Climato-sceptique complotiste, la consécration ?
Une petite discussion cet après-midi avec un collègue de travail, qui en manque d’arguments - je l’interprète ainsi -, a commencé à répondre a mes objections par les termes classiques, climato sceptisme, complotisme …, a tourné court.
A partir de ce moment, la discussion et l’échange futur d’arguments documentés n’étant plus possible, nous sommes retournés vaquer à nos obligations professionnelles.
Je ne remets pas en cause les documents du GIEC, mais seulement la partialité de l’analyse.
J’ai recherché quelques arguments en ce sens, qui peuvent éclairer sur l’objectif de nos élites à nos dépens.
- Les « seventies »
Les politiques de l'Agenda 21 et du développement durable datent des années 1970 et plus précisément de la Conférence des Nations unies sur l'environnement de Stockholm 1972).
Une des grandes décisions de cette conférence ( https://www.un.org/fr/conferences/environment/stockholm1972 ) fut la création du Programme des Nations Unies pour l'environnement (PNUE)
Mais elles ne furent médiatisées qu'à partir de 1992 lors du Sommet de Rio.
https://www.un.org/fr/conferences/environment/rio2012
D’autres conférences ultérieures ont donné une indication sur le chemin a suivre.
« La terre ne peut être considérée comme un bien ordinaire, contrôlée par des particuliers et soumise aux pressions et aux imperfections du marché. La propriété foncière privée est également un instrument majeur d’accumulation et de concentration de la richesse, qui contribue à l’injustice sociale. » – Préambule de la Conférence des Nations unies sur les Établissements Humains, 1976.
Jusqu’au déclarations présidentielles
« Les décisions d’exploitation des terres privées sont souvent motivées par de fortes incitations économiques qui entraînent des conséquences écologiques. La solution pour y remédier passe par les politiques publiques. » – Rapport du Conseil présidentiel au Développement durable, page 112, 1996
https://clintonwhitehouse2.archives.gov/PCSD/Publications/TF_Reports/amer-chap5.html
- Le GIEC
Le GIEC ne voit le jour qu'en 1988, et son organisation a été confiée à l’Organisation météorologique mondiale et au Programme des Nations unies pour l'environnement. C’est le G7, comprenant alors le Canada, la France, l’Allemagne de l’Ouest, l’Italie, le Japon, le Royaume-Uni et les États-Unis, qui a proposé ce concept. Plus précisément, ce sont deux dirigeants qui vont pousser cette création : la Première ministre britannique Margaret Thatcher et le Président américain Ronald Reagan.
Les objectifs politiques : Le Président américain avait pour motivation de ne pas laisser le sujet du climat à des groupements écologistes et de le mettre dans les mains de scientifiques, La Dame de fer de son côté avait aussi un objectif de politique interne alors qu’elle était en conflit depuis des années avec les syndicats des mineurs du charbon et qu’elle voulait plutôt favoriser le nucléaire pour le Royaume.
- La Mission du GIEC
On découvre l’existence d’un biais dans la mission dévolue au GIEC par l’ONU/G7 lors de sa création.
On remercie, entre autres, Greenpeace de rappeler clairement la mission première, sans la tronquer, du GIEC.
Le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) est un organisme intergouvernemental ouvert à tous les pays membres de l’ONU. Le GIEC a été créé en 1998 à l’initiative du G7, avec pour mandat d’« évaluer, sans parti-pris et de façon méthodique, claire et objective, les informations d’ordre scientifique, technique et socio-économique qui nous sont nécessaires pour mieux comprendre les risques liés au réchauffement climatique d’origine humaine »
https://www.greenpeace.fr/le-giec/
Le GIEC (Groupe d’experts Intergouvernemental sur l’Evolution du Climat, IPPC en anglais) est un organisme intergouvernemental qui étudie l’impact de l’activité humaine sur les changements climatiques
Le GIEC a pour mission « d’évaluer, sans parti pris et de façon méthodique, claire et objective, les informations d’ordre scientifique, technique et socio-économique qui nous sont nécessaires pour mieux comprendre les fondements scientifiques des risques liés au changement climatique d’origine humaine »
https://www.actu-environnement.com/ae/dossiers/GIEC/mission_GIEC.php4
A partir de la, toute cause extérieure à l’activité humaine (activité solaire, activité sismique, ...), a été systématiquement refusée et réfutée sans approfondissement et justification puisque la mission originelle était l’impact de l’activité humaine sur les changements climatiques.
Les premiers rapports du GIEC étaient un préambule à la mise en place de l’Agenda 21.
- Développement DURABLE / Agenda 21
Selon la définition officielle (https://www.insee.fr/fr/metadonnees/definition/c1644) , le développement durable serait « un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures de répondre aux leurs. »
Cela ne change en rien ce qui a toujours été appliqué par nos ancêtres. Ce n’est pas pour autant qu’ils appliquaient la privation de propriété.
Ce qui n’est pas durable selon Le Global Biodiversity Assessment, publié par l’ONU après le Sommet de Rio (http://www.freedomadvocates.org/download/research/Unsustainables_UN_Global_Bio_Div_Assess_95_Pages.pdf)
« L’agriculture, la pose de clôtures, les pâturages, les cours de golf, les routes goudronnées ou pavées, l’aquaculture, l’industrie, la plongée sous-marine, les plantations, les chalets de ski, les chemins de fer, les matériaux de construction, l’élevage de bétail, les barrages et réservoirs, la construction de ligne électriques, les égouts, les cimetières, les autoroutes (…). »
Ceci donne un aperçu des activités interdites dans un futur proche. Une idée plus approfondie peut être forgée en consultant les publications des organisations siuvantes : WEF, AGENDA 21, …
L’Agenda 21 et les politiques de « développement durable » ont été construites autour de l’idée que les ressources de la Terre sont non seulement limitées, mais en grand danger d’extinction en raison de la supposée surexploitation.
La solution avancée pour éviter cela est le contrôle gouvernemental sur l’utilisation des ressources et l’aménagement du territoire ;
« Les droits individuels devront s’effacer devant le collectif. » – Harvey Ruvin, Vice-président du Conseil international pour les initiatives écologiques locales.
http://www.klamathbasincrisis.org/un/agenda21andpropertyrights012212.htm
« Les droits de propriété ne sont pas absolus et immuables, mais sont plutôt une relation complexe, dynamique et changeante entre deux ou plusieurs parties, dans l’espace et dans le temps. » – Global Biodiversity Assessment, Section 11.2.3.13, page 767, 1995.
Donc les déclarations des organisations mondialistes (ONU) semblent indiquer qu’une remise en cause du doit de la propriété serait bénéfique pour la planète.
Pour rappel a ceux qui n’ont pas de culture politique,
« La théorie communiste peut être résumée avec ces mots : abolition de la propriété privée. » Karl Marx, Manifeste du Parti Communiste, chapitre 2, 1848.
https://www.marxists.org/archive/marx/works/1848/communist-manifesto/ch02.htm
Le contrôle des terres par l’État est le premier point du Manifeste du Parti Communiste de Marx et fut l’une des premières décisions de Lénine après la Révolution d’Octobre. https://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9cret_sur_la_terre
Doit-on comprendre que tout ce que nous possédons ne nous appartient pas.
Nos droits ne sont pas absolus et inaliénables, ce ne sont juste des permissions temporaires accordées par le gouvernement ?
Cela peut être repris à tout moment ?
Il semblerait que dons textes internatinaux indiquent que nos libertés ne peuvent jamais aller à l’encontre des politiques mondialistes :
« Ces droits et libertés ne pourront, en aucun cas, s’exercer contrairement aux buts et aux principes des Nations Unies. » – Article 29 de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme, 1948.
Après ce petit résumé des finalités de l’agenda 21 épaulé par le GIEC, chacun se faira sa propre idée du futur et des droits qu’il léguera a ses descendants.
On va étouffer dans l’œuf les attaques du style « climato sceptique », « complotiste », etc...
Je ne conteste pas le dérèglement climatique (tout le monde a pu en juger cet été) , je conteste juste l’explication simpliste, fournie au Vulgum Pecus, qui s’attache à passer sous silence les causes autres que l’activité humaine.
On ne peut en vouloir au GIEC, c’était sa mission, et en ce sens, il effectue un excellent travail.
Je ne suis pas complotiste, j’indique juste des faits vérifiables par tout un chacun, et surtout des propos tenus par les organisations mondialistes.
Et que penser de cette phrase prononcée par Klaus Schwab, grand prêtre du WEF,
« Vous n’aurez rien et vous vivrez heureux »
Chacun en tirera sa conclusion.
Bonne méditation.
49 réactions à cet article
Ajouter une réaction
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
FAIRE UN DON