Coronascroquerie : comment rester riche sans être créatif lorsqu’on a des moyens ?
Il était une fois des investisseurs qui risquaient de perdre leur mise car les brevets de leurs médicaments tombaient les uns après les autres dans le domaine public. Ils prétextèrent d’une maladie bizarre pour enfermer l’ensemble de la population mondiale jusqu’à ce qu’ils acceptent de s’injecter un liquide inconnu qu’ils vendaient fort cher, ce qui leur permit d’encaisser des milliards de bénéfices tout en prétendant avoir sauvé la planète contre une pandémie qui tuait surtout les personnes âgées avec des comorbidités. Ensuite, il décidèrent que les habitants du monde libre devaient montrer un laisser passer pour vaquer à leurs occupations vitales telle que se soigner ou travailler. Ce laisser passé serait activé chaque fois qu’ils auraient besoin de vendre un nouveau produit.
Alors voilà, c’est la faillite. Les découvertes qui traitent les maladies les plus rentables ont été faites il y a plus de 30 ans et elles sont tombées ou tomberont prochainement dans le domaine public[1] . Le prix Nobel Richard J Roberts dénonça le fait qu’il était plus rentable pour l’industrie pharmaceutique de chroniciser les maladies que de les guérir. C’est le cas par exemple de l’endométriose qui s’opère très bien mais qui assure de confortables revenus lorsqu’elle est traité à vie, au détriment évidemment du confort des femmes atteintes, ce qui est une information qui devrait intéressé ceux qui n’ont jamais aucun doute sur la médecine alors qu’elle est labourée par les conflits d’intérêts[2]. Mais même cette stratégie atteint ses limites si les médicaments deviennent « génériques ». Les nouvelles découvertes, au prix de couteuses recherches, concernent des maladies qui ne touchent pas grand monde, ce qui oblige à monter les prix des traitements. Ainsi, le Myozime utilisé pour traiter la maladie de Pompe revenait à 350.000 euros par an, en 2016[3]. Et puis il y a eu le scandale des antidouleurs, un marché de clients captifs en pleine expansion, développé à coups d’études scientifiques bidons destinées à minimiser l’addiction aux opioïdes, la encore les « scientifiques » n’ont pas déçu, ils ont bien compris où était leur intérêt. Si les pompes funèbre n’avaient pas tiré la sonnette d’alarme, au lieu d’écoper d’une amende record de 26 milliards de dollars pour solde de tous compte[4], Johnson&Johnson et les distributeurs de Fentanyl entre autre, seraient aujourd’hui à la tête d’un marché mondial de plusieurs dizaines de milliards de dollars. Mais voilà, les promesses du progrès perpétuel sont loin d’être tenues, les progrès de l’hygiène réduisent drastiquement le marché des médicaments. Heureusement, il reste encore la malbouffe, source inépuisable de revenus, mais là encore, l’avenir n’est pas rose ; certaines voix discordantes trouvent écho auprès d’un public qui commence à ouvrir les yeux sur la médecine[5]. Et puis en France, il y a eu le scandale Mediator qui a marqué les esprits. 1000 à 2000 décès, tous sur prescription médicale[6] ; comment faire confiance ensuite aux médecins de plateau télé lorsqu’ils enjoignent les français, au nom de cette même science qui conduisit à tous les délits mentionnés ci-dessus, et à bien d’autres encore, de s’injecter une substance inconnue, élaborée en moins de trois mois, par des laboratoires américains, dont certains condamnés à de multiple reprises pour divers méfaits[7], alors même qu’ils ont des conflits d’intérêts avec l’industrie médicale ? D’aucun retorqueront que ces conflits d’intérêts ne concernent pas directement les vaccins mais ceux-là feignent d’ignorer la nature de l’actionnariat des compagnies pharmaceutiques et cet actionnariat s’en met plein les poches depuis deux ans maintenant[8]. Dans la panique qui suivit la mise en place de l’épidémie, même les produits les moins efficaces, les plus dangereux, les moins susceptibles de traiter la maladie, ceux dont les frais de développement menaçaient de ruiner l’entreprise qui les a développé, ont trouvé preneur, avec la complicité active ou passive, cela reste à démontrer, des organismes chargés des contrôles. Ce fut le cas du Remdesivir acheté par la commission européenne[9]. La question que tout le monde devrait se poser est de savoir si Moderna, une jeune société de 11 ans, dont la capitalisation boursière atteint les 100 milliards de dollars, qui n’a jamais vendu aucun traitement significatif, pouvait passer à côté de la crise COVID ? Pouvait-elle simplement déclarer comme le fit SANOFI et Pasteur : mon traitement ne donne pas de résultats probants[10] ? A l’évidence, une telle option aurait eu d’importantes répercussions pour un nombre considérable d’investisseurs.
Alors évidemment, si la réalité est complexe, que la vérité est hors d’atteinte, il n’est pas interdit d’imaginer le scénario le plus probable de cette crise en considérant que son objectif final est l’enrichissement d’une minorité déjà très riche, sans se faire peur en imaginant d’autres objectifs. Considérant les risques qui pèsent sur ses investissements dans la pharmacie industrielle, ces milliardaires ont probablement vu dans le coronavirus une opportunité pour changer le paradigme des soins et encaisser, en passant de juteux bénéfices. La pandémie est peut être arrivée trop tôt, alors que les traitements étaient encore en phase de recherche ? Qu’à cela ne tienne, l’opportunité était trop belle. Il fallait sortir un traitement coute que coute, quitte à mutualiser les risques (pour les cobayes) tout en privatisant les bénéfices. Evidemment, le droit s’oppose à une expérimentation médicale de masse. Il fallut donc convaincre les humains de renoncer à leurs droits fondamentaux, par la force, par la contrainte mais aussi par séduction ou par dépit. L’idée d’enfermer pendant presque un an des personnes pétries depuis le plus jeune âge de liberté fut sans doute le principal déclencheur. Pour les autres, la contrainte se déploie par vagues qui ratissent de moins en moins de personnes, à mesure que les résistances s’érodent à coup d’amendes, de privations de toutes sortes, y compris du droit fondamental de travailler. Nul doute que les derniers récalcitrants, si leur nombre n’était plus suffisant pour créer un problème de dimension étatique, pourraient être vaccinés de force. Et ensuite, les labos auront tous loisirs d’imposer une piqure de rappel. Si la maladie disparait, ils pourront toujours dire que c’est grâce à cette piqure de rappel ; si elle revient, ils diront qu’il faut augmenter la cadence. Et s’il y a trop d’effet secondaires, cela ouvrira de nouveaux marchés. Pfizer est condamné ? Pas très grave, les profits sont déjà remontés vers les actionnaires qui auront tout loisir de créer une nouvelle société pour traiter les effets de la vaccination.
Toutefois, il reste une inconnue et elle est de taille : pas certain que le scénario dans lequel l’industrie pharmaceutique empoisonne la moitié de l’humanité pour s’assurer des milliards de bénéfice finisse bien pour les actionnaires. Souhaitons leur bonne chance !
[1] https://www.journaldunet.com/economie/sante/1095401-brevets-les-laboratoires-au-bord-du-precipice/
[2] https://pharmacritique.com/2009/08/05/prix-nobel-richard-roberts-exemple-de-lendometriose-chronicisee/
[4] https://www.lesechos.fr/industrie-services/pharmacie-sante/crise-des-opiaces-un-accord-historique-de-26-milliards-de-dollars-pour-solder-les-milliers-de-litiges-aux-etats-unis-1333873
[5] https://www.thierrysouccar.com/sante/info/pr-even-les-statines-sont-larnaque-la-plus-reussie-de-lindustrie-pharmaceutique-2979
[6] https://sante.journaldesfemmes.fr/actu-des-medicaments/2565312-mediator-medicament-laboratoire-servier-scandale-verdict-proces-nombre-mort-effets-secondaires/
[7] https://www.france24.com/fr/20090903-le-laboratoire-pfizer-ecope-dune-amende-23%C2%A0milliards-dollars-
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