Conservateur, voilà un mot qui commence bien mal*
Trois premiers ministres en trois mois.
Quatre ministres des finances en quatre mois.
Trois ministres de l'intérieur en moins de deux mois.
Ce cafouillage n'a pas pour théâtre une petite république d'Amérique centrale sujette aux coups d'états chroniques, mais le formidable pays sur lequel le soleil ne se couchait jamais à l'époque où son empire colonial s'étendait sur toutes les mers, le très sérieux Royaume-Uni.
Liz Truss n'aura pas été seulement la première ministre la plus périssable de tous les temps, elle restera dans les annales de la "Perfide Albion" comme la plus catastrophique. Nombre de ses prédécesseurs ont séjourné au 10 Downing Street quatre ans ou plus sans causer autant de dégâts que ceux dont elle s'est rendue responsable en seulement 44 jours. Mais le jeu de massacre semble devoir continuer sous la férule des flegmatiques conservateurs donneurs de leçons toutes catégories qui lui cherchent un remplaçant et présentent déjà son délire libertarien comme une imposture avec laquelle ils n'ont rien à voir. La sorcière qui a mis le feu à l'économie britannique va devenir le bouc émissaire idéal et sera chargée d'expier tous les péchés des Tories.
Nombre d'entre eux avaient pourtant soutenu la candidature de Mme Truss dès le départ :
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soit ils étaient convaincus que son pari baptisé "ultralibéral" par notre gauche "néolibérale" allait réussir,
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soit ils savaient qu'elle était mythomane et l'ont néanmoins soutenue par opportunisme et par ambition.
Ce qui est sûr, c'est qu'elle n'a pas amené son pays là où il en est toute seule. Son passage a été un désastre, mais ce n'était pas un accident. Quelque chose ne tourne pas rond quand un parti politique majoritaire confie deux fois de suite le poste de premier ministre à des menteurs et/ou bluffeurs. Mais le plus étonnant est que BoJo dont on disait pis que pendre quand il a jeté l'éponge risque de retrouver une virginité aux yeux de ses accusateurs et de revenir aux manettes.
Contrairement à ce qu'écrivent (a posteriori, comme toujours) les experts autorisés, Mme Truss n'a pas été un accident imprévu. Elle s'inscrivait au contraire dans la continuité de la politique des conservateurs britanniques tout au long de leurs douze ans de pouvoir. Déjà, en 2010, Cameron promettait que les "sacrifices" de sa politique d'austérité se traduiraient plus tard par l'opulence. Si la pilule était amère pour la population, le remède avait bien plu aux marchés financiers, mais le médicament n'avait pas réussi à rajeunir le patient. L'avènement d'une Grande-Bretagne florissante ne s'est jamais produit. Cette cure n'a eu d'effets bénéfiques que pour les plus riches et elle a alimenté le mécontentement et la colère dont l'exutoire a été le Brexit présenté comme la panacée à tous les maux, l'UE étant censée siphonner les richesses de l’île et expliquer les difficultés momentanées, attribuées aux travaillistes et leur "europhilie".
Après avoir laissé s'écharper la basse-cour politique sur fond de nationalisme et de noms d'oiseaux, Cameron a laissé le soin à Theresa May de nettoyer la volière. La brave Theresa a passé trois ans à essayer de trouver une réponse à cette question piège : comment gérer le Brexit sans infliger de graves difficultés à l'économie britannique ? Quand elle a déclaré forfait, le parti au pouvoir s'est livré à une lutte fratricide et le blocage de la vie parlementaire qui s'en est suivi a été déverrouillé par l'introduction d'un renard dans le poulailler du 10 Downong Street : l'outsider rusé Boris Johnson.
Or, le Brexit continuait à ne pas tenir ses promesses, et comme les conservateurs ne pouvaient pas faire face à cette évidence, ils se sont réfugiés, comme des enfants contrariés, dans les contes de fées que Mme Truss racontait à qui voulait bien l'écouter. Elle a accédé à la direction du Parti Conservateur en jouant à ses membres la musique qu'ils avaient envie d'entendre (même si elle ne chantait pas toujours juste). Les facéties de BoJo les avaient formatés pour qu'ils préférent les univers fantastiques au monde réel et les mensonges séduisants aux vérités pénibles à entendre.
A peine réveillés de ce cauchemar, et aussi incroyable que cela puisse paraître, les rêveurs ne trouvent rien à redire aujourd'hui à ce que le charlatan défenestré de Downing Street, tombé en disgrâce il y a trois mois, soit à nouveau sur les starting-blocks pour la course au pouvoir, en semblant oublier qu'il a fallu une révolte ministérielle et la démission de plusieurs membres de son propre cabinet pour le virer, mais surtout en oubliant le fait que les mensonges qu'il a racontés aux Communes font l'objet d'une enquête qui pourrait entraîner sa suspension du parlement. Or il est encore plus coupable que Mme Truss qu'il a soutenue dans l'espoir qu'elle s'autodétruirait et lui ouvrirait la porte pour un "come-back" triomphant. Il n'avait sans doute pas prévu que l'explosion serait si rapide.
Mèche courte !**
Mais qui voudrait assumer le redressement dans une situation aussi inflationniste dans un pays aussi délabré ? Les travaillistes ? Pas fous : ils n'ont pas envie d'endosser la paternité de ce qui se prépare. Chat échaudé craint l'eau froide.
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* Thierry Maulnier - Le Monde - 14 Janvier 1983
84 réactions à cet article
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Ils vont nous faire regretter Tony Blair
(peut-être pas quand même)
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@Gégène
En fait c’est difficile d’estimer quand la situation globale est différente. Par exemple, Hollande l’hyper-atlantiste néolibéral et anticonservateur aurait peut-être été aujourd’hui pire que Macron mais on ne peut pas le savoir.Enfin, notons que chez les anglo-saxons le mot « conservateur » ne veut rien dire, à part : conserver la loi du fric.
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Bonjour, Clark Kent
Une analyse pertinente du (baroque) état des lieux politique britannique.
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J’invite les contempteurs du personnel politique français qui portent un regard à juste titre très sévère sur les pratiques de notre propre système à observer de manière objective ce qui se passe de l’autre côté de la Manche.
Comme l’a souligné l’auteur, on assiste à une forme de chaos mis en oeuvre par un parti en pleine décomposition, miné par ses contradictions post-Brexit.
Dans toute démocratie normalement constituée, l’on serait déjà retourné devant les urnes.
Rien de tel à Londres : les conservateurs, accrochés à leurs sièges comme des berniques à leur rocher, entendent aller au bout de leur mandat, autrement dit survivre jusqu’aux élections générales de 2024.
Voilà qui laisse pas mal de champ à de nouveaux épisodes granguignolesques de cette mascarade politique dont il n’existe pas d’autre exemple en Europe (même l’Italie n’a jamais connu une situation aussi dégradée). -
@Fergus
Comme l’a souligné l’auteur, on assiste à une forme de chaos mis en oeuvre par un parti en pleine décomposition, miné par ses contradictions post-Brexit.
Il me semble que ce ne sont pas les conservateurs les seuls responsables de la situation britannique actuelle, les travaillistes ne sont pas exempt de toute responsabilité dans cette évolution lente depuis des décennies ...
Mais bon, je voulais simplement souligner que notre système politique a au moins un avantage, ce sont les électeurs seuls qui choisissent le président qui mène la politique du pays et désignent le programme qu’ils souhaitent voir appliqué. Politique et programme qui est confirmé ou infirmé lors des législatives ....
Mais il parait que notre Vème ne vaut rien ...
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Bonjour, Aristide
« les travaillistes ne sont pas exempt de toute responsabilité dans cette évolution lente depuis des décennies »
Vous avez raison. Mais l’état de « décomposition » du parti conservateur, déchiré entre des lignes irréconciliables, ne doit pas grand chose aux travaillistes.
A cet égard, il y a une similitude avec notre parti LR, tiraillé entre un tropisme populiste et nationaliste d’un côté, et un autre libéral européen plus modéré.
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@Fergus
Comme un poisson dans l’eau quand on ne parle pas du Poudré moummouté. -
@Aristide
"ce sont les électeurs seuls qui choisissent le président "
Eh oui !
Tout comme ce sont les consommateurs seuls qui décident de leurs achats !
Marketing et publicité ne servent à rien.
Le spectre de Le Pen en France a joué le même rôle que le spectre de l’UE au Royaume-Uni.
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@Clark Kent
Les électeurs et la fraude -
@Clark Kent
Tout comme ce sont les consommateurs seuls qui décident de leurs achats !
Marketing et publicité ne servent à rien.
Et donc, il faudrait ... euh, là je ne vois aucune proposition.
De plus à la manière dont vous répétez que ces électeurs sont formatés, manipulés, désinformés ... vous proposez quoi ?
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@Fergus
Mais l’état de « décomposition » du parti conservateur, déchiré entre des lignes irréconciliables, ne doit pas grand chose aux travaillistes.Relisez moi, je parle de la responsabilité des deux partis conservateurs et travaillistes dans la situation du PAYS !!! Où ai-je pu évoquer que les travaillistes soient la cause du foutoir chez les conservateurs, ils arrivent tout juste à en mettre chez eux !!!
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@Aristide
Pour les présidentielles et les législatives, le système électoral en France fonctionne de plus en plus comme le procédé argentique en photographie : on passe par le négatif pour « révéler » l’image obtenue. On vote contre le diable- épouvantail-repoussoir en priant pour que le grand-tout accède à nos prières en envoyant les messie et on se retrouve face à face avec l’exorciste qui prétend être archevêque !
Que voulez-vous que je propose ? Mes propres héros se sont révélés des imposteurs et personnellement, je suis plus près de la sortie que du lever de rideau ce cette farce burlesque. J’observe, comme Diogène, J’ai le droit ? Je demande comme lui, y compris à Alexandre-Emmanuel de ne pas se mettre devant mon soleil. J’aime y voir clair !
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@Aristide
« Où ai-je pu évoquer que les travaillistes soient la cause du foutoir chez les conservateurs »
Je n’ai pas écrit que vous l’aviez « évoqué ».
En réalité, après vous avoir donné raison sur la coresponsabilité des Tories et du Labour dans la déliquescence de la situation britannique, j’ai — comme cela nous arrive à tous de temps à autre — continué sur un propos qui ne s’adressait plus particulièrement à vous.
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Un Brexit, comme un Frexit, ou tout autre retrait ne suffisent pas à redresser la barre, si les nations ne retrouvent pas leur souveraineté monétaire en se dégageant de la toile des banques, en purifiant leur milieu politique et en annulant d’office la Dette indue puisque créée de toutes pièces par des dirigeants spécialement nommés pour la gonfler...
Le Brexit n’est pas responsable de la situation au Royaume-Uni, c’était juste « trop peu, trop tard » comme on dit...
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@Lynwec
« Le Brexit n’est pas responsable de la situation au Royaume-Uni, c’était juste « trop peu, trop tard » comme on dit... »
Les conditions que vous évoquez sont justement celles dont ne veulent pas les dirigeants
le Brexit qui a été présenté comme la solution se révèle avoir joué le rôle d’exutoire : en attribution une dégradation flagrante à une suele cause (imaginaire ou non), on se dédouane des responsabilités et, dans le délire qui s’ensuit, on finit par y croire soi-même
c’est d’ailleurs ce à quoi a servi l’antisémitisme à plusieurs reprises, la chasse aux sorcières et le Maccarthysme
Ce n’était pas « trop tard », c’était surtout une manipulation pour détourner les regards et pointer du doigt un coupable tout désigné qui n’était d’ailleurs pas innocent, mais seulement leur propre complice qu’ils ont trahi. La BCE est-elle l’ennemie de la City ou une comparse parfois rivale parfois associée ?
La sortie de l’UE est une condition nécessaire mais loin d’ëtre suffisante pour sortir de la spirale, ce n’est même qune condition secondaire, la principale étant de sortir de l’idéologie de la privatisation à outrance et des pactes entre financiers présentés comme des « accords » ou des « traités » entre « nations » alors qu’il s’agit de deals« entre »lobbies« et »businessmen". Les anglicismes utilisés ici ne sont d’ailleurs pas le fait du hasard. Derrière l’UE, il y a l’oncle Sam.
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Article un peu dépassé car Bojo n’est plus candidat, considérant que le moment n’est pas opportun.
Autre remarque : ce n’est pas en France que l’on verrait quelqu’un comme Rishi Sunak avoir des chances de devenir PM. Les Anglais ont une notion de démocratie que l’on n’a pas nous.
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Bonjour, leypanou
« Bojo n’est plus candidat, considérant que le moment n’est pas opportun »*
Il n’en a pas moins rappliqué dare-dare pour tenter de réintégrer le 10 Downing St.
La réalité, c’est qu’il a été incapable de réunir sur sa candidature un nombre suffisant de députés. Les conservateurs ont évité une nouvelle mascarade qui eût définitivement fait d’eux la risée des voisins du Royaume-Uni.« Les Anglais ont une notion de démocratie que l’on n’a pas nous »
Si tel était, le cas, les Britanniques seraient d’ores et déjà retournés devant les urnes (cf. mon commentaire à l’auteur ci-dessus). -
@leypanou
« Article un peu dépassé car Bojo n’est plus candidat, considérant que le moment n’est pas opportun. »
Je ne lis pas dans le marc de café. Hier il semblait l’être ! Ses complices l’en ont dissuadé : ils sont prêts à tout (« desperate ») sauf au suicide ! Et puis, comme je l’ai écrit, la bombe à retardement qu’il avait amorcée lui a pété dans les doigts : il s’était vanté lui-même d’avoir favorisé l’ascension de Truss pour pouvoir revenir en sauveur ! Mais pas si tôt. ça frise la parano !
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@Fergus 9:52
çà c’est votre conception de démocratie, outre-manche, on change de leader. Il est certain que cela vous a dérangé que le Brexit a gagné.
Pendant que vous y êtes, dites carrément qu’il faudrait refaire un référendum sur le Brexit là-bas. -
@Clark Kent 10:04
à mon avis, l’incapacité des conservateurs à juguler l’inflation fait que les gens en ont assez mais on ne peut pas et taper sur les Russes, i.e se priver de l’énergie russe, aider l’Ukraine à fond et maîtriser l’inflation, sans parler des problèmes liés au Brexit. -
@leypanou
cela vous a dérangé que le Brexit a gagné.
Oui Fergus va être gâté car ce serait plutôt l’EUROXIT qui pointe son nez -
@ leypanou
« Il est certain que cela vous a dérangé que le Brexit a gagné »
Pas du tout ! J’ai été ravi que le Royaume-Uni sorte de l’UE où il avait un pied dedans et un pied dehors !!!
« Pendant que vous y êtes, dites carrément qu’il faudrait refaire un référendum sur le Brexit là-bas »En aucune manière ! Ils ont tiré le vin (en l’occurrence une piquette), qu’ils le boivent !
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@leypanou
’’ ce n’est pas en France que l’on verrait quelqu’un comme Rishi Sunak avoir des chances de devenir PM. Les Anglais ont une notion de démocratie que l’on n’a pas nous’’
Nommer comme chef du gouvernement un riche affairiste dont l’épouse plus richissime encore pratiquait l’évasion fiscale, est-ce un exemple louable du seul fait que celui-ci soit d’origine indienne ? -
@Eric F
@leypanou
Bof : Manuel Valls le Catalan, Fabius qui se lève le matin en se demandant ce qu’il pourra faire en faveur de qui vous savez, Edouard Balladur fils d’un des directeurs de la Banque ottomane, ont bien été premiers ministres en France. -
C’est peut-être aussi le résultat d’un long, long, ... processus d’évolution de la situation économique et sociale de cet ancien grand pays industriel et financier, un processus dans lequel l’UE a été désignée comme bouc émissaire des difficultés passées et a servi de paravent pour excuser toutes les erreurs de ses dirigeants et permis d’arriver au Brexit....
Le Brexit n’est surement pas la seule cause de cette situation : la désindustrialisation et la financiarisation excessive, ... a il me semble contribué à cette évolution. Le Brexit a simplement mis en évidence que les solutions simplistes ne sont que des postures politiques. Postures politiques qui si elles sont efficaces pour arriver au pouvoir, démontrent leur caractère factice pour résoudre les problèmes économiques et sociaux .
Nous avons chez nous les mêmes qui sous des masques différents manient les mêmes méthodes d’enfumage pour promettre un avenir radieux ... mais heureusement chez nous, ceux-là ils sont cantonnés à faire les clowns à l’assemblée ...
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@Aristide
Entièrement d’accord.
Merci pour cette analyse claire. -
En fRance cela n’arrivera jamais, nos ministres sont collés a la super glue sur leur sièges et le gouvernement fera tout pour les conserver .....
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@the clone
Ils savent peut-être mieux mentir que Boris Johnson. Le costume de petit marquis poudré et mieux adapté à ce rôle de menteur que celui de clown !
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@the clone
Mais quels sont les hommes politiques en France qui sont des croutes et qui n’ont jamais bossé ? Eh bien,on les retrouve tous au gouvernement. Le Poudré a nommé les mêmes incompétents que lui qui n’a jamais rien fait de ses dix doigts. Etudes ratées, pas de culture sauf celle de chanteur ou plutôt obéissant à ses maîtres chanteurs.. La corruption en France est le meilleur moyen de se faire une carrière. Comme aux States avec la marionnette sénile Biden.
Ensuite, des postes pour les incapables comme Bla,quier ou Cascouille à la RATP afin de faire couler l’entreprise et pour celà, il n’aura pas besoin de se fouler.
On pourrait passer en revue tous les membres du gouvernement et aussi leur membre viril
) -
@troletbuse
On pourrait passer en revue tous les membres du gouvernement et aussi leur membre viril )
C’est plutôt du coté de l’anus qu’il faut regarder ....
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@the clone
Oui mais pas pour Jean-Bribri -
@the clone Ben dans ce cas, faut actionner le siège éjectable !
Y’a un début de mieux dans le sens où les troupes de la poissonnière de Montretout ont voté pour la motion de censure de la NUPES...mais cela ne suffit pas à renverser le gouvernement : il faudrait que les LR joignent leurs voix à cette motion de censure eux aussi, alors qu’ils continuent de trahir. -
Il y a aussi complotiste opposé aux Contoutcourt qui croit les vrais coMploteurs ou les cons peloteurs bien qu’un tout con ne puisse pas peloter !
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Les conserves à manipuler avant de les manger et les cons servent à manipuler les masses (la con-tagion) avant de les entuber...
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@Lynwec
Il paraît que les concubins se marient à La Havane et que les condamnés vont en enfer.
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Mais écoutez moi ce conard qui parle et qui dit N’IMPORTE QUOI
Pas mal les 2 photos parasites du Poudré en vacances
1 minute
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Pour faire court : en Angleterre... a-t-on au pouvoir des conservateurs ou des cons serviteurs ? Même chose chez nous d’ailleurs depuis une trentaine d’années ! Et tous nous mènent INEXORABLEMENT au chaos économique et social ! Poutine n’a qu’à attendre tranquillement le collapsus général qui se profile.
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@Tolzan
Sacré Poutine, il avait tout prévu, y compris les assaut de servilité des insoumis et autres patriotes. Il avait tout prévu, sauf l’essentiel.
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’’Son passage a été un désastre, ...’’
— > Pour qui ?
’’ mais ce n’était pas un accident. ’’
— > Cui bono ?
Les marchés paraissent soulagés de sa démission ...
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@Francis, agnotologue
Désastre pour 90% de la population des îles britanniques.
Les « marchés » ne font la courte-échelle aux délires « ultra-libéraux » que pour envoyer de la poudre de perlimpinpin comme le fait la fée clochette pour faire croire aux enfants qu’il suffit de traverser la rue pour devenir Rockefeller. Mais quand les choses deviennent sérieuses, ils préfèrent revenir aux fondamentaux et s’en remettre à la bonne vieille droite ’néolibérale" ou à la pseudo-gauche sociodémocrate, elle aussi « néolibérale » mais masquée.
Les « marchés » américains liés aux « démocrates » ont dégommé Trump et continuent à l’enfoncer parce qu’il prônait la déréglementation. Les « marchés » ont besoin d’une réglementation, à savoir un système juridique qui préserve les intérêts. Ils ne sont pas pour la loi de la jungle. C’est simplement un mythe qu’ils servent aux naïfs pour les endormir.
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@Clark Kent
’’Les « marchés » ont besoin d’une réglementation, à savoir un système juridique qui préserve les intérêts. Ils ne sont pas pour la loi de la jungle’’
— >
C’est exactement ce que dit Romaric Godinet dont j’ai rapporté là un extrait.
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Le RU ferait bien de se méfier. Les pays du Golfe y ont investi massivement et dans tous les domaines, rendant le pays très dépendant voire soumis à ces influences étrangères qui n’ont pas toujours les intérêts du RU à coeur. L’opinion publique a commencé d’ailleurs à s’émouvoir des rachats d’entreprises, d’immobilier et d’infrastructures essentielles par des pays de la péninsule arabique. Sans compter que l’infiltration islamique n’est jamais bien loin dans leur volonté de conquête. Enfin, après tout, c’est leurs oignons...
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@ZenZoe
Heureusement que vous êtes là pour éclairer notre lanterne, je me demande bien ce qu’on ferait sans vous ?
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@Olivier Perriet
Bof, remarque bête et gratuite. -
@ZenZoe
la vôtre aussi, avec ceci de particulier qu’elle n’a rien à voir avec l’article
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Avoir le courage de quitter l’Europe...
... mais pas l’audace de ne pas appliquer les mêmes mesures anti-covid ruineuses et destructrices que les autres
... ni avoir les couilles, ensuite, de désobéir à Biden en ne s’infligeant pas les mêmes mesures de ruptures économiques avec la Russie
... ça revient à marquer un bel essai, mais sans jamais chercher à le transformer. Mèches courtes pour courtes vues.
« Dans une situation aussi inflationniste dans un pays aussi délabré », ça pourrait donc finir par leur péter à la figure.
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@I.A.
Heureusement que vous êtes là, avec votre intelligence artificielle (sans rire), qui vous permet de dire tout ce qu’il eût fallu faire, mais qu’on ne verra pas mis en oeuvre, et pour cause.
Si les ânes avaient des mains, le monde serait meilleur, et on se demande bien pourquoi on ne les écoute pas davantage, c’est vrai ça :
pas de confinement, livraison d’armes à la Russie, embargo sur les Ukronazis pour faire bonne mesure, accueil des migrants fournis par M Loukachenko, appui à l’invasion de Taïwan, soutien à la réélection de Trump, élection d’Eric Zemmour, exécution des OQTF :
c’est pas les bonnes propositions qui manquent chez nos souverainistes en peau de lapin
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@Olivier Perriet
Entre le pas de confinement à la suédoise et le reste de vos propositions stupides, il y a un gouffre que vous semblez capable de franchir sans réfléchir. Et pour cause, votre profil nous écrit :
« Je suis donc fort limité, et sans beaucoup d’honnêteté, mais putain, qu’est-ce que ça fait du bien de beugler des approximations dans une meute aussi médiocre que soi ! »
« Si les ânes avaient des mains, le monde serait meilleur », dites vous encore avec grande finesse. Alors je vous rassure tout de suite : vous n’avez pas de mains. -
@I.A.
A propos de la politique extérieure, le Royaume-Uni est depuis un siècle plus suiviste des USA que n’est le reste de l’Europe, le brexit n’avait pas pour objet de s’émanciper de Washington mais au contraire de renouer des liens préférentiels.Concernant les mesures anti-covid, Boris Johnson avait initialement décidé de ne pas mettre en place de mesures restrictives, mais son hospitalisation l’a fait changer de point de vue. On a pu constater après coup que l’impact économique a été de même ampleur du fait de l’imbrication des économies mondiales.
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@I.A.
vous avez oublié d’évoquer les pays africains comme Madagascar, qui ont très bien résisté sans confinement, et avec des statistiques extrêmement flatteuses. Un oubli qu’on vous pardonne bien volontier.
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Analyse fallacieuse, mais rien d’étonnant de la part du célèbre vendeur d’assurances :
les conservateurs britanniques sont peut-être lamentables, pourquoi pas, mais que penser des travaillistes, que notre Séraphin adule, qui n’ont su répondre au Brexit que « Vous pouvez poser une autre question ? »
Thérésa May était coincée, malgré qu’elle ait fait tout ce qu’elle pouvait :
elle a provoqué de nouvelles élections et a perdu sa majorité, coincée entre des libéraux qui voulaient faire échec au Brexit, des travaillistes qui n’avaient pas compris la question, et des dogmatiques façon François Asselineau.
Alors les travaillistes pourront bien revenir au pouvoir après avoir usé tant de ministres conservateurs :
on se doute d’avance que ce sera pour faire de la m.....
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Par ailleurs , j’attends toujours des Frexiteurs en charentaises leur analyse du Brexit, mais ils tardent à la donner, et se limitent à la canonisation de Boris Johnson.
de ceux là aussi, on peut en dire la même chose que les travaillistes anglais :
ils arriveront peut-être au pouvoir, par lassitude, mais on sait d’avance qu’il n’en ressortira rien de formidable.
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Bonjour, Olivier Perriet
« coincée entre des libéraux qui voulaient faire échec au Brexit, des travaillistes qui n’avaient pas compris la question, et des dogmatiques façon François Asselineau »
Vous avez oublié les opportunistes qui, en racontant n’importe quoi, voulaient exister (Farage) ou servir avant tout leurs propres intérêts (Johnson).
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@Fergus
Vous avez oublié les opportunistes qui, en racontant n’importe quoi, voulaient exister (Farage) ou servir avant tout leurs propres intérêts (Johnson).Ils sont sous l’étiquette « les dogmatiques façon Asselineau ».
Pourquoi opportunistes ? Ils ont le droit d’avoir des convictions, et je ne peux pas sonder leurs âmes.
Cette histoire reste à écrire, malheureusement, il ne faut pas compter sur les partisans de « l’application de l’article 50 » en France pour analyser « l’application de l’article 50 » chez nos voisins, lol.
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@Olivier Perriet
Où avez-vous vu que j’« adulais » les travaillistes ?
Pour moi, ils sont l’équivalent du PS et du Parti Démocrate américain, aussi faux-culs et spécialisés dans le gommage des rapports sociaux pour les remplacer par des questions sociétales qui divisent.
Mais pour le reste, il n’y a pas solution de continuité entre Sarkozy puis Hollande, puis Macron, pas plus qu’entre les travaillistes et les conservateurs.
Et mon propos n’est pas de donner des leçons ou des solutions, mais d’exercer un minimum de discernement pour mettre en évidence les impostures et les manipulations. Je n’ai pas envie de mourir idiot et/ou entouré d’idiots.
Ne pas gober toutes crues les salades qu’on nous sert est une condition pour conserver un minimum d’amour-propre !
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@Clark Kent
oui, certes, donc vous amalgamez tout et tous, socialistes, conservateurs, sarkozystes et hollandais, et au final vous avez toujours raison, car les autres ont toujours un peu tort, on sait.
N’empêche que les grandes lignes de votre démonstration sont bien biaisés : quels sont les effets économiques du Brexit, sur lesquels vous basez vos supputations ? Même « les plus grands spécialistes » (LOL) reconnaissent qu’ils sont assez faibles, et que ce ne fut pas la catastrophe annoncée, ni pour le RU, ni pour les autres (entre parenthèse)
Je n’en dirai pas autant au niveau politique
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Et en France, Lise Borne est « ouverte à la » négociation" non négociable.
Elle n’est pas prête de démissionner..avec le 49.3 !
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@Adèle Coupechoux
Elle n’est pas prête de démissionner..avec le 49.3 !
il suffirait pour cela que nos oppositions en peau de lapin votassent une motion de censure et gouvernassent.Mais il est certain que ni le RN, ni les LR, ni sans doute les Insoumis n’ont envie de prendre en charge le bébé.
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@Olivier Perriet
Yakafonkon, la nouvelle vient de tomber !
https://www.francetvinfo.fr/politique/parlement-francais/assemblee-nationale/direct-budget-l-assemblee-nationale-examine-les-motions-de-censure-deposees-par-la-nupes-et-le-rn_5437246.htmlA moins que ces petits salopards de macronistes ne refassent le coup de revenir en douce à l’assemblée pour revoter sans que l’opposition ne puisse s’y opposer. Comme ils n’ont cessé de le faire pendant la crise covidienne qu’ils ont provoquée.
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@Olivier Perriet
« Je suis opposant à la politique de Macron, évidemment, et ce depuis le 6 mai 2017, c’est-à-dire avant même qu’il ait fait quoi que ce soit. »
Vous étiez dans le coma de 2014 à 2017 ? Emmanuel Macron est nommé en 2014 ministre de l’Économie, de l’Industrie et du Numérique. -
@Adèle Coupechoux
Il étai trop occupé avec Poutine et encore plus aujourd’hui ! -
@Adèle Coupechoux
Oh mais oui, c’est vrai ça, vous me l’apprenez : en plus il était secrétaire général adjoint de l’Elysée de François Hollande !! Un socialiste déguisé en socialiste !!
Quelle honte : il faudrait toujours laisser la Bonne Droite gouverner, ce serait mieux.
Vous avez oublié de rappeler que tout ça c’est la faute à Mitterrand
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@troletbuse
t’as de la chance de pouvoir faire de l’humour là dessus pépère
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Ce Brexit n’a pas encore fini de laisser des traces.
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Le Brexit n’a rien à voir avec la situation sociale, politique et économique de la G.B.... mais un petit peu quand même, non ?
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@Robin Guilloux
Oui, le réchauffement climatique, le covid et la guerre en Ukraine aussi, comme partout ailleurs
rester dans l’UE ou la quitter est une question importante pour les circuits commerciaux et les monnaies, donc pour les banquiers
Pour 90% de la population, ce qui compte plus, ce sont les systèmes de santé, de retraites, les services publics et le pouvoir d’achat. Pour toutes ces questions les politiques de l’UE et du Royaume-Uni se ressemblent : privatisations, augmentation des profits et appauvrissement des salariés/consommateurs.
Le Brexit a engendré des problèmes de frontières avec l’Irlande et de parité des changes livre/euro.
Pour le reste, ce sont les politiques économiques qui comptent, et le « néo-libéralisme » produit les mêmes effets dans l’UE et au RU.
Mais de toutes façons, la situation rocambolesque de la vie politique en Grande Bretagne n’est pas due au Brexit qui n’a été utilisé que comme diversion et échappatoire, reculer pour mieux sauter, mais n’a pas réglé les réalités socio économiques dont est responsable le lobby financier qui vient justement de mettre en place un outsider aux commandes du pays. Reproduire cent fois la même erreur finit peut-être par supprimer un problème ?
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@Clark Kent
Finalement vous avez fait un billet d’humeur sur une situation politique britannique, juste pour dire en commentaire qu’elle n’avait aucune importance ?
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Quid de l’UE, en parallèle à l’attitude sardonique d’Emmanuel Ier ? Les tiraillements pourraient-ils annoncer un radeau de la Méduse ?
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Le monde s’est divisé entre Conservateurs et Progressistes.
L’affaire des Progressistes est de continuer à commettre des erreurs. L’affaire des Conservateurs est d’éviter que les erreurs ne soient corrigées.-
@Étirév
’’Le monde s’est divisé entre Conservateurs et Progressistes.’’
— >
L’affaire des Progressistes est de définir ce qu’ils considèrent comme un progrès. L’affaire des Conservateurs est de définir ce qu’ils veulent conserver.
Les pro-occidentalistes pour conserver leurs privilèges soutiennent la suprématie de l’Occident, comprenez des U$A : « Make America Great again » (Trump).
Les post-occidentalistes ont pris acte du déclin inéluctable de l’Occident et ont entrepris de préserver leurs privilèges en sacrifiant les peuples d’Occident : « Build Back Better » (Biden)
Ceci dit, en totale contradiction avec son discours ’’Built back better ’’ c’est bien Biden qui fait la guerre à la Russie pour le plus grand malheur des Européens. -
@Francis, agnotologue
Pourriez-vous redonner le lien concernant la notion de ’’post occidentalisme’’ au sens où vous l’entendez ?
On trouve par moteur de recherches de rares mentions de ce terme mais avec le sens d’émancipation d’autres continents par rapport à la culture occidentale (exemple1) (exemple2) -
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@Eric F
La notion « gauche/droite » doit être remplacée par le schéma « post-occidental/pro-occidental »
Je lirai vos exemples plus tard -
@Francis, agnotologue
Merci pour ce lien (vous l’aviez effectivement indiqué lors d’un précédent fil de discussion).
En fait, ce qui va succéder à la suprématie occidentale parait inéluctablement un monde davantage multipolaire. Les ’’affairistes’’ étant cosmopolites, ils s’y adapteront d’autant mieux que plus il y a de complexité, plus il y a d’opportunités de magouilles (les crypto monnaies inclues).
Evitons les contresens sur les intentions, ceux qui cherchent à promouvoir une mondialisation régulée par des instances multipolaires me paraissent moins pires que les ultra-libéraux mondialistes qui ne veulent aucun contrôle ni régulation. Certes il peut y avoir des variantes : isolationnisme avec une dose de protectionnisme vis à vis de l’extérieur, ultra-libéralisme à l’intérieur (c’est un peu ça, le trumpisme). -
@Francis, agnotologue
’’L’affaire des Progressistes est de définir ce qu’ils considèrent comme un progrès. L’affaire des Conservateurs est de définir ce qu’ils veulent conserver’’
Excellente remarque. On est actuellement dans la confusion, le progressisme désigne désormais surtout la permissivité en matière de mœurs (passer de la tolérance à la légitimation) et l’écolo-multiculturalisme ; le conservatisme désigne à la fois le maintien des disparités sociales et un certain puritanisme des mœurs.
Restent les réactionnaires qui érigent les années cinquante en modèle (l’instituteur en blouse grise, l’ouvrier en vélo, la femme au foyer, mais finalement une certaine ’’décence commune’’ face aux excès et disparités). -
@Francis, agnotologue
dès fois je me demande si vous êtes $^$ !! ou si vous le faites exprès :
l’Amérique fait la guerre à l’Europe ? Pourquoi pas.
Mais que dire de l’attitude de Poutine qui prétend faire la guerre à l’Amérique mais se limite à attaquer l’Ukraine ?
Il faut vraiment être frappé pour considérer ça comme un acte amical pour l’Europe.
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@Olivier Perriet
’’Poutine qui prétend faire la guerre à l’Amérique’’
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Vous avez vu ça où ?
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@Francis, agnotologue
c’est lui même qui justifie l’intervention en Ukraine pour repousser l’OTAN, OTAN qui est dans la main des USA
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Nouvelle lune sous éclypse solaire en scorpion, c’est Orphée descendant au Pays des morts. Le contraire de la tradition qui consiste à maintenir vivante, la culture ou le folklore d’un pays, le conservatisme sent l’empêchement de vivre, la mort du vivant....l’é« cr »asement, la castration, « skr »gneugn comme dirait Etirev.... C’est le rêgne d’Hécate la ténébreuse... mais il ne s’agit pas sombrer....Proserpine est une divinité romaine équivalente à Perséphone dans la mythologie grecque. Elle est la fille de Cérès (ou Déméter) et Jupiter (Zeus en grec). Malgré son enlèvement par Pluton et son statut de Reine des Enfers, Proserpine est aussi une déesse du printemps.
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Plus on appuie sur le couvercle, plus l’envie d’explosion se fait grande : Proserpine (« lever, pousser (en parlant des plantes) »), il y a une très ancienne corrélation entre les cultes infernaux, de la mort, de l’hiver et le cycle des saisons, de la renaissance printanière. De là, proserpinaca (« renouée »).
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Le plus difficile, c’est la remontée et la tentation de regarder en arrière. Car derrière, c’est mort...
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Rishi Sunak est nommé premier ministre sous les huées de la foule non contente du pantin du WEF ! Combien de temps va-t-il durer ? ... Tic-Tac...-
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Bonsoir,
Dans un de mes articles, j’avais surnommé Truss « madame 0,17% », car tel était la proportion de britanniques qui avaient voté pour elle.
Je ne sais pas quel est le pourcentage du nouveau premier ministre. Peut-être faudrait-il le surnommer « James Bond », pour avoir fait 0,07%.
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