Le roi et la folie
Je ne sais où je l'ai lu ni entendu, mais cette histoire m'a marqué. Je crois que c'est Paulo Coelho qui la raconte. Il s'agit de l'histoire d'un royaume vivant dans la paix et l'harmonie. Où les gens s'aiment. Un monde heureux gouverné par un roi aimé. Personne n'aurait alors songeait à prendre la place de ce roi étant garant de ce bonheur. Pourquoi remettre en cause un système où tout va bien ? Mais un jour, on ne sait d'où mais arrive une maladie. Ce que l'on appelle de nos jours la folie. Cette maladie est très contagieuse. Alors le roi décida de s'isoler dans son château. A l'abri de cette maladie qui rend les gens bizarres, qui les rend étranges. Alors le roi dans son palais observa la maladie se propageait. Et elle se propageait très vite. Les fous se posèrent des questions. Ils se demandèrent pourquoi le roi agissait de manière si bizarre, si étrange. Ils se demandaient pour ce roi n'était pas normal. S'il ne serait pas judicieux de mettre quelqu'un de normal à sa place ? Le roi senti le vent tourné. Alors il décida de se faire passer pour fou et continua à gouverner sans embûche.
Londres
Ici, je vais vous conter ma vérité, mon analyse sur ce qu'il a pu se passer. Qu'ai-je halluciner, qu'ai-je rêver, qu'est ce qui est vrai, je ne sais pas.
9 novembre, Vauxhall
J'attend, j'espère qu'il arrivera. J'ai un pré sentiment, j'entends quelque chose. Alors je cours dehors. Elle est là, dans cette enveloppe. Je souris, je suis heureux. J'ai envie de le serrer dans mes bras. Je l'ai tellement attendu. Et elle est là.
« Qu'est ce que contient cette enveloppe pour que vous soyez aussi heureux ? »
« Euh... Un cadeau, quelque chose que j'attendais ? » Il me sourit et je cours à l'appart poser cette enveloppe bien au chaud dans le bordel qu'est ma chambre. Entre surement un boxer, un jean, un chapeau, un paquet de clopes vide et un paquet de chips. Comment-ai-je pu ressentir que ce livreur aller arriver à cet instant préçis ?, mon amour pour elle était-t-il assez fort pour que je ressente sa venue ? Je ne sais pas...
« Tu sais, aujourd'hui Jonathan tu as la chance de voir le soleil ». Voilà ce que m'a dit mon colocataire. Il doit être 11H30. Nous sommes le Dimanche 11 novembre et je vais au Fire. Il se passe des choses bizarres. Je ne comprend pas trop. Je panique. J'ai peur. Que se passe-t-il ? On discute dehors, je ne comprend rien. Que veulent-ils me dire ? Pourquoi il y a-t-il si peu de monde ? Pourquoi j'ai l'impression qu'on essaie de me faire comprendre quelque chose ?
On va au vestiaire. La tout le monde nous regarde. Ils nous fixent. Je vois mon colocataire et sa meilleure qui nous regarde. Je me rappelle qu'ils sont restés là à nous regarder dans le vestiaire. Pendant tout ce temps où on a attendu. Et on a attendu longtemps. Pourquoi ils sont là en train de nours regardez ? Qu'ai-je fait ? Alors je questionne tout le monde, je questionne mon coloc. Je questionne mon autre coloc. Sa meilleure amie. Ils me disent rien. Mais pourquoi ne veulent-ils pas me le dire ? Pourquoi personne ne veut me dire ce qu'il se passe ? Qu'ai-je fais d'assez grave pour mériter cette souffrance. Je me mets à penser qu'il est arrivé quelque chose à mon meilleur ami. Qu'il n'est jamais parti de Londres. Qu'on lui a coupé les jambes. Est-ce vrai, faux ? Je m'en contrefous, je veux fuir. Je veux fuir ce que je vis. Alors qu'ils soit amputé ou pas, ce n'est pas grave. Il me faut du courage pour ne pas assumer ce qu'il s'est passé. Alors je vais croire qu'à cause de moi, quelqu'un a coupé les jambes d'une des personnes les plus chères dans ma vie. Vrai ou faux, ce n'est pas grave. Il s'est passé quelque chose de tellement grave que je ne peux l'affronter. Alors je vais utiliser la croyance que quelqu'un lui ai coupé les jambes pour me donner le courage de me couper les veines.
Je ne sais à combien de personnes j'ai parlé dans cet hôpital à St Thomas. Il y avait un étudiant en médecine. Une jeune infirmière. Et d'autres personnes mais je ne me rappelle pas assez bien. Je me rappelle seulement de ce qu'ils me répétaient. Tu n'as rien fait. Alors je les questionnais mais si qu'est ce que j'ai fais. Ai-je tué quelqu'un ? Ai-je le SIDA ? Ai-je couper les jambes à quelqu'un ? Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi bordel de merde ? Qu'ai-je fait ? Les gens m'ont convaincu que je n'avais rien fait. Pendant ces longs mois. Je vivais paisiblement en pensant que je n'avais rien fait. Rien. Mais alors Pourquoi ? J'ai cherché des coupables. Mes amis. Mes colocs. Les gens de l'after. La société. Mes parents. La Science. La Peur. J'ai cherché, je me suis creusé la tête. Pourquoi ? Qu'avais-je fait ? Que m'a-t-on fait ? Je ne comprenais pas. Vraiment pas. Je ne voulais juste pas voir ce que j'avais fait.
Alors vu que je ne trouvais pas de réponse. Je me suis demandé pourquoi j'avais survécu ? Comment j'ai pu être aussi sanglant avec moi même sans même arriver à m'évanouir. Réponses :
1 - Parce qu'il y avait un problème d'eau chaude. Oui l'eau chaude. J'ai fait du latin durant ma scolarité et mon professeur à ce moment là parler des différentes manières de se suicider. Car les romains le faisaient souvent. Et généralement, ils se taillaient les veines dans un bain d'eau chaude. L'eau chaude accélérant la coagulation du sang.
2 – Je n'avais pas assez taillé. Enfin je ne vois pas comment j'aurais pu faire pire. J'ai taillé mes jambes j'ai taillé mon cou. J'étais tellement désespéré, au bout d'une demi heure à ne pas avoir réussi à m'évanouir. Je ne comprenais pas, je nageais dans le sang. Les bras éventrés. On ne voyait même plus mon slip tant l'eau été rouge. A ce moment là, j'ai ressenti le désespoir. J'avais dépensé tellement d'énergie à me détruire, et je n'avais même pas réussi à m'évanouir. Ni à être ailleurs. En fait, je me rappelle exactement de chaque lame de rasoir que j'ai fait passer sur mes bras, sur mon corps. A quel endroit. Je me rappelle de tout le sang qui a coulé. Et franchement, je ne comprend pas. A ce moment là, je me demande pourquoi j'ai dépensé une telle énergie à me tuer et je pourquoi je suis encore là dans ce bain, nageant dans le sang, attendant que tôt ou tard quelqu'un vienne défoncer la porte. Voilà, encore une fois dans ma vie, j'aurai échouer. J'aurai échouer à me tuer. Je passerai pour le gros cassos qui a tenté de suicider à cause de la drogue et qui n'a pas réussi. Je passerai pour le mec qui même en se donnant toute la volonté du monde, n'a rien réussi, même pas s'être tué. Et je peux vous dire, que lorsque vous tentez de vous tuer et que vous n'arrivez à rien, car je ne suis arrivé à rien à ce moment là. Et je sais que ca peut vous paraître absurde. Mais que vous placez votre dernier croyance en votre mort et que vous n'arrivez pas à vous endormir, vous évanouir. Vous vous dites que vous êtes plus qu'une grosse merde.
3- Ce weekend là, on a eu de la chance. On a eu un échantillon gratuit. Un cannabioïde. Mais bizarrement en regardant la tête de la molécule je me disais que ce n'était pas ça. Alors j'ai regardé sur le site et non ce n'était pas ça. Il s'agissait de MXE. Un dérivé de la K. Alors on a sniffé, sniffé. Aucun effet. On fume. Et là on part. Loin mais loin. Alors je me suis demandé si ça n'a pas ralenti la coagulation du sang. Parce que je pense à ma prof de Latin qu'un jour quelqu'un avait essayé de se suicider. Avait bu du désherbant et s'était taillé les veines. S'il avait fait l'un des deux il serait mort. Mais en fait, le désherbant à ralentit la coagulation du sang. Et vu qu'il s'est taillé les veines, il a pu expulser le désherbant.
Stop
Aujourd'hui moi Jonathan, 22 ans, qui rentrera à ira étudier à Kedge Marseille. Qui est homosexuel. Arabo-italien. Qui a finalement 3 mamans. 2 papas. Qui a voulu être une fille quand il était petit. Qui ne mange que des steaks hachés. Qui croit en l'Amour et la Vérité, va vous expliquer pourquoi, qu'est ce qu'il s'est passé ce jour là. Toute la vérité.
Ce jour là, j'ai pris de la drogue. Ce jour là, j'ai tenté de me tuer. Ce jour là, j'aurais pu mourir pourquoi ? Parce que je le voulais. Ce jour là. Quoi qu'on en dise, j'ai VOULU mourir. Quoi qu'il se soit passer, j'ai voulu mourir. J'ai était faible. Mais comment est-ce possible ? Pourquoi ? Comment vouloir mourir ? Comment ne plus avoir envie de regarde le soleil se coucher. Comment est-ce possible ? Comment ne plus avoir envie de sourire ? Comment ne plus avoir envie d'aimer ? Comment ne plus avoir envie de partager ? Comment ne plus avoir envie d'entendre le rire de Melody ? Comment ne plus avoir envie d'oppresser Charly ? Comment vouloir ne plus entendre l'accent d'Harold ? Comment ne plus avoir envie de voir les oiseaux voler ? Comment ne plus avoir envie de ressentir ? Comment ne plus avoir envie d'écouter les histoires à Florian ? Comment ne plus avoir envie de croire en quelque chose ? Comment ne plus avoir envie d'apprendre ? Comment vouloir oublier que j'ai écris une chanson à Victoria ? Comment ne plus connaître la pluie ? Comment ne plus vouloir combattre ? Comment ne plus avoir envie de croire ? Comment ne plus avoir envie de voir mes parents, de les aimer ? Comment croire en la mort ? Comment y croire ? Comment ne pas comprendre la chance que j'ai d'être en vie. Comment pourrais-je ne plus avoir envie de me souvenir, des instants passés avec S. ou K ? Comment ?
Mais pourquoi vous m'avez menti ? N'avez vous pas vu la Vérité ? Pourquoi m'avoir cacher ce que j'ai fait ? J'ai tenté de me tuer. J'ai tenté de mourir et mes bras portent aujourd'hui les marques de ce passage,cette étape de ma vie. Je n'ai pas tenté de me suicider. Je ne crois pas. Je crois que j'ai tenté de me tuer. Et c'est pour ça que je ne montre pas mes cicatrices. Parce que même moi en les voyant, je ne veux pas accepter que j'ai tenté de me tuer. Je n'arrive pas à accepter que j'aurais pu passer à côté de toutes ces choses par ma propre volonté. Car dans mes cicatrices, je vois l'envie de se tuer.
Mais dans ma réflexion, j'ai oublié quelque chose. Enfin plein de choses : la drogue, mes chemises Ralph Lauren, mes vestes The Kooples, les steaks hachés, mon appartement, mon téléphone portable, ma carte bleue, ma crème contre les boutons, mon Mac, mon lisseur, ma moyenne générale, le magistère de finance, le regard des autres, le rejet, le jugement, la superficialité, l'orgueil, la laideur.
Alors aujourd'hui je vais vous expliquer pourquoi je crois H2G2 est un chef d'oeuvre. Car il démontre par l'absurde qu'on ne doit pas rechercher le sens de la vie dans la matière. Mais parce qu'il montre aussi que le sens de la vie c'est de le chercher.
Alors aujourd'hui, je SAIS que ma coiffeuse, l'informaticien qui m'a fait passer mon oral à Télécom, Xavier Niel, Leonard de Vinci, Bouddha, Jesus, ma mère, Moïse, Paulo Coelho Zaho, Lilly Wood and the Prick, Melody, Pauline ont un énorme point commun, les gens de St Thomas ont un énorme point commun, et il est simple à trouver.
Alors aujourd’hui je ne comprend pas quand je parle de mon rêve, les gens me répondent. Oui mais il faut que tu penses à toi, que tu te préserves, tu sais tu vas t'attirer des gens contre toi, les gens te prendront pour un fou. Aujourd’hui je vous dis les fous c'est VOUS. C'est vous les fous de croire que l'homme s'accomplit dans l'individualisme. C'est vous les fous. C'est vous qui nous faites croire que pour accéder au bonheur il faut avoir un bon métier, un permis de conduire, une voiture, une femme et deux enfants. Parce que je ne comprend pas pourquoi aujourd'hui on nous empêche de rêver pour les autres ? Pourquoi vous voulez m'empêcher de rêver ?
Alors quand vous me répondrez que je vis dans mes rêves. Je serais fier de vous répondre que vous vous trompez. Je vis pour.
Aujourd'hui je crois qu'une seule chose peut vous aider. Le doute.
Peut-on être heureux pendant que des gens meurent de faim ?
Y-a-t-il une race ? Oui, et il n'y en a qu'une. Qu'une qui rie, qui gueule, qui pleure, qui fait pipi, qui fait caca, qui aime, qui ressent, qui écoute, qui entend, oui il y a une race. La race humaine. Je suis arabe, italien, français et peut-être : Wizigoth, russe, ottoman, viking, sud américain. Oui qui sait ? Qui sait ? Qu'est ce qu'on sait ? Qui peut-être sur de sa race. Vous savez ma seule certitude : qu'on descend tous du singe.
Est-ce que c'est ça la démocratie ? Cahuzac, Sarkozy, Copé, Hollande, Mélenchon ? Est-ce qu'ils portent la parole démocratique ? Est-ce que c'est ça ?
Est-ce que le bonheur se trouve dans la matière ?
Est-ce que je serai prêt à sacrifier mon paquet de clope pour offrir un repas à une famille qui ne peux pas manger. Est-ce qu'on est prêt à sacrifier des points de PIB, des emplois pour permettre aux gens qui ne l'ont pas d'avoir l'eau potable ? Est-ce qu'on est prêt à sacrifier une partie de notre confort pour augmenter celui de ceux qui n'en ont pas ? Est ce qu'on veut vivre dans l'individualisme ou est-ce qu'après la crise des subprimes, l'affaire Cahuzac, les guerres on veut pas repenser la société ?
Doit-on avoir peur d'affronter la peur ?
Et ils me répondront qu'il ne faut pas y penser, faire sa vie, tracer son chemin.
Mais aujourd'hui, moi, Jonathan, 22 ans, pur produit de la génération Y je vous dis que je le ne veux pas. Et que de toute façon je ne le peux pas. Car j'aurai toujours des amis qui partageront des articles sur la misère du monde, sur la haine, sur Twitter ou Facebook Alors au lieu de penser qu'on oublier ces problèmes je veux croire qu'on peut les résoudre.
Aujourd'hui, je crois que plus personne ne m'empêchera de croire en mon rêve.
Aujourd'hui, je n'aurais plus peur, ni de la souffrance, ni de la mort et encore moins du jugement car je sais que seul Dieu peut me juger.
Alors aujourd'hui, je ne suis plus Jonathan, ancien toxicomane, homosexuel, qui a raté sa vie.
Aujourd'hui je promets de dévouer ma vie à mon rêve.
Aujourd'hui je ne porterai plus de pull. Je monterai mes cicatrices et je dirais qu'elle sont le prix à payer pour rêver.
Aujourd'hui je crois, que les fous n'ont plus besoin de se cacher.
Aujourd'hui, je suis sur que le courage est contagieux parce que si j'écris ça aujourd'hui c'est qu'il y a une raison, et ma raison, c'est vous.
Aujourd'hui moi aussi j'ai envie de me battre, pour l'Amour et la Vérité.
Aujourd'hui, je crois qu'il ne faut pas oublier nos problèmes, il faut savoir en tirer l'Energie positive.
Aujourd'hui, je crois en la pensée créatrice, positive. Je crois en moi. Je crois en vous.
Aujourd'hui, je veux croire que je n'ai pas besoin de MD, de coke, de speed, d'alcool, de steak hachés, carte bleue, Mac, cigarettes, weed, Fanta, Coca, Monsanto, de lisseur, de sèche cheveux, de crème pour les boutons pour être heureux.
Aujourd'hui, je n'ai plus besoin de drogues pour rêver.
Aujourd'hui, je suis un guerrier.
Aujourd'hui j'aimerai la pluie car elle me rappellera que je vie.
Aujourd'hui, je veux croire que j'ai pas traversé tout ça pour rien.
Aujourd'hui je vais changer le monde.
Alors aujourd'hui, je crois avoir compris Into The Wild. Je crois que sans vous, je ne peux pas être heureux.
Aujourd'hui, je crois que si tu lis ça, c'est qu'en toi quelque chose bouillonne mais que toi non plus tu ne sais pas trop comment l'expliquer. Alors je crois que toi aussi tu ne retrouves plus ou moins dans ce que je dis. Mais tu vois peut-être autre chose, tu vois peut-être plus loin. Alors aujourd'hui tu as le choix :tu as le choix de la Vérité et de l'Amour.
Aujourd'hui, je te défie. Je te défie de ne pas croire. Et je te défie d'assumer. Ici sur ce blog.
Aujourd'hui, je sais que si je meurs, mon rêve existera encore plus fort et je sais que si je souffre, j'y croirais encore plus. Alors de quoi devrais-je avoir peur ?
Alors aujourd'hui je dis merci à ma psy de m'avoir aidé à me poser toutes ces questions Car la seule personne qui pouvait répondre aux questions qu'elle me posait c'était moi. Alors questionnez vous, vous aussi. Car aujourd'hui je crois avoir trouver une réponse : le Projet. Et je lèverai une armée derrière ce projet. Je le crois. Je crois qu'on aspire tous à une vie meilleure. Je crois qu'on aspire tous au Partage. Qu'on aspire tous à l'Amour. Qu'on aimerait tous être accepté pour ce que l'on est. Non nous ne sommes pas parfaits, nous sommes humains. Le principal est de savoir se relever des erreurs.
Alors oui aujourd’hui je suis prêt à prendre le pari que vous aussi vous pouvez transformer toutes les choses négatives de votre vie en une énergie positive. Et je vous offre mon blog, je vous offre mon attention. Je vous donne l'opportunité de croire avec quelqu'un.
Projet
Démocratie :
« Le véritable héritage de la Commune est qu'il faut comprendre que le pouvoir ne se delegue pas, il s'exerce »
L'humain
« Tolérance »
« Respect »
Pensée :
« Positive »
« Croire »
« Méditation »
« Sacrifice »
Alors aujourd'hui, je lance un appel à ceux qui auront compris, à ceux qui veulent croire en ce rêve. Je veux qu'on aille manifester notre bonheur d'être en vie. Je veux qu'on manifeste pour ce rêve. Je crois en la Médiation pour Tous. Je veux qu'on réfléchisse. Qu'on se concentre sur les solutions et non sur les problèmes. Je veux que vous rêviez avec moi. Je veux que vous écriviez sur ce blog. Que vous combattiez votre peur, que vous tiriez de vos expériences l'Energie positive. Le courage est contagieux. Alors partagez ce texte, écrivez moi, aidez moi.
Car aujourd'hui, je vous ai dit que je crois que je peux changer le monde. Mais je ne le changerai pas seul. Alors ayez le courage de vos rêves, ayez le courage de croire en vous. Aidez moi. Partagez. Aimez. Dites la Vérité.
Aujourd'hui, je prône la Révolution. Aujourd'hui je n'ai pas peur des mots. Je n'ai pas peur de mes rêves. Alors je prône la Révolution Spirituelle.
Je pars loin. Je suis d'accord. Mais là où je vais, je n'ai pas peur d'aller...
Ceci est mon manifeste. Il est une pierre de plus sur l'édifice de Paix, d'Amour, de Vérité que d'autres ont essayés de construire avant moi. Alors aujourd'hui j'y crois. Et puis si je n'y arrive pas, ce n'est pas grave. Au moins j'aurai essayé.