Bravo les ZFE. Digne héritage de Malthus !
Franchement, force est d‘admirer les ZFE. Elles ont été construites avec un talent incroyable pour réaliser la quintessence de la politique dite écologiste.
Permettez-moi de briguer mes galons de complotiste et de m’offrir à la vindicte des soi-disant fact-checkeur, la seule médaille d’honneur restant dans notre monde. Il convient que je me dépêche, la génération actuelle risque de disparaître si ses fonds s’assèchent. Je ne voudrais pas manquer l’ultime distribution !
Donc, commençons avec notre premier présupposé :
L’État est un moloch, il vit pour se reproduire. Pour cela il a besoin de l’autorisation de la société et l’obtient de deux manières : En permettant l’enrichissement de la caste supérieure ou ses déprédations, puis, il paie la caste inférieure en fausse monnaie. Il lui raconte simplement une histoire selon laquelle il assure sa protection et selon ce narratif, sans État, la vie du peuple serait pire. La valeur performative du langage vous permet toujours décrire une réalité différente bien plus désastreuse, impossible donc, de vous contredire.
Comme vous le voyez, je viens de vous définir ce que l’on nomme état profond dans le débat et qui selon les fact-checkeurs n’existe pas. Hélas, il est possible d’identifier des groupes sociaux avec des similarités culturelles et des intérêts financiers qui tous remontent finalement à un ruissellement de différentes formes d’argent public fruit des impôts prélevés sur la richesse créée par les peuples.
Brisons là, nous avons posé le cadre et les ZFE s’inscrivent exactement dans ces déprédations qui ruinent une part considérable de la population dont on rend les véhicule invendables (En conséquence par exemple, leur cote argus tombera et ces gens recevront à peine un remboursement misérable en cas d’accident et devront au contraire racheter un véhicule coûteux en remplacement dont ils n’ont pas les moyens ! Pour eux, ce sera la fin de la voiture.) Premier coup admirable de précision et de nuisance !
Ensuite, bien sûr, on exclut ainsi une partie considérable de la population du bénéfice des centres-villes, même si ceux-ci restent pourtant une zone de concentrations de services, y compris administratifs. Comment par exemple, se rendre au tribunal, aller faire des papiers en préfecture ? Ah oui, les victimes devront utiliser des transports en communs dont le coût s’ajoutera à la possession de leur véhicule ! En bref, plus de procès, plus de papiers pour les pauvres ! Second coup admirable de précision et de nuisance !
Avec une mesure dite technique, nous créeons alors une sous-classe de citoyens exclus d’une large partie des biens publics. Force est de constater que seuls les Kieviens avec leur loi sur les langues avaient fait aussi bien. Comme quoi, les gens nuisibles progressent !
Alors, bien sûr, on peut parler d’erreur, de loi mal évaluée et penser les promoteurs de la mesure désireux de créer le bien et seulement maladroit. Si c’est le cas, permettez-moi un discours de haine assumé : Ceux aussi limités intellectuellement devraient être invités à en tirer les conséquences et trouver un emploi à la hauteur de leurs faibles capacités où ils ne nuiront pas à leurs concitoyens. (Je vous accorde, ces gens risquent d’être moins bien payés, mais ma pitié est limitée.) Le peuple n’a pas à supporter la bêtise. Hélas, je n’accorde même pas cette circonstance atténuante.
Les ZFE ne sont pas un nuage soudainement apparu dans un ciel serein, mais ils sont, au contraire, l’étape actuelle d’un long cheminement fait de mensonges et de mesures nuisibles aux peuples.
Bien sûr, les ZFE viennent de la menace sur le changement climatique, dogme du GIEC organisme créé pour selon sa fiche Wikipédia1 :
Le Groupe d'experts intergouvernemental sur l’évolution du climat ou GIEC (en anglais Intergovernmental panel on climate change ou IPCC) est un organisme intergouvernemental chargé d'évaluer l'ampleur, les causes et les conséquences du changement climatique en cours.
Mais, curieusement, plus loin on trouve le rôle du GIEC selon sa propre documentation2 :
« [Il] a pour mission d’évaluer, sans parti pris et de façon méthodique, claire et objective, les informations d’ordre scientifique, technique et socio-économique qui nous sont nécessaires pour mieux comprendre les risques liés au réchauffement climatique d’origine humaine, cerner plus précisément les conséquences possibles de ce changement et envisager d’éventuelles stratégies d’adaptation et d’atténuation19. »
Vous remarquerez un classique des fiches wikipédia bien construites dans des buts politiques. Tout d’abord, on préempte le débat : La question n’est pas de savoir si il y a un changement climatique, mais celui-ci est posé comme un dogme.
Inutile donc de se demander comment on a pu passer d’une époque où l’on craignait un refroidissement climatique à un réchauffement puis, c’est devenu le changement (Hélas, j’ai de la mémoire), ça n’est pas le rôle du GIEC. Dommage, j’aimais bien "La compagnie des glaces", j’imagine que mes collègues auteurs de science-fiction sont désormais priés d’écrire, "Les voiliers du soleil" ! Oups, je me rappelle de l’époque où on nous martelait le réchauffement climatique !
Mais, plus amusant, l’en-tête de Wiki ne reprend pas le rôle du GIEC placé avec soin au milieu de la page. La différence essentielle étant que le texte de 1998, donc au début du GIEC, parle de réchauffement climatique d’origine humaine. Merveilleux, la messe est dite, il est inutile de débattre, le GIEC existe, car le changement climatique résulte des comportements, forcément condamnables de ces vilains humains. Donc, le GIEC signifie que le changement climatique de Mars3 est dû à ces martiens qui partent se promener en soucoupe volante dans Vallée Marineris. Je présumerais donc que les soucoupes volantes fonctionnent avec des combustibles fossiles extraits du bout de leurs tentacules par des martiens désireux de détruire leur biosphère.
Brisons là, le ridicule ne tue pas, cela m’évitera une convocation par le procureur de la république pour avoir assassiné toute l’assemblée du GIEC. Plus amusant, en 1998, lors de la création du GIEC, la responsabilité humaine était estimée suffisante pour créer un GIEC, mais en 2017 on publiait des rapports pour affirmer qu’il était désormais prouvé scientifiquement que l’activité humaine était le premier facteur aggravant du réchauffement climatique4.
Là encore, tout est dans le choix des mots et première cause aggravante signifie que le réchauffement climatique est une réalité même sans intervention humaine. Pourquoi alors limiter le rôle du GIEC à la partie humaine ? Nous devrions nous adapter à l’intégralité du changement.
Là, encore, je me réjouis que le ridicule ne tue plus, la prison serait un mauvais séjour pour mes articulations !
Mais continuons à nous promener dans les coulisses du GIEC, selon sa fiche wikipédia les créateurs du GIEC avaient aussi des intérêts politiques : Il est également souvent mentionné la motivation de ses sponsors de contrer les syndicats britanniques des mineurs de charbon tout en soutenant le nucléaire en tant que source d'énergie propre pour remplacer le charbon. Ils ont raison, cela fait moins de ces sales ouvriers5 !
On ne saurait mieux dire et ceci explique peut-être pourquoi les coupables sont désignés avant même l’ouverture du procès comme dans tout bon tribunal révolutionnaire. Le GIEC est et reste un moyen d’atteindre des buts politiques !
Comme exclure les gueux de la citoyenneté grâce à un filtre par l’argent ? Où juste ruiner leur niveau de vie en augmentant de façon insupportable leurs dépenses contraintes ? Dans ce but, les ZFE sont une merveille digne d’éloges !
L’œuvre du GIEC avec les crédits carbones, les politiques pro voitures électriques et autres billevesées au service de certains lobbys a d’ailleurs pleinement atteint son objectif.
En revanche les menaces du discours écologistes, si elles sont graves, peinent à se réaliser. La Terre ne possède qu’une seule biosphère dont nous dépendons tous. Se placer en oracle des catastrophes à venir permet de peser sur les choix de chacun et nul ne peut ignorer la menace. Seulement, nul ne devrait jouer avec de telles menaces si elles sont fausses, car nous connaissons tous l’histoire de l’enfant qui criait au loup. Menacer de catastrophe écologique à tort, surtout si l’erreur n’est pas de bonne foi, devrait être poursuivit comme un crime contre l’humanité, car on crée le risque de ne pas prendre au sérieux si une véritable menace venait à naître.
Or, le GIEC fut récompensé en 2007 par un prix Nobel attribué en commun avec Al Gore pour son documentaire "An inconvenient Truth". Les désastres annoncés par Al Gore6 ne se sont pas réalisés, mais il est devenu millionnaire. On meurt d’envie de le dire : Qui se ressemble s’assemble et l’effort de propagande semble plus fiable pour entrer les dogmes dans la tête des populations que pour avoir un réalisé dans la réalité. Après tout, comme le disait Goebbels, un mensonge répété mille fois devient une vérité, combien de fois nous a-t-on martelé le changement climatique ?
Hélas, le réel résiste ! On se souviendra de la prévision d’Al Gore en 2007 où la banquise devait disparaître en 7 ans7 ! Mauvaise propagandiste, la banquise n’a pas disparu, dommage pour la crédibilité.
En ce sens, le GIEC n’est que l’héritier d’une très longue liste de catastrophes annoncées. On se rappellera ainsi ces scientifiques qui nous annonçaient que Marseille serait submergée. Elle l’est, mais par la criminalité et les ordures, pas par la mer. Peut-être, les Marseillais vivraient-ils mieux si l’argent gaspillé dans cette soi-disant écologie avait été investi dans la création d’emploi et d’activité à véritable valeur ajoutée !
Car, même si le GIEC est le dernier avatar de ce dogme de la responsabilité humaine dans les troubles environnementaux. À chacun son explication (Refroidissement, réchauffement, un nous disait même fin de l‘oxygène), mais toujours le même responsable : L’homme coupable de ne pas vouloir mourir de faim et désireux de vivre correctement ! Quel scandale !
Avant le GIEC nous eûmes ainsi l’histoire du Club de Rome. Là encore, la science parlait avec des scientifiques et un rapport apocalyptique sur les limites de la croissance. La croissance devait cesser, l’humanité décroître dans la misère et l’écologie s’effondrer au XXIè siècle. Certes, mais nous sommes désormais en 2025 et les médias sont emplis de la guerre en Ukraine, pas de l’effondrement démographique de l’humanité !
Encore, une fois un prévisionnel basé sur la loi des rendements décroissants échoue sur le mur de la réalité, mais, au lycée, mes enseignants me parlaient du rapport comme essentiel. Bien des professeurs dont les travaux ont plus de liens avec le réel auraient mérité cette notoriété !
Mais curieusement, la notoriété a ses raisons que la raison n’entend pas. Elle est comme l’amour, pas forcément rationnelle, mais curieusement, elle semble couronner les Cassandres qui nous annoncent la catastrophe écologique et seulement eux ! Serait-elle sélective ?
On finirait par se le demander, connaissez-vous Malthus ? Certainement !
Connaissez-vous Francois Quesnay ? Beaucoup moins parmi vous, j’imagine !
Quant à Guilbert, je n’ose interroger ! Après tout, il fut à peine le concepteur de la division de la révolution et de l’Empire, un modèle, toujours pertinent aujourd’hui dans la structuration des armées. Un auteur négligeable alors que Malthus avait l’immense avantage de nous annoncer la catastrophe en raison des rendements décroissants de l’agriculture.
Certes le travail de Malthus est plus fin que la caricature que l’on nous en présente, car dans son monde l’industrie peut avoir des rendements croissants. Hélas, le pasteur a manqué l’industrialisation de l’agriculture. Qu’importe, on a conservé la thèse utile : Celle utile pour faire peser sur les plus pauvres la charge de l’ajustement.
Car voilà qui semble finalement la clé que nous cherchions : Le monde va à la catastrophe, sauf si le pauvre accepte les efforts pour s’ajuster, car bien sûr Matlhus ne voulait pas imposer cet effort aux riches. Ils étaient, après tout, si peu nombreux !
Aujourd’hui, il en va de même, on doit limiter les voitures des gueux dans les ZFE, mais pas les voitures de luxes modernes pourtant plus lourdes. Encore moins, les jets privés ou les yachts des milliardaires, quant aux portes containers et navires appartenant aux grands trusts, pourquoi en parler, leurs rejets de CO2 sont bien évidements négligeables !
En réalité, là encore, le débat est préempté par la solution à atteindre : Il y a trop de pauvres, il faut en réduire le nombre et pour cela, leur pourrir la vie,
Comment disait ce cher Alphonse Donatien, contemporain de Malthus lorsqu’il parlait de la population :
Nous craignons, nous dit-il, une prochaine révolution dans le royaume ; nous en voyons le germe dans une population beaucoup trop nombreuse8. Plus le peuple s’étend, plus il est dangereux ; il est à craindre : on n’asservit jamais que l’ignorance.
(…)
Courbé sous des chaînes mille fois plus lourdes que celles qu’il porte en Asie, nous voulons qu’il rampe en esclave, et il n’y aura sorte de moyens que nous ne mettions en usage pour y réussir
— Ces moyens seront longs, dit Clairwil, et si vous avez besoin d’une diminution subite9, il en faut de plus prompts : la guerre, la famine, la peste10.
— Le premier est sûr, dit Saint-Fond, nous allons avoir la guerre. Nous ne voulons pas du dernier, parce qu’il serait à craindre que nous nous en trouvassions les premières victimes11. Quant à celui de la famine, l’accaparement total des grains auquel nous travaillons, en nous comblant d’abord de richesses, va bientôt réduire le peuple à se dévorer lui-même. Nous espérons beaucoup de ce moyen.
Il est vrai que le Marquis de Sade n’est pas forcément mis en avant lors des discussions sur l’écologie, il est trop sulfureux. Oserait-on dire, peut-être car il dévoile trop les indiscibles mobiles des promoteurs de l’écologie ?
En complément, retrouvons ce cher Orwell pour permettre à chacun d’apprécier la cohérence entre Sade et l’anglsoc d’Océania !
Dès le moment de la parution de la première machine, il fut évident, pour tous les gens qui réfléchissaient, que la nécessité du travail de l’homme et, en conséquence, dans une grande mesure, de l’inégalité humaine12, avait disparu.
(...)
Dans un monde dans lequel le nombre d’heures de travail serait court13, où chacun aurait suffisamment de nourriture, vivrait dans une maison munie d’une salle de bains et d’un réfrigérateur, posséderait une automobile ou même un aéroplane, la plus évidente, et peut-être la plus importante forme d’inégalité aurait déjà disparu14. Devenue générale, la richesse ne conférerait plus aucune distinction.
(...)
En résumé, une société hiérarchisée n’était possible que sur la base de la pauvreté et de l’ignorance.
Quelle merveilleuse concordance, Sade fait écho à Orwell et il vous établit le lien avec Matlhus et la pseudo-écologie. On retrouve même, sans surprise, le discours de Davos sur les surnuméraires. Voilà l’essentiel : Il faut que les pauvres soient pauvres pour maintenir la structure hiérarchique de la société source de tant d’abus si pratiques pour permettre aux dirigeants d’assouvir leur soif de richesse et peut-être même de luxure.
Faut-il s’étonner alors, si Sade et Malthus sont contemporains de la période des droits de l’homme ? La bourgeoisie avait besoin de ces garanties juridiques pour écraser la royauté, mais il n’a jamais été dans ses plans d’en faire bénéficier les peuples. Autrefois, la pauvreté les excluait de la justice pour faire valoir leurs droits15, désormais, les peuples ont tout de même une légère marge de manœuvre et certaines bonnes osent assigner leurs employeurs au tribunal16 !
Car, deux guerres mondiales plus tard, la nécessité de mobiliser la main d’œuvre pour construire les lourdes infrastructures de la société industrielle ont contraint à lâcher du lest17.
Il est temps de le reprendre et de serrer le cou des peuples, par l’écologie qui permet grâce à une menace sublimée de créer un cadre juridique qui exclut les gueux des bénéfices de la société !
Bravo, grâce aux ZFE, un grand pas à été fait dans la direction de cette société où les pauvres n’ont aucun droit. On les exclut de l’accès aux zones où se trouvent les moyens de réclamer ou de protester !
Mais comme nous l’ont appris les impressionnistes, ce qui fait l’œuvre est l’ensemble des points. Alors essayons d’observer l’image globale !
Comment dire : L’école est systématiquement détruite, premier pas vers l’ignorance. Les médias sont devenus dispensateurs d’un dogme sans lien avec la réalité, second pas dans la même direction.
L’écologie permet de monter les coûts contraints et devient donc une machine à fabriquer de la pauvreté en réduisant la valeur réelle des salaires et de l’épargne des peuples. Mention spéciale aux diagnostiques énergétiques qui vont exclure des centaines de milliers de logements du marché.
Et maintenant, elle hiérarchise les populations, augmente les chaînes imposées et nous attendons avec impatience la limitation des voyages entre la classe des citoyens autorisés à voyager et ceux rationnés, car il faudra bien les assigner à résidence, voire dans la ville 15 minutes qui est bien sur un thème complotiste18 tant que le gouvernement n’en a pas parlé !
De même, la menace sur cette chère Gaïa permet une idéologie de "no kids". Par l’appauvrissement, la culpabilité, on invite les populations qui ont bénéficié d’un niveau de vie honorable durant les trente glorieuse à disparaître, au profit de populations plus malléables ! Il suffit d’observer l’effondrement des taux de fécondité pour constater l’atteinte de l’objectif !
Nous avons fait le tour, de l’analyse et dans ce petit historique des organismes et des propagandes créent pour nous faire culpabiliser19, montré la redoutable mécanique à l’œuvre. Maintenant l’heure sonne pour la police de la pensée d’ouvrir le feu !
Car bien sûr, le débat public dans un monde d’ignorance où le peuple est écrasé ne saurait se faire dans le cadre d’un échange rationnel. Les motivations sont indicibles ! Il faut recourir à l’injure, l’insulte, l’intimidation et la violence. L’Oceania avait la police de la pensée, nous avons les fact-checkeurs, mais nous aurons sûrement bientôt mieux au fur et à mesure que le programme sera déroulé et imposé aux peuples dans le mépris le plus évident de leurs droits politiques !
NB : J’avais prévu de faire un article sur mon livre "Les chevaliers de Kernao" avec l’analyse du travail de Malthus et les raisons pas toujours très reluisantes pour populariser ces thèses. La loi résilience et climat avec ses multiples errements m’aura précédé !
3 Là encore bien dissimulé au fond de l’article : Mars, un exemple édifiant de changement climatique extrême
5Dommage pour le nucléaire, du temps de la guerre froide, les associations écologistes recevaient des subsides du KGB pour combattre les programmes nucléaires. La traîtrise marche parfois main dans la main avec l’idiotie ! Mais, on a su détruire les forteresses ouvrières des mines de charbon occidentales !
7 https://www.facebook.com/photo/?fbid=1043082784513960&set=a.602786545210255&__cft__[0]=AZWRdtMVMIozPX37P1hVgRuNVOUX07PPpk7MK7bYWQDvcWT1_pHAsDBpV7yWaH2rfvnKegpi4UkCe9n_QZPyS-HF-KwL-TS3MALz4L4sFtCnep7Y-ZEg8I6_wRzbO7zs5_v-pXmbLGbGKM1z5nIXaYjbDw582jCzR5z3icQi_hNO7e1rcLTnT1o0-kddEDCCIe2iB9lLja_NFTqjwF5MpOAXNBp8TMlfSVk0XDMd5pC8l3WPM_v0RH5T1PtkESEpHd8&__tn__=EH-R
8Coucou Matlhus, coucou club de Rome ! Sade aussi avait vos théses !
9Bonnes Georgia Stones !
10Ou la covid ? Un vaccin anti covid, encore qu’il semble ne pas tuer assez au goût de cette chére Clairwil !
11Grand avantage du vaccin ! On peut l’administrer sans le prendre !
12Tiens, l’asservissement Sadien revient !
13Donc pas de 35h SVP !
14Vive les bidonvilles, ca tombe bien, on y revient !
15Les ZFE empécherons d’ailleurs les gueux de se rendre au tribunal et si vous n’avez pas 5000€ pour une voiture, vous n’avez pas 2000 pour un avocat ! Adieu Thémis !
16 On se rappellera la si délicieuse remarque de Jean-François Kahn sur les amours ancillaires !
17 Mais sans l’accepter bien sûr puisque le numéro deux du MEDEF nous disait que le programme était de défaire méthodiquement le programme du CNR :
défaire méthodiquement le programme du CNR - Journal La Mee Châteaubriant
18Donc probablement simplement en avance sur l’annonce officielle, ca devient une habitude !
19Hélas non exhaustif, cette camarilla forme un éco-système touffu !
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