun cas ils n’ont poursuivi la vache pour se nourrir, ce ne sont pas des prédateurs. (..) Les vautours ne s’attaquent pas à un animal en bonne santé. Un animal affaibli et ils deviennent beaucoup plus attentifs. »[5]
7 réactions à cet article
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le veau : vous avez oublié le bouquin de Lalanne.. pesant de mouron ça...
Christine Boutin est de cette fibre que d’aucun (sic) voudrait bien aujourd’hui éraciner ; mais qui renaitra (sic) toujours de sa sève versée, parce qu’elle est le ferment du grand arbre de France et que cet arbre-là ne tombera jamais.
Francis Lalanne - Lundi 13 juillet 2009.
Lalanne a toujours pris ses auditeurs pour des veaux....
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Morice, je trouve le coup de la vidéo chez Sabatier particulièrement déplacé, même s’il est difficile parfois d’en appeler parfois au respect des journalistes, ou prétendus tels (rien de personnel, rassurez-vous, j’apprécie en général vos articles).
Perso, j’aime bien Lalanne mais je n’aime pas Boutin. Je comprends toutefois le sens de sa défense. Être humain, c’est savoir se mettre à la place des autres. L’animal n’a pas cette capacité, alors à quoi bon vouloir lui ressembler ?
Cet article et son auteur sont pires que les pires déclarations de Mme Boutin, et ce n’est pas peu dire. Au lieu d’injurier, pourquoi ne pas simplement argumenter ? Cela aurait cent fois plus de poids.
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...pour des veaux ! Vous êtes trop bon , Morice , ou alors c’est de la novlangue...
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notre Boutin à nous, ici...
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Eh oui, la gauche a su se nourrir de charité chrétienne. Mais qui en doutait ?
Et n’allez pas me traiter de catho intégriste avant d’avoir regardé mon avatar, SVP. Merci.
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L’aventure de madame Boutin prouve si besoin était qu’on ne pactise pas avec l’ennemi.
Elle prouve aussi qu’elle représentait un ((très faible) danger pour le pouvoir antifrançais.
La France est en effet de tradition chrétienne, il n’y a qu’à voir sa métonymie, ses clochers, ses cimetières, se prénoms etc. Garder cette pauvre madame Boutin franc-mac encadrée par sa banlieusarde franc-mac, c’était encore trop. Elle risquait aussi de s’opposer au scandale antisocial et aniti-historique du travail le dimanche (dimanche=jour du soleil donc jour de célébration, de joie, jour non matériel, jour de loisir).
L’article est inutilement familier envers madame Boutin, injurieux même et gratuitement irrespectueux envers la plupart des Français qui pourraient à la rigueur la considérer comme une lointaine cousine faisant semblant de défendre certains de leurs intérêts.
Le parallèle entre une vache vélant et une personne qui vient d’être virée parce qu’elle pourrait défendre une position défendue par nombre de Français, est non seulement injurieux, incongru, mais aussi impropre ou malpropre, ce qui rejaillit comme une bouse sur l’auteur.-
Avant 2007, Mme Boutin s’était présentée à la présidence de l’UMP contre Nicolas Sarkozy pour incarner un modèle de société plus social, plus humaniste et moins systématiquement répressif (elle avait eu, à l’époque, des propos très engagés et sur les prisons qui avaient su toucher le mec de quche anticlérical que je suis). Bref, si tout nous séparait, j’avais beaucoup d’estime pour Christine Boutin.
Puis, en 2007, elle a choisi comme beaucoup d’autres de mettre son drapeau dans sa poche et de se rallier à Sarkozy qui incarnait un modèle de société (le libéralisme, la vulgarité comme modèle culturel) qu’elle rejetait. La voilà qui pleurniche maintenant parce qu’elle a été virée du gouvernement alors qu’elle n’aurait rien dit si elle avait pu sauver son siège...
Il y a pire que de manger son chapeau : cracher dans la soupe parce qu’on n’est plus invité à la table du pouvoir...
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