Comment la farce de l’UE s’est révélée

Ô abuseur et calomniateur protégé par le Parti Intérieur, je réitère ma question :
 Ils sont où tes travaux scientifiques ? Tes réalisations ? Tes découvertes ? Tes brevets ? Tes publications ? Tes diplômes, pour commencer.

 
Pervers et malveillant par construction, tu ne te consoleras jamais que j’ai réchappé de plusieurs tentatives d’assassinat qui sont publiques. Tu ne te consoleras jamais que j’aie déjà fait tomber des escrocs, en attendant de faire tomber une escroquerie à l’échelle planétaire, dont tu es thuriféraire.

Tu m’accuses de délits d’opinion que tu es totalement infoutu de prouver. Il ne s’agit que d’opinion présumée par un délirant chronique, toi-même.
Jamais tu n’as manipé en physique, et cela se voit à tes délires hors-sol que tu prétends être mathématiques.

Jamais on ne te verra réaliser quoi que ce soit : vampire et pervers, tu ne sais que sucer le sang des autres, afin de leur nuire au maximum.

@Positronique : « j’ai cherché partout ». Fieffé menteur !
Environ quatre fois par an, Academia me signale que quelqu’un a cherché puis consulté mon brevet de 1984, et que si je veux savoir qui c’est, faut payer.
Procédé de fabrication de produits minéraux à base d’argile, présentant une grande stabilité dimensionnelle, et produits en résultant.
Le brevet est depuis longtemps dans le domaine public. Alors payer... 

Chaque mois en moyenne, les mêmes me signalaient des lectures de « Zitterbewegung, Bragg, Compton ». Là encore, ils m’invitent à payer pour avoir les coordonnées du lecteur. Ce dont je n’ai rien à foutre.

On attend encore communication des travaux et découvertes de l’anonyme harceleur ; un parasite hématophage qui broute les couilles.

@JC_Lavau. Wikipedia encore :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Remigration
 
Encyclopédie ?

@négatron annihilé. On a très bien compris que tu es un psychotique qui souffre, et que comme tous les hyperamygdaliens, ton réflexe est de cogner sur tout ce qui bouge, est à ta portée, et te semble inoffensif, dans l’espoir de te soulager.
 
Je ne saurais trop t’encourager à consulter un psychiatre. On a en stock les moyens d’atténuer tes symptômes et ta souffrance. Cela pour le court terme.
 
Mais si tu veux rester fou furieux, cela peut durer jusqu’à ce que la police te ramasse, et que tu passes en hospitalisation d’office.

@Cyrus (TRoll de DRame). Henri de Gail était directeur général, et juriste de formation. Crois-tu qu’il ait rédigé une ligne du brevet ? En revanche on a eu recours à un conseil en brevets, notamment pour rédiger les revendications.

@Cyrus (TRoll de DRame). Stargil n’a JAMAIS pu être relancée. Le savoir-faire ouvrier se disperse et s’oublie très vite.
 

Stargil Italia a reproduit nos résultats sans problèmes à l’échelle du laboratoire, mais n’a pu les agrandir à l’échelle de l’usine. Ils se sont alors tournés vers l’Université de Stuttgart qui avait une tradition d’autoclavage. Mon procédé voulait éviter l’autoclavage, d’où une séquence entièrement à la pression atmosphérique, en principe moins coûteuse.

En revanche, nous avons eu le plaisir de faire tomber l’escroc :
http://impostures.deontologic.org/index.php?board=24.0
http://impostures.deontologic.org/index.php?board=26.0
 
« Nous » : Jean-Louis Gleizes et moi-même.
Lui il était chargé de démarrer l’usine en Iran, au Sud de Qazvin.
La carrière choisie par Michel Laquerbe ne convenait en rien ; du limon et non pas de l’argile. Inextrudable, et jamais l’usine n’a pu produire. Le matériau convenable n’existe pas dans cette région, et la carte mondiale des sols FAO-UNESCO montre bien pourquoi : zone à sol salin, un Solontchak orthique. En amont, il y a des émergences volcaniques à acide sulfurique.
Moi j’ai démonté les bluffs de Laquerbe en radiocristallographie.
Cette révision accélérée a eu des retombées inattendues, en 2011.

@Cyrus (TRoll de DRame). Techniquement, il n’y a pratiquement rien de commun entre Laquerbe, qui s’est contenté de reprendre ce qui était déjà breveté aux Etats en 1885, mélanger de l’argile et du ciment, et ce que nous avons élaboré à Saint-Méen. Résultat au ciment avec le mélange argile de Saint-Jacut + schiste de Saint-Méen : 2000 à 7000 ppm de dilatation à l’eau en essais normalisés du CTTB, alors que la norme est un maximum de 600 ppm.

Pour nous le réactif principal est la chaux, Ca(OH)2 ou CaO. Or c’est un floculant énergique, utilisé dans des chantiers routiers.
Toutefois, pour préserver en partie la plasticité indispensable à l’extrusion — l’usine de Saint-Méen produisait des briques plâtrières, hélas à la dilatation catastrophique— j’ajoutais environ 1 % de soude NaOH. Le pH passait à 14, ce qui accélérait l’attaque des feuillets argileux dans des néoformations. En échange, le traitement thermique devait passer en deux phases, une phase en humidité saturante vers 100°C qui produisait les composés calciques, une phase de déshydration-recristallisation des composés sodiques à 125°C. La caractérisation minéralogique des néoformations est restée incertaine. L’albite détectée était peut-être native dans le schiste de Saint-Méen.

Il en est resté un procédé de test accéléré aux Ponts et Chaussées (article d’André Leroux dans le bulletin du LCPC) : pour apprécier l’aptitude d’un sol à une réaction pouzzolanique à la chaux, accélérer la réaction par 1% de carbonate Na2CO3. Le carbonate est beaucoup moins dangereux pour les opérateurs que la soude caustique. Sa caustification à la chaux est connue depuis l’antiquité égyptienne, l’Ancien Empire et la pyramide de Djézer.

Dans les pays où les sols ferrallitiques et latéritiques existent, le gros problème d’approvisionnement est la chaux calcique : il faut que le gisement de calcaire non dolomitique existe, et que quelqu’un ait investi dans un four à chaux. Or en 1979, aussi bien chaux que ciment étaient importés à Madagascar, qui à l’époque ne produisait rien. Depuis il existe une cimenterie, qui n’est approvisionnée en charbon que par camions. Charbon du Sinaï. Economiquement, Madagascar est un pays à s’arracher les cheveux. Pour l’investisseur, l’étude du marché pour un four à chaux n’est pas enthousiasmante.

@Cyrus (TRoll de DRame).
La caustification du carbonate à la chaux, avec hélas l’absence de chiffres en indice, ce qui rend l’écriture de la chimie presque illisible.
 Na2CO3 + Ca(OH)2 —> CaCO3 + 2 NaOH.
Ou plus correctement en ions (avec l’absence en plus des exposants pour les charges élecriques) :
2 Na+ CO3— + Ca++ + 2 OH- ==> CaCO3 + 2 Na+ + 2 OH- 
Le carbonate de calcium précipite.
De mémoire (le cours de C.A. Jouenne est trop loin pour mes bras), le carbonate de sodium saturant est au pH 11,6, l’eau de chaux vers 12,2. Avec un bécher, un agitateur et un pH-mètre, la montée du pH à 14

lors du mélange est spectaculaire.

C’est ce qu’utilisaient les égyptiens du temps de Djézer. Le bois qui servait aux fours à chaux (ainsi qu’aux fours à cuivre et à émaux) ayant pratiquement disparu d’Egypte, l’industrie minière et chimique qui fondait le pouvoir sacerdotal et pharaonique sous l’Ancien Empire est pratiquement incompréhensible de nos jours. Le pays de Kham avait pour spécialité la khimie, qui s’est partiellement transmise en al khimie. Certains autres termes égyptiens sont encore en usage : natron, nitre. La Wadi Natroun a conservé son nom.

@JC_Lavau. Ça a pris quatre jours plein temps, mais voilà en ligne la version à jour exposant les gyreurs :
http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/SYNTAXE2_.htm
et en pdf :
http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/SYNTAXE2_.pdf

Notations enfin harmonisées avec le wiki, sauf pour noter les tenseurs symétriques tels que le tenseur d’inertie. La bonne notation existe en LaTeX, mais hélas Libre-Office ne suit pas le standard. Reprendre tout ça en LaTeX sera pour plus tard.
Le fichier suivant est surtout intéressant pour les relations métriques dans les cristaux ; ce qui fait peu de gens... Il attendra encore, car j’ai beaucoup d’autres chantiers en retard criant. 
Certes, le Sirotine et Chaskolaskaïa de 1984 (Fondements de la physique des cristaux) donne bien les mêmes relations métriques, que je ne pouvais évidemment pas mettre en ligne en 1972, mais cette édition historique et précieuse semble être à présent introuvable.

@JC_Lavau. La question du complément algébrique de 2005 ou 2008, inachevé et qui ne servait à rien ni à personne a été réglée. A pu !
Il ne reste que ce qui est nécessaire au cristallographe.

@JC_Lavau. Je ne cherche pas un livre que j’ai déjà depuis le 8 novembre 1993, qui m’a coûté 91 F. Je pensais à ceux qui en auraient besoin, et les prix actuels sont pour collectionneurs exclusivement. La fermeture des éditions Mir laisse un grand trou en sciences et techniques.
Il est encore ouvert à côté de moi : j’ai besoin de mieux comprendre la biréfringence, sur laquelle sont basées les lames quart d’onde.
 
Le cours basique de métrique cristallographique (syntaxe3.pdf) est toujours en ligne. Il utilise à fond le tenseur métrique du réseau, comme je l’avais déjà fait en 1972, à la grande colère du maître de conf métallurgiste.

Le complément algébrique qui avait fait polémique malveillante était manifestement inachevé ; il avait pour but non atteint de faire la transition avec les matrices de Dirac ; il est à présent coupé. Les chances que je le reprenne sont fort minces, vu les autres urgences.

Ce cours de métrique cristalline m’avait permis de créer un modèle général de planche de tableur pour prédire les réflex d’un diffractogramme sachant
le métal d’anticathode, et les paramètres cristallins. Evidemment il donne de faux positifs, puisqu’il ne considère que la maille de base, sans son motif. J’ai perdu trois semaines à l’automne 2008 à tâcher de comprendre pourquoi il donnait un faux négatif : une raie du diaspore selon un tableau publié par Caillère et Hénin (Minéralogie des argiles), n’apparaissait pas. Or cette raie là ne résultait que d’une vieille erreur de recopie... La fiche du diaspore sur le site du BRGM a levé le doute.
Là j’ai prouvé que quand Laquerbe prétend trouver de la mullite, de la chaux et de la kaolinite dans le diffractogramme d’un limon de la plaine alluviale, il a tout faux, il a bluffé comme un débutant. Pas de mullite, pas de kaolinite, mais de la chlorite et au moins un mica.
Michel Laquerbe n’a jamais été sédimentologue, et encore moins cristallographe, mais authentique faussaire.

@Cyrus (TRoll de DRame). En 1957, le prof de sc.nats était approvisionné en craies carrées, sciées dans un banc de craie de Champagne. De celles qui parfois contenaient un spicule de silice, provenant d’une éponge du Crétacé. Au tableau, le spicule grinçait à casser les jeunes oreilles. Franquin a dessiné le gag dans QRM sur Bretzelburg, à titre de torture.

Depuis les années soixante, on n’a plus en enseignement que des « craies » rondes, qui sont en réalité du plâtre moulé, et non plus de la craie.

Donc en 1957, cours de géologie, le prof pouvait cuire une craie carrée sur le bec Bunsen, et obtenir un bâton de chaux vive, soit CaO + impuretés. Légèrement craquelé. Après refroidissement, il le mettait dans une coupelle, et envoyait de l’eau dessus, ça boursouflait et se délitait, c’était l’extinction de la chaux : Ca(OH)2 + impuretés.

La magnésie MgO est moins basique, moins sensible à l’eau que la chaux vive, aussi, à pureté suffisante, on l’emploie comme réfractaire pour les voûtes de fours de métallurgie. La matière première est d’origine chimique, élaborée à partir de l’eau de mer. Il n’existe pas de gisement de brucite Mg(OH)2 exploitable, ni de carbonate magnésite. Les gisements magnésiens réellement exploités sont le talc, et l’amiante antigorique.

@JC_Lavau : QRM sur Bretzelburg (à titre de torture).

@JC_Lavau. Oui mais dans le journal, ça a commencé comme je l’ai écrit.
La correction s’est faite en album.
Parution dans le journal, interrompue par la maladie de Franquin, été 1962.