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Accueil du site > Tribune Libre > Commentaire au sujet d’un éditorial de Ignacio Ramonet sur Hugo (...)

Commentaire au sujet d’un éditorial de Ignacio Ramonet sur Hugo Chavez

Cher M. Ramonet

Je me permets de vous écrire ce petit mot public à la suite de votre éditorial du Monde Diplomatique d’août 2007. Je dois commencer par reconnaître mon désir initial de vous ignorer complètement. Au Venezuela, votre attachement inconditionnel à M. Chavez a nui considérablement à votre crédibilité, peut-être même parmi certains chavistes probablement un peu jaloux de votre proximité au leader bien-aimé. Cet éditorial, que je vais adresser ci-dessous, confirme encore une fois que quand il s’agit de Chavez, il ne peut rien faire de mal à vos yeux. Non, si je vous écrit si tard c’est que j’ai reçu bien des courriels me demandant en tant que blogueur franco-vénézuélien d’écrire un démenti et je me suis donc décidé. Evidemment en espagnol certains intellectuels vénézuéliens qui n’ont rien à vous envier vous ont déjà corrigé. Vous pouvez chercher par exemple les écrits de Petkoff ou d’Ibsen Martinez pour votre édification.

Je dois reconnaître que dès la deuxième phrase de votre texte j’ai haussé les sourcils (comme Ibsen le fit sûrement puisqu’il en parle). Vous écrivez que M. Chavez a été le sujet de « tentatives d’attentat ». Lesquelles ? Quand ? Des blessés ? Des morts ? Des arrestations ? Un procès quelconque ? Renseignez-nous ! Vous êtes journaliste en plus d’intellectuel, non ? Je crois que vos visites espacées au Venezuela ne vous permettent pas de savoir que ces fameux "attentats" sont ressortis à l’occasion, lorsque les besoins politiques nécessitent un divertissement (nous devrions d’ailleurs avoir droit à un nouvel "attentat" bientôt, avant le vote de la réforme constitutionnelle, cela rallie les troupes je crois). Je vous pardonne donc de ne pas savoir que si nous avons effectivement vu à la télévision au moins une fois un déploiement d’armes (curieusement neuves, curieusement militaires) nous sommes toujours à l’attente de la première inculpation formelle pour cause d’attentat. Si vous me donnez votre courriel je me ferai un plaisir de vous prévenir le jour où vraiment il y aura quelque chose qui paraîtra être une véritable tentative d’attentat. Ici, en attendant, nous rigolons tous en parlant de "auto magnicidio". Je ne vous fais pas l’affront de traduire.

Le reste de votre éditorial n’est qu’une ode à la gloire de Chavez que j’ose espérer vous avez écrit en vitesse avant de partir en vacances. Vous corriger sur les détails ? Non, pas vraiment, après tout certains sont des faits vérifiables. Je me permettrai donc de faire seulement trois petites remarques afin que vous sachiez que le lecteur averti n’est pas dupe de votre engagement (d’ailleurs, certaines allusions de cette élégie me font croire qu’en fait à travers celle-ci vous ne cherchiez qu’à régler vos comptes avec un gauche démocratique qui a depuis longtemps cessé de vous prendre comme guide intellectuel).

Le premier détail, si l’on peut dire car son omission est plutôt impardonnable, c’est que vous ne mentionnez pas la multiplication par 6 du prix du pétrole Vénézuélien, grâce surtout à la Chine et aux erreurs de Bush. Donc le lecteur naïf pourrait penser que M. Chavez est un as de l’économie. Il n’en est rien : la croissance économique du Venezuela est due à cette manne pétrolière, non aux prouesses des ministres de Chavez. En fait les trois premières années de Chavez, avant que le pétrole soit devenu cher, ont été plutôt mauvaises. Je vous fais remarquer que le bolivar vénézuélien était un peu au-dessus de 500 pour un dollar américain en 1999. Aujourd’hui au marché noir il frôle les 5000, bien plus du double du cours officiel. Cette autre omission de votre part m’oblige à corriger votre évaluation du salaire minimum qui est en fait la moitié de que vous dites, le rabaissant parmi les plus bas du continent.

"Trois millions d’hectares de terre ont été distribués aux paysans", cela m’a fait bien rire. Les fameux paysans n’en sont pas les propriétaires. Ils ne peuvent ni les vendre ni demander de crédits bancaires pour l’exploitation (plutôt généreux de par la loi). Ils sont en fait soumis à l’Etat pour toute décision de production et d’aide. Je pense que vous savez comment ce genre de propriété agricole d’Etat a terminé en Europe de l’Est, à Cuba et ailleurs. Au Venezuela les interventions de Chavez dans le secteur agricole ont déjà vu la baisse importante de la production de viande, de lait et de sucre, trois produits dont l’absence sur les étagères des commerçants est devenue chronique, même à Mercal.

Le troisième détail est assez curieux et peut-être en dit plus sur votre relation peu objective avec Chavez, si bien illustrée par le reste de votre aubade. Je remarque que votre éditorial date du numéro d’août (parution le premier août je suppose). Pourtant vous parlez déjà comme d’un fait accompli du passage de la semaine de travail de 44 heures à 36 heures. Ceci est faux. La semaine de travail vénézuélienne varie de 40 à 44 heures selon les entreprises, et ceci au moins jusqu’au mois de janvier 2008. Chavez a inclus cette promesse dans ses "réformes" constitutionnelles présentées le 15 août. Comment saviez-vous ce détail ? Avez-vous conseillé à M. Chavez d’inclure cet appât pour allécher l’électeur en décembre ? Savez-vous d’ailleurs que dans la constitution de 1999 rien, absolument rien, n’aurait empêché Chavez d’établir la semaine des 36 heures ? En fait, cette constitution de 1999 l’y engageait, un des nombreux engagements que Chavez n’a pas rempli [vous pouvez lire l’article 90 de la constitution de 1999, commenté ici]. Les questions que nous avons le droit de nous poser lorsqu’on vous lit sont : comment tant d’intimité ? Quel est votre lien réel avec Chavez ? Pouvez-vous lire ses pensées ? Et bien sûr : que lui devez-vous pour l’appuyer autant ?

Je termine ce mot bien plus long que prévu. Vous vous rendrez compte bien sûr que je pourrais continuer aisément sur ma lancée, mais comme je l’écrivais au début je ne crois pas que votre influence soit très grande de nos jours en dehors des cercles alter mondialistes qui feraient mieux de chercher d’autres guides que vous. D’ailleurs, continuez à vous attacher à Chavez : si sa "réforme" constitutionnelle passe, votre réputation ne pourra qu’en diminuer.

Bien à vous.


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35 réactions à cet article    


  • Francis, agnotologue JL 10 septembre 2007 10:05

    Cher monsieur Daniel Duquenal de San Felipe, pourquoi venez-vous ici publier cette diatribe contre Mr Ignaccio Ramonet ?

    Il a été dit ici que le Monde Diplomatique est l’honneur de la presse française.

    Cela ne plait pas à tout le monde c’est certain. Votre intervention ici vise peut-être à entacher la réputation de ce journal.

    Mais j’aimerais lire la réponse de Mr Ramonet lui-même. L’aurons nous ?


    • Zygomar 10 septembre 2007 17:40

      « Il a été dit ici que le Monde Diplomatique est l’honneur de la presse française »

      >>>> Bravo pour le sens de l’humour et de la dérision !!

      Quand on n’a plus d’honneur, il nous reste le mode diplomatique........ Pitoyable.


    • Francis, agnotologue JL 10 septembre 2007 18:39

      @ Zygomar, je ne comprends pas votre remarque. Peut-être n’avez-vous pas compris la mienne. Cela me serait égal si vous étiez le seul dans cette confusion.

      C’est pourquoi je précise : JE CONSIDERE, et je l’ai moi-même dis ici, que le Monde Diplomatique est l’honneur de la presse française.

      J’étais le premier à commenter ce texte. J’ai pris des gants parce que je ne savais pas si mes soupçons étaient fondés. J’ai pu, à la lecture des commentaires suivants, conforter mon opinion : Mr Duquenal est un scélérat.

      Si vous précisez ce que vous avez voulu dire, je pourrai peut-être me faire une opinion sur le Zygomar que vous semblez être (ceci pour le pitoyable de votre post). smiley


    • urru 11 septembre 2007 08:38

      Excusez-moi mais nous (vénézuéliens) mangeons oui des dollars, parce que tout ce que nous mangeons est importé. Avant il n’était pas comme ça, mais le lieutenant colonel Chávez a obtenu que nous importions tout celui que nous mangions.


    • Boileau419 Boileau419 10 septembre 2007 10:16

      C’est vous qui perdez par pans entiers votre réputation à force de publier des mensonges sur le Vénézuéla. Ce n’est pas que j’apprécie tant que cela le Monde diplomatique, mais pour ce qui est de Chavez, il s’agit bien de l’un des rares fleurons de la presse occidentale à lui rendre justice.

      Que ne continuez-vous pas à envoyer vos infâmes papiers en anglais sur des sites de la gentry vénézuélienne de Miami !

      Misérable suppôt de la CIA.


      • Gazi BORAT 10 septembre 2007 10:17

        « ...ces fameux ‘attentats’ sont ressortis à l’occasion, lorsque les besoins politiques nécessitent un divertissement... »

        Pourquoi pas ?

        Il en est de même pour les apparitions de Mr Ben Laden, de plus en plus suspectes..

        gAZi bORat


        • ZEN ZEN 10 septembre 2007 10:35

          Incroyable !!!Je suis pour la première fois d’accord avec Boileau, meme si ce n’est pas pour les mêmes raisons de fond.

          Le Monde diplo n’est pas la bible. Il faut savoir faire ses choix et exercer son pouvoir de critique, mais c’est un organe irremplaçable dans la presse française.Dèjà sur la guerre du Vietnam, la tragédie yougoslave...il avait pris des positions éclairées et courageuses.


          • Nietzsche 12 octobre 2007 07:43

            Monsieur Lacouture nous gratifia de ses articles cousus de fil rouge sur le Cambodge.

            Grâce a lui ce paradis n’avait aucun secret pour nous. La réalité était bien différente au Kampuchéa démocratique. Pour toute excuse il avoua n’y avoir jamais mis ses bottes blanche. Juste de la propagande...ses articles dans le Monde diplomatique.


          • tvargentine.com lerma 10 septembre 2007 10:43

            Encore une fois un fasciste adorateur des régimes fascistes des années 70 en Amérique du Sud n’accepte toujours pas la démocratie ,les élections libres,les réformes de justice sociale et les répartitions équitables des richesses dans un pays ou ils existaient d’un coté les riches et de l’autre les pauvres


            • Captain Cap 10 septembre 2007 11:53

              Daniel Duquenal aime le crabe. Tous les goûts sont dans la nature (moi je préfère la langouste). C’est pourquoi il vient de temps en temps jeter un appât ici. Et regardez ! Tout de suite, en quelques instants, voici que viennent mordre trois crabes non seulement hydrophiles, mais encore créationnistes comme on peut le voir dans un autre trou d’eau d’Agorapox ! C’est peut-être meilleur que la langouste, le crabe. En tout cas, c’est visiblement plus facile à attraper. Va falloir que j’y goûte pour voir.


              • Txakal 10 septembre 2007 11:58

                Rien de nouveau sous le soleil... La droite a du mal à accepter les résultats des élections quand ils lui sont défavorables, surtout lorsque les nouveaux élus prennent des mesures au profit du plus grand nombre et aux dépens des nantis... leur « gusaneria » et leurs « hommes de main » (il y en a de toutes les sortes) entrent alors en action... En voici un bel exemple... On a le BHL ou le Alain Minc qu’on peut...


                • houchmandzadeh 10 septembre 2007 13:29

                  L’auteur de l’article est (trop) sévère avec I.Romanet, mais je ne crois pas qu’il mérite de se faire traiter de fasciste et de suppot de CIA juste pour avoir exprimer ses critiques.


                  • bart153 bart153 10 septembre 2007 17:03

                    Moi qui m’attendait à un article plein de savoir, d’objectivité et d’informations constructives, je me suis bien fait avoir. Voilà un article qui se permet de critiquer un auteur pour la subjectivité due à son attachement au dirigeant , quand il est lui-même coupable du fait inverse. Des milliers d’articles à la gloire de tous les systèmes impériaux, un seul à la gloire d’un système social, et on crie au drame.

                    La désinformation est en marche.

                    Tristement inintéressant


                    • Signé Furax 10 septembre 2007 17:18

                      Castro n’étant plus une valeur d’avenir, une certaine gôche française fait son transfert sur Chavez, el ùltimo lider maximo qui ne tardera pas à être déclaré élu à vie.

                      C’est comme ça ! On a eu droit à Staline, à Mao, à Tito etc... et la terre française étant si fertile en idiots utiles, maintenant on a Chavez.

                      Et puis, il y a eu Pol Pot. Ah ! les khmers rouges, qu’ils étaient beaux. Un tiers de la population massacrée pour son bonheur grâce à Pol Pot, un pur produit de la Sorbonne de Paris

                      Si, ne riez pas, un journaliste du Monde, dans les années 75 écrivait des articles dithyrambiques sur l’humanisme de Pol Pot et de son équipe. Un jour, Jean Lacouture, c’est lui, a dû reconnaître qu’il n’avait jamais mis les pieds au Cambodge, mais il est toujours journaliste au Monde.

                      Depuis ce jour-là, je n’ai plus jamais ouvert ce torchon et je m’en porte très bien.


                      • Dudule 10 septembre 2007 18:07

                        Chavez n’est pas Pol Pot, jusqu’à preuve du contraire. Lorsque le régime de Chavez fera réellement preuve d’une dérive antidémocratique, ce qui sera le cas peut-être un jour, je trouverai beaucoup plus pertinent ce genre de commentaire.

                        L’auteur semble considérer qu’une tentative de coup d’état, qui fit plusieurs morts, ou encore une grève patronale (qui étouffa le pays économiquement) ne sont pas à proprement parler des tentatives d’attentats. C’est une question d’interprétation, somme toute.

                        L’absence de produits de bases sur l’étale des commerçant n’est probablement pas dû aux tentatives de réformes agraires (peut-être plutôt mal exécutées, c’est fort possible), dans un pays qui est très loin de disposer de l’autonomie alimentaire. Alors que ce même pays dispose d’un nombre considérable de terres agricoles non exploitées par leurs propriétaires richissimes, ce qui explique justement la volonté de réforme agraire. Peut-être que si ces terres avaient été convenablement exploitées par le passé (ce qui ne choquait personne à l’époque), l’hydre du collectivisme agricole ne donnerait pas des sueurs froides à l’auteur ?

                        D’ailleurs, lorsque le Venezuela était l’un des pays les plus riches du monde, de par ses ressources naturels, et que dans le même temps sa population était parmi les plus pauvres du monde, cela ne choquait que peu des opposants contemporains du régime Chaviste.

                        Maintenant que les revenus du pétrole sont mieux distribués et profitent mieux à la population, on hurle au scandale.

                        Quant à savoir si Ignaciot Ramonet lit dans les pensées de Chavez, il semble que beaucoup de ses opposants en soit tout à fait capable, en comparaison du nombre de procès d’intentions dont on accable le dirigeant vénézuélien.

                        Il est tout à fait possible que le régime Chaviste vire à l’eau de boudin militaro autoritaire. En attendant, les élections et les débats sont libres, l’opposition détient la majorité des médias de masse (et cela toujours après l’interdiction d’émettre sur le réseau hertzien de RCTV, décision tout à fait justifiable), et les électeurs en redemandent... Pour le moment, il n’y a pas de quoi hurler au loup.

                        Et s’ils en redemandent, c’est que si le régime de Chavez n’est probablement pas parfait, il est à leurs yeux bien meilleurs que les régimes vénézuéliens précédents, qui ne suscitaient à l’époque que bien peu d’articles critiques dans la presse internationale. Et aussi parce que quoi qu’on en dise, leur situation matérielle s’améliore de façon sensible. Les pauvres sont mesquins et ne peuvent prétendre à la hauteur de vue de l’auteur, que voulez-vous... smiley


                        • Daniel Duquenal Daniel Duquenal 10 septembre 2007 19:03

                          Dudule

                          Je tiens à vous faire remarquer que mes mots et critiques à Ramonet ont été bien choisis. Par exemple j’attribue le manque de lait, de sucre et de viande à une mauvaise politique agraire. Mais d’autres pénuries je ne les attribue pas à Chavez. Par exemple le manque de poulet et surtout du a une amélioration du pouvoir d’achat et une industrie avicole dynamique mais qui n’arrive pas a suivre. Remarquez, si cette industrie ne suit pas c’est aussi a cause de mauvaises politiques financières, mais je simplifie en restant strictement sur le plan agricole.

                          En suite les attentats. Lisez bien le texte de Ramonet, il sépare attentats des grèves et autres activités. Je réponds donc à la distinction que Ramonet fait. Ne me le reprochez pas. Je ne nie pas le coup d’état ni autres activités (même si je suis sur que nos explications sont très différentes, mais cela serait le sujet d’un autre texte). Je le mets simplement en place de nous faire part d’informations qui ne sont pas du domaine publique. C’est réglo, non ?

                          Finalement, assez de ce canard sur les media : c’est maintenant Chavez qui détient l’écrasante majorité des medias au Venezuela. L’opposition ne dispose d’aucune chaîne télévision a couverture nationale. Globovision et RCTV n’émettent que par cable, ou dans le cas de Globovision, en signal libre seulement à Caracas et à Valencia. Je n’ai pas souligné ce bêtisier mensonger de Ramonet car il le met comme une note sur le coté de son texte (et j’avais déjà suffisamment d’éléments pour démontrer la mauvaise foi de son éditorial). Il sait très bien qu’il ment et il manipule le lecteur en diminuant le plus possible l’importance de la fermeture de RCTV. Le Monde Diplo a bien sur beaucoup d’expérience en faisant de la propagande pour les régimes « amis ». Je vous invite donc à lire mes autres textes à ce sujet et à vous informer plus complètement.


                        • Daniel Duquenal Daniel Duquenal 11 septembre 2007 05:59

                          Ah Michel ! Je me demandais bien quand est ce que votre prose étincelante allait arriver. Décidément aucun de mes écrits ne sera complet tant que vous n’aurez pas utilisé au moins dix fois plus de mots que je ne le fis pour mon texte, et ceci rien que pour m’insulter, me traiter de menteur et autres amabilités. Decidement avec le temps vous n’améliorez pas.

                          Je vous rappelle quand même ce que je vous écrivis il y a déjà quelque temps : je ne discute pas avec les grossiers personnages comme vous. Contrôlez votre logorrhée, soyez un peu plus poli et peut être un jour vous trouverez des réponses.


                        • damocles damocles 10 septembre 2007 19:00

                          Cher Daniel,

                          Merci d’une fois de plus remettre les pendules à l’heure. Le Monde Diplomatique est un des derniers vestiges d’une France qui passe, l’ultime avatar d’une époque où l’illusion faisait recette.

                          M. Ramonet soutient des régimes basés sur le mensonge et l’hypocrisie, érigés aux rangs de dogmes nationaux, que ce soit dans le cadre du castrisme ou du chavisme. Il n’est donc pas étonnant que dans ces conditions lui-même ne soit tenté de mettre ses petits orteils dans leurs larges empreintes.


                          • dan 10 septembre 2007 20:23

                            Et vous mr l’auteur combien vous ête payé pour dire du mal de Chavez ou de ceux qui le soutiennent.------------Voilà un régime socialiste qui se dresse ô sacrilège en ce début du 3è millénaire et voilà que les capitalistes sont sens dessus dessous,s’excitent et s’énervent.Préparez vous à d’autres avènements socialistes pour ne pas avoir des crises cardiaques.-----------------------quant aux sempiternelles reproches contre Staline ou Pol Pot concernant les soi-disants crimes de masse ,il faudra les prouver,ne serait-ce pas là aussi de la pure propagande capitaliste comme les fameux faux charniers de Timissoara.


                            • manuela 11 septembre 2007 05:11

                              Je suis abasourdie soit par l\\\’article de M. Ramonet (que je n\\\’avais pas lu, d\\\’ailleurs) que par la réaction viscérale des commentateurs de la lettre de Duquenal.

                              Tout d\\\’abord, M. Ramonet pourrait très bien être employé par Disney pour faire un script de film sur Chávez, tellement ses clichés sont rose-bombon. Pourtant il doit bien savoir que le Vénézuéla est loin d\\\’être un pays où la démocratie et les libertés sont respectés, comme il dit sans vergogne dans son éditorial. En fait, il est bien connu que Chávez a instauré un régime d\\\’ appartheid McCarthiste sur la population basé sur des listes noires, du jamais vu auparavant au Vénézuéla. Il s\\\’ agit d\\\’ un pays où la diversité de pensée n\\\’est plus acceptée et où il y a deux classes de citoyens : les chavistes et les autres, qui ont de moins en moins de droits et aucune voix pour les représenter. Un pays où les ressources de l\\\’état sont maintenant au service complet d\\\’ un seul homme et de son ambition politique personnelle. Un pays où les institutions démocratiques n\\\’existent plus car elles sont toutes sous le pouvoir d\\\’Hugo Chávez.

                              L\\\’ambition de Chávez est de rester au pouvoir pour toujours, comme cela est arrivé systématiquement avec bien de caudillos tout au long de l\\\’histoire du Vénézuéla. Cette fois-ci, il utilise comme véhicule la pauvreté et la négligence auxquelles des millions de vénézuéliens ont été soumis, aidé par un charisme indéniable, un prix du pétrole jamais vu et un conjoncture politique internationale particulièrement favorable. Ses propos semblent alors nobles aux naifs, mais le résultat est la militarisation croissante du pays, la division de la société, la mort des institutions démocratiques, l\\\’abus de pouvoir et l\\\’absence de pluralisme idéologique.

                              Il est très rare qu\\\’ un tel climat puisse apporter un développement durable à la societé vénézuélienne et améliorer la qualité de vie au pays au delà des remontées spectaculaires des prix du baril.

                              Quelques uns des commentaires de M. Ramonet m\\\’ont particulièrement dérangé. Il soulève, par exemple, la subvention de transport à la Ville de Londres comme une bonne chose. C\\\’est clairement un coup de propagande internationale de Chávez qui n\\\’a pas honte que les pauvres qui habitent des bidonvilles au Vénézuéla subventionnent les \\\« pauvres\\\ » d\\\’une des villes les plus riches de la planète.

                              Pourquoi, M. Ramonet, ne demandez vous pas que les pauvres qui habitent Petare ou Catia ne subventionnent les Parisiens la prochaine fois ? À mon avis il est tout simplement scandaleux que des gens qui se disent contre les démons de la mondialisation puissent pourtant applaudir un tel geste d\\\’exploitation d\\\’ une ville riche par rapport à un pays pauvre.

                              Mais les mots les plus dérangeants de l\\\’éditorial de Ramonet et de plusieurs des répondants à M. Duquenal sont ceux qui démontrent qu\\\’ ils adoptent le cliché d\\\’exclusion véhiculé par Hugo Chávez. Selon ce cliché, la dissidence est nécessairement diffamatoire, les vérités sur Chávez qui font mal sont des calomnies et on ne peut être contre Chávez sans être traité de fasciste ou de propagandiste financé par les États Unis.

                              Sachez M. Ramonet que la dissidence contre Chávez dans la population Vénézuélienne est grande, très grande et elle est composée de gens de toutes origines, de toutes les classes sociales et même de toutes les tendances politiques. C\\\’est un dissidence qui n\\\’a probablement jamais entendu parler du NED et qui ne fait peut être pas vos distinctions de bon vivant de salon entre socialisme et social démocratie. Par contre, elle sais très bien faire la différence, dans la vie de tous les jours, entre le régime de Chávez et la vraie démocratie.


                              • Daniel Duquenal Daniel Duquenal 11 septembre 2007 06:10

                                Manuela

                                Merci de vos mots. Il est bon d’écouter d’autres voix sur ce sujet que celle des irreductibles qui n’ont probablement jamais mis un pied an Amérique du sud.

                                Je vous réponds simplement pour vous rassurer. A mon avis les réactions viscérales et déplacées comme celles de Boileau ou Maugis ne font que nuire à leur cause et peut être même dérangeront Mr. Ramonet si un jour il venait à lire cette page. Ces gens là ne me troublent guère : ils confirment en fait ce que je soupçonne, que le chavisme est de nos jour plus proche du culte que du mouvement politique.

                                J’ai vécu de longues années aux USA dans le Sud et j’ai du faire face trop souvent à ces fameux intégristes US qui appuient la guerre en Iraq, condamnent les homosexuels, interdisent l’avortement et veulent rendre l’école publique religieuse. Et bien vous savez quoi ? C’est exactement le même genre de ton, de stratégie (si on peut le qualifier par un tel mot) que ces réponses,qui vous choquent tant, à mon texte emploient. Le fanatisme, c’est cela.


                              • Daniel Duquenal Daniel Duquenal 11 septembre 2007 14:02

                                Michel Maugis

                                Lorsque j’étais au lycée je me souviens d’un certain prof de français qui nous répétait inlassablement :

                                « ce que l’on conçoit bien s’énonce clairement et les mots pour le dire viennent aisément »

                                Il semblerait que vous n’ayez pas eu le bénéfice de genre d’enseignant.

                                Je suis tellement sur que votre style nuit à vos propos que je n’éprouve nul besoin de vous réfuter : les lecteurs sont suffisamment intelligents pour se rendre compte de votre manque de sérieux, de votre but réel. Car soyons franc, quel est votre but ? Noyer toute discussion possible sous une vague d’invectives, sous une avalanche de mots. Comme cela personne n’osera répondre car personne ne voudra être le sujet de votre hargne. Encore mieux, personne n’aimera voir son effort d’écrire un commentaire intéressant se perdre entre deux de vos messages haineux et infinis. Donc vous achèveriez votre but qui est non seulement d’essayer de me rendre non crédible mais assurer que personne ne vienne me défendre, ou me critiquer sérieusement, ce qui apporte également de la crédibilité.

                                C’est en fait du terrorisme verbal que vous pratiquez, un terrorisme où non seulement vous cherchez à me noyer mais ou vous cherchez à noyer qui que se soit qui ne communie pas 100% avec vous, même si ils sont 90% en désaccord avec moi. Ne vous inquiétez pas, avec mon blog j’ai l’habitude de votre espèce et vous ne me ferez jamais taire. Je vous répétè tout ceci pour que vous sachiez d’une bonne fois que je ne suis pas dupe de vos intentions, que discuter n’est absolument pas votre objectif. Nous le voyons très clairement avec votre réponse à Manuela, une nouvelle sur ces lieux. Vous lui tombez dessus pour lui faire peur, pour la chasser, pour que ses mots ne reviennent jamais semer le doute chez vous et les intégristes qui suivent Chavez.

                                Voila. J’espère que vous aurez profité de ma réponse. Il n’y en aura guère d’autre, je ne perds pas de temps avec des sujets comme vous. Cette réponse d’ailleurs se doit davantage à Manuela qu’à vous, afin de l’instruire des réalités de certains pratiques de ces forums. Je ne voudrais pas qu’elle soit découragée de continuer d’écrire à l’occasion.


                              • cara 11 septembre 2007 16:51

                                Monsieur Maugis,

                                croyez-vous que c’est en insultant systématiquement vos interlocuteurs que vous convaincrez votre lectorat des qualités du Président Chavez ?

                                Mais... trouver normal un score électoral de 70%, trouver légitime qu’un chef d’état veuille se maintenir au pouvoir ad vitam aeternam, trouver saine cette exacerbation des antagonismes de classe sur laquelle ce chef d’état semble avoir fondé sa popularité, c’est faire montre d’une conception pour le moins étrange de la démocratie...

                                A moins que pour vous la démocratie ne soit qu’une bête immonde à abattre...


                              • manuela 11 septembre 2007 15:50

                                Monsieur Maugis,

                                votre discours est fasciste. Sachez que le fascisme de gauche est aussi dangereux que celui de droite.

                                Je comprend pourquoi vous appuyé avec autant de ferveur M. Chávez.


                                • cara 11 septembre 2007 16:54

                                  Les bras m’en tombent !!!

                                  Dites-moi que c’est pour de rire, Monsieur Maugis !


                                • elateolibre 11 septembre 2007 18:13

                                  Michel Maugis @ tous.

                                  Je vais ici démontrer le « Faux culisme » de l’auteur qui ne sait comment faire, en se gratant l’oreille droite avec la main gauche en passant derrière la tête, pour exprimer une idée très simple mais fausse avec des mots qui arrivent aisément : Ramonet est malhonnête.

                                  Dans ce commentaire, je traite seulement de son attaque introductive sur Ramonet et qui concerne sa crédibilité.

                                  Les procédés argumentatifs de Duquenal sont tous tautologiques et ce referment en boucle. C’est l’argumentation des charlatans, de ceux qui veulent tromper son monde et faire plaisir à ses supporters du la « liberte’ » et de la « démocratie » ( bourgeoise bien entendue).

                                  Il part de la prémisse implicite que Chavez est un vil personnage, que cela n’est pas à démontrer, que c’est un fait historique incontestable, donc que toute personne qui défend son œuvre est forcément malhonnête et peu crédible.

                                  Cher M. Ramonet

                                  En français on ne s’adresse pas à quelqu’un qu’on déteste par un « cher », encore moins si on le juge malhonnête. Le faire c’est de l’hypocrisie.

                                  Duquenal invoque sa propre personne comme argument d’autorité pour « démontrer » la crédibilité de ses dires. Duquenal est crédible, honnête et contre Chavez, donc puisque Ramonet défend Chavez il est forcément non crédible et malhonnête. Voilà pour le Duquenal qui ne se prend pas pour une merde mais pour une autorité morale.

                                  Ainsi, il nous informe de son désir initial de ignorer Ramonet complètement. Ce qui nous permet immédiatement de juger Ramonet à l’aune de Duquenal, et inversement.

                                  Ramonet aurait perdu de sa crédibilité Au Venezuela, par son attachement inconditionnel à M. Chavez.

                                  Certainement parmi les inconditionnels anti chavistes nous suggèrent t’il. Donc Ramonet aurait eu de la crédibilité parmi eux. Foi de Duquenal. Ce qui est totalement absurde. Voilà la grande trouvaille lapalisienne de Duquenal qui le rendrait crédible : Ramonet aurait perdu de la crédibilité parmi les antichavistes.

                                  Hélas pour cette duquenalerie, Ramonet n’a jamais eu de crédibilité chez les antichavistes, pour être justement un supporter de Chavez.

                                  Mais en aurait il eut, que celle ci ne se perd que si l’attachement inconditionnel est envers une personne vile !!! Ce que Duquenal impose dans sa prémisse implicite et qu’il n’a jamais essayé de démontrer. Belle tautologie qui ne repose que sur la crédibilité de Duquenal qui se prend pour une autorité morale.

                                  Mais, foi de Duquenal encore, Ramonet aurait perdu de la crédibilité parmi les chavistes, PEUT ÊTRE.

                                  Car Duquenal aime bien les spéculations gratuites et surtout sa lâcheté lui commande de se protéger avec un peut être. Il en n’en est donc pas sûr, c’est pourquoi il avance une raison probable : Ramonet est proche de Chavez., ce qui rendrait certains chavistes jaloux de cette proximité !!. Et en quoi est ce mal d’être proche de Chavez ? Parce que Chavez est vil, pardi !

                                  Mais il n’y avait pas besoin de cette remarque. La proximité avec Fidel était largement suffisante.

                                  On se demande en quoi cette jalousie de certains chavistes ôterait de la crédibilité à Ramonet..

                                  Seul l’intellectuel de haut niveau Duquenal sait.

                                  Au passage, il insulte donc ces chavistes qui parceque jaloux ôteraient de la crédibilité à Ramonet. Des imbéciles en plus clairs et moins faux cul.

                                  Duquenal pense que les gens sont tous aussi futil que lui.

                                  Il va sans dire que Duquenal, en étant systématiquement et inconditionnellement contre Chavez serait crédible parce que dans toutes ses diatribles anti chavistes il ne fait que mentir et répéter les lieux communs pondus à Washington et repris par la presse « libre » de scrupules, comme Le Monde et Libération.

                                  Ce que je vais montrer dans mes commentaires suivants, si j’ai le temps.


                                  • Daniel Duquenal Daniel Duquenal 11 septembre 2007 19:35

                                    Je suis un peu confus : ce n’est pas Maugis qui signe vraiment mais ce mot semble être tout à fait de lui. Un peu plus poli remarque, donc je vais répondre, car la réponse de plus est toute simple.

                                    Vous me pourfendait sur mon style. Par exemple vous n’avez pas aime le « cher » au début de mon texte. Oui, je reconnais là un américanisme. Ayant vécu presque 20 ans aux USA j’ai pris quelques bonnes manières que ces gens là ont (si, si, croyez moi, ce ne sont pas tous des sauvages). Par exemple ils commencent tous leurs lettres avec un Dear, même pour protester une facture. Ils écriraient « Cher EDF » pour dire qu’ils se sentent volés par la note salée qui leur est adressée. Bien sur, au vu des autres commentaires que vous m’avez laissé par le passé je suis sur que ce genre de politesse et les raisons qui en ont créé l’usage, et mon adoption, vous dépassent.

                                    En fait ce que cela veut dire c’est que quoique je pense de Mr. Ramonet, si un jour j’avais l’occasion de le rencontrer je ne lui cracherai pas dessus, je lui foutrai pas mon poing sur la gueule. Les américains justement arrêtent de dire « dear » quant ils se préparent a vous bombarder ou envoyer la police. C’est leur manière de vous avertir que vous avez dépassé les limites. Je suis sur que Mr. Ramonet est suffisamment intelligent lui pour comprendre cela. Comme c’est a lui que mon billet est adressé votre opinion ne me tracasse pas, je ne fais que la noter au cas ou il aie un lecteur intéressé par vos diatribes.

                                    Le reste de vos arguments malheureusement commencent à patiner très vite et je ne me sens donc pas dans l’obligation de vous répondre. Par exemple il me faudrait faire un sondage sur la réputation de Mr. Ramonet au Venezuela. Apparemment les intellectuels vénézuéliens que je cite ne sont pas suffisants. Pour vous il faudrait que j’écrive une encyclopédie de données pour accompagner mes textes. Ce que vous ne faites pas dans vos réponses, ceci soit dit en passant.

                                    Il y a cependant une petite question d’arithmétique et de connaissance générale que j’ai remarquée dans vos insultes à d’autres lecteurs (il faut reconnaître que vous êtes très démocrate : tous ceux qui ne sont pas d’accord avec vous ont droit à votre traitement de fascisto-castriste).

                                    Le salaire minimum qui vous chagrine. Considérant que le Vénézuela importe a peu prés les 3/ 4 de sa nourriture/vêtements et considérant que de très nombreux produits n’ont pas droit au dollars préférentiels et donc passent par le marche parllèle/noir, il est évident que le salaire minimum se mange en dollars même si les reçus sont en bolivares. Donc, la monnaie de référence est celle du marché noir/parallèle, ne vous en déplaise. Si vous n’êtes pas capable de comprendre ceci, et bien retournez à l’école.


                                  • cara 11 septembre 2007 23:31

                                    Bigre !

                                    Mais vous êtes un authentique stalinien, Monsieur Maugis !

                                    J’ignorais que l’espèce existât encore.


                                  • troglodyte 12 septembre 2007 18:54

                                    Allons Michou ! Il n’y a rien de plus fasciste que de menacer quelqu’un de le traiter de parfait idiot s’il ose dire quelquechose !!!! Ça commence comme ça et ça termine dans un camp de concentration. Quant a ta definition du fascisme scientifique, c’est vraiment n’importe quoi. Et la connerie, c’est scientifique aussi ?


                                  • troglodyte 18 septembre 2007 19:41

                                    Michou, si la connerie scientifique se mesure proportionellement à la quantité de mots écrits sur toute cette page, et bien pas de problème, t’as gagné ! Bravo !


                                  • Signé Furax 12 septembre 2007 19:28

                                    C’est qui ce Maugis ? Un extraterrestre ?

                                    Il y avait bien longtemps que je n’avais lu une diarrhée pareille.

                                    Il faut le conserver et le protéger, un con pareil ne doit pas disparaître. Il en reste encore quelques uns du côté de la Havane, de Pyongyang et certainement aussi dans d’autres contrées lointaines. Mais là, on en a un sous la main et il est français. Il faut le bichonner, le cajoler, lui donner l’occasion de s’exprimer dans toutes ses nuances et, surtout, le promouvoir au prix Nobel de la connerie !

                                    Je vais copié-collé toutes ses logorrhées pour les lire à mes petits enfants le soir au coin du feu.

                                    Je sens que l’on va passer un hiver rigolo !

                                    Hé Staline ! surtout ne change rien !


                                    • cara 13 septembre 2007 17:27

                                      No souci, il est déjà empaillé !!!


                                    • Nietzsche 10 octobre 2007 18:15

                                      Le marxisme et les idées soixantehuitardes sont socialement à l’agonie, même si les journalistes qui ont loupé le virage de la chute du mur sont convaincus du contraire. Que ce passe-t-il ? Leurs titres enfermés dans leur idéologie rétrograde s’effondrent. Ils licencient à tour de bras et ne veulent pas comprendre que leur problème, ce n’est pas l’évolution des médias, ce ne sont pas les capitalistes, c’est leur décalage personnel et leur refus des réalités qui lasse le public. On en a ras le cul de ces donneurs de leçons qui ont totalement raté leur combat politique personnel. Leur morale, leur vision de ce qui est socialement juste, ils se les gardent. On s’en fout. On n’a pas besoin de Michou, adepte d’une idéologie en faillite pour nous expliquer ce qui est socialement juste.


                                      • Dégueuloir Dégueuloir 21 novembre 2007 00:28

                                        article....torchon nauséeux et purulent de haine débile et mensongère,de la prose « fake »et ringarde,tu travailles pour la CIA Duquénal ?


                                      • Basebou Basebou 24 novembre 2007 12:23

                                        Je suis abasourdi par le torrent de haine vomi sur Mr Maugis. Il est vrai que ces courageux malpolis anonymes n’avancent pas l’ombre d’un argument et se cantonnent à une haine dégoulinante de médiocrité. On peut être d’accord avec Mr Maugis ou pas. En tous les cas, lui, a tenu bon et surtout, il a pris le temps d’argumenter face à un Daniel Duquenal qui semble éprouver quelque difficulté à croiser le fer sans chercher systématiquement à rabaisser son interlocuteur. L’interlocuteur n’a rien compris, il est hors sujet,il ne conaît pas le Vénézuela, il écrit mal, il aime Chavez, il n’a pas lu la constitution vénézuélienne, il n’est pas blond aux yeux bleus et et une petite b.... (oups je m’égare) blablabliblablabla.

                                        S’il-vous-plaît, Mr Duquenaladmettez que tout le monde ne pense pas comme vous, et surtout pas la majorité des Vénézuéliens smiley C’est ce qu’on appelle la démocratie

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