Michel Maugis @ tous.
Je vais ici démontrer le « Faux culisme » de l’auteur qui ne sait comment faire, en se gratant l’oreille droite avec la main gauche en passant derrière la tête, pour exprimer une idée très simple mais fausse avec des mots qui arrivent aisément : Ramonet est malhonnête.
Dans ce commentaire, je traite seulement de son attaque introductive sur Ramonet et qui concerne sa crédibilité.
Les procédés argumentatifs de Duquenal sont tous tautologiques et ce referment en boucle. C’est l’argumentation des charlatans, de ceux qui veulent tromper son monde et faire plaisir à ses supporters du la « liberte’ » et de la « démocratie » ( bourgeoise bien entendue).
Il part de la prémisse implicite que Chavez est un vil personnage, que cela n’est pas à démontrer, que c’est un fait historique incontestable, donc que toute personne qui défend son œuvre est forcément malhonnête et peu crédible.
Cher M. Ramonet
En français on ne s’adresse pas à quelqu’un qu’on déteste par un « cher », encore moins si on le juge malhonnête. Le faire c’est de l’hypocrisie.
Duquenal invoque sa propre personne comme argument d’autorité pour « démontrer » la crédibilité de ses dires.
Duquenal est crédible, honnête et contre Chavez, donc puisque Ramonet défend Chavez il est forcément non crédible et malhonnête. Voilà pour le Duquenal qui ne se prend pas pour une merde mais pour une autorité morale.
Ainsi, il nous informe de son désir initial de ignorer Ramonet complètement. Ce qui nous permet immédiatement de juger Ramonet à l’aune de Duquenal, et inversement.
Ramonet aurait perdu de sa crédibilité Au Venezuela, par son attachement inconditionnel à M. Chavez.
Certainement parmi les inconditionnels anti chavistes nous suggèrent t’il. Donc Ramonet aurait eu de la crédibilité parmi eux. Foi de Duquenal. Ce qui est totalement absurde. Voilà la grande trouvaille lapalisienne de Duquenal qui le rendrait crédible : Ramonet aurait perdu de la crédibilité parmi les antichavistes.
Hélas pour cette duquenalerie, Ramonet n’a jamais eu de crédibilité chez les antichavistes, pour être justement un supporter de Chavez.
Mais en aurait il eut, que celle ci ne se perd que si l’attachement inconditionnel est envers une personne vile !!! Ce que Duquenal impose dans sa prémisse implicite et qu’il n’a jamais essayé de démontrer. Belle tautologie qui ne repose que sur la crédibilité de Duquenal qui se prend pour une autorité morale.
Mais, foi de Duquenal encore, Ramonet aurait perdu de la crédibilité parmi les chavistes, PEUT ÊTRE.
Car Duquenal aime bien les spéculations gratuites et surtout sa lâcheté lui commande de se protéger avec un peut être. Il en n’en est donc pas sûr, c’est pourquoi il avance une raison probable : Ramonet est proche de Chavez., ce qui rendrait certains chavistes jaloux de cette proximité !!.
Et en quoi est ce mal d’être proche de Chavez ?
Parce que Chavez est vil, pardi !
Mais il n’y avait pas besoin de cette remarque. La proximité avec Fidel était largement suffisante.
On se demande en quoi cette jalousie de certains chavistes ôterait de la crédibilité à Ramonet..
Seul l’intellectuel de haut niveau Duquenal sait.
Au passage, il insulte donc ces chavistes qui parceque jaloux ôteraient de la crédibilité à Ramonet.
Des imbéciles en plus clairs et moins faux cul.
Duquenal pense que les gens sont tous aussi futil que lui.
Il va sans dire que Duquenal, en étant systématiquement et inconditionnellement contre Chavez serait crédible parce que dans toutes ses diatribles anti chavistes il ne fait que mentir et répéter les lieux communs pondus à Washington et repris par la presse « libre » de scrupules, comme Le Monde et Libération.
Ce que je vais montrer dans mes commentaires suivants, si j’ai le temps.