COVID 19 : un an après, la loi qui pourrait tout changer
Il y a un an ou presque, la France était plongée dans un premier confinement traumatique. Douze mois plus tard, la situation paraît toujours aussi bloquée. Mais une loi pourrait tout changer et nous sauver de ce cauchemar.
Pour résumer en quelques événements significatifs cette annus horribilis :
- le 11 mars 2020, l'OMS classe la Covid 19 comme pandémie. Pas de raison en principe de s'affoler puisque l'organisme international s'était déjà signalé, selon un rapport du sénat français lui-même, pour avoir surestimé la crise H1N1, sous influence des principaux laboratoires pharmaceutiques intéressés à vendre leurs vaccins. D'autre part, un certain Didier Raoult, professeur de microbiologie à l'IHU de Marseille et spécialiste des maladies infectieuses de renommée internationale, affirme depuis fin février qu'un traitement existe et qu'il n'y a aucune raison de craindre outre mesure ce nouveau virus.
- 17 mars 2020 : alors qu'il conseillait aux français de conserver une vie normale, affolement subit du président français Macron. Le statisticien anglais Neil Ferguson, connu pour ses prédictions toutes plus foireuses les unes que les autres, lui annonce cinq-cents mille morts si rien n'est fait. Trente années de politique de l'hôpital ultra-libéral et cent-mille lits en moins ont cependant créé les conditions d'un chaos hospitalier, habituel néanmoins depuis quelques années à chaque épidémie de grippe. Un confinement généralisé de la France est décidé.
- Premier confinement, 17 mars 2020 - 11 mai 2020 : la France vit cloîtrée, animée par une gigantesque polémique entre pro-hydroxychloroquine et anti-hydroxychloroquine ; d'un côté, le professeur Didier Raoult, sommité mondiale dans son domaine ; de l'autre une tripotée de médecins de plateau qui parlent au sujet du médicament de "poudre de perlimpinpin" et affirment que le seul remède miracle qui existe est le Remdésivir du laboratoire américain Gilead, à 2700 euros le traitement (quelques euros pour une boîte d'hydroxychloroquine). Didier Raoult, un charlatan : tous (tous !) les médias entonnent ce choeur, du Monde à Libération, de BFM à CNEWS, de Europe 1 à France Inter. Un article de France Soir jette néanmoins un pavé dans la mare. Les principaux défenseurs du Remdésivir, qui n'ont pas assez de mots durs contre Didier Raoult et son hydroxychloroquine, ont touché dans les années passées des sommes énormes du laboratoire Gilead (entre autres). Le professeur François Raffi du CHU Nantes, depuis le service duquel un coup de fil menaçant Didier Raoult de mort a été passé, a touché ces dernières années cinquante mille euros de Gilead. L'infectiologue Karine Lacombe qui a le droit à tous les plateaux télés a touché vingt-six mille euros. Même chose pour Molina, Stahl, Tattevin, autant de médecins sans cesse invités dans les médias, comparant l'hydroxychloroquine à du "papier toilette" et ne signalant pas les énormes conflits d'intérêt qui les concernent (mais les médias s'en gardent bien aussi).
- 4 juin 2020 : scandale dit du "Lancet Gate" : une étude falsifiée affirmant que l'hydroxychloroquine était dangereuse voire mortelle doit être retirée de la prestigieuse revue. L'étude aura cependant permis à Olivier Véran, ministre de la santé, d'interdire de prescrire l'hydroxychloroquine pour le traitement de la Covid 19, hors essais cliniques. La prescription d'hydroxychroloquine était déjà interdite à la médecine de ville depuis le 27 mars. A ce jour, cette interdiction n'a semble-t-il pas été levée. Les médias français, qui auront pourtant défendu mordicus l'étude frauduleuse du Lancet, sont obligés de faire profil bas. Aucun ne reconnaît cependant ses torts.
- 8 octobre 2020 : l'Union Européenne passe un contrat d'un milliard d'euros avec Gilead pour lui acheter du Remdésivir. Malgré de nombreuses études signalant des effets désastreux sur le foie, malgré un bénéfice pour le patient faible voire nul, malgré les risques notamment de thrombose dus au mode d'administration par intraveineuse, le médicament hyper-coûteux a reçu une autorisation expresse de la part des agences du médicament européenne et française. Le médicament est distribué dans un certain nombre d'hôpitaux français, chaleureusement recommandé par le ministère de la santé.
- du 30 octobre au 15 décembre 2020 : second confinement.
- 11 novembre 2020 : le PDG de Pfizer, Albert Bourla, et sa vice-présidente, Sally Susman, ont vendu pour 5,6 millions et 1,8 millions dollars d'actions le jour où le laboratoire annonçait d'excellents résultats pour son vaccin. Mais les Debunkers de France Info, le Monde et Libération sont attentifs : ces ventes étaient prévues de longue date. L'envie de vomir passe.
- 20 novembre 2020 : l'OMS doit s'incliner devant l'évidence et recommande de ne pas traiter les malades de la Covid 19 avec le Remdésivir. Au jour du 4 mars 2021 (avec Autorisation de Mise sur le Marché depuis le 3 juillet 2020), le médicament est cependant toujours listé comme "traitement de la maladie Covid 19" sur le site de l'ANSM, Agence Nationale de Sécurité du Médicament.
- 27 décembre 2020 : Mauricette M. est la première française vaccinée contre la Covid 19. A terme, c'est toute la population française qui devra être vaccinée, annonce Véran. Le 4 février 2021, Pfizer estime que son vaccin devrait lui rapporter quinze milliards de dollars en 2021.
- 12 février : le laboratoire américain Eli Lilly reçoit une autorisation d'utilisation de l'ANSM pour le Bamlanivimab, un médicament à mille dollars la dose d'injection. L'unique étude d'efficacité sur laquelle se fonde cette autorisation a été fournie par le laboratoire lui-même (mais c'est notre glorieux président Emmanuel Macron en personne, devenu depuis mars 2020 un éminent infectiologue, qui l'aurait repérée et relayée auprès de ses conseillers). Les Debunkers de France Info, du Monde et de Libération sont toutefois d'accord pour dire que ce serait du "complotisme" d'estimer que ce petit "miracle" a été rendu possible par la présence au comité de direction du laboratoire de Béatrice Cazeneuve, épouse du député LREM Jean-René Cazeneuve.
Tous ces événements amènent légitimement la conclusion suivante : la COVID 19, dont il reste à voir (mais attention au complotisme, Madame Michu !) si le virus n'a pas été créé en laboratoire, permet depuis un an, grâce à la complicité possiblement rémunérée des autorités médicales françaises (ANSM, ministère, ordre des médecins, le tout aidé par d'"éminents" chefs de service), de promouvoir des traitements expérimentaux extrêmement onéreux dont l'efficacité est faible ou nulle sans qu'on sache encore ce qu'il en est exactement des effets secondaires, promotion s'appuyant sur des études falsifiées ou/et fournies par les laboratoires eux-mêmes.
Dans ces conditions, je soumets cette proposition de loi à la représentation nationale :
- sachant que la COVID 19 est une maladie qui se soigne grâce à l'hydroxychloroquine, l'ivermectine et un certain nombre d'autres traitements malheureusement peu onéreux donc potentiellement injustes pour les actionnaires des grands groupes pharmaceutiques ayant beaucoup oeuvré pour le bien-être de la population mondiale ;
- sachant que toutes les mesures de confinement aggravent la propagation de la maladie et ont des conséquences économiques désastreuses ;
- sachant que le masque n'a aucune utilité sauf pour les personnes à risque et en milieux (tiens, tiens) confinés ;
- sachant que les traitements expérimentaux et autres vaccins actuellement utilisés ont déjà fait des centaines de morts et pourraient avoir des effets secondaires très graves à court, moyen ou long terme ;
- sachant qu'une révolution est certes peu probable mais qu'elle serait susceptible de s'accompagner de débordements sanglants, notamment contre l'honorable représentation nationale ;
- nous proposons de voter la réouverture de tous les commerces, la fin du masque, la fin de la campagne de vaccination sauf pour les personnes volontaires et les électeurs d'En Marche, la possibilité de se soigner à l'hydroxychloroquine, à l'ivermectine ou tout autre traitement qui aura fait ses preuves hors études bidonnées ;
- eu égard les profits non réalisés que ces mesures occasionneront aux actionnaires des grands groupes pharmaceutiques, nous proposons également, et en échange, de voter l'octroi d'une redevance annuelle équivalente à 2% du PIB français, soit en année normale pour la France, 50 milliards d'euros, à distribuer entre les principaux laboratoires pharmaceutiques travaillant sur le sol français - cette somme faisant office de solde de tout compte.
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