Cet homme est dangereux... Il fait peur au PS
Il ne s’agit pas de Nicolas Sarkozy car, s’il décidait de revenir, ils sauront comment le combattre : il suffira de lui faire souvenir de tout ce qu’il a promis en 2007 et qu’il n’a pas tenu et de faire constater aux Français qu’eux-mêmes ont osé faire tout ce qu’il n’a pas tenu :
*L’allongement de l’âge du départ à la retraite.
*La TVA sociale.
*La flexibilité des horaires du travail.
*Etc.
Et que le résultat est tout de même un fiasco total parce qu’il n’y a pas l’homme qu’il faut à la place qu’il faut.
Il ne s’agit pas non plus du possible candidat de la droite à l’élection présidentielle de 2017. Fillon et Copé sont tombés au champ d’honneur de l’UMP quant à NKM Paris est assez grand pour elle.
Reste celui dont on parle le plus, la coqueluche de tous les médias, le rassurant Bruno Le Maire. Mais ce n’est pas lui qui fait peur au Parti Socialiste. Le Maire est un morceau moins dur que le revanchard Sarkozy, qui devra au préalable se recréer une nouvelle image d’homme providentiel, faire son « mea culpa » et proposer un programme crédible…qu’il ne pourra pas appliquer de nouveau si l’Europe demeure ce qu’elle est actuellement.
Alors qui fait peur au PS ?
C’est l’homme qui monte…monte…monte…comme la « bébête » quand tous les autres chutent.
Il a l’ambition d’accéder au plus haut sommet de l’État et pour atteindre son seul objectif il n’hésitera pas à se positionner à la droite de la gauche et cela ennuie terriblement les « vieux éléphants » du PS et même les éléphanteaux, comme Harlem Désir, l’homme qui murmure à l’oreille de Martine Aubry.
Ils ont beau se creuser le peu de méninges ils ne voient pas qui pourrait succéder à François Hollande quand il aura rejoint le fauteuil qui lui est réservé au Conseil Constitutionnel.
À part Manuel Valls ?
Eh oui ! C’est bien de lui qu’il s’agit. C’est bien lui l’homme dangereux qui fait si peur au Parti Socialiste.
On fera tout pour lui barrer la route, la rendre impraticable.
C’est un véritable steeple-chase qui lui reste à parcourir avant 2017 mais Manuel Valls est un excellent « sauteur » et les gros obstacles ne l’effraient nullement.
*Il fait mieux que Sarko avec les « Rom’s »
*Il fait mieux que Sarko avec les expulsions d’imams.
*Il fait mieux que Sarko avec les reconduites à la frontière des clandestins.
*Il fait mieux que Sarko contre l’islamisme radical.
*Il fera mieux que Sarko avec l’immigration contrôlée et choisie.
*Il fera mieux que Sarko avec la sécurité dans les banlieues et les quartiers difficiles.
*Il a réussi à faire ranger dans un tiroir le « vote des étrangers »
*Il vient d’affirmer que les violences syndicales doivent être réprimées.
Il fera tout ça dès qu’il sera débarrassé de Taubira, ce qui ne saurait tarder…2014 n’est plus très loin.
Il sait qu’il lui faudra compter avec Marine Le Pen et que la bataille se livrera sur le thème de l’Europe et de l’Euro.
Mais je pense qu’alors ce sont les Français qui trancheront…dans un ultime sursaut, s’il leur reste encore un peu de bon sens et de force ?
Mais quel beau programme, une triangulaire Valls-Sarkozy-Le Pen en 2017 !! Mais où sera la gauche ??
11 réactions à cet article
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Bonjour, Manuel.
Valls ne fait peur qu’à la gauche du PS, compromise avec les libéraux de l’exécutif. Pour le reste, Holllande, par choix ou par nécessité si une rupture définitive survient avec le Front de Gauche, se rapprochera probablement, le moment venu, des forces centristes hostiles à la lepénisation de l’UMP. Et les bataillons de godillots du Parti socialiste lui emboîteront le pas, persuadés que là se trouvera leur salut personnel. Dans cette optique, il est possible que Valls passe, dès la 2e partie de ce quinquennat, par la case Matignon.
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Salut Fergus,
Valls premier ministre dans la 2ème partie du quinquennat ? F Hollande aura dans les 10% au premier tour des présidentielles 2017 !!!
Combien a-t-il fait Valls déjà aux primaires ? C’est un peu le A Madelin de la gauche sauce PS.
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Revenons à la réalité des choses,
Avant d’évoquer un retour du nabot à talonnettes, faisons l’inventaire des années du quinquenat Sarkozy.
Si nous faisons un bilan rapide et non exhaustif, donc « à la louche » du passage de Sarkozy dans la politique française comtemporaine, nous y trouverons chronoligement, les « magouilles » balladuriennes, celles au ministére du budget, celles avec Chirac, l’affaire de Karachi, les interventions en cote d’Ivoire, les compromissions lybiennes, financières et autres, les tripatouillages financiers de sa campagne, les affaires Bettencourt, Woerth, son élection pipée par l’intervention occulte des USA et des services informatiques de la CIA,, et bien entendu le détricotage systématique de ce qu’est la France durant son mandat, sans oublier le massacre s’apparentant à un crime de guerre des civils lybiens pendant l’agression perpétrée contre leur pays.
Avant que de passer à autre chose, il conviendrait que les personnes en charge du respect de la France, de sa république et de ses lois fassent comparaître et jugent le sieur Sarkozy de Nagy Bocsa à l’aune de ses méfaits et de la forfaiture qu’a constitué son action à la tête de notre république durant cinq ans, sans préjuger de ses méfaits antérieurs en politique !
Malheureusement, le dénommé « pompimou » et sa clique sont en train de marcher sur ses traces en politique intérieure comme extérieure, à commencer par l’intervention au Mali, et donc eux aussi à se « vautrer » dans la forfaiture également, d’ou une certaine solidarité entre malfaiteurs.
Mesc concitoyens il nous faut reprendre les rênes de l’état en éradiquant ces malfaisants ! -
Seuls ceux qui veulent le retour de la droite critiquent Manuel Valls.
Soit parce qu’ils sont de la droite sarkozienne qui veut reprendre le pouvoir qui les fait b..soit parce qu’ils sont de droite et préfèrent la droite à la gauche mécaniquement,soit parce qu’ils se disent de gauche mais préfèrent rester dans l’opposition à la droite pour exister,etc..Comme Ségolène Royal, Manuel Valls est une personnalité dont la sensibilité de gauche n’est pas une caricature de gauchiste huluberlu, ni politique-polichinelle à la langue de bois, mais un politique qui sait très bien faire la part des choses entre ce qui est bien à gauche et ce qui est bien à droite.Comme la majorité des français..-
Vous avez entendu parler de la lutte des classes ? Ouvrez les yeux et les oreilles, nous la vivons chaque jour en direct, en « live » comme diraient les anglophiles.
Quant à la majorité des Français, vous n’êtes pas mandaté pour parler en son nom.
De plus, je crois bien qu’elle commence à comprendre que « non, vraiment, le capitalisme n’est pas moral ». Certes, il ne faut pas de dictature, qu’elle soit de droite ou de gauche, mais un gouvernement à la mode « Chavez » avec possibilité de révocation des dirigeants, dont le président, par référendum d’initiative populaire comme cela existe au Vénézuela, nous pourrions peut-être y réfléchir. -
Manuel Gomez vous êtes journaliste ou fournisseur de bull-shit en barre ??
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Journaliste à la retraite, c’est précisé.
C’est à dire il continue à dire n’importe quoi mais gratuitement ;) -
si marine promet la sortie de l’europe, et laisse tomber un peu son immigration ........
elle pourrait convaincre les absentionnistes
faut aussi virer les ploutocrates
prison ferme pour vol ou abus de pouvoir-
« Valls-Sarkozy-Le Pen en 2017 »
En gros choisir entre l’extrême droite, l’extrême droite,ou l’extrême droite,
merde on est dans la mouise-
bonjour manuel
Ton article m’a bien plus, l’échec de hollande est programmé et nous voyons bien avec la continuité de la peur sur la France que le « sécuritarisme » fait toujours recette et qu’aucun parti ne peut faire l’économie de s’y soumettre faute d’être assuré d’être battu.
Donc la continuité de cette politique de la gestion des peurs assure à Vall un tremplin tout indiqué pour succéder à hollande. avec le choix de la continuité de l’engagement des critères de Maastricht holllande se suicide, et fait le lit de la poursuite de la fascisation qui se développe lentement mais surement.
les critères en sont connus, la recherche d’un chef charismatique comme être salvateur, l’anti libéralisme en lieu et place de l’anti capitalisme, la perception permanente d’un danger qui engendre la recherche de boucs émissaires et fini par désigner des ennemies de l’intérieur nécessitant des forces de police et de sécurité toujours plus grandes, un anti parlementarisme, un nationalisme et souvent cela conduit à une guerre qui offre des débouchés.
Nous avons tous ces ingrédients plus ou moins marqués ouvertement, il n’y a pas de discours anti parlementaire mais les citoyens n’y font pas confiance, ce qui induit les mêmes conséquences.
Certainement que les français trancherons, mais conte tenu de l’abstention grandissante, cela n’augure rien de bon.
http://ddacoudre.over-blog.com/article-2017-en-perspective-112884413.html
cordialement.-
C’est incroyable ! Les présidentielles ont eu lieu il n’y a même pas un an...et les devins spéculent sur l’année prochaine et 2017.
On parle d’un ministre qui, peut être que, mais que si, quoi que...Alors que personne ne sait ce qui va se passer dans 3 mois...ou 3 semaines.Si les marchés plongent (il serait temps !) de 5 ou 10%,Si la Grèce, l’Italie...se déclarent en cessation de paiement,si les grèves se généralisent ou se transforment en émeutes...votre Vals vous le mettrez ou ?Et 2017 ce sera comment ?
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