Bush est-il le Diable ?

L’ordre du « crâne et de l’os » (littéralement) est une société secrète basée a l’université de Yale. C’est l’une des plus anciennes sociétés secrètes des Etats-Unis. L’un de ses administrateurs s’appelait Prescott Bush, le grand-père du président actuel.

Le crâne et les os en question seraient ceux de Géronimo, le célèbre chef Apache.

Depuis sa fondation en 1832, elle a vu défiler plusieurs personnages importants dans l’histoire des Etats-Unis : Benjamin Sillmann, fondateur de la première compagnie pétrolière du pays.

Puis il y a eu Morisson R Waite, juge en chef de la cour suprême en 1886. les premiers présidents des universités de Californie étaient tous membre des « Skulls & Bones Society ».

Le 22 octobre 1945, Robert Patterson crée le « comité de Lowet » (Lowet est membre des « Skulls & Bones Society ») et c’est ce qui va donner naissance à l’OSS puis à la CIA, organisme dans lequel on trouve naturellement beaucoups de membres de cette société.

Ce qui frappe à la lecture de la liste des membres du "Skull and Bones", c’est la présence quasi systématique des noms des familles américaines les plus prestigieuses : Lord, Whitney, Taft (juge à la cour suprême), Jay, Bundy, Harriman, Weyerhaeuser, Pinchot, Rockfeller, Goodyear, Sloane, Stimson, Phelps, Perkins, Pillsbury, Kellogg, Vanderbilt et, bien sûr, Bush, père et fils.

Le bâtiment où ont lieu les cérémonies est une espèce de construction quasi sans fenêtres, sur le terrain de l’université de Yale, en style « gréco-égyptien », fermé par des portes en fer.

Depuis 1832, à Yale, quinze juniors sont brutalisés chaque année par leurs aînés afin d’être initiés et intégrés au groupe l’année suivante.

L’un des signes de reconnaissance des membres de cette société est la main levée, avec l’annulaire et le majeur fermé, ce qui donne à la main l’apparence des cornes, et l’on peut voir sur de nombreuses photos publiques G. W. Bush junior tendre sa main de cette façon.

De nombreuses sociétés d’inspiration chrétienne, au courant de cet appartenance discutable de leur président, publient régulièrement des articles pour dénoncer cet état de fait.

Il sont scandalisé que leur président, après avoir juré serment sur la Bible, se permette des actes qui, d’après eux ne sont pas compatibles avec le serment donné, en lui rappelant que Dieu nous a demandé « d’aimer son prochain autant que soi-même », ce qui est incompatible avec les tortures infligées aux prisonniers de Guatanamo. Ils dénoncent les atteintes à la liberté d’expression, les mesures prises contre l’homosexualité et l’avortement. Ils n’acceptent pas non plus qu’il soit un partisan acharné de la peine de mort (il a déjà condamné 152 personnes allant jusqu’à refuser un test ADN à ceux qui voulaient prouver leur innocence).

Personne non plus n’a oublié que son élection a été entachée d’irrégularités, et que Bush a fini par l’emporter avec à peine quelques centaines de voix d’avance sur son concurrent, la cour suprême ayant fini par annuler le recomptage des voix.

C’est intéressant aussi de savoir que le président américain qui, dans sa jeunesse avait sombré dans l’alcoolisme, a déclaré avoir été sauvé par sa foi, et qu’il a gagné son élection en grande partie par le soutien des « chrétiens évangéliques » et en faisant sienne l’expression « combattre l’axe du mal ».

Alors, maintenant, il est peut-être judicieux de se demander où se trouve véritablement « l’axe du mal » ?