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Accueil du site > Tribune Libre > Création d’entreprise : une bonne idée

Création d’entreprise : une bonne idée

La création et la gestion d’entreprise est un engagement important. Une formation très spécifique peut contribuer à la réussite.

Les enjeux
Les petites et moyennes entreprises représentent plus de 99 % du nombre total des entreprises françaises, elles emploient près des deux tiers des salariés français. Commerce, artisanat, sociétés de services, professions libérales... les PME participent ni plus ni moins à la moitié du PIB.
De la part de l’entrepreneur, l’enjeu est souvent un véritable challenge, voire un pari risqué. Le mérite ne trouve pas toujours la réussite. Trop d’aventures se soldent par des faillites avec toutes les conséquences dramatiques qui s’ensuivent : endettements, chômage...
Face à ces enjeux de taille, j’ai rencontré une initiative discrète mais efficace. Une idée à partager et à étendre : une formation spécifique pour la réussite de l’entreprise.

Une idée toute simple

Le concept part d’un constat simple : quand la majorité des chefs d’entreprise possèdent toute l’énergie pour porter leur projet, trop d’entre eux n’ont que trop peu d’aptitude à gérer administrativement une structure. L’aspect comptable et l’administratif paraît contraignant ou rébarbatif. L’idée est une formation courte avec des objectifs précis :

- appréhender la gestion de manière simple et rapide ;

- suivre un tableau de bord et la rentabilité ;

- éviter les pièges, les risques, les impayés... ;

- être à l’aise par rapport aux obligations sociales et fiscales ;

- savoir où et comment obtenir les aides et les informations...

Ce type de formation est un modèle de bon sens économique. Elle m’a été dispensée par une association, mais il y en a certainement d’autres du même type. Avant d’avoir la chance d’y participer, j’imaginais que savoir gérer mon projet n’était qu’une affaire de temps, de sacrifices, un chemin semés d’embûches. Heureusement, après trois jours de stage, j’ai acquis beaucoup de connaissances utiles à mon indépendance. A l’heure où l’effort de formation est obligatoire à l’entreprise, c’est une satisfaction de voir que la formation est au service de l’entreprise. Et non l’inverse.


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10 réactions à cet article    


  • La mouche du coche La mouche du coche 24 septembre 2007 13:12

    Publi-reportage smiley


    • tvargentine.com lerma 24 septembre 2007 13:27

      C’est un publi-reportage !

      Toutefois,l’occasion est donnée de pouvoir s’exprimer sur la création d’entreprise en France,sur AGORAVOX.

      La difficulté que les petites entreprises de prestation de service à pouvoir accèder à des marchés est grande principalement à cause des barrières (envisibles) que les grosses sociétés mettent en place dans le cadre de la sous-traitance.

      Les rigidités sont tellement importantes,que il vaut mieux rester salarié dans une entreprise plutot que de se mettre à son compte.

      Le référéncement de petites entreprises et en voie d’éradiquation en France,alors qu’il permettrait d’avoir une offre de service plus importante et offrir des tarifs plus interressant sans passer obligatoirement par un gros sous-traitant qui prend sa marge sur le petit et se décharge de ses obligations.

      Il devrait y a voir une loi pour interdire le référencement sur des critères financiers comme c’est le cas aujourd’hui


      • wired 24 septembre 2007 13:39

        Pourquoi ce faux article est passé ? il suffisait de cliquer sur le lien ...


        • Vilain petit canard Vilain petit canard 24 septembre 2007 14:31

          Le problème des créateurs d’entreprise n’est pas tant la gestion que le développement commercial. Près des deux tiers des entreprises se ramassent dans les 3 ans (ou plus de la moitié, comme on veut), et les premières causes d’échec sont une activité commerciale mal conçue et/ou mal éxécutée, ou tout simplement l’adéquation entre l’homme et son projet. Faire croire qu’une formation en gestion permet de survivre est une escroquerie. Ici, un site mieux fichu sur les créations d’entreprise, celui de l’ACPE


          • Nemo 24 septembre 2007 15:07

            Vous prenez les gens pour des imbéciles (et encore je reste poli). On devrait vous virer d’Agoravox pour cela...


            • Vincent 24 septembre 2007 15:54

              Exactement, c’est ce que j’allais écrire de nouveau un publi-reportage, il ne faudrait que cela devienne un habitude.

              Par contre il faut savoir que dès que vous créez une société, vous avez un stage obligatoire qui selon les régions varie d’une petite semaine à deux semaines.

              Ces stages obligatoires sont dispensés par la chambre des métier ou du commerce suivant l’organisme auquel vous serez rattaché.

              Les coûts aussi sont variables mais vous avez la possibilité de les faire prendre en charge par votre société dans le cadre du DIF.

              Pour avoir suivi ce type de stage, il y a maintenant deux ans, si vous êtes prêt à y aller, que vous avez déjà réfléchit à l’ensemble et que votre projet est bouclé, il ne sert pas à grand-chose.


              • ZEN ZEN 24 septembre 2007 20:43

                Après Saab, ça nous change... smiley


                • Business Angels 25 septembre 2007 09:33

                  Il existe également la Chaîne des entrepreneurs et investisseurs : www.capital-risqueur.tv , l’air de la TV 2.0 ou L’entrepreneur 2.0 est arrivé...


                  • Forest Ent Forest Ent 25 septembre 2007 11:02

                    Je ne sais pas quels sont les tarifs, mais je vous fais la même formation moins cher.

                    Première journée : organiser sa visibilité médias.


                    • Brif 25 septembre 2007 11:58

                      La finance d’entreprise est un métier... Tout comme le commercial. Penser qu’avec un stage de 3 jour, le commercial de base va devenir directeur financier, c’est se f. de la g. du monde. Cet article est de la mauvaise pub. Les stages des chambres de co (stage « oblgatoire ») sont probablement mieux que rien mais totalement insuffisant.

                      la vraie solution : un entrepreneur commercial associé à un entrepreneur à profil financier. A deux, c’est quand même plus facile. Iden pour convaincre un banquier. Avec un profil complémentaire à côté de soi, le business plan (« plan d’affaires » pour faire plaisir à quelques uns) devient plus « vendable ».

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