Chamboulement complet de la connaissance du covid 19… une maladie du sang étrangement proche du Sida
Les dernières études venues d’Asie renforcent l’intérêtdu protocole Raoult face à une maladie du sang étrangement proche du Sida
France :
« JE VOUS ENFERME PENDANT UN MOIS MAIS JE VOUS INTERDIS DE VOUS SOIGNER »
La presse prépare le terrain : prolongement du confinement, fermeture des frontières, fermeture des écoles … Mais n’attendez rien de précis sur ce qui conditionne la sortie de crise : masques, tests et surtout droit à se soigner !
Le Président évoquera certainement les essais encourageants, il aura même un mot tendre pour Raoult, il nous appliquera qu’il faudra attendre encore quelques milliers de morts …
Avec un peu de chance nous communiquera-t-il en mai 2020 les résultats de l’étude randomisée lancée par ses congénères en mai 1940, sur l’utilité des divisions blindées dans les conflits militaires. Je plaisante…
Je suis pessimiste et je souhaite me tromper …
Rien sur ce que demandent les Français : le droit redonné à nos médecins à soigner les malades avec l’azithromycine et l’hydroxychloroquine quand ils le jugent utile. Le Président devrait se réfugier derrière les comités Théodule . Ce droit a été retiré par le décret Véran de mars dernier et la décision de classer le Plaquénil comme substance vénéneuse en janvier 2020…
Ces décrets doivent disparaître !
Que dire des instructions officielles qui ont conduit à vider les cabinets médicaux et à remplir les morgues.
Nos médecins généralistes connaissent leurs patients et n’hésitent pas à prescrire l’azithromycine et d’autres molécules pour leurs patients à risques. Le petit tableau ci-dessous et plus encore les remontées des médecins devraient faire honte à ceux qui ne prévoient rien entre le doliprane et l’hôpital …
Depuis 60 ans ces mêmes médecins savent prescrire quand et comment le Plaquénil.
Le seul antibiotique limite la casse ! Associé à l’hydroxychloroquine il ferait tomber la mortalité au niveau d’une petite grippe…
Mais non, ils ne veulent pas faire confiance aux médecins ! Dans la lignée de la nullissime Roselyne Bachelot qui eut certes la bionne idée d’acheter des masques mais la très mauvaise d’empêcher les généralistes de vacciner. A cause d’elle en plusieurs mois, moins de 10% de la population était vaccinée dans des gymnases transformés en camps retranchés. Bazaine métamorphosée en Napoléon par la grâce de la presse. Heureusement pour nous, le virus avait disparu .
Sans réponse positive le massacre des innocents continuera dans les ehpads. Le marché noir de l’hoxydrochloroquine s’étendra comme celui des masques ffp2.
Les Français s’interrogeront donc sur la légitimité du confinement et plus encore sur son efficacité…
Après la désillusion les Français accepteront-ils de laisser crever leurs proches…
Les nouvelles de l’étranger ne sont pas bonnes :
En Italie le conseiller en chef de Macron confirme que notre stratégie était et reste dictée par la pénurie. En Asie les scientifiques confirment l’étrange parenté du Covid et du Vih du sida, le rôle régulatuer du système immunitaire par l’hydroxychloroquine sera intéressant.
Heureusement le Maghreb écoute Raoult
Les vérités italiennes du PR Delfraissy
Jean-François Delfraissy. L'immunologue français dirige le comité scientifique qui conseille Emmanuel Macron
Dès le 10 mars, jour de sa nomination il souhaitait le confinement mais il y a eu des tergisversations politiques.
La différence entre la France et l’Allemagne tient à notre très faible nombre de tests.
Dans les régions les plus touchées le nombre de personne immunisées est seulement de 10% et les anticorps tiennent peu de temps « C'est pourquoi notre comité ne recommande plus de licence immunitaire, une sorte de laissez-passer pour ceux qui ont eu une première infection."
Si le masque obligatoire pour tout le monde c’est qu'il n'y avait pas de masques en quantité suffisante pour tout le monde.
Etranger : chamboulement complet de la connaissance du virus
L’enjeu sera de s’équiper en appareil de purification sanguine.
Une nouvelle étude publiée par deux chercheurs de l’Université de Sichuan en Chine, remet en cause toutes nos croyances sur le COVID-19.
Les Pr Wenzhong Liu et Hualan Li ont en effet mis en évidence le fait que le Coronavirus ne serait pas un virus qui s’attaque au système respiratoire comme on le pensait jusqu’à présent, mais au système sanguin.
Les poumons des patients atteint du virus fonctionneraient normalement et c’est en fait la capacité des globules rouges à transporter l’oxygène qui serait affectée en bloquant le métabolisme de l’Heme qui capte l’oxygène.
Les effets sur les poumons qui sont identifiés sur les scanners seraient le résultat d’une réaction inflammatoire qui donnerait ces aspects sur les images. Cette théorie expliquerait aussi l’efficacité de la Chloroquine contre le virus.
Si cette étude se révèle vérifiée, l’usage des respirateurs artificiels s’avérerait complètement inutile. L’enjeu sera de s’équiper en appareil de purification sanguine.
A ce titre la FDA (Etats-unis) vient d’autoriser le traitement par recours aux appareils de purification sanguine.
Lorsque la flambée de COVID-19 a commencé, il était beaucoup question des respirateurs, notamment de leur nombre insuffisant. Récemment la discussion a changé d’orientation.
En effet, plus de 80% des patients COVID placés sous respirateurs à New York sont morts. Les experts rapportent que si 40% à 50% des patients souffrant de détresse respiratoire grave meurent sous ventilation, près de deux fois plus de patients COVID meurent en étant intubés sur un respirateur.
Les respirateurs sont utilisés dans les unités de soins intensifs des hôpitaux pour déplacer l'air dans et hors des poumons lorsque la respiration d'un patient est compromise. COVID attaque le système respiratoire et certains patients infectés ont du mal à respirer. Il y a quelques semaines, il était courant de placer les patients COVID sous respirateur pour les faire respirer et qu’ils y restent pendant 10-15 jours. En comparaison, les patients atteints de pneumonie bactérienne sont généralement placés sous respirateur pendant deux jours et la majorité récupèrent.
Les médecins avaient d’abord pensé que certains patients COVID développaient un syndrome de détresse respiratoire aiguë (SDRA) et que la meilleure approche pour les traiter était la mise sous respirateur. Mais des médecins des soins intensifs se demandent aujourd’hui si le protocole de thérapie respiratoire standard pour le SDRA est la bonne approche pour traiter les patients atteints de pneumonie COVID et si la thérapie respiratoire ne fait pas plus de mal que de bien. Ces médecins demandent une révision des lignes directrices pour le traitement des patients COVID en Unité de soins intensifs. Le taux de saturation en oxygène normal est de 95% à 100%. Lorsque le taux de saturation en oxygène tombe en dessous de 93%, il est généralement considéré comme un signe d'hypoxie potentielle. Avant la pandémie de COVID, lorsque le niveau d'oxygène tombait en dessous de 93%, les médecins utilisaient généralement des dispositifs non invasifs tels que des masques à oxygène.
En mars, des médecins en Allemagne ont signalé que le COVID ne conduisait pas à un SDRA typique, que l'intubation entraînait des lésions pulmonaires supplémentaires et que, dans l'ensemble, le traitement n'avait pas beaucoup de succès. Luciano Gattinoni, MD, et ses collègues de l'Université médicale de Göttingen en Allemagne, se demandent si l'utilisation d'un respirateur fondé sur le protocole pour les patients atteints de COVID ne pourrait pas faire plus de mal que de bien. Ils ont suggéré qu'au lieu d'une pression expiratoire positive élevée, les médecins devraient peut-être utiliser la pression la plus basse possible et une ventilation douce pour minimiser les dommages aux poumons. Le Dr Gattinoni décrit deux variantes de COVID, le phénotype L et le phénotype H, chacune nécessitant des traitements différents.
La plupart des gens en ont pris conscience après avoir regardé une vidéo YouTube réalisée par le Dr Cameron Kyle-Sidell, un médecin de soins intensifs traitant des patients COVID au Maimonides Medical Center à New York (la vidéo est insérée dans l’article). Dans cette vidéo, il dit qu'après avoir traité de nombreux patients avec COVID, il a eu l’impression que le problème ne relevait pas d’une pneumonie typique ou d’un SDRA, mais d’un dysfonctionnement de l'oxygénation du sang. Les patients ont les mêmes symptômes que des personnes arrivant en haute altitude sans avoir eu le temps de s'adapter. Sur le plan clinique, ces symptômes relèvent davantage d’une maladie pulmonaire de décompression ou à un œdème pulmonaire à haute altitude (HAPE) qu'à un syndrome de détresse respiratoire aiguë (SDRA). Lorsqu'il a commencé à traiter des patients COVID à l'USI, Kyle-Sidell et ses collègues pensaient traiter une pneumonie, et ils ont suivi les protocoles en usage.
Il pense que la maladie pulmonaire COVID n'est pas une pneumonie et ne doit pas être traitée comme une pneumonie. C’est une maladie virale induite ressemblant au mal de haute altitude. C’est comme si des dizaines de milliers de personnes étaient dans un avion à 30 000 pieds et que la pression de la cabine était lentement relâchée et qu'elles étaient lentement privées d'oxygène. Il dit que ses patients ressemblent à des gens qui sont tombés au sommet de l’Everest sans avoir le temps de s'acclimater à l'altitude. Il dit que si les médecins continuent de traiter les patients comme s'ils souffraient d'une insuffisance respiratoire alors qu'ils souffrent réellement d'une insuffisance en oxygène, cela causera de grands dommages à des milliers de personnes. La méthode utilisée dans les hôpitaux peut endommager les poumons, et l'ARD que les médecins voient dans les hôpitaux du monde entier pourrait en fait être une lésion pulmonaire causée par les respirateurs
Traduction de Monique Plaza
Selon la FDA, le produit autorisé pour cette purification agit en réduisant la quantité de cytokines et d’autres médiateurs inflammatoires, à savoir « de petites protéines actives dans la circulation sanguine qui contrôlent la réponse immunitaire d’une cellule en filtrant le sang et en renvoyant le sang filtré au patient ».
« Les protéines qui sont retirées sont généralement élevées pendant les infections et peuvent être associées à une ‘’tempête de cytokines’’ qui se produit chez certains patients COVID-19, entraînant une inflammation sévère, un choc rapide et progressif, une insuffisance respiratoire, une défaillance organique et la mort », explique les médecin
Une combinaison de Sars et de Sida ; un bien étrange virus
Tous les éléments sur la parenté :
- Des chercheurs en Chine et aux États-Unis constatent que le virus qui cause Covid-19 peut détruire les cellules T qui sont censées protéger le corps contre les envahisseurs nuisibles
- Un médecin a déclaré que les inquiétudes grandissaient dans les milieux médicaux et que l'effet pourrait être similaire au VIH
Le coronavirus qui cause Covid-19 pourrait tuer les puissantes cellules immunitaires qui sont censées tuer le virus à la place, ont averti les scientifiques.
La découverte surprise, faite par une équipe de chercheurs de Shanghai et de New York, a coïncidé avec l'observation des médecins de première ligne que Covid-19 pourrait attaquer le système immunitaire humain et causer des dommages similaires à ceux trouvés chez les patients VIH.
Lu Lu, de l'Université Fudan à Shanghai, et Jang Shibo, du New York Blood Center, ont rejoint le virus vivant, officiellement connu sous le nom de Sars-CoV-2, sur des lignées cellulaires de lymphocytes T cultivées en laboratoire.
Les lymphocytes T, également connus sous le nom de cellules T, jouent un rôle central dans l'identification et l'élimination des envahisseurs étrangers dans le corps.
Ils le font en capturant une cellule infectée par un virus, en forant un trou dans sa membrane et en injectant des produits chimiques toxiques dans la cellule. Ces produits chimiques tuent alors le virus et la cellule infectée et les déchirent.
Un médecin, qui travaille dans un hôpital public traitant des patients de Covid-19 à Pékin, a déclaré que la découverte a ajouté un autre élément de preuve à une préoccupation croissante dans les milieux médicaux selon laquelle le coronavirus pourrait parfois se comporter comme certains des virus les plus notoires qui attaquent directement l'homme système immunitaire.
« De plus en plus de personnes le comparent au VIH », a expliqué le médecin qui a demandé à ne pas être nommé en raison de la sensibilité du problème.
En février, Chen Yongwen et ses collègues de l'Institut d'immunologie de l'APL ont publié un rapport clinique avertissant que le nombre de cellules T pourrait diminuer de manière significative chez les patients Covid-19, en particulier lorsqu'ils étaient âgés ou nécessitaient un traitement dans des unités de soins intensifs. Plus le nombre de lymphocytes T est faible, plus le risque de décès est élevé.
Cette observation a été confirmée plus tard par des examens d'autopsie sur plus de 20 patients, dont le système immunitaire a été presque complètement détruit, selon les rapports des médias continentaux.
Les médecins qui avaient vu les corps ont déclaré que les dommages aux organes internes étaient similaires à une combinaison de Sars et de Sida.
Le VIH peut se répliquer dans les cellules T et les transformer en usines pour générer plus de copies pour infecter d'autres cellules.
Mais Lu et Jiang n'ont observé aucune croissance du coronavirus après son entrée dans les cellules T, ce qui suggère que le virus et les cellules T pourraient finir par mourir ensemble.
L'étude soulève de nouvelles questions. Par exemple, le coronavirus peut exister pendant des semaines sur certains patients sans provoquer de symptômes. La façon dont il interagit avec les cellules T chez ces patients n'est pas claire.
Certains patients gravement malades ont également connu des tempêtes de cytokines, où le système immunitaire réagit de manière excessive et attaque les cellules saines.
Traitement : Pas de complications chez les patients traités à la Chloroquine Mise à jour : 12-04-2020 Les patients atteints de coronavirus et soumis au protocole à base de Chloroquine n’ont pas présenté de complications, a indiqué le Pr. Réda Mahiaoui, membre du Comité scientifique de suivi de l’évolution de la pandémie du coronavirus.
Le traitement à la Chloroquine préconisé avec le Zithromax par le ministère de la Santé depuis le 23 mars dernier "a prouvé son efficacité et permis l’amélioration de l’état de santé des patients, selon les premières constatations", a déclaré Pr. Mahiaoui vendredi à la presse en marge de l’annonce du bilan quotidien de la pandémie du Coronavirus en Algérie.
De son côté, Pr. Nassima Achour, chef de service des maladies infectieuses d’El Kettar (Alger) a fait état du rétablissement total de 17 cas sur 42 traités à la Chloroquine.
Dans le même contexte, le membre du Comité scientifique de suivi de l'évolution de la pandémie du Coronavirus, Dr. Mohamed BekkatBerkani a évoqué "des cas de guérison parmi les malades traités à la Chloroquine".
Néanmoins, a-t-il estimé "il est encore tôt d’avancer un chiffre global car chaque cas nécessite au moins 10 jours de traitement".
Le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière avait déclaré que le traitement de la Chloroquine donnait "des résultats encourageants" et qu’une étude nationale globale allait être présentée après l'administration de ce traitement à un plus grand nombre de malades".
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