Covid-19 : Macron ne lutte pas contre l’épidémie, il la contrôle
Les deux mesures les plus spectaculaires prises par le Président Macron durant l’épidémie sont le premier confinement, au printemps, et le plan d’aide à l’économie, en septembre. Un plan exceptionnel par son ampleur : 100 milliards d’euros. Les mesures sanitaires, en revanche, sont à la traîne.
La France connaît avec l’épidémie de SARS-CoV-2 la pire crise économique depuis la Seconde Guerre Mondiale (1), la deuxième pire chute du PIB parmi les pays de l’OCDE (2), le troisième pire bilan en nombre de décès en Europe, derrière l’Italie et le Royaume-Uni (3), et le pire bilan en nombre de contaminations en Europe (4). Comment en est-on arrivé là ? Le présent article ne contient aucune information nouvelle et propose une relecture de la gestion de l’épidémie par Emmanuel Macron, sous l’angle des détenteurs de capital. La thèse avancée est que la priorité du gouvernement est l’actionnaire, même durant la crise. Les mesures de santé publique ont été timides, tardives et prises uniquement sous la contrainte. Des privilèges indécents sont accordés à l’industrie pharmaceutique alors que des solutions beaucoup moins coûteuses existent.
Tester, tracer, isoler
La Nouvelle-Zélande (5) et la Chine (6) ont éradiqué l’épidémie sur leur territoire grâce au triptyque tester, tracer, isoler. Il faut souligner à quel point ces trois piliers sont indissociables. Tracer sans isoler revient à laisser le virus se répandre. Tester sans tracer laisse circuler des personnes potentiellement contaminées. Et isoler sans tester fera ré-apparaître le virus en raison des délais d’incubation. Ces deux pays ajoutent à ce protocole un confinement, de deux semaines actuellement, qui fige la situation et facilite la localisation des personnes. Ce confinement supprime par ailleurs la tentation de se soustraire au test pour échapper à l’isolement, puisque tout le monde l’est.
La Nouvelle-Zélande a éradiqué l’épidémie avec seulement 212 000 tests, grâce à un traçage particulièrement soigné. Deux précautions valant mieux qu’une, la Chine ajoute à ces tests un test massif de la population, dans la zone géographique concernée.
Réagir vite et fort
Lutter contre la Covid-19 réclame des mesures fortes et rapides. Si l’épidémie n’est pas traitée à temps, les moyens ordinaires sont débordés. Parmi les bons élèves, Taïwan a fermé ses frontières aux voyageurs provenant du Hubei dès le 31 décembre (7), avant que l’OMS ne sonne l’alerte (le 30 janvier). L’Allemagne a mis au point le premier test mondial le 17 janvier, avant la Chine, et a aussitôt testé massivement (8). Le Japon a fermé ses frontières le 1er février (9). La Nouvelle-Zélande a fermé les siennes le 28 février, avant l’arrivée du premier cas sur son territoire (5).
Mensonges présidentiels
Et en France ? Le Président Macron a affirmé lors d’une allocution que « Nous avons fait tout notre possible » (10). Ce n’est pas le cas. À ce jour, l’épidémie se porte bien et n’est toujours pas prise à bras le corps par le gouvernement. Le Président Macron a aussi affirmé que « Notre stratégie a été définie dès l’été : c’est de vivre avec le virus. » (11). Contradictoire avec la précédente, cette déclaration est inexacte également car Macron a renoncé à stopper l’épidémie dès le début de l’année.
Les néo-libéraux ont la phobie de la dépense publique
Avant que l’épidémie ne survienne, le Président Macron poursuivait la politique de démantèlement progressif des services publics et de privatisation rampante, datant de Sarkozy et de la Commission Attali-Macron (12). Dans l’esprit des néo-libéraux ayant contribué à cette commission, tout argent injecté dans l’économie réelle est perdu pour la finance. Il convient donc de réduire la dépense publique – même quand elle soigne. Or, l’inconvénient de la méthode tester-tracer-isoler est qu’elle repose essentiellement sur des moyens publics. De plus, si l’épidémie est facilement maîtrisée, la population n’aura pas peur et ne se précipitera pas sur un vaccin ou tout autre traitement médicamenteux vendu fort cher pour profiter des circonstances, tel le remdesivir de Gilead (13). Enfin, et comme chacun peut l’imaginer, une crise est aussi l’occasion de commettre quelque arnaque juteuse (14) (15). L’hypothèse présentée ici est que, pour toutes ces raisons, le choix français a été dès l’origine celui du vaccin. L’économie réelle souffrirait mais l’argent magique de la dette sauvera les dividendes (16).
Le moment où Macron choisit
L’histoire aurait pourtant pu être différente. La France monte une cellule de surveillance le 2 janvier, confiée au CORRUSS (7). La ministre Agnès Buzyn envoie un message direct au Président le 11 janvier (17). Hélas, la réactivité française s’arrête là. Surveiller : oui, étudier : non. Fin décembre, le CNRS se voit refuser des budgets pour travailler sur le coronavirus (18). Le 26 janvier, la transmission par les porteurs asymptomatiques est avérée, ce qui signifie que l’épidémie se propage sournoisement, en silence (7). Le 30 janvier, l’OMS sonne l’alerte mondiale (19). Le même jour, la France essaie d’acheter des masques FFP2 mais les marchés sont déjà bloqués. Le mois de février est bêtement gâché, malgré un premier décès en France. C’est à peine une surprise : la personne décédée est un touriste chinois. Bernard Arnault, proche du Président, ignore-t-il que la France est un pays de tourisme ? La fermeture des frontières semble possible contre le terrorisme (20) mais pas contre une épidémie. Mais reprenons la chronologie. En public, Macron minimise. Le 7 mars, il déclare que l’épidémie concerne uniquement les personnes fragiles (alors même que ces personnes ne seront identifiées que bien plus tard (21) (22) (23)) et invite les Français à continuer à sortir (24). Joignant le geste à la parole, il sort au théâtre. Courant mars, l’épidémie est criante. Les morts s’accumulent. Interrogés par Mediapart, des infectiologues de l’Oise ne comprennent pas que le stade 3 ne soit pas déclenché alors qu’ils y sont déjà en pratique (25). L’épidémie, elle, n’attend pas. Le 12 mars, le blogueur et actuaire Olivier Berruyer corrige les chiffres des différents effets retards et évalue à environ 100 000 le nombre de contaminés en France. De façon prémonitoire, il conclut qu’ « Il est déjà trop tard : la France a déjà perdu la guerre contre la diffusion du virus dans notre pays. » (26)
À l’époque, la priorité de Macron est ailleurs. Anticipant la colère des Français, il veut remporter les élections municipales, dont il maintient le premier tour en dépit des risques. La décision s’avérera mortelle (27). La victoire électorale espérée devait confirmer la légitimité de son pouvoir et de sa politique néo-libérale.
La première mesure sérieuse en France interviendra finalement six semaines après l’alerte de l’OMS, et sept semaines et demie après les premiers cas détectés sur notre territoire. C’est le confinement, mesure extrême devenue inévitable.
Traçage a minima
Alors que la Nouvelle-Zélande passe en niveau d’alerte 4 en cinq jours et que la Corée du Sud disposait dès le début du printemps de 20 000 traceurs (28), en France il faudra attendre la mi-mai pour que le traçage soit organisé (29). Doutant de la sincérité du gouvernement puisqu’ils ont vécu, de l’intérieur, l’absence de mesure pendant les premiers mois, les traceurs s’attèlent mollement (30) à une tâche par ailleurs immense et qui les déborde. Les renforts ne viendront qu’en septembre (31). Ces renforts, insuffisants, amèneront les ARS un mois plus tard à dématérialiser le dispositif (32). Comprendre : au lieu d’être pris en charge par un humain, le cas contact reçoit un courriel. Un courriel : voilà qui est certainement à la hauteur de la situation !
Aimant manifestement la difficulté, le gouvernement rétablit le 10 juillet le délai de carence de l”assurance maladie (33), ce qui crée une incitation financière à se soustraire au traçage et au test. Les Français se font tracer à reculons. Au final, Santé Publique France observera en septembre jusqu’à 80 % de nouveaux cas non découverts par le traçage. En d’autres termes, « de nombreuses chaînes de transmission » lui échappent (30).
Des tests tardifs et sans stratégie
Alors qu’au printemps des réactifs existent de façon suffisante en France, comme le montrent les efforts couronnés de succès de l’IHU Méditerrannée-Infection à Marseille pour massifier ses tests (34), au niveau national Macron refusera les offres de service, comme le révélera Le Point (35). Mediapart mentionne fin avril que « Des centaines de laboratoires publics comme privés, capables de réaliser ces tests PCR s’impatientent devant l’inertie du gouvernement. » (36) En fin de printemps, les tests démarrent enfin mais bientôt c’est au tour des laboratoires d’être débordés. Les médias pointeront pendant des semaines la saturation des laboratoires et les délais non tenus (37) (38). Les clients deviennent hystériques et les laborantins frôlent la crise de nerfs (39). Il faudra attendre septembre pour que les pouvoirs publics interviennent, avec l’ouverture timide de quelques centres supplémentaires (40).
À ce jour, les tests restent insuffisants. Jean-François Delfraissy estimait, en octobre, qu’une personne contaminée sur deux n’est pas testée (41).
Insuffisants et, surtout, désorganisés. Le gouvernement fait du chiffre pour faire taire les critiques mais ne teste pas au bon endroit. L’épidémiologiste Catherine Hill déplore l’absence de test systématique des catégories à risque, et de tests de masse (42).
Pour tester en masse, encore faut-il des tests et ceux-ci sont souvent importés d’Asie. Macron apprécie la mondialisation (43), qui favorise l’actionnaire en jouant sur les différences de salaires entre les pays. Mais, la crise arrivant, et après la mésaventure britannique avec un fournisseur chinois véreux (15), Macron semble changer de logique et disposé à re-créer une industrie française. Problème : celle-ci sera prête… Un an trop tard ! (44) Félicitons-nous toutefois que Macron, qui a vendu le cœur de notre centrales nucléaires et de nos porte-avions nucléaires à General Electric lorsqu’il était ministre (45), semble découvrir le sens de l’expression “secteur stratégique”.
Isolement : quand le chat n’est pas là…
Troisième pilier du tester-tracer-isoler, l’isolement est mal respecté en France. Un rapport de la DGS (Direction Générale de la Santé), paru en septembre, pointe les différents motifs pour lesquels les personnes contaminées et contact ne respectent pas l’isolement (46). Ces motifs sont une contrainte excessive, la perte de revenu, la pression liée à l’emploi ou l’incompréhension médicale. Suite à ce rapport, le Conseil Scientifique émet un certain nombre de recommandations visant à faciliter et à mieux faire accepter cette étape clé. Cependant, et à l’image de la sécurité routière, il faut certes expliquer mais aussi, parfois, contraindre, lorsque les explications échouent. La sécurité routière repose sur des campagnes de sensibilisation, mais aussi sur la peur du gendarme. On ne conduit pas sous l’emprise de l’alcool. Et on s’isole si |’on est contagieux ou suspecté de l’être. Rappelons à toutes fins utiles que la conduite en état d’ivresse ou un refus d’alcootest, peuvent vous mener en prison. Cependant, et comme pour la sécurité routière, les mesures d’aide ou contraignantes ne peuvent émaner que de l’État et nécessiteraient donc une dépense publique.
Un plan anti-épidémie démantelé malgré les alertes
Depuis dix ans, les épidémies et les pandémies explosent dans le monde, notamment en Asie en raison d’une industrialisation trop rapide et mal maîtrisée. En 2018 par exemple, une épizootie dans l’élevage intensif porcin chinois aboutit à une division par deux de la production nationale. Ces épidémies donnent lieu à de multiples alertes et rapports, jusqu’à l’OMS (47). Alors que la France est un pays de tourisme, nos dirigeants ordonnent en 2011 la destruction de notre stock stratégique de masques (48) et le démantèlement du plan anti-épidémie mis en place par Jacques Chirac, comme le révèle Douste-Blazy (49). Certes, ces coups de rabot budgétaires datent du quinquennat Hollande mais Macron ne saurait les renier puisqu’il poursuit la même logique.
À l’hôpital le plan se poursuit, imperturbablement
Fidèle à sa famille politique, Macron continue à fermer des lits même pendant la crise (50) et ne s’attaque à aucun des problèmes de fond de l’hôpital public (51), comme un document interne publié par Mediapart le révélait dès avril (52). Macron n’a distribué une maigre hausse de salaire aux soignants, après des années de gel, que parce qu’il a besoin d’eux.
Les gestes barrières se heurtent à la lassitude
Les mesures visant à diminuer le taux de contamination, aussi appelés gestes barrières, ralentissent l’épidémie mais ne l’arrêtent pas. Ces mesures produisent leurs effets trop lentement et se heurtent à la lassitude de la population (53) et à l’asphyxie économique (54). Les gestes barrières sont cependant utiles car ils diminuent la sévérité de la Covid-19 (55) (56).
Le Président Macron s’attendait à cette lassitude puisque, le 6 mars, il justifiait la timidité des mesures prises en France par le fait que les « mesures (…) très contraignantes » ne sont « pas tenable(s) dans la durée » (57). Cette déclaration mérite de s’y arrêter. D’une part, il révèle que le Président savait que la crise serait longue. D’autre part, l’argument fonctionne en réalité dans l’autre sens puisque c’est précisément parce que les mesures contraignantes ne tiennent pas dans la durée, qu’une action forte et rapide est préférable !
Mais, comme les gestes barrières ne coûtent rien au Trésor Public et qu’ils rapportent même un peu de chiffre à la grande distribution (74), le gouvernement appuie fortement dessus, jusqu’à l’excès (75).
La chloroquine est dans le domaine public – hélas !
Rien n’illustre plus dramatiquement la primauté de l’actionnaire sur la santé publique, que l’affaire de la chloroquine. Selon de multiples études scientifiques, ce principe actif, associé à l’azithromycine, est efficace contre la Covid-19 à condition d’être administré tôt (58). Il diminue fortement la charge virale et les symptômes. La chloroquine n’est pas chère (la boîte de Nivaquine coûte 4,55 €) car elle est dans le domaine public. Or, ce qui est un avantage pour le patient est un problème pour l’actionnaire : il n’existe pas de modèle économique pour ces molécules tombées dans le domaine public (59). Le lobby pharmaceutique lance dès lors une campagne médiatique accusant la chloroquine d’effets secondaires graves. Oubliant qu’avant l’épidémie, les plus hautes autorités médicales disaient l’inverse (60). Puis, profitant d’une étude scientifique totalement frauduleuse (61) publiée dans The Lancet, les autorités médicales françaises écarteront la chloroquine (62), malgré la rétractation ultérieure de l’étude (63).
Le vaccin soigne avant tout les actionnaires
Risquée sur le plan sanitaire, la stratégie du vaccin est au contraire une garantie de profit pour l’industrie pharmaceutique. Aux abois, les gouvernements subventionnent fortement cette industrie (64) et s’engagent à indemniser les victimes éventuelles (65).
Le pactole pourrait se transformer en super pactole grâce à la durée de la mémoire du système immunitaire. Cette durée est, à ce jour, inconnue mais pourrait se situer entre deux mois (66) et sept mois (67). Des cas de réinfection ont déjà été observés (68), y compris avec une sévérité accrue la deuxième fois (69). Des vaccinations fréquentes pourraient dès lors s’avérer nécessaires.
La durée de l’immunité n’est pas la seule inquiétude. Les vaccins peuvent produire des effets secondaires, comme il est déjà avéré avec celui de Pfizer (70). Il faudra aussi être vigilant sur les adjuvants (71) et l’hétérogénéité subtypique éventuelle (72). Enfin et surtout, une simple mutation du virus pourrait rendre le vaccin inopérant ! (73)
Conclusion : un bilan à la hauteur du personnage
Si l’actionnaire semble avoir dicté la politique de Macron, les dividendes seront tout de même en baisse cette année. Alors que le CAC40 s’apprêtait à verser le montant record de 53,2 milliards d’euros de dividendes en 2020 (grâce aux fermetures de lits, de maternités, au gel des salaires des soignants, au démantèlement du plan anti-épidémie, etc.), il ne sera finalement versé que 30,3 milliards d’euros, ou 37 milliards si l’on inclut les rachats d’actions (16). Macron remet-il en cause aujourd’hui la politique néo-libérale de la Commission Attali ? De toute évidence, non, et cette incapacité à s’adapter au réel est une partie du problème.
Mais pas le seul. La méconnaissance de la chose politique par le très jeune Président Macron, homme politique sans parti parachuté par Attali directement au poste de secrétaire général de l’Élysée, cinq avant son élection à la Présidence, a pu jouer un rôle. Capable de discourir des heures, plus longtemps encore que Fidel Castro, Macron n’a en revanche jamais prouvé sa capacité en tant qu’homme d’action. Son emploi précédent à la banque Rotschild était d’ordre commercial. Macron n’est pas un meneur d’hommes. Selon la croyance du courant néo-libéral qui a porté Macron au pouvoir, le destin de l’État est de s’auto-démanteler et de passer le relais à la sphère marchande. Pour ce genre de mission, un communiquant suffit. Mais qu’il arrive un imprévu et le communiquant se révèle, ou pas, avoir une carrure d’homme politique.
Yves Ducourneau, le 24 novembre 2020
Notes :
(1) "Budget de la France : 42 milliards des 100 milliards du plan de relance débloqués en 2021", Midi Libre, 28-09-2020
(2) "Croissance : la France parmi les pays les plus touchés par le coronavirus", Les Échos, 11-06-2020
(3) "Coronavirus Monde : nouvelles courbes, carte, où en est l'épidémie ?", Le Journal des Femmes, consulté le 03-11-2020
(4) "Coronavirus dans le monde : Belgique, Italie, Royaume-Uni, USA… Le bilan en Europe et ailleurs", L'Internaute, consulté le 03-11-2020
(5) "Contrôle de l’épidémie de Covid-19 : les leçons de la Nouvelle-Zélande", 28-10-2020
(6) "Coronavirus : la Chine confine une ville entière après trois cas", BFMTV, 15-09-2020
(7) "CoViD-19 : infos générales sur le virus et la pandémie", site du Syndicat national des Jeunes Médecins Généralistes, 07-05-2020
(8) "Coronavirus : pourquoi l'Allemagne semble-t-elle mieux gérer l'épidémie que la France ?", France Télévisions, 03-04-2020
(9) "Pourquoi le Japon a été très peu touché par le Coronavirus", kanpai.fr, 25-06-2020
(10) "Covid-19 : le confinement de trop", Le Média, 31-10-2020
(11) "Reconfinement : Macron, cet incapable !", Le Média, 29-10-2020
(12) "À tous ceux qui ne se résignent pas à la débacle qui vient", par Laurent Mauduit, éditions Don Quichotte, 2014, pages 66 et suivantes
(13) "Covid-19 : Gilead fixe le prix du remdesivir", Industrie Pharma, 01-07-2020
(14) "The ‘very, very bad look’ of remdesivir, the first FDA-approved COVID-19 drug", Science, 28-10-2020
(15) "Les tests commandés par le Royaume-Uni à la Chine pour 20 millions de dollars ne marchent pas", Capital, 17-04-2020
(16) "Allô Bercy : ces entreprises du CAC40 qui profitent sans contrepartie des aides publiques Covid", Basta !, 12-10-2020
(17) "Coronavirus : le scandale de la pénurie de masques", Le Media, 20-03-2020
(18) "Coronavirus : un scientifique fustige le gouvernement", Le Media, 17-03-2020
(19) "Coronavirus : chronologie de l'épidémie en Chine et émergence de théories complotistes", Sciences et Avenir, 19-03-2020
(20) "Terrorisme : Emmanuel Macron annonce un renforcement des contrôles aux frontières", La Voix du Nord, 05-11-2020
(21) "Covid-19 : 15 % des formes graves de la maladie s’expliquent par des anomalies génétiques et immunologiques", AP-HP, 25-09-2020
(22) "Une carence en vitamine D pourrait entraîner des complications sévères du Covid-19", CNEWS, 14-05-2020
(23) "Covid-19 : les patients du groupe sanguin O moins vulnérables ?", LCI, 19-10-2020
(24) "Emmanuel et Brigitte Macron au théâtre pour inciter les Français à sortir malgré le coronavirus", BFMTV, 07-03-2020
(25) "Covid-19 : « Il n’y a pas de prise de conscience », alertent les hospitaliers aux avant-postes", Mediapart, 13-03-2020
(26) "« Chaque journée compte » : comment la France risque de condamner de nombreux Français par son inaction face au Coronavirus", Les Crises, 12-03-2020
(27) "Vidéo. Covid-19 : le lourd tribut payé par les élus lors du premier tour des municipales", Radio France, 16-04-2020
(28) "À quoi ressembleront les « brigades » du traçage lors du déconfinement ?", La Croix, 21-04-2020
(29) "Déconfinement : le déploiement inédit et délicat des « brigades » de traçage des patients suspectés", Le Monde, 06-05-2020
(30) "Covid-19 : coups de fil manqués, recommandations floues… Les faiblesses du traçage des chaînes de contamination", France Télévisions, 22-09-2020
(31) "Covid-19 : 2000 personnes supplémentaires recrutées pour assurer le traçage des cas positifs", BFMTV, 11-09-2020
(32) "Covid-19 : ce qu'il faut savoir sur la nouvelle procédure de l’Assurance-maladie pour les cas contacts", France Télévisions, 27-10-2020
(33) "Covid-19 : à l’usine ou au bureau, pourquoi il y a autant de clusters au travail", Le Parisien, 09-07-2020
(34) "136 000 tests PCR Covid : l'envers du décor", IHU Méditerranée-Infection, 04-06-2020
(35) "Exclusif. Comment la France se prive de 150 000 à 300 000 tests par semaine", Le Point, 03-04-2020
(36) "Tests Covid-19 : la défaillance organisée au sommet de l’État", Mediapart, 29-04-2020
(37) "Coronavirus en Ile-de-France : Une plateforme téléphonique pour « accélérer » les rendez-vous des tests", 20 Minutes, 17-08-2020
(38) "« On n'a même pas le temps de répondre au téléphone » : à Paris, la priorisation des patients pour le dépistage du coronavirus ne soulage pas encore les laboratoires", Radio France, 13-09-2020
(39) "Test Covid : « Est-ce que cela a du sens de rendre les résultats sept jours plus tard ? »", Basta !, 18-09-2020
(40) "Paris : comment fonctionnent les nouveaux centres de dépistage", Le Figaro, 21-09-2020
(41) "Covid-19 : selon Delfraissy le nombre de cas est en réalité à 100 000 par jour", The Huffington Post, 26-10-2020
(42) "Covid-19 : « Il faut tester massivement, et je n'ai rien entendu en ce sens », critique l'épidémiologiste Catherine Hill", Radio France, 28-10-2020
(43) "Compétitivité du travail : pourquoi Whirlpool délocalise en Pologne", L'Opinion, 26-04-2017
(44) "NG Biotech : un test Covid-19 "français"… En réalité essentiellement chinois", France Inter, 10-07-2020
(45) "Alstom, Macron, histoire d’une trahison", Là-Bas-Si-J'y-Suis, 22-07-2019
(46) "La « quatorzaine » est un « échec » pour le conseil scientifique", 20 Minutes, 09-09-2020
(47) "Causalité de la pandémie, caractéristiques de la catastrophe", Mémoire des Luttes, 29-03-2020
(48) "Enquête Franceinfo. Comment la France a sacrifié sa principale usine de masques basée en Bretagne", Radio France, 03-04-2020
(49) "Philippe Douste-Blazy tire à boulets rouges sur l'État et relance le débat sur l'hydroxychloroquine", Actu Toulouse, 08-11-2020
(50) "Le gouvernement continue de supprimer des lits d’hospitalisation : la carte des hôpitaux concernés", Basta !, 29-10-2020
(51) "« Je n’en peux plus d’expliquer aux malades qu’il n’y a plus de lits disponibles » : l’hôpital au bord de la rupture", Basta !, 29-10-2020
(52) "Hôpital public : la note explosive de la Caisse des dépôts", Mediapart, 01-04-2020
(53) "Coronavirus : les chiffres qui expliquent pourquoi les autorités multiplient les alertes", The Huffington Post, 10-07-2020
(54) "Commerces de proximité : les arrêtés de réouverture sont illégaux assure le porte-parole des maires mayennais", France Bleu, 31-10-2020
(55) "Covid-19 : les mesures barrières préviennent-elles l’apparition de symptômes en cas d’infection ?", Vidal, 30-07-2020
(56) "Masques : inhaler moins de coronavirus signifie tomber moins gravement malade", The Conversation, 23-08-2020
(57) "Coronavirus : pour Macron, « les mesures très contraignantes ne sont pas tenables dans la durée »", BFMTV, 06-03-2020
(58) "Leçon de science - Décryptage de l'information du Covid-19", IHU Méditerranée-Infection, 09-06-2020
(59) "Entretien exclusif. Didier Raoult se confie à Apolline de Malherbe sur BFMTV", BFMTV, 30-04-2020
(60) "Le petit livre blanc au sujet de l'hydroxychloroquine", (traduit par) France Soir, 29-07-2020
(61) "Chloroquine : sur les traces de Surgisphere, la société au cœur du scandale de l’étude du Lancet", France Télévisions, 06-06-2020
(62) "Hydroxychloroquine : le Haut conseil de la santé publique et l'Agence du médicament mettent le holà", Europe 1, 26-05-2020
(63) "« Je suis vraiment désolé » : le mea culpa du coordinateur de l’étude de The Lancet sur l’hydroxychloroquine", Le Parisien, 05-06-2020
(64) "Vaccin contre le Covid-19 : le méga business des laboratoires", Le Parisien, 22-11-2020
(65) "Vaccins Covid-19 : l'UE indemnisera les laboratoires en cas de problèmes", Le Figaro, 27-08-2020
(66) "Covid-19 : les anticorps disparaissent-ils avec le temps ?", Libération, 16-09-2020
(67) "Covid-19 : l'immunité au SARS-CoV-2 pourrait durer jusqu'à 7 mois", Sciences & Avenir, 15-10-2020
(68) "Pourquoi meurt-on du COVID-19 ?", IHU Méditerranée-Infection, 10-11-2020
(69) "Un patient réinfecté par le Covid-19 aux Etats-Unis, le 5e dans le monde", 20 Minutes, 13-10-2020
(70) "Coronavirus vaccine volunteer says side effects no worse than a bad hangover", The Mirror, 10-11-2020
(71) « L'aluminium, les vaccins et les 2 lapins… – Film officiel – Association E3M », E3M, 23-06-2017
(72) "La grippe : réflexions d'un médecin généraliste", 17-01-2017
(73) "Danemark : une mutation du Covid-19 oblige l'abattage de millions de visons", La Croix, 04-11-2020
(74) "Comment le prix des masques jetables a explosé", 60 Millions de Consommateurs, 06-05-2020
(75) "Les Allemands ont-ils encore le droit de faire du vélo librement ?", Libération, 27-03-2020
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