Coronavirus : comment en finir immédiatement avec les mesures sanitaires ?
Les mesures sanitaires extra-constitutionnelles reposent sur la protection des anciens. La maladie développe ses formes graves chez les sujets (très) âgés, ou déjà diminués par des pathologies extrêmement lourdes (cancer, diabète, etc.). La logique consiste donc à demander des efforts de solidarité à l’ensemble de la société pour défendre ses vieux et ses infirmes. En temps normal, cet effort repose sur un socle de proportionnalité consenti par la majorité sociale.
Mais il apparait aujourd’hui qu’un nombre sans cesse croissant de personnes jugent ces contreparties disproportionnées. Cela s’illustre par le scepticisme ambiant, mais plus encore par les mesures policières que le pouvoir est obligé de prendre. Si le consentement était élevé, ces contraintes policières ne serait pas nécessaires. La hausse vertigineuse des contraintes policières illustre parfaitement l’effondrement du consentement.
La stratégie du pouvoir, pour éviter de répondre sur la question de la légitimité, consiste à « moraliser » ce scepticisme. Il serait le fait d’être inférieurs, complotistes ou égoïstes, de mauvais citoyens, voir de mauvais hommes. Cette rhétorique est du niveau des sociétés primitives ou totalitaires, mais pas du niveau des sociétés civilisées. Dans une société civilisée, le pouvoir doit répondre sur la question du consentement à l’ordre, et donc sur la question de la légitimité des décisions.
Les mesures exceptionnelles actuelles trouvent un écho favorable chez les personnes les plus naïves, ou chez les sujets pervers (dont la nature se révèle en ces circonstances) qui se réjouissent plus ou moins consciemment de cette situation légèrement sado-masochiste. La politique actuelle consiste donc à mettre à l’amende les éléments les plus sains et les plus productifs de la société, au profit des vieux, des infirmes, des naïfs et des pervers. C’est une sorte de darwinisme inversé.
Un soubassement existentiel strictement individualiste.
On entend parfois que ces mesures sanitaires seraient un sain retour du collectif dans une société trop individualiste. Mais c’est tout le contraire. Le sain retour du collectif consisterait précisément, au contraire, à demander aux vieux et infirmes de se sacrifier pour les jeunes et les actifs. Là encore, la rigueur morale est dévoyée au profit d’un moralisme indigne d’une société civilisée.
Philosophiquement, cette politique repose (en autres aspects) sur l’individualisme existentiel, qui s’est imposé après Mai 68. C’est l’idée que l’individu n’a de valeur et d’existence que pour lui-même, et que par conséquent, rien ne vaut plus que sa chère petite existence. C’est le contraire du sacrifice pour la société. Que nous sommes loin des sacrifices héroïques qu’on exigeait il y a peu encore des jeunes hommes au service de l’armée !
C’est la même époque qui promeut le droit au suicide assisté pour les mêmes vieillards et infirmes, pour « mourir dans la dignité », dit-on. C’est une question qui se discute, dans l’absolu. Mais réfléchissons. Que propose-t-on, en résumé, aux vieillards ? De bloquer toute la société, supprimer la démocratie et la civilisation, plonger des millions de jeunes dans la misère et la folie, afin de leur permettre de vivre quelques mois de plus (au mieux quelques années), afin de pouvoir se suicider dans la dignité dans un Ehpad ?
Mourir dans la dignité ne consisterait-il pas au contraire à offrir le risque de sa vie, afin de permettre aux générations futures de croitre, et à la liberté de la nation de perdurer ? Voilà un bien beau geste, qui à la fin d’une longue existence, procurerait un sens profond, une transcendance, et une indubitable forme de dignité. C’est à peu près ce que des voix comme Emmanuel Todd ou André Comte-Sponville, relativement âgés eux-mêmes, nous ont rappelé dernièrement.
Et si les vieux se révoltaient ? S’ils disaient : « je veux finir ma vie dans la dignité. Je ne veux pas finir comme un vieil égoïste. Je ne veux pas que l’on bloque toute la société et la civilisation pour moi. Je veux que l’on cesse immédiatement ces mesures sanitaires extra-constitutionnelles. Je suis prêt à risquer ma vie pour les générations qui viennent et pour la liberté de la nation ». Dès lors, et en un instant, toute cette politique délirante cesserait d’être appliquée.
58 réactions à cet article
-
Le « comment » du titre alléchant est peut-être en trop.
Comment faire donc concrètement pour faire cesser cet abus ?
Appel aux forces de l’intérieur !
Le « gouvernement » n’a rien à faire des vieux ni des jeunes ; la raison des abus n’est pas la santé de la populace. Mais le discours tartuffe qui vous prive de vos grands-mères pour les étouffer de soins palliatifs, commence à agacer pas mal de gens qui savent.
-
@lisca
on est d’accord. J’offrais juste à la réflexion du lecteur que l’idéologie officielle s’appuie officiellement sur l’équation de détruire la société pour prolonger un peu la vie des vieux. Bien-sûr, ce n’est pas la vraie raison. Mais c’est la raison officielle.
Hors, même dans l’absolu cette équation est anti-sociale par nature. On ne détruit pas une société entière pour sauver les vieux et les infirmes. Donc, si ça peut permettre de contribuer à faire prendre conscience.
Mais évidemment, la vérité est ailleurs. La santé de nos anciens n’est certainement pas le but de nos dirigeants. Elle n’en est que le fallacieux prétexte.
Si ils étaient vraiment intéressés par la vie des vieux, ils commenceraient par rétablir immédiatement les 100 000 lits d’hôpital qu’ils ont supprimés ces 20 dernières années. Et d’en ajouter 100 000 autres pour tenir compte du vieillissement démographique parfaitement prévisible. Avec 200 000 lits en plus et 50 000 (ou 100 000) places de réanimation (plus des hôpitaux de campagne mobilisables), on verrait les choses différemment.
-
Good to see you back Paul. We missed you.
-
@Laconique
L’article est bel et bon mais pourquoi te sens tu obligé de montrer ta soumission à la doxa impériale ? -
@Laconique
c’est très gentil, car je ne sais pas si tout le monde m’a regretté ha ha !
-
SUPER ARTICLE
Emmanuel Todd : "On ne peut pas sacrifier les jeunes et les actifs pour sauver les vieux"
Pathétique ces vieux qui sortent de leur maison de retraite la canne à la main et le masque sur le bec.
Chat tient plus debout mais chat veut vivre à tout prix bordel
Quand chat sert plus à rien, ménage point !
-
« Et si les vieux se révoltaient ? S’ils disaient ... etc. etc. »
Les vieux ?
Mais on ne leur demande pas leur avis, aux vieux !
Ils servent seulement à justifier des dispositions qui sont prises pour bien d’autres raisons que des précautions sanitaires qui servent de prétextes, de justifications et de paravent.
Les vieux, on les emmerde déjà assez comme ça ! Foutez leur la paix, vous aussi, et cherchez un peu les vraies raisons de de coup d’état transfrontalier !
-
@Séraphin Lampion
Effectivement, la recherche ou la désignation de boucs-émissaires rappelle de bien tristes périodes et il faut avoir la mémoire bien courte pour ne pas faire le lien entre privation de libertés et instauration de régimes autoritaires. -
@Séraphin Lampion
on est entièrement d’accord ... -
@Décroissant
Insidieusement va se mettre en place une tentative de clivage de la population, jeune-vieux, pour oublier celle plus dérangeante de pauvre-riche.
Un bouc émissaire aux problèmes sera offert aux « actifs » contrariés dans leurs activités. Le vieux va vite se retrouver dans la peau du baudet, de la fable de la fontaine, « les animaux malades de la peste ».....
La première vaguer nous a pas trop perturbé. Du moins dans nos jugements. Dans nos « Equilibres »serait le mot juste.
La deuxième est perturbante à tous niveaux. Un aveu d’échec pour le projet libéral, qu’il paralyse, et un aveu d’impuissance pour les politiques. Personne ne s’en félicitera tant les inconvénients risquent d’être fatal à tous. Les choix à faire seront douloureux. Surtout pour certains. J’ai tant entendu le gouvernement s’alarmer de toute cette bonne et belle épargne improductive, « qui dort », et relayer avec cette info le fait statistique disant que les séniors ont plus d’argent que les actifs, que je redoute où cette allusion va mener : Baisser les pensions de façon drastique, voir les supprimer. C’est ainsi que sous l’égide du covid, et avec la main sur le cœur que s’enclencher la première des régressions sociales. Il sera temps ensuite d’exiger de nos compagnes qu’elles restent chez elles, pour s’occuper de leurs enfants, afin d’assurer le plein emploi. Les postes d’infirmières et d’aide soignantes seront néanmoins conservées -
@velosolex
Le discours anti-vieux, compris comme non-productif à la charge de la société, court sourdement depuis le début du quinquennat, après le précédent qui avait gelé les retraites sans s’embarrasser de justifications pseudo économiques ou de manipulations statistiques. La petite phrase de Macron à Vilnius « jamais dans l’histoire contemporaine nous avons demandé tant de sacrifices à notre jeunesse pour résister tous ensemble et protéger les plus fragiles, en particulier les plus anciens » a une charge eugéniste incontestable… C’est un pouvoir aux abois, incapable d’affronter les destructions opérées par un libéralisme hors contrôle, qui ne voit de survie que dans l’autoritarisme et le recours aux recettes régressives les plus éculées.
Après avoir fait applaudir les soignants, aucune solution d’urgence n’a été élaborée pour améliorer leur quotidien et renforcer leurs moyens d’intervention (nous sommes en guerre, paraît-il). De même que bon nombre de retraités constituant le gros des troupes qui composent le filet de sauvetage social, il importe urgemment de les saigner jusqu’à l’os pour permettre aux intérêts privés de prendre leur place.
Ainsi va le monde, mais que les retraités puisse encore voter majoritairement pour Macron me sidère encore !
-
Excellent au moins sur ce point :
« Dans une société civilisée, le pouvoir doit répondre sur la question du consentement à l’ordre, et donc sur la question de la légitimité des décisions.
Les mesures exceptionnelles actuelles trouvent un écho favorable chez les personnes les plus naïves, ou chez les sujets pervers (dont la nature se révèle en ces circonstances) qui se réjouissent plus ou moins consciemment de cette situation légèrement sado-masochiste. »
Et cette remarque est bien plus essentielle et générale que l’opinion qui suit dans ce texte pour l’appuyer (même si est plutôt correctement appuyée).
Pour la défendre de façon plus complète, l’auteur aurait pu remarquer aussi que le stratagème électoral de légitimation en vigueur en France ne suffit pas à conférer à l’arbitre Présidentiel une infaillibilité pontifiante lorsqu’il prétend savoir désigner lesquels des experts, en profond désaccord entre eux, détiendraient une La Vérité.
Il eût alors été encore plus constructif de remarquer qu’un pilier de notre actuelle Constitution française reste honteusement snobé et inutilisé : le référendum ! ...-
correctif :
... (même si elle est plutôt correctement argumentée)
-
@Arogavox
Merci...
oui, vous avez raison, je n’avais pas pensé au référundum. J’ignore d’ailleurs quel en serai le résultat.
J’y réfléchirai de mon côté
-
Paul Neneu se réveillerait-il ?
-
@troletbuse
c’est tellement bon de se sentir aimé... j’ai l’impression d’être le fils prodigue de retour
-
nono le simplet 15 octobre 2020 11:42on veut empêcher le désastre économique et le désastre sanitaire ... on aura les deux
-
@nono le simplet
’’on veut empêcher le désastre économique et le désastre sanitaire ... on aura les deux’’
Qui ça, « on » ? -
" Un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité ne mérite ni l’une ni l’autre, et finit par perdre les deux."
Qui disait Ben jamin (Franklin)
et tout chat à cause de brouetteurs qui fouettent devant un virousse
-
Ce ne sont pas des mesures sanitaires, mais des mesures politiques. Leurs but, n est pas d aider à soigner la population, mais à maintenir les dirigeants au pouvoir. Or cela marche. La majorité de la population, aliénée par les médias, approuvent ces mesures et même en redemandent. Cela continuera, tant que la population ne comprendra pas que cette guerre n est pas contre un virus, mais contre elle.
-
@binary
Absolument. Il y a d’ailleurs une phrase du discours de Macron qui a jeté un froid : « On s’était habitué à être une société d’individus libres »
Dans le contexte, « libres » signifie « autonomes ». Mais ça ne fait rien, quand on sait que chaque mot des allocutions présidentielles est soigneusement choisi et que « libres » a été préféré à « autonomes », on ne peut qu’être extrêmement inquiet devant cet aveu de l’avenir que le dictateur nous réserve. Tout le monde aura compris qu’il s’agit du « nouvel ordre mondial » que la pandémie du Covid-19 contribue à faire émerger rapidement.
Nous savons maintenant qu’en France, nous n’aurons plus de liberté... à moins de la reconquérir par une révolte généralisée. -
@binary
oui, on est d’accord. Le but de ce modeste article est de permettre de comprendre que même la raison « morale » qui nous est officiellement assénée (détruire la société pour sauver les vieux) n’est déjà pas si généreuse ni si civique qu’il y parait.
-
Plus qu’un mois pour que la république soit virée :
Voir Daniel 7:24-26 et Apocalypse 13:4-7.
« Les dix cornes, ce sont dix rois qui s’élèveront de ce royaume (les 10 premiers mandats de la 5è République).Un autre s’élèvera après eux (Macron), il sera différent des premiers (Son élection sujette à caution), et il abaissera trois rois (Giscard, Sarko, Flamby)..
Il prononcera des paroles contre le Très Haut, (exemple : la laïcité, ce régime unique au monde qui garantit la liberté de croire ou de ne pas croire, mais qui n’est pas séparable d’une liberté d’expression allant jusqu’au droit au blasphème.… Être Français, c’est défendre le droit de faire rire, la liberté de railler, de moquer, de caricaturer. Macron 04/09/20)
il opprimera les saints du Très Haut, (exemple : L’interdiction des assemblées pendant le confinement, la liberté des cultes compromise : Distanciation, masques, inscription, liberté d’enseignement de ses enfants compromise, scolarité obligatoire dès 3 ans)
et il espérera changer les temps et la loi ; (exemple : élever l’homosexualité au rang des bonnes mœurs, parole gouvernementale au-dessus des faits, favoriser les migrants musulmans sur les Français, condamner les Hervé Ryssen mais pas les rappeurs qui parlent contre les Français de France)
et les saints seront livrés entre ses mains pendant un temps, des temps, et la moitié d’un temps. (plus qu’un mois d’attente)
Puis viendra le jugement, et on lui ôtera sa domination, qui sera détruite et anéantie pour jamais. » (Daniel 7 :24-26)
-
@Daniel PIGNARD
Donc, on va fêter le Beaujolais nouveau à défaut du nouveau Nazisme.
Si seulement c’était vrai ! J’ai quand même de gros doutes. -
@Daniel PIGNARD
Va te faire voir avec ta bible. Ta place est sur un bûcher, comme tous les prêcheurs de mensonges. -
@xana
Va te faire voir avec ta bible. Ta place est sur un bûcher, comme tous les prêcheurs de mensonges.
Non mais ça va pas ! Ou alors c’est de l’humour ?
-
@troletbuse
Ce n’est pas moi qui ai écrit cette prophétie, je l’ai simplement interprétée. Elle se réalisera donc un jour ou l’autre et elle colle tellement bien avec ce que nous fait Macron. -
@Daniel PIGNARD
et il abaissera trois rois (Giscard, Sarko, Flamby)..
Ah ? Parce que succéder de façon légale c’est abaisser ?Vous tordez le sens des mots pour faire votre propre sauce Pignard...
Et vous allez prendre votre déculottée sous peu. Plus qu’un mois, j’en salive d’avance...
et les saints seront livrés entre ses mains pendant un temps, des temps, et la moitié d’un temps.
Ça aussi c’est tordu. Car il n’y a aucune différence sur ce plan entre Macron et les décennies précédentes...Décidément vous êtes bien un
-
@Daniel PIGNARD
Le premier ange sonna de la trumpette ! « L’ Apocalypse selon saint Donald »Perso, je préfère le cantique des cantiques.
Pour rester dans la rectitude morale et abdominale -
Pour nous, ca fait 12 jours que nous étions dans un « cluster » de 160 personnes sans masque ni distances idiotes.
Une belle petite noce en Roumanie, pour faire suite à une autre en Juillet de cette année, 140 invités, toujours sans muselière ni distances.
Eh bien nous sonnes tous en excellente santé. On dirait même que les rhumes de saison ont cherché à nous éviter. Nous correspondons avec les parents des mariés, et tout le monde semble OK...
Alors, où est-il ce virus sinon dans l’imagination des médias ?
Est-ce nous qui sommes « irresponsables » ou bien les pouvoirs publics ?
-
@xana
Santé physique peut-être, mais santé mentale, hum…humm… vous voulez mettre tous les bonnes gens au bûcher.
Est-ce une pratique que vous avez ramenée de Roumanie ?
-
@xana
Un vrai trou du cul du monde.
-
@Non, pas les bonnes gens, les prêcheurs de fausses religions.
En Roumanie, c’est plutôt le pal.
Vous préférez ? -
@foufouille
Sans doute, tu n’as pas encore trouvé la Roumanie sur ton atlas ?
Eh, Corne d’Aurochs, apprends à lire ! -
@xana
je sais où c’est mais tu prends ton canton pour le centre du monde.
-
@coucouille
Je n’ai jamais dit cela, mais TOI tu as dit que c’était le trou du cul du monde. Va prendre tes pilules, coucouille, tu divagues... -
Et si on faisait appel à l’égoïsme des vieux ?
Je suis presque vieux (sénior ?), presque obèse, légèrement hypertendu, légèrement immunodéficient, et atteint d’un affection pulmonaire chronique sans gravité.
ça ne les a pas empêchés pas de me renvoyer au bureau, en petite couronne (histoire que si je me rate dans le métro, je me rattrape au bureau ou au restaurant).
Je me méfie des jeunes comme de la peste.
Tous ces petits cons n’en ont rien à foutre des vieux comme moi et ils se contaminent allègrement.
Mais moi, je ne leur demande rien, je ne leur interdit rien, aux jeunes.
Je me protège.
J’évite la foule.
J’évite les lieux confinés.
Je prends pas le métro.
Au bureau je ne salue personne, je ne parle à personne, je ne laisse personne m’approcher à moins de 2 mètres
(peut-être que mes connards de patrons finiront par comprendre que je serais bien mieux chez moi, en télétravail que dans un bureau à Montreuil, où, en fait, je télétravaille avec des collègues de Strasbourg, sur des systèmes informatiques installés à Montpellier ...)
En bref, je suis « fragile », je suis égoïste, je me protège.
J’ai certainement pas besoin qu’on empêche les jeunes d’aller faire la fête le soir.
-
@eddofr
je crois que dans le fond on est assez d’accord.
La vraie politique consisterait à permettre aux gens vulnérables (âgés ou infirmes) de se protéger. Et aussi de leur offrir des capacités hospitalières dignes de ce nom (à commencer par rétablir les 100 000 lits d’hôpital supprimés ces 20 dernières années, entre autres mesures).
Ce n’est pas seulement qu’on « empêche les jeunes d’aller faire la fête le soir »... ce ne serait que cela.. C’est qu’on est en train d’anéantir la société, l’économie, les droits constitutionnels, et tout simplement la vie. On ne fait pas des enfants pour les dévorer comme Chronos. Il y a, au-delà de l’aspect provocateur, une véritable réflexion sur le sens de la vie.
Cela est entré, pour moi, en résonance avec les débats sur la fin de vie : le droit au suicide assisté pour « mourir dans la dignité ». N’étant pas religieux, je n’ai rien contre, et je me pose la question aussi. Je le conçois. D’ailleurs, le suicide a pu trouver sa place dans des sociétés traditionnelles.
Mais il me semble que caché derrière cette « mort dans la dignité », il y avait (trop souvent) le dernier trait de l’égoïsme 68ard. Après avoir désacralisé et égoïstisé toutes les étapes de la vie (naissance, amour, mariage, filiation, etc.), on désacralise aussi la mort. On donne à la mort une résonance strictement égoïste. On meurt « pour soi ».
Comme si la mort des anciens n’avait aucun sens pour les successeurs ! Au contraire, il y a une transmission immatérielle très puissante, qui dépasse tous les discours religieux. C’est un pain de vie. Si l’ancien meurt uniquement « pour lui », il me prive de ce don. Et j’en manquerai toute ma vie.
Cela a d’ailleurs des implications philosophiques très puissantes... un esprit « après moi le déluge » peut-être pas sans rapport avec ce qui se passe en ce moment... assiste-t-on à la naissance d’un « empire futuriste de 1000 ans » ? Ou simplement à la queue de comète (tyrannique et misérable) d’une époque résolument égoïste, qui a voulu détruire tous les fondamentaux anthropologiques ?
En tous cas, on revient à cette idée de ne pas dévorer ses enfants, ses successeurs dans la vie. Et c’est peut-être cela qui donnerait du sens aux vieux jours de certains. C’est une forme de générosité avant le grand mystère. Au-delà de ce qui se joue dans la dictature terre-à-terre qui se met en place, il se joue aussi quelque chose au niveau immatériel.
-
@Paul Leleu
Y a comme un hiatus dans votre discours. Défendre contre le covid, c’’est pas à mon avis vouloir refaire l’ opération « porte ouverte » ni « black friday » pour les jeunes, avides de consommer, de boire des bières, comme à l’époque de l’avant guerre..
Enfin ça dépend si on veut vivre ou non, qui ne correspond pas forcément, à l’opération consommer ou mourir. Même si c’est dur à admettre
Le covid a arrêté d’un geste, le salut libéral de la statue de la liberté.
Les réunions de Shroumpfs en tous genres, les footeux à 10 plaques par mois. .
Sans parler du C02. Enfin un peu.
Les bateaux de croisière arrêtés, en quarantaine dans la lagune de Venise en a fait bidonné plus d’un. Avouez le !
Idem pour tous ces festivals d’Happy few, qui n’auraient pas stoppé leur cirque s’il y avait eu un pays détruit par une bombe atomique. Là le ver était dans le fruit, la bête dans la salle de projection.
Remember King kong ! Nicole Kidman enlevé par le covid poilu, se tapant sur le ventre au haut de l’empire building...
Ne parlons pas des avions de ligne. Le ciel redevenu bleue. On dirait le sud de Nino sur les lèvres....Stop à cette bougeotte mondialisée, imbécile, suicidaire. Covid, est petit comme monsieur propre mais il a fait le maximum, pour nous faire réfléchir.
Il faut avouer quand même que ce gars est bien plus marrant à vivre, et incorruptible que Donald Trump, par exemple au hasard pris dans la foule.
D’ailleurs le bras de fer entre les deux a mal tourné pour Donald, pas Duke.
L’arbitre en blouse blanche a arrêté le match. Depuis Donald à l’air victime de l’agent orange. Il irradie par tous les porcs de la peau. Inutile de tenter de régler les couleurs de votre poste...
Pauvres ou riches. Pas de laissé passé ...Relire l« a mort rouge » d’edgar poe..., ou « le hussard sur le toit » pour ceux qui veulent se faire peur, et continuer à vivre.
On a envie de relire les classiques . Certains ont abandonné « la teuf » pour la lecture des classiques russes. Je sais, je prends mes rêves pour des réalités. Rien de changé. Mais ça m’a toujours réussi. -
Pour en finir avec les mesures sanitaires, il faudrait en finir avec les réseaux pedo-satano-maçonniques qui tiennent l’état.
-
@Kapimo
La guillotine, vite !
Tous les riches, tous les politiciens, tous les journalopes.
Après on pourra reconstruire une société. -
@xana, bonjour,
Non ! Tout de même pas !
Une île déserte telle que Tromelin par exemple. Ils seraient entre eux et seraient bien obligés de se confronter à la réalité de la vie quotidienne, de la recherche de nourriture, du vivre ensemble...
Et sans masque ! -
Macron a découvert que les vieux meurent ... !
-
@agent ananas
c’est pas le seul.
C’est fou le nombre de gens qui découvrent qu’à la fin de la vie il y a la mort.
-
@eddofr
oui... je pense que la question de la finitude n’est pas sans rapport avec ce qui se passe...
on entend à nouveau ces vieux délires de gnose et d’alchimie, qu’on appelle aujourd’hui le transhumanisme. Avec ce vieux fantasme de l’immortalité qui taraudait déjà les empereurs chinois ou égyptiens. Et qui taraude certainement les empereurs d’aujourd’hui...
Cela se termine toujours de la même façon. Les types nous annoncent l’immortalité pour dans 50 ans, mais ils ne sont pas capables de soigner un coronavirus ! C’est risible. Et puis, qui voudrait partager l’éternité avec Bill Gates ou Mark Zuckerberg sur une plaquette de silicone ? Franchement...
Le problème de cette société c’est l’absence de désir... Un capitalisme sans désir ? Je demande à voir...
Après tout, cette dictature futuriste (j’y réfléchis en l’écrivant), n’est peut-être que le dernier glapissement d’une époque condamnée. Le dernier raidissement (par prothèse technologique) d’une époque qui s’est voulue démiurgique, et qui peine à reconnaitre la finitude de toute chose. Ce n’est pas l’homme qui crée le monde. L’homme vit dans le monde. Et tous ces artifices et autoritarismes n’y changeront rien.
Leur système est à un point où il ne peut plus que faire du mal... ou abdiquer. C’est terrible pour eux. Ils n’ont plus de carotte, et plus que le bâton. C’est crépusculaire. Leur violence ne fait que leur montrer leur impuissance génératrice, et leur échec.
Comme disait Todd il y a 1 an, ils sont passés en « mode Aztèque »... ils dévorent leur propre société.
Qui vivra verra
-
@agent ananas
PS : ... tout ça pour protéger maman Brigitte ? ...
-
@Paul Leleu
« Avec ce vieux fantasme de l’immortalité qui taraudait déjà les empereurs chinois ou égyptiens. Et qui taraude certainement les empereurs d’aujourd’hui... »
Mais ne savez-vous pas que dans le millénium, la mort n’existera plus sur la sainte montagne (Voir Esaïe 25 :6-12)
« Il ne se fera ni tort ni dommage sur toute ma montagne sainte. » (Esaïe 11 :9)
Voir aussi Esaïe 65 :13-16.
« Car les anciennes souffrances seront oubliées, elles seront cachées à mes yeux ; »
-
En Allemagne, la « Sperrstunde »
Pour bien marquer la gravité de la situation, Angela Merkel a sorti le grand jeu. Pour la première fois depuis des mois, la chancelière a convoqué les ministres-présidents des Länder à débattre autour de la même table à Berlin. Après plus de huit heures de négociations musclées, ils ont fini par se mettre d’accord sur un certain nombre de mesures communes à tout le pays et en particulier, c’est la mesure phare, sur la nécessité d’imposer un couvre-feu de 23 heures à 6 heures du matin. Si cette « Sperrstunde » ou « heure de la police » est moins sévère qu’en France (les Allemands ont deux heures de plus pour écluser les bières), il n’en reste pas moins que ce pays n’avait pas connu une telle restriction aux libertés individuelles depuis la Seconde Guerre mondiale. Berlin, où le virus se propage à toute allure, a été l’un des premiers Land à décider le couvre-feu le week-end dernier.
Angela Merkel qui animait le débat avec son calme habituel n’a pourtant pas caché sa frustration. On sait depuis un moment déjà que les desiderata des uns et des autres agacent la chancelière, partisane d’une ligne commune consensuelle. Elle a promis que si le nombre des personnes infectées (qui selon l’institut Robert Koch se situe autour des 6 600 nouvelles contaminations par jour, un record depuis le début de la pandémie) ne baisse pas substantiellement d’ici à dix jours, il faudra de nouveau serrer la vis. « Nos directives ne sont pas assez sévères pour nous permettre de vaincre cette calamité. Ce que nous faisons ne suffit pas. »
En Italie, la fin de l’élève modèle
Après avoir longtemps tenu le rôle de « pays modèle », semblant résister à la tempête de la « deuxième vague », l’Italie est désormais entrée dans le dur. Depuis plusieurs jours, les nouvelles contaminations bondissent en flèche, dépassant mercredi soir la barre des 7 000 cas (multiplié par deux en l’espace d’une semaine). Pour le gouvernement italien, un durcissement des mesures sanitaires est alors devenu inévitable.
Ainsi, après le port du masque obligatoire en extérieur, décidé la semaine dernière pour l’ensemble du territoire, c’est au tour des bars et des restaurants de devoir baisser le rideau dès minuit pour tenter de freiner la contagion. Passé 21 heures, le verre debout est également prohibé. Interdits aussi les événements en intérieur comme en extérieur à l’exception des mariages, baptêmes et enterrements qui seront cependant limités à trente personnes. Coup de sifflet aussi pour le calcetto, ce match de foot sur mini-terrain, très prisé des Italiens. Côté vie privée, l’exécutif s’est contenté de « recommander vivement » d’éviter les soirées et rassemblements de plus de six personnes à la maison.
Des mesures qui, face à la progression du virus dans la Péninsule, semblent aujourd’hui déjà « caduques ». Le retour du confinement n’est désormais plus totalement exclu, il « dépendra beaucoup du comportement de l’ensemble de la communauté nationale », prévient le Premier ministre, Giuseppe Conte. En cas d’aggravation de la situation dans les prochains jours, un nouveau tour de vis est à prévoir. L’hypothèse d’un couvre-feu dans les régions de Lombardie et de Campanie, en première ligne face à la pandémie, fait d’ailleurs la une de la presse italienne.
Au Royaume-Uni, le gouvernement divisé
Le système en place depuis le 12 octobre prévoit trois niveaux d’alerte en Angleterre. La catégorie « medium » impose un couvre-feu aux pubs à partir de 22 heures et l’interdiction des rassemblements de plus de six personnes à l’extérieur comme à l’intérieur. Londres et les comtés du sud et de l’est du pays sont concernés. Le niveau « élevé », qui interdit les rencontres entre différents foyers, réduit les voyages et encourage le télétravail s’applique au Nord et aux Midlands. Enfin, l’alerte « maximale » vise Liverpool et le Nord-Ouest avec fermeture des pubs, des cafés, des centres de loisirs mais pas des restaurants. L’Écosse, le pays de Galles et l’Irlande du Nord, qui sont responsables de leurs propres mesures sanitaires, ont institué un dispositif encore plus musclé.
Avec 43 155 décès, le Royaume-Uni est à la cinquième place mondiale du classement des morts de la pandémie. Le pays se place au troisième rang en termes de nouveaux cas.
La bataille fait rage entre partisans et opposants des nouvelles réglementations sanitaires. S’appuyant sur l’avis du conseil scientifique, le leader travailliste, Keir Starmer, s’est prononcé en faveur d’un reconfinement de deux à trois semaines en Angleterre. Le gouvernement est profondément divisé. Boris Johnson a choisi jusqu’à nouvel ordre la solution médiane des restrictions locales renforcées.
En Belgique, l’UE à l’arrêt
Le Covid-19 s’abat de nouveau sur Bruxelles et, du même coup, elle grippe les institutions européennes. Non seulement la Commission n’a pas rouvert ses portes aux journalistes depuis mars, mais le Parlement européen, à Bruxelles, connaît une vague de contaminations importantes qui a conduit son président, David Sassoli, à proscrire la plénière en « présence physique » qui devait se tenir la semaine prochaine. Les parlementaires sont invités à ne pas venir et à suivre les débats derrière leur écran d’ordinateur. Voilà qui met fin au débat entre le siège de Strasbourg et l’antenne de Bruxelles…
En outre, Manfred Weber, le président du PPE, le premier groupe politique du Parlement, est contraint à l’isolement car il a rejoint la longue liste des cas contacts. Les mesures s’étaient durcies depuis plusieurs jours : les assistants parlementaires et le personnel administratif se sont vu imposer le télétravail et devaient justifier d’un motif sérieux pour se rendre dans l’enceinte du Parlement. Le contexte bruxellois n’est pas meilleur et les autorités belges vont restreindre encore plus la vie sociale : les réunions privées à domicile ne devront pas excéder quatre personnes, le télétravail redevient obligatoire, un couvre-feu entre minuit et 5 heures du matin sera instauré, mais les écoles vont rester ouvertes.
En Espagne, la vague sans fin
« Préoccupante, instable et fragile. » C’est par ces trois adjectifs que Salvador Illa, le ministre de la Santé qui coordonne le combat contre le Covid-19, résume la situation en Espagne. Ici, la deuxième vague est arrivée plus tôt qu’ailleurs, dès la mi-septembre, et avec une force insoupçonnée. C’est à Madrid et dans la grande agglomération de la capitale que la contagion s’est fait sentir avec le plus de force : le taux d’incidence, ayant avoisiné les 700 cas pour 100 000 habitants, a obligé le gouvernement central à « fermer » Madrid et neuf municipalités (épicentre européen du coronavirus) de sa périphérie le 2 octobre, contre la volonté de l’exécutif régional qui y voit une sorte d’« asphyxie économique ». La Catalogne lui a emboîté le pas en décrétant la fermeture pour quinze jours des bars, restaurants et centres de loisirs nocturnes. La mesure a provoqué la colère des hôteliers concernés qui exigent une « couverture publique » pour ses 170 000 salariés.
Aux Pays-Bas, un « confinement partiel »
Avec un taux d’incidence de 435 cas pour 100 000 habitants, les Pays-Bas se situent sur la troisième marche du podium européen des pays où la pandémie galope derrière la République tchèque (660 pour 100 000) et la Belgique (515 pour 100 000). La situation est telle que le Premier ministre, Mark Rutte, a été contraint, le 13 octobre, de décréter un « confinement partiel ». Un peu dépassé par la situation, le leader néerlandais ne lésine plus sur les restrictions : fermeture des bars et des restaurants pour une durée de quatre semaines au moins, interdiction de la vente d’alcool et de cannabis après 20 heures, port du masque obligatoire dès 13 ans dans tous les espaces clos…
Mark Rutte s’est fait violence car, en bon libéral, il n’a jamais été un adepte des mesures trop contraignantes. Lors de la première vague, il avait pris soin de ne pas trop entailler les libertés de ses compatriotes et avait même cru, au tout début, aux vertus, de l’immunité de groupe. « Nous devons être plus stricts avec nous-mêmes »
-
@BA
Merci pour cette synthèse qui montre que lorsque la pandémie s’étend significativement les pays européens prennent quasiment les mêmes mesures préventives (masques, distantiation, hygiène, limitation des contacts, fermeture des bars et restaurants lutte contre les réunions festives etc ? voire aussi couvre feu).
. -
@pierrot
Mais le rétablissement du nombre des lits dans les hôpitaux, toujours pas ! Et ça c’est du ressort de l’Etat et non du populo. -
@BA
Bonjour et merci pour ce résumé. Cependant, il ne concerne que les cas détectés, pas les décès.
Il faut voir les chiffres et les graphiques sur ce site.
Juste au dessus du tableau, il y a un bouton « Yesterday ». Il vaut mieux voir les chiffres de la veille car ceux du jour ne sont pas définitifs.
Pour trier les données, il suffit de cliquer sur l’en tête d’une colonne (un clic pout un tri croissant, deux clics pour un tri décroissant).
Pour afficher les graphiques pour un pays, faire un clic avec le bouton droit sur le nom du pays dans la colonne de gauche et choisir l’affichage dans un autre onglet.Vous serez surpris de voir que malgré l’explosion de cas détectés, il y a peu de décès comparé à la première vague.
-
Quand tout les gens sensibles a ce virus passeront l’arme a gauche l’épidémie sera finie ....
-
@zygzornifle
Quand tous les mourables auront mouru...
-
Très spécieux, comme développement ! On ne demande pas aux vieux de se sacrifier, on peut juste les protéger sans sacrifier la vie de la cité !
C’est quand même différent, surtout quand on se souvient que ces vieux furent sacrifiés en leur asile de retraite, par panique organisationnelle en pénurie de places en réa, pénurie longuement mûrie et imposée depuis des années !
Et il n’y a pas que les vieux !!les insuffisants rénaux, les obèses, les cancéreux, les polymorbides... ! aucun individu sain n’est arrivé en réa à cause du virus !!
(257) Réanimation et COVID – quelques points saillants ! - YouTube
Avoir fait tout en dépit du bon sens ne peut pas se renverser en un coup de cuiller à pot !!
-
@alinea
Alors une femme enceinte n’est pas un individu sain ... -
@pipiou2
Une femme enceinte, saine, craint moins qu’une autre un virus !! quelle idée débile de croire qu’une femme enceinte, en toutes circonstances, est fragile !!
Je sais qu’aujourd’hui tout le monde est malade, allergique, fragile, alors enceinte aussi forcément ; mais ce n’est pas une norme. -
@eau-pression
Je ne sais pas dans quelle mesure une vieille personne est sensée mourir de la grippe, ou du virus, je suppose qu’elle aussi il faut qu’elle ait d’autres morbidités !
La mère d’un copain a fêté ses cent ans en juin, son infirmière a attrapé le covid, elle, non ! Rien n’est fatal, même le bétail ne mérite pas d’être traité comme il l’est ! seulement, faire attention aux gens, si on veut gagner cent euros de l’heure, forcément, ça fait cher !
Enfin, on ne regarde pas trop à la dépense quand il s’agit d’enfoncer un goupillon dans les trous de nez jusqu’au cerveau !
De toutes façons tout va de travers, je n’arrive même plus à trouver trois mots à aligner qui puissent faire sens dans ce merdier ! -
Donc les vieux et les fragiles devraient accepter de se sacrifier pour faire plaisir à quelques eugénistes comme l’auteur ?
Votre société « civilisée » a quand même une drôle de gueule.
Quant à parler du consentement dans la société française, une des plus contestataires, où de nombreux courants prônent la désobéissance civile ...
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
Ajouter une réaction
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
FAIRE UN DON