Dépénaliser la drogue
Les chiffres clés
Selon une étude épidémiologique "Stupéfiants et accidents mortels de la circulation routière" :
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Sur la route, le cannabis cause environ 230 morts par an.
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Le mélange de cannabis et d'alcool multiplie par quinze le risque d'accident mortel.
Effet d'annonce non vérifié
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L'affirmation "Le cannabis tue 30 000 personnes par an" est incorrecte. La dose toxique de THC est pratiquement impossible à atteindre.
Réfutation des idées reçues
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Suicide : Le cannabis est souvent mis en cause dans les cas de suicide, mais les cocktails de drogues sont généralement responsables.
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Accidents de la route : Le cannabis augmente le risque de décès au volant, mais reste bien moins mortel que d'autres substances.
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Infarctus du myocarde : Rarement causé par le cannabis seul.
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Comparaison avec d'autres drogues : Le tabac cause environ 78 000 décès par an, et l'alcool 49 000 en 2016. Le cannabis, bien que non sans risques, est beaucoup moins mortel que ces substances.
Les dix premières causes de décès en France
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Tumeurs (cancers) : 25,5%
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Maladies cardio-neurovasculaires : 20,8%
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Maladies respiratoires (hors Covid-19) : 6,7%
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Covid-19 (2022) : 6%
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Accidents : 4,6%
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Maladie d’Alzheimer : 3,2%
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Diabète : 2,2%
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Suicide : 1,9%
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Démences : 1,8%
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Maladies chroniques du foie : 1,7%
Décès estimés liés aux drogues
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Cannabis : Environ 230 décès par an en France (0,038%).
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Drogues dures (cocaïne, crack, fentanyl, GHB, héroïne, kétamine, LSD) : Environ 537 décès en 2017 (0,090%).
Comparaison des risques
Des spécialistes comparent les risques des substances :
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Dr Glickman : Le tabac est la pire substance pour la santé.
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Dr Akhil Anand : Chaque personne a des facteurs de risque spécifiques. Le tabac ne présente aucun avantage, même en faible quantité.
Conclusion
Ces chiffres montrent l'ampleur de l'impact des différentes substances sur la santé publique. La dépénalisation des drogues pourrait être une approche pour mieux gérer ces risques, à condition d'accompagner cette mesure de politiques de santé publique et de soutien social appropriées. Mais ils ne représente pas une tragédie par rapport aux autres causes de décès.
2/Pays ayant légalisé la drogue.
Pays ayant légalisé ou dépénalisé certaines drogues. Cannabis, Uruguay, Canada, Pays-Bas, États-Unis : Plusieurs États ont légalisé le cannabis récréatif, l'Allemagne, 30 pays. Décriminalisation de toutes les drogues. Le Portugal a décriminalisé, toutes les drogues en 2001, pour lutter contre la toxicomanie, avec des résultats positifs en termes de réduction des overdoses et des infections par le VIH.
Le surpoids et l’obésité sont à l’origine de plus de 1,3 million de décès dans le monde chaque année, sur 8,16 milliards de personnes en 2024, mais il peut même s’agir d’une sous-estimation. L’obésité causerait 1,2 million de décès en Europe chaque année sur 447,0 millions d’habitants. Selon les Centers for Disease Control and Prevention (CDC), l’obésité est responsable d’environ 400 000 décès par an sur 342 653 597 aux États-Unis, ce qui en fait la deuxième cause de mortalité après le tabac. Voici deux données relevées sur le net qui posent problème, et la dernière sur l’I.A. en lisant nous nous en rendons compte. La seule de certaines est les 600 000 décès, car nous sommes obligés de les déclarer. L’attention est primordiale et est la première cause d’accident. Accident de la route : 3 402 personnes ont péri sur les routes de France en 2023 soit 0,5% des décès. Ces données chiffrées pour avoir une image comparative au-delà des discours convenus et de la presse qui les reprend. De ces décès les médias nous rapportent toujours des variations analytiques en pourcentage qui n’ont que peu d’intérêt, car ils ne reflètent pas la réalité du nombre de décès. Régulièrement, ils accentuent la gravité des accidents, car nous sommes depuis très longtemps entrés dans une société anxiogène. Les études réalisées par le constructeur Renault pour positionner les autoradios ou GPS démontrent qu’aucun conducteur ne suit attentivement la route. Son regard se promène en permanence, car avec une attention soutenue il s’endormirait. Chaque conducteur sait cela, car il peut l’observer lors de sa conduite. C’est ainsi que tous les accidents en dehors d’un incident mécanique et relié à l’attention. Un conducteur ne passe pas plus de temps pour croquer une nourriture que pour regarder une pub au bord des routes, un panneau indicateur, son GPS et autres. Depuis des lustres la distance laissée entre deux véhicules n’est pas respectée, car ce n’est pas viable, pas plus que les trente kilomètres-heure dans les agglomérations. Ainsi, un automobiliste qui a un accident en dépassant la vitesse, et classé comme tel. un automobiliste qui dépasse de peu 0,5g d’alcool et classé pour cause d’alcoolémie, idem pour les drogues interdites, et aucun contrôle pour les médicaments qui signalent un risque de somnolence.
Au-delà du réel.
Je ne m’étends pas sur le sujet. C’était juste pour dire qu’il y a une marge entre ce que rapportent les médias et les commentaires repris par les citoyens, et la réalité que vivent les parties concernées. Nous vivons comme cela et ça devient problématique pour les choix sécuritaires dans tous les domaines. Du seul fait que nos relations interpersonnelles sont assujetties à nos perceptions émotionnelles, exister en utilisant tout le confort disponible génère inévitablement des accidentologies. Se préserver de cela est naturel, mais il ne peut pas à un certain seuil y avoir des progrès considérables sans limiter la liberté individuelle, au point qu’elles en deviennent liberticides. Il est donc naturel que nous retrouvions des variations, car entre temps, des gens décèdent, d’autres naissent, des améliorations sont apportées, d’autres, plus anciennes, se dégradent. L’existence est une marche en avant changeante et nous sommes en perpétuel mouvement. Les occurrences d’être dans un des cas de décès que j’ai mentionnés varient et dépendent de notre mode de vie, de notre consommation et dans l’activité travail, du stress, la productivité, des salariés et autres enfants scolarisés. Régulièrement, l’on s’émeut de tout cela, quand la presse s’en fait l’écho, comme si nous le découvrions, car le fait-divers sert depuis de nombreuses années de divertion et de ciment social, « On resserre les liens contre un protagoniste qui a dépassé la ligne rouge, on s’accorde sur la douleur que doivent ressentir les proches… C’est un peu comme la météo, ça fait consensus. » La tension est focalisée sur un homme ou une femme, souvent ordinaire, mais qui devient la personnification du mal, qu’il convient de honnir et de maudire.
Les meurtres d’enfants sont évidemment particulièrement suivis par les médias et par le grand public, car on touche là à l’être le plus sacré de nos sociétés, sans défense et pur par nature. L’enfant représente un monde sans vices, sans violence, et l’avenir.
C’est loin d’être la vérité, mais nous, nous délivrons à travers eux, nos souhaits profonds d’un monde parfait, dont nous savons qu’il a conduit à l’euthanasie et à la Shoah. Parvenir à ce souhait est réalisable, mais pas dans nos sociétés construites sur le conflit permanent pour disposer de plus-value. C’est-à-dire pas dans une société d’exploitation humaine et salariale que l'on nomme à tort capitaliste. Nous avons été politiquement entrainés vers cela depuis les années 90, si bien qu’un sujet comme la dépénalisation de la drogue ne peut même pas être abordé. Non pas, parce que les citoyens s’y adonneraient plus, mais pour stopper tous les trafics qui en découlent.
Je n’évoque pas les morts dont nous avons fait grand bruit, pour attester de l’insécurité, par une mise en scène des drames humains qui y sont liés. C’est épisodiquement ce qui se passe dans le grand banditisme pour succéder au parrain ou conquérir des territoires. Et cela depuis la nuit des temps. Naturellement l’absorption de drogues nuit à la santé, comme les sources des 10 premiers décès, mais la question demeure, pourquoi l’on boit, l’on fume, l’on se drogue.
Consommation de tabac, alcool et drogues en France Tabac : En 2023, environ 15 millions de Français fument, dont 12 millions quotidiennement. Cela représente environ 31,9% des adultes âgés de 18 à 75 ans. Alcool. En 2021, 87% des Français âgés de 18 à 75 ans ont consommé de l’alcool au moins une fois dans l’année. Environ 55,4% des Français consomment de l’alcool une à quatre fois par semaine, et 8% consomment de l’alcool quotidiennement.
Conflits armés et victimes
En 2022, avec la survenue de nouveaux conflits armés particulièrement sanglants, dont la guerre russo-ukrainienne, les combats en RD du Congo et le conflit arméno-azéri, et celui palestinien, le seuil des 100 000 victimes annuelles a été de nouveau dépassé. Le terrorisme au niveau mondial fait 23 943 décés, en europe 622 décès en 2021 toutes tendances confondues.
Dépénaliser la drogue : Les chiffres clés
Pays ayant légalisé ou dépénalisé certaines drogues
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Cannabis : Uruguay, Canada, Pays-Bas, États-Unis (plusieurs États), Allemagne et environ 30 autres pays.
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Décriminalisation de toutes les drogues. Au Portugal depuis 2001, avec des résultats positifs en termes de réduction des overdoses et des infections par le VIH.
Obésité
Le surpoids et l’obésité causent plus de 1,3 million de décès dans le monde chaque année sur une population de 8,16 milliards en 2024, mais cette estimation pourrait être sous-évaluée. En Europe, l’obésité est responsable de 1,2 million de décès par an sur une population de 447 millions. Aux États-Unis, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) estiment que l’obésité cause environ 400 000 décès par an sur une population de 342,7 millions, en faisant la deuxième cause de mortalité après le tabac.
Les causes de décès en France sur 600 000 annuel.
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Tumeurs (cancers) : 25,5%
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Maladies cardio-neurovasculaires : 20,8%
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Maladies respiratoires (hors Covid-19) : 6,7%
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Covid-19 (2022) : 6%
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Accidents : 4,6%
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Maladie d’Alzheimer : 3,2%
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Diabète : 2,2%
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Suicide : 1,9%
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Démences : 1,8%
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Maladies chroniques du foie : 1,7%
Décès liés au cannabis : Environ 230 décès par an en France (0,038%).
Décès liés aux drogues dures (cocaïne, crack, fentanyl, GHB, héroïne, kétamine, LSD) : Environ 537 décès en 2017 (0,090%).
Comparaison des risques
Dr Glickman : Le tabac est la pire substance pour la santé. Dr Akhil Anand : Chaque personne a des facteurs de risque spécifiques. Le tabac ne présente aucun avantage, même en faible quantité. Marijuana : La moins pire des trois substances (tabac, alcool, cannabis).
Réflexions sur la sécurité routière et les médias
Les accidents de la route en France ont causé 3 402 décès en 2023, soit 0,5% des décès. Ces données chiffrées permettent d'avoir une image comparative, au-delà des discours médiatiques souvent anxiogènes.
Des études montrent que les conducteurs ne suivent pas attentivement la route en permanence, leur regard se promenant constamment. La plupart des accidents, hors incidents mécaniques, sont dus à un manque d’attention. Les conducteurs passent autant de temps à croquer une bouchée de nourriture qu'à regarder une publicité au bord de la route, un panneau indicateur ou un GPS. La distance de sécurité entre deux véhicules et les limitations de vitesse sont rarement respectées.
Influence des médias et perception sociale
Les médias rapportent souvent des variations en pourcentage des décès, ce qui peut accentuer la gravité des accidents et entretenir une société anxiogène. Les faits divers servent de ciment social, renforçant les liens contre les protagonistes qui dépassent les limites, et accentuant l'idée d'une insécurité omniprésente.
Conclusion
Il est crucial de dépasser les perceptions médiatiques pour avoir une vision plus juste des réalités sociales et sécuritaires. Comprendre pourquoi les gens boivent, fument et se droguent est essentiel pour aborder des questions telles que la dépénalisation des drogues. Les données montrent une société en perpétuel mouvement, où chaque individu navigue entre les risques, les perceptions et les réalités de la vie quotidienne.
3/Drogues.
Cannabis :
En 2023, environ 50,4% des adultes âgés de 18 à 64 ans ont déjà expérimenté le cannabis. Environ 3,4% sont des consommateurs réguliers et 2,3% consomment quotidiennement. Cocaïne : En 2023, environ 9,4% des adultes âgés de 18 à 64 ans ont expérimenté la cocaïne. Ecstasy (MDMA) : En 2023, environ 8,2% des adultes âgés de 18 à 64 ans ont expérimenté l’ecstasy. Nombre de citoyens pénalisés pour de la drogue. En France, chaque année, environ 44 000 personnes sont interpellées pour trafic de drogue, et 179 000 pour consommation de drogues . En 2019, il y avait environ 33 600 condamnations pour usage illicite de stupéfiants et 35 000 condamnations pour trafic de stupéfiants. Les peines pour trafic de stupéfiants incluent souvent des peines de prison ferme, avec une durée moyenne d’un peu plus d’un an. Et d’aucuns dans les médias qui se plaignent d’une justice laxiste Je ne crois pas que cela représente un risque sociétal sérieux. .
La dépénalisation ne stoppera pas la délinquance qui y est liée et qui en retire un revenu. Cette économie parallèle ne peut se tarir que par des mesures de développement d’un revenu universel, et une amélioration des relations au travail et dans celles interpersonnelles. C’est-à-dire durant des années, si ce n’est des siècles, car les évolutions sont lentes dans le domaine des addictions. Il appartient aux fumeurs de s’interroger, de se faire assister et aux parents de s’en inquiéter.
Dans les pays qui ont dépénalisé la consommation de drogue, les résultats varient en ce qui concerne l'augmentation ou non de la consommation. Cas du Portugal Après la dépénalisation au Portugal, plusieurs études ont montré que :Il n'y a pas eu d'augmentation significative de la consommation de drogue chez les adultes.En fait, la consommation de drogues parmi les jeunes a diminué. En Uruguay a légalisé le cannabis en 2013, et les études montrent que la consommation n'a pas augmenté de manière significative, bien qu'elle soit légèrement plus courante chez les jeunes. États-Unis (certains États) : Dans les États américains où le cannabis a été légalisé, certaines études ont montré une légère hausse de la consommation chez les adultes, mais cela n'a pas nécessairement conduit à une hausse de la toxicomanie ou des problèmes de santé publique.
Y a-t-il plus de consomation dans les pays dépénalisés.
Les données montrent que la dépénalisation des drogues n'entraîne pas nécessairement une augmentation significative de la consommation.
Par exemple, au Portugal, près de 20 ans après la dépénalisation des drogues, il n'y a pas eu d'augmentation marquée de la consommation. Au contraire, on a observé une diminution des décès liés à l'usage de drogues, des troubles d'usage de certaines drogues comme l'héroïne, et de la propagation du VIH .
La dépénalisation peut également avoir des effets positifs sur la santé publique et la justice sociale, en réduisant la stigmatisation et en désengorgeant les tribunaux et les prisons . Cependant, il est important de noter que la dépénalisation seule ne résout pas tous les problèmes liés à la consommation de drogues et doit être accompagnée de politiques de santé publique et de soutien social pour être pleinement efficace.
En résumé, la dépénalisation des drogues peut être bénéfique sans entraîner une augmentation significative de la consommation, à condition qu'elle soit accompagnée de mesures de soutien appropriées. Conclusion Dans l'ensemble, la dépénalisation n'entraîne pas systématiquement une hausse de la consommation de drogues. Souvent, ces politiques sont accompagnées de programmes de prévention et de traitement, ce qui semble avoir un impact plus bénéfique sur la santé publique que les anciennes politiques punitives. Le contexte local, les programmes de soutien et la sensibilisation jouent un rôle clé dans les résultats observés.
Drogues : Consommation et Dépénalisation
Statistiques de consommation en 2023
Cannabis.
Environ 50,4% des adultes âgés de 18 à 64 ans ont expérimenté le cannabis. Environ 3,4% sont des consommateurs réguliers et 2,3% consomment quotidiennement.
Cocaïne.
Environ 9,4% des adultes âgés de 18 à 64 ans ont expérimenté la cocaïne.
Ecstasy (MDMA).
Environ 8,2% des adultes âgés de 18 à 64 ans ont expérimenté l'ecstasy.
Nombre de citoyens pénalisés pour des raisons liées à la drogue
En France, chaque année :
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Environ 44 000 personnes sont interpellées pour trafic de drogue.
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Environ 179 000 personnes sont interpellées pour consommation de drogues.
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En 2019, il y avait environ 33 600 condamnations pour usage illicite de stupéfiants et 35 000 condamnations pour trafic de stupéfiants. Les peines pour trafic de stupéfiants incluent souvent des peines de prison ferme, avec une durée moyenne d’un peu plus d’un an.
Impact de la dépénalisation sur la consommation de drogues
Portugal
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Après la dépénalisation en 2001, plusieurs études montrent qu'il n'y a pas eu d'augmentation significative de la consommation de drogues chez les adultes. En fait, la consommation de drogues parmi les jeunes a diminué.
Uruguay
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A légalisé le cannabis en 2013, et les études montrent que la consommation n'a pas augmenté de manière significative, bien qu'elle soit légèrement plus courante chez les jeunes.
États-Unis (certains États)
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Dans les États américains où le cannabis a été légalisé, certaines études ont montré une légère hausse de la consommation chez les adultes, mais cela n'a pas nécessairement conduit à une hausse de la toxicomanie ou des problèmes de santé publique.
Augmentation de la consommation dans les pays dépénalisés ?
Les données montrent que la dépénalisation des drogues n'entraîne pas nécessairement une augmentation significative de la consommation :
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Portugal : Près de 20 ans après la dépénalisation, il n'y a pas eu d'augmentation marquée de la consommation. Au contraire, on a observé une diminution des décès liés à l'usage de drogues, des troubles d'usage de certaines drogues comme l'héroïne, et de la propagation du VIH.
Effets positifs de la dépénalisation
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Santé publique : Réduction des décès liés à l'usage de drogues.
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Justice sociale : Réduction de la stigmatisation et désengorgement des tribunaux et des prisons.
Conclusion
Dans l'ensemble, la dépénalisation n'entraîne pas systématiquement une hausse de la consommation de drogues. Souvent, ces politiques sont accompagnées de programmes de prévention et de traitement, ce qui semble avoir un impact plus bénéfique sur la santé publique que les anciennes politiques punitives. Le contexte local, les programmes de soutien et la sensibilisation jouent un rôle clé dans les résultats observés.
Pourquoi les citoyens ont peur de dépénaliser la drogue.
La peur de dépénaliser la drogue chez les citoyens peut être attribuée à plusieurs facteurs :
Stigmatisation et Perception Sociale
La drogue est souvent associée à des comportements antisociaux, à la criminalité et à la délinquance. Cette perception négative, ancrée dans la société, rend difficile l'acceptation de la dépénalisation.
Manque d'Information et de Compréhension.
Beaucoup de citoyens ne sont pas bien informés sur les effets réels de la dépénalisation. Ils craignent que la consommation de drogues augmente et que les problèmes de santé publique empirent.
Influence Médias et Politique.
Les médias ont tendance à mettre en avant les aspects négatifs liés à la drogue, créant une atmosphère de peur et d'insécurité. Les politiques et les discours officiels renforcent souvent cette perception pour des raisons électorales.
Expériences Personnelles et Communautaires.
Les citoyens peuvent avoir des expériences personnelles ou observer des situations dans leur communauté où la drogue a eu des effets destructeurs, renforçant la peur et l'opposition à la dépénalisation.
Préjugés et Ignorance.
Il existe de nombreux préjugés sur les consommateurs de drogue, vus comme des personnes faibles ou moralement défaillantes. La dépénalisation est perçue comme une validation de ces comportements.
Crainte de l'Inconnu.
La dépénalisation est une mesure relativement nouvelle et radicale pour beaucoup. La crainte de l'inconnu et des conséquences imprévues peut dissuader les gens de soutenir de telles réformes.
Ces peurs et réticences peuvent être surmontées par une éducation efficace, une sensibilisation à la santé publique et des politiques équilibrées qui montrent les bénéfices potentiels de la dépénalisation. L'ouverture au dialogue et aux expériences d'autres pays peut également aider à dissiper les inquiétudes.
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