Clémentine d’hiver...

@ZenZoe

Mais en plus, le nom du fruit vient du nom d’un moine. 

Le frère Clément, de la congrégation du Saint-Esprit, était chef des pépinières de l’orphelinat agricole de Misserghin.

Lors d’une visite à cette pépinière, le botaniste Louis Charles Trabut a remarqué des plants qui lui semblaient d’origine hybride et dont certains produisaient un fruit au goût nouveau et agréable.

Il s’agissait d’un hybride entre le mandarinier et l’orange douce, et Trabut a rendu hommage au frère Clément en nommant ce fruit « clémentine » en publiant un article en 1926 dans le n° 67 des « Informations agricoles » de la Direction de l’agriculture du gouvernement général de l’Algérie, article intitulé « La clémentine : les hybrides du Citrus Nobilis »,

@ rosemar

Inquiétante (car signe de psychorigidité), cette manie consistant à toujours répéter la même objection — en l’occurrence « allergique à la phonétique », mais vous usez du même type de fuite dans d’autres circonstances — sans chercher à comprendre ce qu’a voulu exprimer l’intervenant. 

Pour la énième fois, je ne suis pas, et je n’ai jamais été, « allergique à la phonétique ». A condition qu’il soit fait appel à elle de manière pertinente, autrement dit dans un texte qui s’adresse à un public en demande d’un éclairage de cette nature. Ce qui n’est évidemment pas le cas sur AgoraVox, les articles publiés n’ayant pas vocation à être des traités spécialisés.

Loin de moi donc l’idée de « mépriser » la phonétique. Il m’arrive même de m’y intéresser dans des cas très particuliers. Ce qui ne m’empêche pas de la trouver déplacée — et donc rebutante — dans un article consacré à un fruit, à un sport, à un outil, autrement dit centré sur un sujet trivial !

Bonjour, rosemar

Parler de « manie » alors que je n’ai émis de critique sur l’usage immodéré, et ô combien disgracieux, de la phonétique dans vos textes ne tient pas la route : cela m’est arrivé au maximum en 5 occasions où ces digressions m’ont semblé venir « comme un cheveu sur la soupe » et affaiblir votre propos.

Encore une fois, la beauté des mots est dans leur sonorité — que chacun peut percevoir —, pas dans la dissection technique de cette sonorité ! Mais manifestement, cela semble vous échapper.

@rosemar : « Qui est psychorigide ? ». Tu le demandes ?

« Vous n’avez pas une âme de poète »

La poésie n’est pas dans la dissection phonétique, elle est dans l’usage des mots.

Et je suis bien persuadé que l’écrasante majorité des poètes maîtrisent « la valeur des sons et les effets produits » sans se préoccuper un instant des gutturales, des labiales et autres dentales, comme l’avait un jour souligné le grand Georges Brassens qui, selon vos critères, ne devait pas avoir « une âme de poète » !  

Je ne me prends pas pour un poète, mais il m’arrive de rimailler pour le plaisir. Ici par exemple (ça se chante sur l’air de Chanson sans calcium) :

LA FERME ENCHANTEE

C’est une ferme enchantée

Dans un coin isolé

Au milieu des tourbières.

On dit qu’elle est exploitée

Par un curieux fermier

Epoux d’une sorcière.

Leurs vaches donnent un lait bizarre,

On dirait du Ricard,

C’est extraordinaire !

Même les petites brebis

Produisent du chablis,

Quand c’est pas du sancerre !

Les canards sont très sympas

Car ils pondent du foie gras

Truffé tous les dimanches.

Dans l’étang on voit nager

De beaux saumons fumés

Prédécoupés en tranches.

Et puis il y a des dindons

Tous farcis de marrons

En prévision des fêtes,

Sans oublier les gorets

Qui marchent au beaujolais

Que produisent les biquettes.

Le fermier m’a invité

Dans sa ferme enchantée,

C’est vraiment formidable

De se griser le palais

En dégustant du lait,

Ça paraît incroyable !

Mais quel est ce bruit strident

Qui me perce le tympan ?

C’est mon réveil qui sonne.

Adieu mon beau Paradis, 

Je dois quitter mon lit, 

Beau rêve, je t’abandonne !

@rosemar. Mon envahissante môman aussi fulminait à la moindre contrariété :
"Vous êtes tous des cons et vous m’emmerdez tous !

Vous êtes tous les mêmes !

Vous êtes tous pareils !

Vous vous êtes donnés le mot !

Vous vous laissez dépersonnaliser par votre père !

Oh  ! Mais vos enfants me vengeront ! Vos enfants me vengeront !
Rrrhoh ! Toi, tu rendrais frigide une Messaline ! 
Etc. etc."

Nous avons tous été témoins de variantes mineures sur le thème commun, du délire persécutoire et vengeur de la Reine-Mère.

A quel moment décompensait-elle ? Quand sa vanité pyramidale était menacée, et qu’on contestait les constructions mythomaniaques qu’elle cherchait à nous imposer. Quand elle découvrait que notre crédulité ne lui était pas aussi acquise qu’elle l’avait rêvée.

En effet, quoique notre mère fut manipulatrice, elle était envahissante, maladroite, exaspérante, et était souvent démasquée. Elle ne faisait illusion que peu de temps, ou aux gens les plus naïfs. Les autres s’apercevaient vite du mépris écrasant que "la comtesse un peu fada" réservait aux manants.

Des ressemblances certaines avec l’envahissante pimprenelle des arènes un peu fada, que nous sommes contraints d’endurer ici, bien malgré nous.

@rosemar. Petit-fils de féministe historique, fils de misandre victimaire (mais avec femme de ménage), frère de matriarque absolue, répudié et spolié par kleptomane paranoïaque, et père de [censuré, c’est indicible], soumis à plus de soixante ans de propagande misandre victimaire, et rescapé par baraka de plusieurs tentatives d’assassinat, je suis en mesure de répondre ce qui suit :

Le féminisme maintenu dans nos pays surenveloppés au 21e siècle, c’est une collection d’astuces pour haïr et mépriser son prochain, toutes ensembles, et pour se garantir l’une l’autre l’impunité pénale à tous les crimes et délits que cette idéologie de la haine inspire, une école de malveillance et de déni d’autrui. Suivant la règle générale qui constate que la perversité et la corruption sont des cliquets à sens unique — tout gangster évolué, capable de corrompre magistrats, policiers et hommes politiques te le confirmera, tout agent secret en charge de la manipulation de traîtres à leur pays te le confirmera aussi : un corrompu est prisonnier de sa corruption —, le féminisme dans nos pays gavés et surenveloppés est descendu toujours plus profondément dans l’abjection, dans la perversité, le sadisme et la fourberie dans l’intimité des familles.

Je confirme que la guerre sexiste, dont la rosemarde est une militante passionnelle, est un crime contre l’humanité, organisé par des marionnettistes, une richissime criminalité organisée.
Exemple : https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/gloria-steinem-le-feminisme-et-la-185655#forum5954886
Et ce ne sont pas les autres preuves à charge qui manquent.
Ma propre position à ce sujet, cette criminalité organisée, est publique :

Je confirme en outre que toutes les sectes vendent à leurs adeptes des prothèses narcissiques, leur font miroiter qu’à l’avenir, grâce à leur crédulité, voilà qu’ils sont devenus l’élite des initiés qui savent.