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Accueil du site > Tribune Libre > Comment le féminisme tua la femme

Comment le féminisme tua la femme

Pour ceux qui auraient déjà lu le tout premier billet de ce blog -et ils doivent être aussi nombreux que la horde sénile des fans re-liftés de Régine- et qui s’apprêtent par la force des choses à se jeter tels des Richard cocaïnomanes, sueur au front et bave aux lèvres sur ce deuxième écrit, pour eux donc, mais également pour les quelques autres, je me dois de préciser une seule et unique chose avant de débuter : ce n’est pas que je n’aime pas les féministes (cf. :premier billet). C’est juste que je déteste le politiquement correct.
 
Non en fait je viens de vous mentir. J’aime pas le féminisme et puis tout ce qui s’y rapporte.
 
J’aime pas ça parce je ne peux pas m’empêcher de comparer le féminisme à une forme de communautarisme. Un communautarisme qui voudrait quasiment faire du marxisme et de la lutte historique des classes, une théorie transposable à l’existence des inégalités de genre, à entrevoir une véritable lutte des sexes dont les fins seraient alors salvatrices pour la femme mille fois victime, à travers les âges et les générations, de sa soumission à l’homme.
 
Et à la limite, si le féminisme n’était que cela. S’il n’était que ce qu’il prétend être ; un mouvement politique par les femmes, pour les femmes et sans les hommes – au passage rustres tas de poils et d’hormones tout juste bons à boire de la bière et à enfanter, après trois jours d’une grossesse gazeuse, un mince filet de méthane aux parfums de Belgique, de Flandre et de Wallonie réunies -.
 
S’il n’était qu’un mouvement de libération de la femme et de ses aspirations, un facteur d’équité et d’égalitarisme entre les femmes elles-mêmes, mais surtout entre les sexes, entre les zétètes et puis les autres…
 
Si le féminisme c’était ça, alors je pense que je pourrais passer mon chemin. Or, et Isabelle Alonso pourra bien sortir les crocs, le féminisme n’est en rien, sinon dans ses principes, un mouvement de défense des femmes par les femmes et sans les hommes, mais bien plutôt un truc qui pourrait ressembler à un mouvement d’avilissement de la femme, par les femmes avec les hommes –et pour la gloire de l’économie de marché et du capital-. Cela va de soi.
 
Il faut je crois et sans faire de soralismes, voir en partie le féminisme non pas comme il se présente depuis l’imposture Beauvoir mais plutôt comme il apparaît être et avoir été, comme un formidable outil mis à la disposition de nos sociétés capitalistes dans le but de les alimenter. Sortir les femmes -celles des petites classes- de l’aliénation d’un foyer castrateur de féminité -excusez l’expression- en faisant naître chez elles ce sentiment qu’elles n’étaient finalement rien d’autre que des « Cendrillons » à deux balles au service de leur footeux de mari, a certainement été l’entreprise de lavage de crânes la plus difficile à instituer à l’échelle du monde occidento-américain. Une entreprise difficile, oui mais voilà ; une entreprise qui a bien fonctionné tout de même. Chemin faisant, la femme moderne, la SuperWoman qu’ils disaient -comme Fitoussi-, s’est affranchie du carcan marital, de sa cuisine poisseuse aux murs gorgés d’huile de friture pour investir, là encore, aujourd’hui pas tout à fait à l’égal de son détracteur, la sphère du monde qui bouge, celle de l’argent roi et du patron –encore lui…-.
 
De la joyeuse épouse, fidèle et bien dévouée, à la mise en plis impeccable tout droit sortie d’une pub vaisselle, elle est rapidement passée à la femme consciente de sa condition de victime puis bientôt, à l’Executive woman, la salariée « … Chanellisée le jour, Alaïsée le soir,… ». Une évolution qui l’a finalement conduit à muter, au dernier stade connu de son développement, en une jouisseuse consommatrice adepte des derniers gadgets à la mode et autres produits jetables made in china. Nos sociétés ont finalement réussi, avec l’aide inespérée du féminisme et de ses premières combattantes -chiennes de garde s’il en est-, à faire de l’aliénée l’archétype de la femme moderne. Jamais plus qu’aujourd’hui les femmes n’ont été confrontées à autant de sollicitations, d’images, de messages ou encore de pressions. Jamais les femmes n’ont connu autant de facteurs possibles d’aliénation.
 
Et le matraquage commence sur TF1. De la crème antiride qui vous restaure les traits mollissant de la trentaine façon Régine –encore elle !- au couscous Garbit™ prêt en cinq minutes, histoire de contenter rapidement beaubeauf et les gamins, en passant par ce superbe soutif Wander… qui fera sans doute demain matin tout son effet sur le patron. La société de consommation, au travers de sa vitrine cathodique et hollywoodienne -Bridget et autres héroïnes des temps modernes- a rattrapé les femmes, ce n’est pas nouveau, tout comme elle commence, motivée par les fins du rendement et du profit à rendre les hommes accros à la crème épilatoire- une dernière fois chérie !-.
 
Mais s’il n’y avait que ça à la limite. S’il n’y avait finalement que ça ; des femmes qui s’épanouissent dans l’achat de strings, de gloss ou encore de robes Dior, ça ne me dérangerait pas. Oui mais voilà, il y a encore tout le reste. Il y a la double réalité de classe produit de la collusion du féminisme et de la société bienpensante. Il y a le beau, le grand féminisme, celui tout « rose Barbie » vécu par les femmes de la nouvelle bourgeoisie urbaine, celui vécu à chaque seconde de leur temps qui passe comme une douce révolution et puis il y a l’autre. Il y a le féminisme un peu crade, pas très visible derrière la couche de merde qu’il projette. Il y a le féminisme vécu par les femmes des classes de moins en moins moyennes et puis les autres, celles de la « petite usine » - ou de la grosse qui ferme-.
 
Le féminisme qu’on voit à la télé ce n’est pas celui là. Le féminisme crade lui, a poussé la femme moderne, la petite femme moderne à ne plus en pouvoir. A trimer deux fois plus que quiconque, à travailler à la fois à la pérennisation d’un système qui l’a « asservi » et a fait d’elle la gardienne d’un certain pouvoir d’achat mais également à travailler, le soir venu, au torchage du môme –parfois à la chaîne- et à la restauration collective de son foyer…
 
On a souvent eu tendance à faire l’examen du féminisme à l’économie de ces considérations. Et c’est bien dommage. Celui là n’a rien apporté à la femme qu’on se le dise. Alors bien sûr, on ne peut pas ne pas rester sans reconnaître les formidables avancées, politiques avant tout, que le féminisme a suscité. On ne peut pas rester sans reconnaître que la place actuelle et l’insertion des femmes au sein de notre société a considérablement progressée ces dernières décennies -quoique-. Oui mais voilà. Et aujourd’hui ?
 
Aujourd’hui force est de constater qu’au delà de la politique et du législatif, le féminisme n’a su transcender les grandissantes frontières de classe. Pire, il n’a certainement fait que les souligner. Désormais alors que l’une aspire par le travail à rejoindre la stratosphère sociale, l’autre cherche, malheureusement sans l’ombre d’une issue, à survivre...
 
Et encore s’il n’y avait que ça, je passerais mon chemin.

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87 réactions à cet article    


  • Rounga roungalashinga 20 mai 2009 10:00

    Article réactionnaire extrêmiste. J’allais dire nazi mais le terme est encore trop tendre pour des gens de votre espèce, qui ont encore la sinistre idée de mettre les femmes à la maison, dans l’impossibilité de sortir de la cuisine (textuel). Vivement que les progrès de la science permettent à tout un chacun de produire son enfant hors du ventre maternel, que les femmes n’aient plus à subir l’injustice inacceptable de la grossesse. Alors seulement les fachos dans votre genre ne pourront plus prétexter que la femme doit porter le bébé, et patati et patata...(en vertu de quel principe une mère devrait-elle porter son propre bébé je vous le demande ?). Dans le monde idéal et progressiste que j’imagine, chaque foyer aura à sa disposition une couveuse qui permettra à chaque couple de ne pas se soucier du développement de leur progéniture, qui d’ailleurs ne sera pas forcément le produit d’un acte sexuel : on pourra faire ses courses dans un marché d’ovules et de spermatozoïdes ; ainsi les femmes seront libérées de cette humiliation millénaire qu’est la pénétration, qui les rabaisse au rang d’objet. Ainsi l’égalité TOTALE entre les sexes pourra être décrétée, et il n’y aura plus AUCUNE raison de martyriser les femmes commes on le fait depuis la nuit des temps c’est bien connu. Il n’y aura aucune différence de rôle entre le père et la mère, ce qui garantira (enfin ! après des millénaires d’attente) l’équilibre de l’enfant. Au besoin si cet enfant pose des problèmes malgré tout on pourra y remédier grâce à des cachets comme on le fait déjà aux Etats-Unis où ils sont bien plus avancés que nous. Mais avec des rétrogrades dans votre genre, ce monde merveilleux n’est pas prêt d’être d’actualité, je le crains.

      Lire les 11 réponses ▼ (de zvalief, J. Thonnelier, undefined, Akwa, Flo, Rounga , Marianne)

    • Massaliote 20 mai 2009 10:07

      Z’avez loupé la suprême avancée, le « droit à l’avortement », présenté comme la panacée (bien pratique pour certains labos, qui manqueraient de matière première, sans ça) et la « pilule » vous savez celle qui fait la fortune des mêmes, pollue l’environnement, favorise les crises cardiaques et le surpoids, ce dernier pouvant être fort bien maîtrisé grâce aux pillules-miracles pondues par les dits labos.

      Une histoire de fric ? Quel mauvais esprit !

      L’asservissement de la femme est aussi représenté par la presse féminine qui tend à lessiver les neurones dans un flot continu de conneries.

        Lire les 4 réponses ▼ (de Cosmic Dancer, appoline, Fabien 09)

      • La Taverne des Poètes 20 mai 2009 10:09

        Dites à ce vieux Pavlov que ça se vérifie toujours sa théorie...


        • John Lloyds John Lloyds 20 mai 2009 10:26

          Excellent article, merci. J’ai toujours un brin de compassion pour toutes celles qui, in fine, n’ont rien fait d’autre que revendiquer à devenir esclave du grand Léviathan capitaliste, participer à la modalité d’époque en phase terminale de décadence, pour s’apercevoir, surtout après septembre 2008, que le système s’est bien foutu de leur gueule.

          Il existe une théorie comme quoi le féminisme est l’invention du NWO pour faire éclater les cellules familiales, si c’est vrai ça aura été la réussite du siècle. Les civilisations comme les nôtres, en fin de vie, sont des modèles d’usurpations d’ordres sociaux qui montrent à quel point la perte de tous les repères finit en gigantesque beuverie d’auberge espagnole, cette grande cacophonie « d’égalité » où n’importe qui finit par revendiquer n’importe quoi.

          On ne s’éloigne pas impunément de l’ordre naturel, quand le géant aux pieds d’argile va s’effondrer dans quelques mois, ou quelques années, j’en connaîs un paquet, des jouvencelles vides jusqu’aux anciennes soixantehuitardes ratées, qui n’en mèneront pas large, et iront vite planquer leur pancarte pour éviter d’aller au front.. C’est dans le retour aux fondamentaux que les impostures apparaissent.

          _____________________________________________________

          ALERTE INFO

            Lire les 21 réponses ▼ (de LE CHAT, Pierre, claude, Flo, John Lloyds, Cosmic Dancer, appoline, undefined, Marianne)

          • NicolasRjsk 20 mai 2009 10:49

            En lisant la réaction pleine de tolérance et d’intelligence de « roungalashinga » qui dégaine le mot « nazi » au bout de six mots, on se dit que le lavage de cerveau des féministes décrit par l’auteur a fini par toucher violemment les hommes. Et visiblement concernant ce lecteur il a fait de sacrés dégâts... Un monde sans pénétration, sans grossesse, sans élever ses enfants... tiens, cela me rappelle un bouquin souvent cité dans les commentaires.

            Mais quelle tristesse ce tableau que vous nous peignez... un univers de couveuses et de pompes à sperme... ça m’ôte définitivement toute envie de vasodilatation !
            Mais une question (perfide) : qui donc éduque les femmes et les encourage à devenir de parfaites « petites dame » ? On les voit jouer à la working girl avec des string dès 11 ans achetés par maman mais qui poussent la poussette et aident la même maman à faire la quiche lorraine du dimanche soir. Et qui ensuite les pousse d’abord à étudier comme des malades et qui ensuite les font chier chaque dimanche parce qu’elles ne sont pas encore mariées, qu’elles ont encore changées de petit copain, ou qu’elles ne sont pas plus enceinte que la semaine précédente ? Les femmes elle même ne savent pas ce qu’elles veulent et jouent de façon maladroite et sans logique sur les deux tableaux.
            Et toujours en faisant passer les hommes pour des brutes inutiles et nuisibles. (Lisez les magazines pour adolescentes lobotomisées, ou les hommes sont systématiquement surnommés « Jules »)
            Mais comme les hystériques des droits des homosexuels, ou des cul de jattes, ou de n’importe quelle communauté revancharde, ils creusent eux même leur propres tombes. Les meilleures révolution sont celles qui se font lentement et en silence. Ce n’est sûrement pas les hurlements et les vociférations d’Alonso et de sa cohorte de « chiennes de garde » (quelle horreur, comment on peut se revendiquer en ces terme), ou bien les quotas ou autres parités non respectés qui vont aider ces povres femmes victimes éternelles du méchant homme qui pense avec sa quéquette.
            Maintenant qu’elles sont bien implantées aux postes de commandes des entreprises, dans les RH et dans les syndicats et les entreprises public, ainsi qu’à pas mal de postes clef (même si la parité n’est pas encore là) pourquoi par elles même elles n’égalisent pas les salaires, elles n’encouragent pas les femmes à des promotions ou à s’engager en politique ? Elle est ou cette légendaire solidarité féminine ? Chaque fois que j’ai approché ces univers féminin dans l’entreprise, ce n’est que ragots, croche patte, placardisation par les femmes pour les femmes.
            Donc Ta Gueule Alonso et que les femmes se décident sur la place qu’elle veulent avoir dans la société moderne post 11 septembre (je sais ça n’a rien a voir, mais la phrase a un côté Dantec que je trouve ludique décalé et plaisant) et qu’elle change elle même ce qui doit être changer. Les hommes s’en foutent, et ils ne feront rien.
            Moi je m’en fous aussi (je suis un homme, c’est normal je pense avec ma quéquette), du moment que je peux continuer à pénétrer ma femme, que je peux élever mes gosses et que ma femme puisse évoluer professionnellement comme elle le souhaite (ce qui a été seulement le cas en quittant la France).
            Mais pitié, faites taire Alonso !!!!




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            • ecophonie ecophonie 20 mai 2009 11:16

              Je ne suis pas sûr de ce que j’avance mais je crois d’après son profil que Rougalalashinga incarne la bienpensance actuelle, il joue un rôle en somme.

              Au passage si c’est le cas, il faudrait être un peu plus subtil parce que ça fait troll de sortir nazi comme ça et d’énoncer tout ce que l’article dénonce par la suite.


            • Francis, agnotologue JL 20 mai 2009 11:14

              Excellent article, mais partisan.

              Selon Jules Renard : « Le féminisme, c’est de ne pas compter sur le Prince Charmant. » Comment peut-on en dès lors, être féministe dans un monde qui broie l’homme ? Si l’homme lui-même, avec un petit ou avec un grand H est esclave de la machine, que peuvent donc revendiquer les femmes ?

              Cette parenthèse féministe qui a apporté beaucoup de chose n’a plus de sens aujourd’hui sinon celui évoqué par Caroline Fourest et Fiammetta Venner :

              « En réalité, loin de désigner un quelconque racisme, le mot islamophobie est clairement pensé pour disqualifier ceux qui résistent aux intégristes : à commencer par les féministes et les musulmans libéraux. »

              Féministes, musulmans libéraux, même combat ?

              Alors, a qui le féminisme profite-t-il encore ? Les ennemis de mes ennemis … (air connu).


              •   20 mai 2009 11:37

                Allez y les gars, rivalisez de connerie, je regarde


                • Francis, agnotologue JL 20 mai 2009 12:25

                  @ Par, spécialement pour vous : quelle est, au sein d’un couple, la différence entre l’homme et la femme ?

                  L’homme a une femme, pas la femme.


                • Shaytan666 Shaytan666 20 mai 2009 12:14

                  près trois jours d’une grossesse gazeuse, un mince filet de méthane aux parfums de Belgique, de Flandre et de Wallonie réunies -.

                  Monsieur,
                  J’aimerais que vous vous expliquiez sur cette pahrase que voulez vous dire par là ?
                  Que nous les Belges on puent peut-être ?
                  J’attends votre réponse.


                  • J. Thonnelier J. Thonnelier 20 mai 2009 12:26

                    Non rien de tout ça. Il faut juste y voir un rapprochement avec la bière... J’ai arrêté les blagues belges depuis longtemps.


                  • Shaytan666 Shaytan666 20 mai 2009 12:31

                    OK, merci !


                  • Elson Elson 20 mai 2009 12:39

                    @ l’auteur

                    Il me semble que vous vous trompez de cible en fustigeant le féminisme (ou plus exactement, vous devez avoir un compte à régler avec les femmes et vous vous servez du féminisme comme prétexte) : que les femmes résistent aussi mal que les hommes aux sirènes de la société de consommation n’a rien d’étonnant même si c’est hautement regrettable (mais ni plus ni moins pour les femmes que pour les hommes) ! Il est totalement naturel que les femmes se montrent aussi connes que les hommes même si cela prend parfois des formes légèrement différentes. Qu’elles se fassent par ailleurs exploiter par un système économique injuste, ce n’est certainement pas de leur faute (le capitalisme a été mis en place à un moment où elles n’avaient aucun pouvoir politique ou économique) et le féminisme ne peut au contraire qu’aider à réduire les inégalités dont elles sont encore victimes par rapport aux hommes (entre autres, comme vous le soulignez sans en tirer les conséquences, vis à vis des tâches domestiques).
                    Je me trompe peut-être mais il me semble que, dans votre esprit, les femmes ne mériteraient d’avoir les mêmes droits que les hommes qu’à la seule condition de se montrer bien supérieures à eux : seriez-vous un idéaliste déçu ? :)


                    • J. Thonnelier J. Thonnelier 20 mai 2009 12:58

                      Ce n’est pas faux. Quelle homme hors mis Karoutchi n’a pas de compte à régler avec une femme -sinon avec ça mère- ? Ce que je critique avant tout c’est la machine de propagandiste féministe et je crois qu’au fond vous l’avez compris.


                    • Marianne Marianne 20 mai 2009 23:42

                      A la vue de votre avatar, le doute s’est installé : vous plaisez aux femmes ? (au plan physique un petit air de Woody Allen..)


                    • Linda 20 mai 2009 14:27

                      @ l’auteur,

                      Heureusement que vous précisez ne pas vouloir faire de « soralisme » sinon on pourrait se méprendre.

                      @ Elson

                      Tout à fait d’accord avec vous. On peut faire une critique du féminisme mais celle qui consiste à dire que c’était bien mieux avant parraît un peu courte.

                      @ John Lloyds

                      De quel ordre naturel parlez-vous ? De celui qui fait des mâles de simples moyens de brasser le patrimoine génétique ? Regardez comment Mère Nature traite les mâles chez certaines espèces animales et notamment les invertébrés : de tout petits machins tout juste bons à se reproduire et à disparaître.

                        Lire les 6 réponses ▼ (de John Lloyds, Linda, Cosmic Dancer, appoline)

                      • Reinette Reinette 20 mai 2009 14:28

                        Il faut je crois et sans faire de soralismes, voir en partie le féminisme non pas comme il se présente depuis l’imposture Beauvoir mais plutôt comme il apparaît être et avoir été, comme un formidable outil mis à la disposition de nos sociétés capitalistes dans le but de les alimenter...
                        ... ce sentiment qu’elles n’étaient finalement rien d’autre que des « Cendrillons » à deux balles au service de leur footeux de mari (THONNELIER l’auteur)



                        ENFIN BREF, l’auteur aurait pu nous épargner d’un article et ne faire qu’UN commentaire : « Ah les femmes, quelles débiles ! »



                        ...sans les hommes – au passage rustres tas de poils et d’hormones tout juste bons à boire de la bière et à enfanter, après trois jours d’une grossesse gazeuse, un mince filet de méthane aux parfums de Belgique, de Flandre et de Wallonie réunies - (l’auteur)
                        DU VECU, ça MADAME !


                        • claude claude 20 mai 2009 14:56

                          @ l’auteur,

                          à défaut de féminisme, ce sont les femmes que vous n’aimez pas : vous n’aimez pas la place qu’elles ont pris dans la société ; les échelons qu’elles ont âprement gagnés au fil des décennies ; la position que certaines prennent, parce que là où vous voyez une « blague bien grasse », elles y voient une atteinte à la dignité des femmes... votre photo en est un exemple : la demoiselle hilton n’est pas spécialement réputée pour la qualité et la profondeur de sa pensée...

                          • "De la joyeuse épouse, fidèle et bien dévouée, à la mise en plis impeccable tout droit sortie d’une pub vaisselle, elle est rapidement passée à la femme consciente de sa condition de victime puis bientôt, à l’Executive woman, la salariée « … Chanellisée le jour, Alaïsée le soir,… ». Une évolution qui l’a finalement conduit à muter, au dernier stade connu de son développement, en une jouisseuse consommatrice adepte des derniers gadgets à la mode et autres produits jetables made in china. Nos sociétés ont finalement réussi, avec l’aide inespérée du féminisme et de ses premières combattantes -chiennes de garde s’il en est-, à faire de l’aliénée l’archétype de la femme moderne. Jamais plus qu’aujourd’hui les femmes n’ont été confrontées à autant de sollicitations, d’images, de messages ou encore de pressions. Jamais les femmes n’ont connu autant de facteurs possibles d’aliénation.« 
                          oh mon dieu ! la femme consomme du chanel et de l’alaïa comme elle respire ! je ne savais pas que nous étions si riches, ni que nous étions addicts à la consommation !

                          au cas où vous l’ignoriez, beaucoup de femmes, issues de milieux modeste, sont maintenant professeurs de médecine, avocates, magistrates, chefs d’entreprise, astronautes, chercheuses dans les laboratoires de recherche ... il y en a même qui sont prix nobel ! eh, oui, les femmes ont des neurones, et savent s’en servir ! il parait même qu’à l’école, elles ont de meilleurs résultats dans l’ensemble ; elles sont plus douées que les mecs en maths-physique, et que si on ne leur mettait pas les bâtons dans les roues, il y aurait plus de femmes dans les domaines de pointe de la technologie...

                          autre chose, les femmes sont capables de faire plusieurs choses à la fois : héritage du temps où elles faisaient la cuisine, tout en surveillant les marmots du coin de l’oeuil !

                          quand à simone de beauvoir, je ne peux que vous recommander la lecture du »2° sexe«   : on ne nait pas femme, on le devient » et celle des « mémoires d’une jeune fille rangée »

                          les féministes que vous dénoncez, se comporteraient... comme les hommes depuis qu’ils ont compris qu’ils avaient des muscles à la place des neurones pour occuper les places prépondérantes en politique, en entreprise, en économie, en religion, dans les diverse professions...

                          pour vous satisfaire, faut-il que nous retournions devant nos fourneaux, et rester mineures toute notre vie, comme l’avait défini napoléon et qui restent en vigueur dans certaines sociétés ? ,

                          • "(...)sortir les femmes -celles des petites classes- de l’aliénation d’un foyer castrateur de féminité -excusez l’expression- en faisant naître chez elles ce sentiment qu’elles n’étaient finalement rien d’autre que des « Cendrillons » à deux balles au service de leur footeux de mari, a certainement été l’entreprise de lavage de crânes la plus difficile à instituer à l’échelle du monde occidento-américain. Une entreprise difficile, oui mais voilà ; une entreprise qui a bien fonctionné tout de même. Chemin faisant, la femme moderne, la SuperWoman qu’ils disaient -comme Fitoussi-, s’est affranchie du carcan marital, de sa cuisine poisseuse aux murs gorgés d’huile de friture pour investir, là encore, aujourd’hui pas tout à fait à l’égal de son détracteur, la sphère du monde qui bouge, celle de l’argent roi et du patron –encore lui…-.

                          vous insultez la mémoire de nos mères, grands-mères, aïeules qui se sont dévouées à tenir propre leur maison, à cuisiner chaque jour en faisant preuve d’ingéniosité, et à élever du mieux qu’elle ont pu leurs enfants en s’oubliant pour que la famille soit un havre de paix.

                          notre société est suffisamment évoluée pour permettre à chacun, fille ou garçon, de décider s’il veut rester à la maison pour élever ses enfants ou aller au boulot, pour s’épiler ou non... si la virilité résidait dans la longueur de quelques malheureux poils de la moumoute du poitrail, il y a longtemps que les scandinaves ou les asiatiques ne se reproduiraient plus !

                          petite remarque  :

                          • "Non en fait je viens de vous mentir. J’aime pas le féminisme et puis tout ce qui s’y rapporte.
                             
                            J’aime pas(...)« 
                          la forme négative emploie le »ne« ou »n’« suivi du »pas«  : on écrit »je n’aime pas"

                          et les rhododrendrons, vous aimez ?

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                          • claude claude 20 mai 2009 15:11
                            une petite pensée amicale à tous les messieurs,ceux qui nous aiment et nous épaulent dans la vie,
                            avec qui il est agréable de la partager et de construire l’avenir.

                            et à ceux qui nous détestent dans l’espoir qu’ils ouvrent les yeux et leur cœur...

                            La femme est l’avenir de l’homme

                            Le poète a toujours raison
                            Qui voit plus haut que l’horizon
                            Et le futur est son royaume
                            Face à notre génération
                            Je déclare avec Aragon
                            La femme est l’avenir de l’homme

                            Entre l’ancien et le nouveau
                            Votre lutte à tous les niveaux
                            De la nôtre est indivisible
                            Dans les hommes qui font les lois
                            Si les uns chantent par ma voix
                            D’autres décrètent par la bible

                            Le poète a toujours raison
                            Qui détruit l’ancienne oraison
                            L’image d’Eve et de la pomme
                            Face aux vieilles malédictions
                            Je déclare avec Aragon
                            La femme est l’avenir de l’homme

                            Pour accoucher sans la souffrance
                            Pour le contrôle des naissances
                            Il a fallu des millénaires
                            Si nous sortons du moyen âge
                            Vos siècles d’infini servage
                            Pèsent encore lourd sur la terre

                            Le poète a toujours raison
                            Qui annonce la floraison
                            D’autres amours en son royaume
                            Remet à l’endroit la chanson
                            Et déclare avec Aragon
                            La femme est l’avenir de l’homme

                            Il faudra réapprendre à vivre
                            Ensemble écrire un nouveau livre
                            Redécouvrir tous les possibles
                            Chaque chose enfin partagée
                            Tout dans le couple va changer
                            D’une manière irréversible

                            Le poète a toujours raison
                            Qui voit plus haut que l’horizon
                            Et le futur est son royaume
                            Face aux autres générations
                            Je déclare avec Aragon
                            La femme est l’avenir de l’homme

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                            • pendragon 20 mai 2009 15:27

                              Si la femme est morte pour l’auteur, elle ne l’est pas pour les autres.


                              • hunter hunter 20 mai 2009 15:34

                                Euh, jolie photo de l’héritière des hôtels illustrant l’article !

                                Désolé, vraiment désolé ! J’accepte d’être jeté aux lions pour ce cmmentaire odieusement machiste ! Je vais essayer de ne plus le refaire promis.

                                 ; )

                                En tout cas les commentaires au 43ème degré de Roungalashinga m’ont fait mourir de rire !

                                bonne journée à tous !

                                H /


                                • Moristovari Moristovari 20 mai 2009 15:35

                                  Assez peu convaincu par l’article, coup de gueule peu réfléchi, mieux par certains textes de Soral, entre autres exemples. La seule raison d’être du féminisme fut de doubler le nombre de travailleurs et de consommateurs dans les pays capitalistes, donc d’augmenter productivité et croissance. Le reste est littérature.


                                  • Reinette Reinette 20 mai 2009 23:14

                                    Ben alors, on s’ennuie


                                    mon commentaire est plus haut...14h28

                                    L’auteur de cet article fait partie de la secte Komico/quenelle... donc... irrécupérable !

                                     


                                  • hunter hunter 20 mai 2009 15:47

                                    @ Moristovari :

                                    Peut-être un peu sévère avec l’auteur, l’article n’est pas si mal.
                                    En tout cas, vous avez fait un parfait résumé de la vraie problématique de son papier : court, précis, rien à rajouter, si ce n’est « merci ».

                                    Cordialement

                                    H /



                                    • Rabbi Ismaël Delacroix 20 mai 2009 20:17

                                      revenons à cet article : la question à se poser est-elle : la femme est-elle, en dignité l’égale de l’homme ?Non : Marie Curie a bien su nous prouver que le cerveaux des femmes était tout aussi puissant que celui des hommes. Mais dans quelle société sommes-nous ? Hors nous sommes dans une société de services, où ce que les gauchistes appelaient les « bourgeois » et les « prolétaires » n’existent plus, et désolé de le dire le respects des différences non plus. car différences il y a, sinon un homme pourrai chanter soprano et une femme basse, un homme pourrai tomber enceinte et une femme avoir un phallus. Hors aujourd’hui le bourgeois moral qui aime son pays s’est muté en traider décomplexé qui détruit les capacités de production et réduit des chinois en esclavage, et le prolétaire s’est de ce fait muté lui, du fait du chomâge et de la récession économique en pommé incapable de donné à une femme le choix entre s’épanouir par son travail ou par sa vie de famille. Et que l’on parle de « bildelberg » ou « des mutations naturelles de l’économie » ne changera rien aux faits, donc ne parlons que d’eux et cherchons une cause à cela et des solutions, c’est le mieux que nous ayons à faire


                                      • loco 20 mai 2009 22:18

                                        Article bien dans la lignée de la restauration néo-libérale à l’oeuvre depuis Reagan.

                                        D’abord, une fausse base : présenter la femme comme « femme au foyer » avant le féminisme, c’est offenser la mémoire de siècles de paysannes travaillant tant aux champs qu’à la ferme (soins aux animaux en particulier), et des générations d’ouvrières en usine, de hercheuses, de lavandières...... Honte à vous de la part de mes aieulles.
                                        Et, plus loin, reproche aux victimes du sort qui leur est fait  : vous évoquez la double journée (un des thèmes forts du combat féministe), non pour en accuser la paresse et la démission des hommes, mais pour la reprocher... aux femmes !!!
                                        Tant de malhonnèteté intellectuelle vous déconsidère, je ne vous salue pas.




                                        • Iren-Nao 21 mai 2009 02:14

                                          Je remet ce post ancien :

                                          En 1968 j’ai fait partie des anes qui causaient pour la soi disant liberation de la femme.
                                          J’avais deja atteint l’etat de vrai con en quete de bonne conscience.
                                          (Accesoirement dans la meme veine, j’etais pour la liberation des TV, on voit le resultat....)

                                          De fait la manoeuvre qui consistait a faire le plus de travailleurs possible afin d’en faire un maximum de con sommateurs a parfaitement reussie et a permis aussi d’augmenter la pression chomage sur l’ensemble de la population.

                                          Que le travail libere, c’etait deja ecris a l’entree de Dachau..

                                          A part pour quelques uns et quelques unes, le travail n’est ni plaisir ni accomplissement mais plus souvent servitude.
                                          Enfin il n’est pas deshonorant pour une femme de s’occuper de ses enfants, surtout en bas age, c’est meme un sacre boulot.
                                          Mettre des sardines en boites ou monter des conneries electroniques, pour des salaires de merde, voila qui est exhaltant.

                                          Consequence habile, les enfants sont a present eleves dans des creches et par la TV, puis l’ecole au service des entreprises, ce qui en fait de parfaits petits larbins formates pres a toutes les servilites pour un salaire miteux.

                                          Rassurons nous cependant, la bien pensance est en route et de meme qu’il n’existe pas de races, nos scientifiques ne vont pas tarder a s’apercevoir que il n’y a pas de genre non plus..

                                          Beaucoup en ont deja fait le constat..et puis, la liberte c’est la liberte quoi....

                                          Donc tout ira tres bien.

                                          Qu’un sang vraiment impur abreuve nos sillons.

                                          Iren-Nao

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                                          • Francis, agnotologue JL 21 mai 2009 08:11

                                            Quand j’étais enfant, je parle d’il y a plus de 50 ans, un salaire d’ouvrier suffisait à faire vivre une famille. On se baignait dans les rivières. On connait la suite.

                                            Question précise aux féministes : que pensnet-elles du phénomène des mères porteuses ?


                                            • le pen la vie la vraie 21 mai 2009 08:41

                                              « sans faire de soralismes » tu parles charles ! c’est un copier coller
                                              sans le génie du pourfendeur des crétins


                                              • Christoff_M Christoff_M 22 mai 2009 02:13

                                                Vous devriez dire les filles du féminisme et du socialisme, les héritières, les nanties qui ont changé de classe sociale, ont oublié les valeurs et les luttes des générations d’avant...

                                                Des enfants de gens qui se déclaraient de gauche ont tendance à virer à Neuilly et àl UMP avec l’ascenseur social !! l’éclatement du PS est quand même un témoin du changement de statut des enfants des anciens de gauche !!

                                                Pour le féminisme, je me demande si les pires réacs parmi les filles ne sont pas les filles de soixante huitards !! quand aux filles à papa, elles sont ce qu’elles sont mais il faut avouer que la vulgarité la drogue, les after n’ont pas arrangé les plus en vues...

                                                Si le féminisme des années 70 a aboutit au phénomène Paris Hilton, on ne peut pas parler de réussite...

                                                Le problème de tous les mouvements c’est qu’ils ont tendance à se radicaliser, les branches extrémistes remplacent vite les idéalistes des premiers temps, quand elles ne disparaissent pas carrément !!

                                                Même problème pour la politique, les féministes en 2009 ne sont pas très audibles et manque d’icônes et de porte voix... a part la jeune femme qui est élue à Paris et la belle Caroline Forest de Charlie, je n’en vois pas beaucoup visibles et audibles sur les plateaux télés de notre charmant pays !!

                                                Est ce que le féminisme ne serait pas tombé dans le défaut qui guette les courants politiques français, le clientélisme et l’hermétisme !!

                                                Est ce que la Gay Pride est un progrès !! ou est ce que cela ne conforte pas certains dans la caricature !! vous remarquerez qu’on parle des gays mais peu des femmes lesbiennes...

                                                On est bien loin de Simone Veil se levant à l’assemblée et amenant le débat critique.
                                                Est ce que Dati , Lagarde, Boutin, Bachelot ne sont pas des femmes qui pour réussir se sont transformées en clichés en fonction de leur entourage !! le pouvoir et l’assemblée sous Sarkozy ressemblant plus à une assemblée de vieux ringards poussiéreux qu’à un reve du féminisme !!

                                                Nous sommes un des pays ou il y le moins de femmes à l’assemblée, par contre en écoutant nos débats publics nous sommes les grands donneurs de leçons de démocratie à la planète !!

                                                Encore une contradiction de notre pays qui a vécu 68 et le féminisme et en 2009 qui ressemble à un pays qui avance à reculons embourbé dans ses contradictions...

                                                Nous avons plein d’idées, plein de bonnes intentions, mais nous manquant sérieusement de pragmatisme, et nous ne sommes pas les meilleurs de la planète pour donner corps à des projets ou des idées !!

                                                Quand je vois Madame Badinter écrire de tres beaux livres sur les femmes et par contre faire partie de grands conseils d’administrations de multinationales,quand je vois madame Bettencourt qui se bouffe le nez avec sa fille, quand je vois le comportement de la fille Hilton, je me dis que les descendantes du féminisme ont du soucis à se faire !!

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                                                • King Bounty 24 mai 2009 11:27

                                                  On aimerait que les articles anti feminisme soit de temps en temps ecrit par des femmes et pas uniquement par des mâles aigris par leur legitime castration existentielle !


                                                  • King Bounty 24 mai 2009 11:30

                                                    L absurdité de l article est d ailleurs soulignée par la photo qui l accompagne : la plante en pot qu on devient quand on est pas feministe !!


                                                    • maharadh maharadh رجل حر 24 mai 2009 12:08

                                                      Enfin, la vérité sur la création de l’homme !
                                                      Un jour, au jardin d’Éden, Ève s’adressa ainsi à Dieu :
                                                      - Seigneur, j’ai un problème....
                                                      - Lequel ?
                                                      - Seigneur, je sais que vous m’avez créée et que vous m’avez donné ce
                                                      magnifique jardin et tous ces merveilleux animaux et ce grand bouffon
                                                      de serpent mais je ne suis pas heureuse.
                                                      - Qu’est-ce qui t’arrive ?
                                                      - Seigneur, je suis seule, et j’en ai ras le bol des pommes.
                                                      - J’ai une solution. Je vais créer un homme pour toi.
                                                      - Qu’est-ce qu’un homme, Seigneur ?
                                                      - Une créature imparfaite, avec plusieurs défauts. Il mentira, trichera, sera vaniteux et s’auréolera de gloire ; il t’en fera voir de toutes les couleurs. Mais. il sera plus grand que toi, plus fort, plus rapide et il aimera chasser et tuer. Il aura l’air ridicule quand il sera excité, mais puisque tu t’es plainte, je le créerai en sorte qu’il satisfasse tes besoins physiques. Il sera un peu niais et s’amusera à des choses inutiles comme se battre et jouer au ballon. Il ne sera pas trop brillant, aussi aura-t-il besoin de tes conseils pour bien orienter sa pensée.
                                                      - Superbe ! dit Ève, avec un haussement de sourcils ironique. Où est le piège, Seigneur ?
                                                      - Tu peux l’avoir à une condition.
                                                      - Quelle est-elle, Seigneur ?
                                                      - Comme je te l’ai dit, il sera fier, arrogant et vaniteux. Alors tu devras lui laisser croire que je l’ai créé en premier. Mais rappelle-toi, ce sera notre petit secret, en secret entre nous, entre femmes...

                                                      L’auteur ainsi que la plupart des intervenant(es) ont oubliés qu’ils avaient une maman ?
                                                      Es-ce que dans leurs délires caricaturaux de la femme ils en font abstraction ?
                                                      D’ailleurs je me pose la question pourquoi est-ce que j’écris un commentaire sur un auteur qui s’avoue être un menteur ?

                                                      Une autre, une autre, une autre, Ok,Ok , voilà
                                                      Hermaphrodite
                                                      After a woman gave birth to her baby, her doctor stood solemnly at her bedside.
                                                      « I have something I must tell you about your baby. »
                                                      « What’s wrong ? », the alarmed mother asked
                                                      « Your baby is a hermaphrodite. »
                                                      « What’s that ? »
                                                      « It means your baby has both male and female parts. »
                                                      « Oh my God that’s wonderful ! » the woman exclaimed. "You mean it has a penis and a brain ?"

                                                      Une femme vient d’accoucher. Le médecin est à son chevet et lui dit d’un air grave :
                                                      - Je dois vous dire quelque chose au sujet de votre bébé.
                                                      - Qu’est-ce qu’il y a qui ne va pas ? s’inquiète la mère.
                                                      - Votre bébé est hermaphrodite.
                                                      - Qu’est-ce que c’est que ça veut dire ?
                                                      - Ça veut dire qu’il a à la fois des parties sexuelles masculines et féminines.
                                                      - Oh mon Dieu, c’est merveilleux, s’écrie la femme. Vous voulez dire qu’il a à la fois un pénis ET un cerveau ?

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                                                        • moebius 24 mai 2009 22:22

                                                          vous avez essayer d’mettre une avec une ampoule dans l’cul de votre nain d’jardin, ça fait une chouette lampe de chevet


                                                        • Traroth Traroth 24 mai 2009 12:32

                                                          Cet article juxtapose des faits en pensant que ça en fait une démonstration, alors qu’il n’en est rien. Oui, TF1 assène un maximum de pubs destinées à la « ménagère de moins de 50 ,ans », mais si vous estimez que le féminisme y est pour quelque chose , il faudrait tenter de le démontrer. TF1 n’a jamais prétendu être un média féministe, que diable ! Et tou l’article est à l’avenant.

                                                          Et puis cette manière de moquer le Français moyen ou la Française moyenne, c’est gerbant, tout simplement. Parce que vous êtes tellement mieux qu’un « beaubeauf », vous, n’est-ce pas ?


                                                          • moebius 24 mai 2009 22:29

                                                            il est débile profont cette article....tout l’monde y s’en branle de l’hominisme surtout les femmes...courrez


                                                            • saipa 10 juillet 2012 01:27

                                                              Ah sous prétexte qu’il n’est pas féministe, il en devient aussitôt hoministe (on dit plutôt masculiniste d’ailleurs), le coup classique ! Sinon à part ça je n’ai pas l’impression que la majorité des lecteurs partage votre point de vue sur cet article, désolé...


                                                            • Francis Cambrousse 24 mai 2009 23:32

                                                              ... c’est aussi respecter les modèles féminins que de leur laisser le droit de disposer de leur corps pour permettre de beaux clichés. Le féministe est parfois un loup pour la femme !


                                                              • Le Bordelleur Le Bordelleur 25 mai 2009 14:30

                                                                Les féministes accusent souvent les groupes composés de mâles, de freiner l’entrée des femmes dans ces dits groupes ou leur ascension. L’exemple le plus concret étant le domaine politique, avec une assemblée composée majoritairement d’hommes.

                                                                En parallèle on constate une chute du niveau scolaire qui touche essentiellement les garçons.
                                                                Les filles se débrouilleraient mieux à l’école que les garçons.
                                                                Si ajoute à cela que la femme est l’égale de l’homme (argument très féministe), y compris dans les mauvais comportements. (Il y a pas de raisons)

                                                                Que doit on conclure de la chute du niveau scolaire chez les garçons, quand on sait que les enseignants sont majoritairement des femmes....

                                                                 

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