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Accueil du site > Tribune Libre > Coke en stock (LVII) : les poupées Fulla et l’émir

Coke en stock (LVII) : les poupées Fulla et l’émir

Et puis, lors de cette longue enquête, on découvre encore des surprises. L'une d'entre elles concerne les activités d'un des impliqués dans l'affaire, qui avait trouvé encore un autre moyen que de grapiller sur la taxe carbone pour faire fortune. Il est très surprenant, mais il ne doit pas nous faire oublier le fond de l'histoire, celle d'un immense trafic de drogue ayant pour origine la Colombie et le Vénézuela, passant par la côte Ouest de l'Afrique, puis remontant vers le Maroc, et dans lequel des français sont impliqués, dans une forme de "French Connexion Revival". Un trafic qui nous en a rappelé un autre, celui ayant impliqué un membre éminent de l'Arabie Saoudite, il y a quelques années, et qui avait déjà eu droit ici à son épisode dédié. A ce tableau chargé, il ne manquait plus qu'un volet trafic d'armes. Or là aussi, l'enquête en cours semble s'orienter vers le genre... C'est bien une énorme affaire de bout en bout.

Dans ce lourd dossier Neyret, Stéphane Alzraa représente un beau cas d'espèce. Son yacht, sa luxueuse villa de la Roquette-sur-Siagne, louée 12 000 euros par mois, ces Bentley, Rolls Royce, Aston Martin dont il changeait régulièrement, ce sont l'un des aspects premiers et visibles de sa fortune, une fortune réalisée de manière fort particulière. Outre l'escroquerie à la taxe carbone, Alzraa, selon Lyon capitale, était resté en France, au contraire de ses "collègues" du marché, tous réfugiés...en Israël, tel l'escroc de très haut vol Gilbert Chikli (sous le coup lui d’un mandat d’arrêt de la juge Gagnard *). :"A Lyon, il n'y a pas 50 types susceptibles de se payer ce genre de bolides. On savait tout de suite que c'était lui", explique un commerçant. Très peu discret, Stéphane Alzraa ne se cachait pas. "Je savais que certains escrocs juifs qui avaient bénéficié de la taxe carbone allaient se réfugier en Israël où les accords d'extradition n'existent pas pour ce genre d'infraction, je ne comprenais pas pourquoi lui restait en France. Aujourd'hui, j'ai peut-être compris..."précise notre interlocuteurAlzraa, un juif, donc, qui avait réalisé une fortune non pas uniquement avec le détournement de la taxe carbone, mais en vendant... des poupées Fulla (? ??). Oui, et ça semble assez incroyable : la fameuse Barbie voilée, la "Barbie islamiste", c'est lui qui en est à l'origine ! La seule poupée vendue dans les pays arabes, c'est lui en effet !!!

Sur le forum de la mosquée de Lyon, on trouve un enthousiaste qui explique ce qu'elle est et ce qu'elle représente : "Depuis son lancement en 2003, la poupée « musulmane » ne cesse de faire des adeptes : 2 millions d’exemplaires auraient été vendus en deux ans dans le monde arabe. Fulla a quasiment les mêmes proportions que la blonde Barbie occidentale, mais la comparaison s’arrête là. Leur seul point commun : elles sont toutes deux fabriquées en Chine. Sinon, Fulla a le teint mat et de grands yeux marron. Dans la version du Golfe, elle porte une abbaya noire et est vendue avec son tapis de prière. Dans sa version nord-africaine, elle porte le hidjab et de longues robes couvrantes." "Pas de maillot de bain dans sa garde-robe et pas de petit ami non plus. Pas de Ken oriental à l’horizon. « Les parents ne veulent pas de ça. (enfin des gens qui réagissent !) Ce n’est pas culturellement correct. "Fulla sera toujours célibataire", explique Fawaz Abidin, son créateur". En somme c'est "Barbie au pays des barbus"résume un autre article sur un ton fort amusant. Un Fawaz Abidin, "manager de la société New Boy basée à Damas" apprend-t-on, alors qu'il possède une adresse en Ohio.  Le gag absolu de l'histoire, c'est ce qu'on trouve sur sa distribution : la poupée qu'on ne peut véritablement déshabiller (ses sous-vêtements font partie intégrante de son corps !) est interdite de vente en Israël : "la connexion de Fulla avec la Syrie - toujours en guerre avec Israël - empêche la distribution officielle en zones sous contrôle israélien, comme Jérusalem-Est, même si elles peuvent parfois se retrouver dans les magasins de jouets là-bas" peut-on lire ici. Alors qu'une des adresses de son créateur véritable est... en Israël même, sur Eshel Street à Herzelya Pituach, depuis 2007, à Tel Aviv même : l'endroit où l'on trouve "the most luxurious villas in israël"Du grand art de détournement pourrait-on dire : le jour où les parent des petites filles arabes islamisées vont découvrir qui fabrique véritablement leurs poupées, ça va provoquer un sacré séisme dans les familles ! C'est décidément une incroyable affaire de bout en bout !

Du "lourd" disait-on dans les épisodes précédents, car les ramifiications sont immenses. Le magazine LePoint, qui suit l'affaire de très près, visiblement, lâchait ces derniers jours d'autres pistes... originales, disons, comme celle d'une des fiches de personnes recherchées qui aurait été consultée (ou revendue ?) par Michel Neyret. On y trouve des noms, tel celui de Tristan de Gouvion Saint Cyr... que l'on retrouve assez rapidement à la tête d'une Banque, l'ABN AMRO BANK N.V, "datant de 1824", et qui se retrouve en 2008 sponsorisée par la Chambre de Commerce Française de Singapour, avec comme clients privilégiés les "expatriés", l'email du contact de las'intitulant "expats" ! L'homme, né en 1979, était auparavant chez Axa et la Barclays, et faisait aussi partie du "Lyon by Night", à en croire la presse people locale. Un descendant de Maréchal d'Empire et ministre de la Guerre et de la Marine et des Colonies sous Louis XVIII ! Le gag ultime étant que l'adresse parisienne d'Interpol est située 60 Bd, Gouvion StCyr à Paris, dans le XVI eme, et que l'agence internationale enquête justement aussi sur Neyret !

Autre caractéristique également de l'affaire, son démarrage, ne l'oublions pas, avec une énorme saisie de coke et un ratage le même jour. La coke de Neuilly, rappelons-le aussi, était de plus planquée dans l'appartement "d'une princesse saoudienne", dont on avait lourdement insisté dans la presse pour dire qu'elle n'y était pour rien ("l'appartement étant en travaux" dira devant les caméras Christian Flaesch, le directeur de la police judiciaire de Paris), sans expliquer pour autant ce que pouvait y faire Tepié, qui visiblement avait les clès pour y entrer, dans cet appartement ! Un appartement situé à l'angle du boulevard du Château et de la rue Edouard-Nortier, à Neuilly-sur-Seine (Hauts-de- Seine), au quatrième étage. Or cette histoire de drogue et de personnes saoudiennes haut-placées, ça donne des boutons aux policiers français, toujours frustrés par l'issue d'une vieille histoire du même tonneau.Cette nouvelle 'histoire, pour sûr, en rappellait très certainement au départ aux policiers une autre, celle de 1999 du Boeing de Nayif bin Fawwaz al-Shaalan al-Saud, surpris au Bourget avec pas moins de deux tonnes de cocaïne à bord (***). Une drogue arrivée par un circuit somme toute assez voisin de l'actuel : envoyée par Oscar Eduardo Campuzano Zapata, Juan Gabriel Usuga Norena et Carlos Alfonso Ramon Zapata, trois membres du cartel de la drogue de Medellin, l'expédition de ce lot avait été l'objet de préparatifs dans la villla du prince saoudien à Marbella, dans la superbe résidence même du roi Fahd en personne (décédé en 2005)... Une villa qui est la copie de la Maison Blanche, paraît-il ! Le tableau présenté se présentait pareil dans l'affaire Fawwaz al-Shaalan al-Saud, : un Boeing 727, une quantité colossale de drogue : les services secrets français, on veut bien le concevoir, devaient donc être sur les dents depuis longtemps à revoir jouer les mêmes ingrédients, et s'attendre au final à se faire rabrouer au nom de la protection diplomatique... une histoire pire encore, cette fois, en quantités de drogue importée. Cinq fois plus par voyage !

Une DGSE qui était effectivement gênée par la situation, pour une autre raisons encore, les relations avec les princes saoudiens posant certains problèmes : des princesses saoudiennes habitant dans le XVIeme, il n'y en a pas tant que ça, et l'une d'entre elles, en 2009, avait en effet déjà défrayé la chronique pour... grivèlerie, ce qui n'avait pas cessé d'étonner tout le monde, pour une des femmes les plus riches du monde. Maha al-Sudaïri, l'épouse de épouse de Naïef Bin Abdulaziz Al Saoud, demi-frère du roi Abdallah, qui, une fois pincée à ne pas avoir réglé un nombre considérable d'achats dans diverses boutiques, avait au final tout simplement refusé de quitter le George V où elle avait élu domicile pour ne plus en sortir, même sur l'invitation polie de la Police ! Une situation plus que délicate pour la diplomatie française, toujours en train d'essayer de fourguer des Rafale au Royaume ! Remarquez, elle pouvait effectivement s'y réfugier sans problème : son propriétaire n'étant autre que le princeAl-Walid, son propre neveu ! Un homme ayant comme représentant en France le sulfureuxhomme d’affaires franco-tunisien Mohamed Ayachi Ajroudi, connu pour d'autres frasques auGeorges V (un problème enterré depuis, visiblement). J'avais déjà écrit à son propos "curieux personnage que ce Djourhi. Un homme qui dispose "d’une suite à l’année à l’Hôtel Crillon" (et habite à Genêve !)". Pour le total des frasques d'impayés de la princesse dans les divers magasins parisiens, on en était arrivé en une année à 15 millions d'euros de dépenses ! Depuis 2009, plus aucune communication sur la question : les commerçants auraient-ils été depuis remboursés ? On n'en sait rien, à vrai dire. En 1995, la même princesse avait déjà fait des siennes à Orlando en Floride, en battant une de ses employées qu'elle avait accusée de lui voler 200 000 dollars, le tout devant ses propres gardes du corps qui avaient laissé faire. En 2004, la Chambre de Commerce franco-arabe l'avait néanmoins engagée comme "consultante" ; poste qui avait ravi à l'époque Christian Bodin, nommé plus tard Chef de la Mission économique française en Arabie Saoudite. Avec le royaume d'Arabie, on marche toujours sur des œufs dans les contacts des personnalités. Voilà pourquoi sans doute on nous a dit que l'appartement était "en travaux" c'était la solution la plus simple, vraie ou pas, à gérer vis à vis des médias qui aurairent pu s'étonner du propriétaire. Voilà une "absence" bien pratique !

En tout cas, une situation qui a en fait qu'empirer avec le temps, et qui pose encore problème aujourd'hui : au décès de son frère, le prince Ben Abdel Aziz, survenu fort récemment, le 21 octobre dernier, c'est en effet le Prince Nayef Ben Abdel Aziz en personne, âgé de 78 ans, alors ministre de l'Intérieur d'Arabie Saoudite, mais aussi le mari de Maha al-Sudaïri, qui a été nommé nouveau prince héritier du royaume pétrolier. Le roi Abdallah, âgé de 87 ans, ayant alors juste quitté l'hôpital de Ryad où il avait subi une opération au dos, n'étant pas au mieux de sa forme non plus. Le second personnage du royaume (et donc très bientôt le premier sans doute) ne s'approche pas aussi facilement qu'un fabricant de crevettes au Sénégal, ça aussi, je veux bien le comprendre pour les policiers, comme pour la DGSE. Pour beaucoup encore, Nayef Ben Abdel Aziz demeure en effet une véritable énigme. Personne ne sait ce qu'il pense exactement (**). 

On comprend alors pourquoi cette affaire Neyret a mis huit mois à sortir : partout où les policiers marchaient, c'était sur des œufs ou des braises. On est en face d'un énorme histoire, dans laquelle Neyret a donc visiblement trempé, et dans laquelle il devient fort difficile pour lui de tenir l'idée que c'était seulement pour y faire un travail d'infiltration. Le fait d'avoir agi visiblement seul dans cette affaire le dessert énormément. Si cétait le cas, il y a belle lurette qu'il aurait déjà été blanchi, je pense, pour les quelques kilos de hasch avoués avoir été remis à ses informateurs. Non, on s'achemine vers un bout visible d'un iceberg colossal, sur lequel Neyret n'aurait pas simplement joué les simples explorateurs polaires. Avec une grande difficulté pour la police à démêler tout l'écheveau, tant il est étendu et concerne plusieurs pays, et donc plusieurs législation différentes. Quand ce n'est pas sur les traces d'un truand espagnol (ex-flic) qui découpe sa victime à la tronçonneuse, c'est sur un imbroglio diplomatique mêlant le Sénégal et le Golfe d'Arabie. Quand ce n'est pas un petit truand qui se retrouve occis dans un parking, en France, c'est un boxeur proche d'un ancien ministre qui joue les mercenaires protecteurs d'hélicoptère Corse. Quand ce n'est pas le Maroc, point d'aboutissement africain avant de partir pour l'Europe d'une drogue venue de l'Afrique de l'Ouest. Et quand ce n'est pas une fausse pêcherie sénégalaise payée par l'aide humanitaire mondiale, c'est dix tonnes de coke qui se retrouvent en plein milieu du désert malien. Avouez qu'on tient là depuis le début une des plus grandes histoires de trafic de drogue depuis plusieurs décennies. C'est bien une nouvelle "Connection" ce gigantesque iceberg, qui prend de plus en plus des allures de "French Connection bis".

Car l'enquête qui avance montre bien ce côté international de l'affaire : le commissaire Neyret y jetant régulièrement un œil, apprend-t-on récemment nous affirme le Figaro du 9 novembre dernier : "Déjà, l'IGS a pu constater que Michel Neyret ne ménageait pas sa peine pour renseigner ses « amis » du milieu sur ce que la police savait d'eux. Pour leur compte, il consultait notamment la base Interpol, ce fichier de police international où est inscrit le pedigree des gros voyous et où figure la conduite à tenir pour les forces de l'ordre au cas où elles les croiseraient. « Quel est l'intérêt » de savoir si un individu fait l'objet d'une fiche ?, lui a demandé l'IGS en garde à vue. Réponse énigmatique : « Le fait de savoir qu'elle est recherchée ». Et si c'est le cas ? « Il s'organise à sa manière pour ne pas se faire attraper », a répondu l'ex-numéro deux de la PJ lyonnaise. Qui se trouve, du coup, fortement suspecté d'avoir aidé des fugitifs à échapper à la justice." Au Maroc, un fugitif était au moins au courant de cela : Albert Bénichou ! 

Vous allez me dire, avec cette drogue et ses voyages en avions ou en containers, il manque un volet à votre enquête : les armes. Détrompez-vous, selon toute logique, on y vient aussi, selon LyonCapitale : "L'IGS, la police des polices, n’est pas le seul service à enquêter sur l’ancien numéro 2 de la PJ de Lyon. Les douanes judiciaires et l’Office centrale de répression de la grande délinquance financière (OCGRDF) travaillent également dans le sillage des affaires de trafic de drogue qui touchent Michel Neyret, en particulier l’affaire de Neuilly où 111 kilos de cocaïne ont été retrouvés en novembre 2010. Mais d’autres services plus inattendus se penchent également sur l’ex-commissaire Neyret. En effet, cinq agents de la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE) travaillent à Lyon et à Paris sur une filière de trafic d’armes. D’après nos informations, la DGSE s’étonne de voir citer le nom du commissaire Neyret dans les écoutes d’individus qui naviguent dans l’entourage de trafiquants d’armes juifs originaires de Russie. Certains de ces individus seraient notamment installés en Angleterre. Ces derniers jours, trois agents de la DGSE ont enquêté sur des secteurs bien repérés du trafic d’armes dans la région lyonnaise, la banlieue est de Lyon". On retombe en milieu connu, là... prostitution, drogue, armes, ukrainiens ou russes : voilà qui nous rappelle les frasques de Léonid Minin, arrêté à Milan en août 2000  ! Les caisses de Kalachnikovs posées sur les sièges d'un avion de ligne !

C'est donc bien une affaire incroyable, ce que j'avais bien compris dès le départ de cette série, qui je vous le rappelle, proposée une première fois ici le 8 mars 2010, quatre mois seulement après l'incendie du Boeing, avait été repoussée par une cabale de votes négatifs menée par quelqu'un qui s'était vanté ici que ce texte n'avait aucun intérêt, après avoir lui-même proposé des faux rédigés par une série de copier-coller de textes volés chez d'autres. Je l'avais proposée ailleurs, passablement écœuré par ce troll, avant de la remettre en ligne... presqu'une année plus tard le 12 février dernier, une fois le troll éjecté, et l'actualité avait depuis continué "naturellement" à l'alimenter. Ironiquement, ça prouve encore davantage les méthodes utilisées par certains pour que ce genre d'affaire ne soit pas ébruitée : que craignaient-ils donc sur ses attenants ? Qu'en savaient-ils pour aussi vite y détecter un danger pour eux-mêmes ? Tous les moyens sont bons pour une frange de provocateurs propagandistes du net. Et ils ne s'en privent pas, hélas, d'empêcher les gens de savoir ce qui se passe : sur cette affaire, on en a encore pas mal à apprendre en effet. Mais aujourd'hui, il faut bien comprendre que pour la police française, le choc est plutôt rude, et les révélations explosives du week-end de Paris-Match et du Point ne vont pas assainir la situation chez eux. Un juge a en ce moment fort à faire pour démêler tous les aboutissants de cette incroyable affaire, souhaitons qu'il puisse aboutir maintenant à élucider son intégralité. Car cette affaire, je le rappelle, est énorme depuis le début !

 

(*) Chikli, qui escroquait les banques en se faisant passer pour un gars de la DGSE !

http://www.dailymotion.com/video/xdvp08_maitre-sylvie-noachovitch-a-propos_news

http://www.dailymotion.com/video/xdvp2z_maitre-sylvie-noachovitch-a-propos_news#rel-page-1

Chikli chez Morandini :

http://www.jeanmarcmorandini.com/article-38668-un-homme-accuse-d%E2%80%99escroquerie-se-confie-sur-fr2-demain.html

"il y a une différence entre un escroc et celui qui joue une scène"...

 

(**) on peut à nouveau regarder l'excellent reportage fait sur cette affaire :

http://www.indybay.org/newsitems/2009/11/16/18628884.php?show_comments=1

et relire l'ouvrage de Fabrice Monti sur "La coke saoudienne". Sur le prince Saoudien on peut relire ceci :

http://abcnews.go.com/2020/News/story?id=169246&page=1#.TtQVG2Cv3II


Moyenne des avis sur cet article :  2.38/5   (26 votes)




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3 réactions à cet article    


  • blablablietblabla espritsubversif 29 novembre 2011 20:31

    Pétard Morice et après tout ça tu arrive à dormir la nuit ?

     

    J’avoue que à chaque article est très bien fouillé, mais toujours en relation avec des armes il faut croire que tu aime ça .

     

    Ceci dit j’aime beaucoup tes articles ça me fait penser à Bakchich la satyre en moins !


    • co2man 23 janvier 2014 10:47

      Cher Morice, cette information capitale n’a certainement pas dû vous échapper. Elle mériterait bien une de vos fameuses enquêtes ! Le personnage de Cyril Astruc, personnage aux milles facettes, est la clé de l’escroquerie à la taxe carbone et c’est un ancien trafiquant de stups. Les conditions de sa « reddition » à la France demeurent mystérieuses...
      http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/01/10/97001-20140110FILWWW00623-affaire-neyret-un-homme-interpelle-et-ecroue.php


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