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Accueil du site > Tribune Libre > Dépénaliser la drogue

Dépénaliser la drogue

 

Les chiffres clés

Selon une étude épidémiologique "Stupéfiants et accidents mortels de la circulation routière" :

  • Sur la route, le cannabis cause environ 230 morts par an.

  • Le mélange de cannabis et d'alcool multiplie par quinze le risque d'accident mortel.

Effet d'annonce non vérifié
  • L'affirmation "Le cannabis tue 30 000 personnes par an" est incorrecte. La dose toxique de THC est pratiquement impossible à atteindre.

Réfutation des idées reçues

  • Suicide : Le cannabis est souvent mis en cause dans les cas de suicide, mais les cocktails de drogues sont généralement responsables.

  • Accidents de la route : Le cannabis augmente le risque de décès au volant, mais reste bien moins mortel que d'autres substances.

  • Infarctus du myocarde : Rarement causé par le cannabis seul.

  • Comparaison avec d'autres drogues : Le tabac cause environ 78 000 décès par an, et l'alcool 49 000 en 2016. Le cannabis, bien que non sans risques, est beaucoup moins mortel que ces substances.

Les dix premières causes de décès en France

  1. Tumeurs (cancers) : 25,5%

  2. Maladies cardio-neurovasculaires : 20,8%

  3. Maladies respiratoires (hors Covid-19) : 6,7%

  4. Covid-19 (2022) : 6%

  5. Accidents : 4,6%

  6. Maladie d’Alzheimer : 3,2%

  7. Diabète : 2,2%

  8. Suicide : 1,9%

  9. Démences : 1,8%

  10. Maladies chroniques du foie : 1,7%

Décès estimés liés aux drogues

  • Cannabis : Environ 230 décès par an en France (0,038%).

  • Drogues dures (cocaïne, crack, fentanyl, GHB, héroïne, kétamine, LSD) : Environ 537 décès en 2017 (0,090%).

Comparaison des risques

Des spécialistes comparent les risques des substances :

  • Dr Glickman : Le tabac est la pire substance pour la santé.

  • Dr Akhil Anand : Chaque personne a des facteurs de risque spécifiques. Le tabac ne présente aucun avantage, même en faible quantité.

Conclusion

Ces chiffres montrent l'ampleur de l'impact des différentes substances sur la santé publique. La dépénalisation des drogues pourrait être une approche pour mieux gérer ces risques, à condition d'accompagner cette mesure de politiques de santé publique et de soutien social appropriées. Mais ils ne représente pas une tragédie par rapport aux autres causes de décès.

 

2/Pays ayant légalisé la drogue.

Pays ayant légalisé ou dépénalisé certaines drogues. Cannabis, Uruguay, Canada, Pays-Bas, États-Unis : Plusieurs États ont légalisé le cannabis récréatif, l'Allemagne, 30 pays. Décriminalisation de toutes les drogues. Le Portugal a décriminalisé, toutes les drogues en 2001, pour lutter contre la toxicomanie, avec des résultats positifs en termes de réduction des overdoses et des infections par le VIH.

Le surpoids et l’obésité sont à l’origine de plus de 1,3 million de décès dans le monde chaque année, sur 8,16 milliards de personnes en 2024, mais il peut même s’agir d’une sous-estimation. L’obésité causerait 1,2 million de décès en Europe chaque année sur 447,0 millions d’habitants. Selon les Centers for Disease Control and Prevention (CDC), l’obésité est responsable d’environ 400 000 décès par an sur 342 653 597 aux États-Unis, ce qui en fait la deuxième cause de mortalité après le tabac. Voici deux données relevées sur le net qui posent problème, et la dernière sur l’I.A. en lisant nous nous en rendons compte. La seule de certaines est les 600 000 décès, car nous sommes obligés de les déclarer. L’attention est primordiale et est la première cause d’accident. Accident de la route : 3 402 personnes ont péri sur les routes de France en 2023 soit 0,5% des décès. Ces données chiffrées pour avoir une image comparative au-delà des discours convenus et de la presse qui les reprend. De ces décès les médias nous rapportent toujours des variations analytiques en pourcentage qui n’ont que peu d’intérêt, car ils ne reflètent pas la réalité du nombre de décès. Régulièrement, ils accentuent la gravité des accidents, car nous sommes depuis très longtemps entrés dans une société anxiogène. Les études réalisées par le constructeur Renault pour positionner les autoradios ou GPS démontrent qu’aucun conducteur ne suit attentivement la route. Son regard se promène en permanence, car avec une attention soutenue il s’endormirait. Chaque conducteur sait cela, car il peut l’observer lors de sa conduite. C’est ainsi que tous les accidents en dehors d’un incident mécanique et relié à l’attention. Un conducteur ne passe pas plus de temps pour croquer une nourriture que pour regarder une pub au bord des routes, un panneau indicateur, son GPS et autres. Depuis des lustres la distance laissée entre deux véhicules n’est pas respectée, car ce n’est pas viable, pas plus que les trente kilomètres-heure dans les agglomérations. Ainsi, un automobiliste qui a un accident en dépassant la vitesse, et classé comme tel. un automobiliste qui dépasse de peu 0,5g d’alcool et classé pour cause d’alcoolémie, idem pour les drogues interdites, et aucun contrôle pour les médicaments qui signalent un risque de somnolence.

 

Au-delà du réel.

Je ne m’étends pas sur le sujet. C’était juste pour dire qu’il y a une marge entre ce que rapportent les médias et les commentaires repris par les citoyens, et la réalité que vivent les parties concernées. Nous vivons comme cela et ça devient problématique pour les choix sécuritaires dans tous les domaines. Du seul fait que nos relations interpersonnelles sont assujetties à nos perceptions émotionnelles, exister en utilisant tout le confort disponible génère inévitablement des accidentologies. Se préserver de cela est naturel, mais il ne peut pas à un certain seuil y avoir des progrès considérables sans limiter la liberté individuelle, au point qu’elles en deviennent liberticides. Il est donc naturel que nous retrouvions des variations, car entre temps, des gens décèdent, d’autres naissent, des améliorations sont apportées, d’autres, plus anciennes, se dégradent. L’existence est une marche en avant changeante et nous sommes en perpétuel mouvement. Les occurrences d’être dans un des cas de décès que j’ai mentionnés varient et dépendent de notre mode de vie, de notre consommation et dans l’activité travail, du stress, la productivité, des salariés et autres enfants scolarisés. Régulièrement, l’on s’émeut de tout cela, quand la presse s’en fait l’écho, comme si nous le découvrions, car le fait-divers sert depuis de nombreuses années de divertion et de ciment social, « On resserre les liens contre un protagoniste qui a dépassé la ligne rouge, on s’accorde sur la douleur que doivent ressentir les proches… C’est un peu comme la météo, ça fait consensus. » La tension est focalisée sur un homme ou une femme, souvent ordinaire, mais qui devient la personnification du mal, qu’il convient de honnir et de maudire.

Les meurtres d’enfants sont évidemment particulièrement suivis par les médias et par le grand public, car on touche là à l’être le plus sacré de nos sociétés, sans défense et pur par nature. L’enfant représente un monde sans vices, sans violence, et l’avenir.

C’est loin d’être la vérité, mais nous, nous délivrons à travers eux, nos souhaits profonds d’un monde parfait, dont nous savons qu’il a conduit à l’euthanasie et à la Shoah. Parvenir à ce souhait est réalisable, mais pas dans nos sociétés construites sur le conflit permanent pour disposer de plus-value. C’est-à-dire pas dans une société d’exploitation humaine et salariale que l'on nomme à tort capitaliste. Nous avons été politiquement entrainés vers cela depuis les années 90, si bien qu’un sujet comme la dépénalisation de la drogue ne peut même pas être abordé. Non pas, parce que les citoyens s’y adonneraient plus, mais pour stopper tous les trafics qui en découlent.

Je n’évoque pas les morts dont nous avons fait grand bruit, pour attester de l’insécurité, par une mise en scène des drames humains qui y sont liés. C’est épisodiquement ce qui se passe dans le grand banditisme pour succéder au parrain ou conquérir des territoires. Et cela depuis la nuit des temps. Naturellement l’absorption de drogues nuit à la santé, comme les sources des 10 premiers décès, mais la question demeure, pourquoi l’on boit, l’on fume, l’on se drogue.

Consommation de tabac, alcool et drogues en France Tabac : En 2023, environ 15 millions de Français fument, dont 12 millions quotidiennement. Cela représente environ 31,9% des adultes âgés de 18 à 75 ans. Alcool. En 2021, 87% des Français âgés de 18 à 75 ans ont consommé de l’alcool au moins une fois dans l’année. Environ 55,4% des Français consomment de l’alcool une à quatre fois par semaine, et 8% consomment de l’alcool quotidiennement.

Conflits armés et victimes

En 2022, avec la survenue de nouveaux conflits armés particulièrement sanglants, dont la guerre russo-ukrainienne, les combats en RD du Congo et le conflit arméno-azéri, et celui palestinien, le seuil des 100 000 victimes annuelles a été de nouveau dépassé. Le terrorisme au niveau mondial fait 23 943 décés, en europe 622 décès en 2021 toutes tendances confondues.

Dépénaliser la drogue : Les chiffres clés

Pays ayant légalisé ou dépénalisé certaines drogues

  • Cannabis : Uruguay, Canada, Pays-Bas, États-Unis (plusieurs États), Allemagne et environ 30 autres pays.

  • Décriminalisation de toutes les drogues. Au Portugal depuis 2001, avec des résultats positifs en termes de réduction des overdoses et des infections par le VIH.

Obésité

Le surpoids et l’obésité causent plus de 1,3 million de décès dans le monde chaque année sur une population de 8,16 milliards en 2024, mais cette estimation pourrait être sous-évaluée. En Europe, l’obésité est responsable de 1,2 million de décès par an sur une population de 447 millions. Aux États-Unis, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) estiment que l’obésité cause environ 400 000 décès par an sur une population de 342,7 millions, en faisant la deuxième cause de mortalité après le tabac.

Les causes de décès en France sur 600 000 annuel.

  1. Tumeurs (cancers) : 25,5%

  2. Maladies cardio-neurovasculaires : 20,8%

  3. Maladies respiratoires (hors Covid-19) : 6,7%

  4. Covid-19 (2022) : 6%

  5. Accidents : 4,6%

  6. Maladie d’Alzheimer : 3,2%

  7. Diabète : 2,2%

  8. Suicide : 1,9%

  9. Démences : 1,8%

  10. Maladies chroniques du foie : 1,7%

Décès liés au cannabis : Environ 230 décès par an en France (0,038%).

Décès liés aux drogues dures (cocaïne, crack, fentanyl, GHB, héroïne, kétamine, LSD) : Environ 537 décès en 2017 (0,090%).

Comparaison des risques

Dr Glickman : Le tabac est la pire substance pour la santé. Dr Akhil Anand : Chaque personne a des facteurs de risque spécifiques. Le tabac ne présente aucun avantage, même en faible quantité. Marijuana : La moins pire des trois substances (tabac, alcool, cannabis).

Réflexions sur la sécurité routière et les médias

Les accidents de la route en France ont causé 3 402 décès en 2023, soit 0,5% des décès. Ces données chiffrées permettent d'avoir une image comparative, au-delà des discours médiatiques souvent anxiogènes.

Des études montrent que les conducteurs ne suivent pas attentivement la route en permanence, leur regard se promenant constamment. La plupart des accidents, hors incidents mécaniques, sont dus à un manque d’attention. Les conducteurs passent autant de temps à croquer une bouchée de nourriture qu'à regarder une publicité au bord de la route, un panneau indicateur ou un GPS. La distance de sécurité entre deux véhicules et les limitations de vitesse sont rarement respectées.

Influence des médias et perception sociale

Les médias rapportent souvent des variations en pourcentage des décès, ce qui peut accentuer la gravité des accidents et entretenir une société anxiogène. Les faits divers servent de ciment social, renforçant les liens contre les protagonistes qui dépassent les limites, et accentuant l'idée d'une insécurité omniprésente.

Conclusion

Il est crucial de dépasser les perceptions médiatiques pour avoir une vision plus juste des réalités sociales et sécuritaires. Comprendre pourquoi les gens boivent, fument et se droguent est essentiel pour aborder des questions telles que la dépénalisation des drogues. Les données montrent une société en perpétuel mouvement, où chaque individu navigue entre les risques, les perceptions et les réalités de la vie quotidienne.

3/Drogues.

Cannabis :

En 2023, environ 50,4% des adultes âgés de 18 à 64 ans ont déjà expérimenté le cannabis. Environ 3,4% sont des consommateurs réguliers et 2,3% consomment quotidiennement. Cocaïne : En 2023, environ 9,4% des adultes âgés de 18 à 64 ans ont expérimenté la cocaïne. Ecstasy (MDMA) : En 2023, environ 8,2% des adultes âgés de 18 à 64 ans ont expérimenté l’ecstasy. Nombre de citoyens pénalisés pour de la drogue. En France, chaque année, environ 44 000 personnes sont interpellées pour trafic de drogue, et 179 000 pour consommation de drogues . En 2019, il y avait environ 33 600 condamnations pour usage illicite de stupéfiants et 35 000 condamnations pour trafic de stupéfiants. Les peines pour trafic de stupéfiants incluent souvent des peines de prison ferme, avec une durée moyenne d’un peu plus d’un an. Et d’aucuns dans les médias qui se plaignent d’une justice laxiste Je ne crois pas que cela représente un risque sociétal sérieux. .

La dépénalisation ne stoppera pas la délinquance qui y est liée et qui en retire un revenu. Cette économie parallèle ne peut se tarir que par des mesures de développement d’un revenu universel, et une amélioration des relations au travail et dans celles interpersonnelles. C’est-à-dire durant des années, si ce n’est des siècles, car les évolutions sont lentes dans le domaine des addictions. Il appartient aux fumeurs de s’interroger, de se faire assister et aux parents de s’en inquiéter.

Dans les pays qui ont dépénalisé la consommation de drogue, les résultats varient en ce qui concerne l'augmentation ou non de la consommation. Cas du Portugal Après la dépénalisation au Portugal, plusieurs études ont montré que :Il n'y a pas eu d'augmentation significative de la consommation de drogue chez les adultes.En fait, la consommation de drogues parmi les jeunes a diminué. En Uruguay a légalisé le cannabis en 2013, et les études montrent que la consommation n'a pas augmenté de manière significative, bien qu'elle soit légèrement plus courante chez les jeunes. États-Unis (certains États) : Dans les États américains où le cannabis a été légalisé, certaines études ont montré une légère hausse de la consommation chez les adultes, mais cela n'a pas nécessairement conduit à une hausse de la toxicomanie ou des problèmes de santé publique.

Y a-t-il plus de consomation dans les pays dépénalisés.

Les données montrent que la dépénalisation des drogues n'entraîne pas nécessairement une augmentation significative de la consommation.

Par exemple, au Portugal, près de 20 ans après la dépénalisation des drogues, il n'y a pas eu d'augmentation marquée de la consommation. Au contraire, on a observé une diminution des décès liés à l'usage de drogues, des troubles d'usage de certaines drogues comme l'héroïne, et de la propagation du VIH .

La dépénalisation peut également avoir des effets positifs sur la santé publique et la justice sociale, en réduisant la stigmatisation et en désengorgeant les tribunaux et les prisons . Cependant, il est important de noter que la dépénalisation seule ne résout pas tous les problèmes liés à la consommation de drogues et doit être accompagnée de politiques de santé publique et de soutien social pour être pleinement efficace.

En résumé, la dépénalisation des drogues peut être bénéfique sans entraîner une augmentation significative de la consommation, à condition qu'elle soit accompagnée de mesures de soutien appropriées. Conclusion Dans l'ensemble, la dépénalisation n'entraîne pas systématiquement une hausse de la consommation de drogues. Souvent, ces politiques sont accompagnées de programmes de prévention et de traitement, ce qui semble avoir un impact plus bénéfique sur la santé publique que les anciennes politiques punitives. Le contexte local, les programmes de soutien et la sensibilisation jouent un rôle clé dans les résultats observés.

Drogues : Consommation et Dépénalisation

Statistiques de consommation en 2023

Cannabis.

Environ 50,4% des adultes âgés de 18 à 64 ans ont expérimenté le cannabis. Environ 3,4% sont des consommateurs réguliers et 2,3% consomment quotidiennement.

Cocaïne.

Environ 9,4% des adultes âgés de 18 à 64 ans ont expérimenté la cocaïne.

Ecstasy (MDMA).

Environ 8,2% des adultes âgés de 18 à 64 ans ont expérimenté l'ecstasy.

Nombre de citoyens pénalisés pour des raisons liées à la drogue

En France, chaque année :

  • Environ 44 000 personnes sont interpellées pour trafic de drogue.

  • Environ 179 000 personnes sont interpellées pour consommation de drogues.

  • En 2019, il y avait environ 33 600 condamnations pour usage illicite de stupéfiants et 35 000 condamnations pour trafic de stupéfiants. Les peines pour trafic de stupéfiants incluent souvent des peines de prison ferme, avec une durée moyenne d’un peu plus d’un an.

 

Impact de la dépénalisation sur la consommation de drogues

Portugal

  • Après la dépénalisation en 2001, plusieurs études montrent qu'il n'y a pas eu d'augmentation significative de la consommation de drogues chez les adultes. En fait, la consommation de drogues parmi les jeunes a diminué.

Uruguay

  • A légalisé le cannabis en 2013, et les études montrent que la consommation n'a pas augmenté de manière significative, bien qu'elle soit légèrement plus courante chez les jeunes.

États-Unis (certains États)

  • Dans les États américains où le cannabis a été légalisé, certaines études ont montré une légère hausse de la consommation chez les adultes, mais cela n'a pas nécessairement conduit à une hausse de la toxicomanie ou des problèmes de santé publique.

Augmentation de la consommation dans les pays dépénalisés ?

Les données montrent que la dépénalisation des drogues n'entraîne pas nécessairement une augmentation significative de la consommation :

  • Portugal : Près de 20 ans après la dépénalisation, il n'y a pas eu d'augmentation marquée de la consommation. Au contraire, on a observé une diminution des décès liés à l'usage de drogues, des troubles d'usage de certaines drogues comme l'héroïne, et de la propagation du VIH.

Effets positifs de la dépénalisation

  • Santé publique : Réduction des décès liés à l'usage de drogues.

  • Justice sociale : Réduction de la stigmatisation et désengorgement des tribunaux et des prisons.

Conclusion

Dans l'ensemble, la dépénalisation n'entraîne pas systématiquement une hausse de la consommation de drogues. Souvent, ces politiques sont accompagnées de programmes de prévention et de traitement, ce qui semble avoir un impact plus bénéfique sur la santé publique que les anciennes politiques punitives. Le contexte local, les programmes de soutien et la sensibilisation jouent un rôle clé dans les résultats observés.

Pourquoi les citoyens ont peur de dépénaliser la drogue.

La peur de dépénaliser la drogue chez les citoyens peut être attribuée à plusieurs facteurs :

Stigmatisation et Perception Sociale

La drogue est souvent associée à des comportements antisociaux, à la criminalité et à la délinquance. Cette perception négative, ancrée dans la société, rend difficile l'acceptation de la dépénalisation.

Manque d'Information et de Compréhension.

Beaucoup de citoyens ne sont pas bien informés sur les effets réels de la dépénalisation. Ils craignent que la consommation de drogues augmente et que les problèmes de santé publique empirent.

Influence Médias et Politique.

Les médias ont tendance à mettre en avant les aspects négatifs liés à la drogue, créant une atmosphère de peur et d'insécurité. Les politiques et les discours officiels renforcent souvent cette perception pour des raisons électorales.

Expériences Personnelles et Communautaires.

Les citoyens peuvent avoir des expériences personnelles ou observer des situations dans leur communauté où la drogue a eu des effets destructeurs, renforçant la peur et l'opposition à la dépénalisation.

Préjugés et Ignorance.

Il existe de nombreux préjugés sur les consommateurs de drogue, vus comme des personnes faibles ou moralement défaillantes. La dépénalisation est perçue comme une validation de ces comportements.

Crainte de l'Inconnu.

La dépénalisation est une mesure relativement nouvelle et radicale pour beaucoup. La crainte de l'inconnu et des conséquences imprévues peut dissuader les gens de soutenir de telles réformes.

Ces peurs et réticences peuvent être surmontées par une éducation efficace, une sensibilisation à la santé publique et des politiques équilibrées qui montrent les bénéfices potentiels de la dépénalisation. L'ouverture au dialogue et aux expériences d'autres pays peut également aider à dissiper les inquiétudes.

 


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56 réactions à cet article    


  • Yann Esteveny 25 octobre 2024 11:56

    Message à tous,

    Je cite l’auteur : "Ces peurs et réticences peuvent être surmontées par une éducation efficace, une sensibilisation à la santé publique et des politiques équilibrées qui montrent les bénéfices potentiels de la dépénalisation. L’ouverture au dialogue et aux expériences d’autres pays peut également aider à dissiper les inquiétudes."

    Certains ont tellement pris de psychotropes qu’ils ne perçoivent même pas qu’en République :

    l’éducation s’effondre,

    les politiques équilibrés sont fictionnelles,

    le dialogue n’est qu’entre ceux qui pensent conformément à la doxa du Régime.

    Il est de toute façon difficile de parler de santé avec une population qui croit que des injections expérimentales par des laboratoires véreux va les sauver.

    Un conseil à tous : débarrassez-vous de la propagande toxique !


    • Yann Esteveny 25 octobre 2024 15:05

      Message à tous,

      Il faut être drogué à sa propre bêtise pour se faire représenter par un autre drogué à l’Assemblé Nationale :
      https://www.marianne.net/politique/gauche/depute-lfi-interpelle-en-possession-de-drogue-la-gauche-aveuglee-par-la-posture-victimaire-dandy-kerbrat

      Constitutionnaliser le droit à se droguer va sans doute être priorité de ces élus !

      Que la presse aux ordres soit au secours des drogués qui conduisent le destin du pays n’a rien de stupéfiant :
      https://www.francetvinfo.fr/sante/drogue-addictions/andy-kerbrat-interpelle-en-possession-de-drogue-il-faut-sortir-du-regard-moral-sur-l-addiction-plaide-un-medecin-addictologue_6855032.html

      Pour les camés insevrables à la propagande d’état, l’interdiction de la drogue doit être un « complot de l’extrême-droite » pour empêcher la population d’être libre de se droguer !

      Examinons les conséquences de la drogue à Philadelphie :
      https://www.youtube.com/watch?v=DFfqOvOk4WE


    • ddacoudre ddacoudre 25 octobre 2024 16:11

      @Yann Esteveny
      bonjour
      c’est fabuleux un député qui se drogue et en plus de gauche, il me semble que tu as oublié Eltsine, lui c’était à la vodka, et tous les parlementaire qui vont conduire le pays avec plus de 0,5g dans le sang. quand l’on veut tuer son chien on lui trouve des puces. le spécialiste de la chasse au puce c’est la RN, sauf qu’à force elle en a attrapé, j’espère que tu ne les fréquentes pas.
      je ne savais vraiment pas quoi te laisser comme commentaire, pour te remercier de m’en avoir fait un
      cordialement ddacoudre overblog.


    • karibo karibo 25 octobre 2024 16:54

      @Yann Esteveny
      Bravo pour votre réponse et si on parlait de l’ alcool au volant vont -t-ils en interdire la vente ???
      Nous avons à faire à des émasculés qui n’ attendent que des benala pour la quenelle ...


    • tashrin 25 octobre 2024 12:05

      Le constat est surtout très simple : nulle part, jamais, une politique prohibitionniste n’a donné le moindre resultat probant

      Ensuite on met en perspective le cout pour les finances publiques : les effectifs de police / justice dédiés au cannabis sont énoooooooooormes. Et ne servent surtout à rien puisqu’on est le pays européen le plus consommateur !

      Peu importe le volet ideologique, seule la logique est importante : ca ne fonctionne pas, malgré le fait qu’on ait la legislation la plus repressive d’europe. Et ca mobilise des ressources dont on aurait besoin par ailleurs, tout en créant une economie parallele qui devient incontrolable et constitue une alternative au marché du travail classique. Les fours dans les cités sont des entreprises, structurées en services, avec une hierarchie, des progressions de carrières, des postes. Les offres commerciales sont marketées, ils font de la com

      En vrai ils n’ont rien à envier aux entrepreneurs tradi. C’est débile de laisser prosperer des filières qui echappent à toute cotisation, tout impot, créent un fossé entre ces populations et les autres alors qu’ils ont un produit qui se vendra tout le temps. Et qui en plus coute très cher en termes de police / justice / prison.

      Sans compter l’aspect santé publique evidemment...

      Et pendant ce temps là la moitié de la popualtion se gave d’antidep et d’alcool, qui EST UNE DROGUE DURE. Seuls l’heroine le crack et la metamphétamine sont au dessus en terme d’addiction et de dangerosité


      • ddacoudre ddacoudre 25 octobre 2024 16:14

        @tashrin
        bonjour
        un commentaire plein de bon sens.
        cordialement.


      • ZenZoe ZenZoe 25 octobre 2024 12:14

        C’est une vraie question ça, et il n’y a pas de réponse facile ni définitive, parce que les deux solutions ont des avantages et des inconvénients.

        Concernant les stupéfiants, on peut aussi se poser la question du pourquoi d’une consommation de plus en plus répandue et même acceptée, avec des produits de plus en plus forts, le Fentanyl par exemple, qui fait des ravages. Dans tous les milieux, toutes les professions, on a ce gigantesque problème.

        Modèle de société en déliquescence, sans plus de repères solides, qui n’apporte plus grand chose aux gens qu’un ennui au mieux, et une angoisse profonde au pire. Nous nous suicidons à vrai dire, de moins en moins lentement, mais de plus en plus sûrement.

        Enfin bon, ça ne répond pas à l’interrogation posée par l’auteur...


        • ddacoudre ddacoudre 25 octobre 2024 16:47

          @ZenZoe
          bonjour
          si tu y réponds plus que tu ne le penses tu fais le constat d’une société qui n’a plus aucune espérance qui ne se projette pas dans l’avenir, se contentant de jouir égoïstement de tout ce qu’elle peut consommer et se plaint de ne pas consommer suffisamment, et ne fait rien pour libérer des financement se contentant là aussi de réclamer des augmentations de salaire que les salariés rachètent trois fois le prix du revenu qu’il ont reçu pour faire des produis de consommation ou service.
          ça s’appelle tourner en rond.
          alors que des projets d’avenir ça ne manque pas, avec la technologie nous pouvons envisager d’aller dans un monde « édéniste »à condition de s’ouvrir à l’économie de la connaissance, ce qui est loin d’être le cas de par le monde.
          sur mon blog j’ai de nombreux articles qui expliquent cela et un essai rémunéré les hommes pour apprendre.
          cordialement ddacaoudre overblog.


        • rogal 25 octobre 2024 13:06

          Réflexion intéressante, sûrement à pousser du côté de la méthode.

          Par exemple, du côté des causes, quid du mélange drogue - alcool ?
          Du côté des effets, peut-on ne prendre en compte que la santé, létalité comprise ?Quid des dérèglements financiers, des meurtres et autres effets sociaux ?
          À vous lire, bien peu de conséquences favorables, au Portugal, de la levée d’interdiction.


          • ddacoudre ddacoudre 25 octobre 2024 16:50

            @rogal
            bonjour
            je n’ai pas fais un article exhaustif. sinon il aurait fallu que je fasse un mémoire, mais sur le net il y a les réponses aux question que tu soulèves.
            cordialement ddacoudre overblog


          • rogal 25 octobre 2024 13:08

            Réflexion intéressante, sûrement à pousser du côté de la méthode.

            Par exemple, du côté des causes, quid du mélange drogue - alcool ?
            Du côté des effets, peut-on ne prendre en compte que la santé, létalité comprise ? Quid des dérèglements financiers, des meurtres et autres effets sociaux ?
            À vous lire, bien peu de conséquences favorables, au Portugal, de la levée d’interdiction.


            • rogal 25 octobre 2024 13:10

              @rogal
              Répétition à l’identique par mauvais fonctionnement.
              Désolé.


            • Étirév 25 octobre 2024 13:51

              Dans un discours prononcé en 1961 lors d’une conférence à la California Medical School de San Francisco, Aldous Huxley disait : « Il y aura dès la prochaine génération une méthode pharmaceutique pour faire aimer aux gens leur propre servitude, et créer une dictature sans larmes, pour ainsi dire, en réalisant des camps de concentration sans douleur pour des sociétés entières, de sorte que les gens se verront privés de leurs libertés, mais en ressentiront plutôt du plaisir. ». Ce fut aussi le début d’une époque qui allait rivaliser avec la Prohibition et avec les énormes sommes d’argent qui commenceraient à s’amasser.
              Cela doit nous interroger sur la volonté et l’insistance qu’émettent certaines élites au sujet de la dépénalisation de l’usage personnel des stupéfiants, sous prétexte, entre autres, de combattre la toxicomanie. L’exemple des Pays-Bas est là pour nous convaincre de l’inefficacité de la solution proposée. La tolérance de la législation néerlandaise à l’endroit des drogués et le laxisme des autorités espagnoles et italiennes dans le même sens a eu pour résultat une augmentation de la toxicomanie dans les pays concernés, mais aussi une recrudescence du trafic de la drogue en Europe. Derrière ces immenses tragédies se profile un lobby qui semble disposer de moyens colossaux, qui est présent dans tous les pays et qui vise, à travers l’activisme de ses médias complices, ainsi que de ses « experts » et autres marionnettes politiciennes, à modifier la législation en obtenant la dépénalisation des drogues dites « légères », les substances dérivées du cannabis comme la marijuana et le haschisch, et en en minimisant les effets, passage indispensable à créer les futurs consommateurs de drogues « lourdes ». On répand ainsi la conviction qu’une loi doive et puisse seulement réglementer le « droit » des personnes, en particulier des jeunes, à essayer la « légère » ivresse narcotique de ces substances, bien différente, on tend à le souligner, par une fausse symétrie, de celle des drogues « lourdes », qui engendrent des altérations dramatiques du comportement, accompagnées de graves violations de l’ordre public. Une approche réellement scientifique démontre au contraire que le jeune qui s’approche occasionnellement des drogues même « légères » est exposé à devenir très vite consommateur habituel de drogues aussi bien lourdes que légères, entraînant des malaises très graves et progressifs, tels que par exemple la réactivation d’états latents de schizophrénie ou des atteintes plus ou moins étendues aux facultés cérébrales.
              Lien


              • Hervé Hum Hervé Hum 25 octobre 2024 16:51

                @Étirév

                Vous avez abusé de la « drogue » du bourrage de crâne


              • ddacoudre ddacoudre 25 octobre 2024 17:11

                @Étirév
                bpnjour
                en fouillant dans le passé nous trouvons que la femme a été discrédité de générations en générations par le mensonge.on a caché ses œuvres et on les a mise aux avoir des hommes.
                j’ai relevé cela en parcourant ton lien que j’ai trouvé très intéressant.
                pour ce que j’ai relevé l’évolution des rapport femme homme est historiquement fondé, mais pas comme il le présente. il ne faut pas oublier que la vierge marie qui enfante le fils de dieu est un hommage fabuleux rendu à l’importance de la femme dans le monde, comme la terre qui fut nommée Gaia.
                cordialement. ddacoudre overblog


              • ddacoudre ddacoudre 25 octobre 2024 17:47

                @Hervé Hum
                bonjour hervé
                je suis allé lire le lien et je vais l’enregistrer. je ne connaissais pas ce traditionaliste existentialiste religieux je ne sais pas si je peux le qualifier comme cela du peu que j’ai lu ; il a en sont temps bien perçu les évolutions en cours, qui lui paraissaient chaotique, comme pour certains celles d’aujourd’hui. il à parfaitement raison de dire que la vérité viens d’en haut. encore aujourd’hui c’est dieu qui la détient et il ne l’on pas adapté aux développement des connaissance qui nous font la démonstration que celui-ci n’est plus dans les cieux mais derrière la Baryogenèse et qu’il nous faudra attendre 4,5 milliards d’années pour devenir particule et le rencontrer. les croyant les plus moderne ont enregistré cela comme moi. je te raconte une histoire amusant un jour j’échangeais avec un pasteur évangéliste, qui s’étonnait que je sois chrétien et tienne de tel discours ; subitement il me demande « tu crois que jésus est le fils de dieu au moins » même pas je lui dis, je ne l’ai plus revu.c’est sur qu’un chrétien anticapitaliste et socialisant ça surprend.
                cordialement ddacoudre overblog.


              • Hervé Hum Hervé Hum 26 octobre 2024 12:18

                @ddacoudre

                Mon analyse fondé sur le principe de causalité avait prévu ce qu’il se passe actuellement et les motivations de ceux qui en haut décident de la vie et mort de ceux qui sont en bas au niveau humain.

                Il se trouve que le premier des êtres à DEVOIR respecter le principe de causalité est Dieu lui même, car sans cela, il ne peut pas exister de réalité physique qui obéit au principe de causalité et lui seul ceci pour une raison élémentaire très facilement démontrable. Autrement dit, Dieu à deux solutions, soit il se soumet volontairement à la causalité pour permettre à la réalité physique d’exister (pour 3 raisons fondamentales), soit il y renonce et revient dans son seul imaginaire. Bref, sa toute puissance lui permet de détruire la réalité, mais pas de la dominer, car c’est alors le propre de son imaginaire où par définition, la causalité est un ordre secondaire. Chacun de nous en fait l’expérience à chaque instant de sa vie !!!

                Si j’ai toujours refusé jusqu’à présent de l’expliquer et seulement d’en faire la présentation dans ses principes fondamentaux, c’est que la réponse est tout autant fascinante qu’effrayante. Bref, depuis environ 10 ans je me refuse à ouvrir la dernière porte.

                Cependant, la situation me laisse guère de choix.

                Je viens de proposer à la publication un article qui montre la supériorité du mode de pensé que j’applique sur celui qui sert de base à l’humanité, à commencer par les scientifiques.

                Si vous allez le lire, j’aimerai que vous me disiez où en est le vote car pour l’instant je n’ai pas de commentaire et je voudrai apporter quelques ajouts à l’article, mais seulement si le vote est faible.

                Bon, si l’article n’est pas publié, me faudra voir autrement pour sa diffusion !


              • ddacoudre ddacoudre 27 octobre 2024 09:13

                @Hervé Hum
                bonjour
                tu m’intéresses, j’aimerais bien connaître le déroulement de ta pensé qui te guide ; c’est un sujet qui me passionne aussi. d’autant plus que nous sommes tous fait dans le même moule inné, les variation ne proviennent que de l’environnement dans lequel nous avons été élevé et les savoirs que nous avons pu accumuler, tout comme l’expérience du vécu source d’émotion plus ou moins engrammable.
                si ton article de passe pas, poste moi le à [email protected].
                cordialement


              • Opposition contrôlée Opposition contrôlée 25 octobre 2024 13:59

                Il manque le mot clef de l’affaire, concernant le cannabis au moins : Maroc.

                Le Maroc est le premier producteur mondial et a un monopole sur la distribution en France. La police ne fait que maintenir ce monopole, c’est l’essence de la politique de prohibition. 


                • ddacoudre ddacoudre 25 octobre 2024 17:34

                  @Opposition contrôlée
                  bonjour
                  oui et la Colombie pour la coca ;
                  cordialement ddacoudre overblog


                • Octave Lebel Octave Lebel 25 octobre 2024 14:32

                  En arrière plan il y a un problème de fond, c’est celui de la circulation de l’argent sale où se mêle le trafic de drogue (producteurs, grossistes, réseaux de distribution), celui des êtres humains et celui des armes. Cela renvoie à beaucoup de problématiques comme notamment la nature des liens avec les pays où sont les producteurs et les grossistes et les banquiers du système, la vitesse attendue de la circulation des marchandises et le contrôle dans les ports, le contrôle des circuits financiers, entre autres. En France nous pouvons nous étonner d’une forme de laisser faire vis-à-vis des réseaux de distribution des drogues s’appuyant sur la persistance de ghettos de pauvres et d’immigrés comme de la persistance de ces ghettos dont le diagnostic et la remédiation avait pourtant été entamé par Borloo sous Chirac puis abandonné pour l’essentiel des ambitions d’alors par leurs successeurs.La réalité que j’ai pu constatée, c’est que si la population locale n’est pas en mesure de réagir très fermenent au démarrage d’un réseau, celui-ci s’installera.Ce qui ne veut pas dire que la drogue s’arrête de circuler sur le territoire si un réseau local est empêché.


                  • ddacoudre ddacoudre 25 octobre 2024 17:23

                    @Octave Lebel
                    bonjour rien à rajouté ;
                    mais j’aurais aimé que tu me donnes ton sentiment sur le précédent sur la valeur monétaire.
                    cordialement


                  • Octave Lebel Octave Lebel 26 octobre 2024 09:33

                    @ddacoudre

                    Je vais le faire dès que j’aurai un moment.Bonne continuation à toi.


                  • xenozoid xenozoid 25 octobre 2024 16:32

                    la dépenalisation de la drogue(dure ou douce) ne remet pas en question celle du fric qui est la premiere source du probleme, sans regarder ce qu’il on fait avec l’alchool , mais bon,au pays bas il n’y a pas de pénilisation de la demande , en fait ce n’est pas une loi, c’est ce qu’ils apellent geddog beleid ,je vais vous la traduire

                    Quelles sont les règles relatives à la consommation et à la possession de drogues ?
                    Aux Pays-Bas, il est illégal pour quiconque de posséder, de vendre ou de fabriquer des drogues. Quel que soit votre âge. Si vous avez 18 ans ou plus et que vous avez un maximum de 5 grammes de drogues douces sur vous lorsque nous vous arrêtons, nous confisquerons les drogues, mais le ministère public n’engagera pas de poursuites. Seuls les coffee shops sont autorisés à vendre des drogues douces. Vous devez prouver que vous avez 18 ans ou plus et vous pouvez acheter un maximum de 5 grammes de drogues douces par jour.

                    Drogues dures
                    La possession, le commerce, la vente ou la fabrication de drogues dures (XTC, cocaïne, héroïne, etc.) sont totalement interdits. La consommation de drogues dures n’est pas un délit.

                    Loi sur l’opium
                    Toutes les règles et sanctions relatives aux drogues sont contenues dans la loi sur l’opium. Les règles néerlandaises en matière de drogues sont basées sur les accords établis dans les traités internationaux. Pour en savoir plus sur les règles et les sanctions/amendes, cliquez ici.

                    Testez vos connaissances sur les drogues
                    Que savez-vous de la possession de drogues ? Alors, faites le test sur les drogues. Ouvrez le pdf ci-dessous.

                    Traduit avec DeepL.com (version gratuite)

                      lien associé


                     ceux qui veulent savoir plus sur l’opium wet (loi sur l’opium) devront chercher, car je n’ai pas envie de le faire pour vous, peut etre comprendrez vous alors le terme « gedoog beleid »


                    • ddacoudre ddacoudre 25 octobre 2024 17:32

                      @xenozoid
                      bonjour
                      je me souviens de mon arrivé à la gare d’Amsterdam, ça sentait le shit et des mégots par tout c’est dans ce pays que j’ai appris à rouler le tabac, et j’étais surpris de voir les filles autant que les garçons rouler. je n’y suis pas resté pas assez de soleil.
                      je pense avoir démontré par des chiffres de décès que ce ne sont pas les drogues qui cause des taux de mortalités effrayants. les parents ont-ils si peu confiance en eux pour éduquer leurs enfants qu’ils ont peur de dépénaliser la drogue aux bénéfice de tous ceux qui s’enrichissent ou vont en prison pour elle.
                      cordialement. ddacoudre overblog


                    • xenozoid xenozoid 25 octobre 2024 17:32

                      @xenozoid

                       et puis ne pas oublier la phamacology avec les opioids, légal avec une ordonance...lol


                    • xenozoid xenozoid 25 octobre 2024 17:51

                      ordonance que les parents aprouvent car traumatisés,les pauvres


                    • xenozoid xenozoid 25 octobre 2024 20:37

                      @xenozoid

                      j’aimerais bien avoir des statistiques sur l’hyperchondria si quelqu’un a


                    • ddacoudre ddacoudre 26 octobre 2024 09:38

                      @xenozoid
                      bonjour

                      • Voici quelques statistiques concernant l’hypochondrie en France :Environ 3,5 % de la population française souffre du trouble hypocondriaque. Le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM-5) a remplacé le terme « hypocondrie » par "crainte excessive d’avoir une maladie..Les personnes hypocondriaques interprètent souvent les symptômes physiques comme des signes de maladies graves, même en l’absence de toute condition médicale sous-jacente. L’hypochondrie peut entraîner une anxiété excessive et des comportements compulsifs, tels que des demandes répétées d’examens médicaux ; cordialement.

                      .

                    • suispersonne 25 octobre 2024 19:28

                      On manque de lucidité

                      Comment faire comprendre que

                      Prohibition = Fortune des trafiquants et des passeurs ?

                      = Utilisation de moyens de guerre ?

                      Héroïne, cocaïne, haschich, crack, met, fentanyl, …, sont des produits qui existent et qui ont un marché inépuisable.

                      C’est un problème de santé publique.

                      Ce n’est pas du tout un problème de police, qui ne sera jamais en mesure de tout contrôler.

                      Ruiner les trafiquants et calmer la guerre dans les quartiers repose sur la fin de la prohibition, et la production de ces produits par des structures associatives liées au système de santé, et délivrées de tout objectif de bénéfice.

                      Mais en mesure de financer une multiplication des offres de désintoxication.


                      • ddacoudre ddacoudre 26 octobre 2024 09:46

                        @suispersonne
                        bonjour.
                        je partage ton point de vue et je rajoute une perspective de plus. la prohibition calmera comme tu le dis ceux qui bénéficient de cette économie souterraine ; pour autant ceux qui s’y adonnent trouvent là un revenu car notre organisation économique détruit régulièrement des emplois par le développement de toutes les technologies, sans parler des moins disant extérieur, comme une donné évolutive. de fait si ceux qui sont privé de leur source de revenu illégal ne trouvent pas à s’insérre dans l’organisation productive ils se dirigeront vers d’autres source de délinquances ou de criminalité. je n’ai pas abordé cela dans mon article. cordialement.


                      • suispersonne 26 octobre 2024 14:31

                        @ddacoudre
                        Il faut voir aussi qu’il s’agirait d’un changement de paradigme créateur d’emplois nouveaux.
                        Et que si la misère entretenue dans les ghettos est le terreau évident de la délinquance et des crimes engendrés par les trafics, il faudra une société moins inégalitaire, opposée à la prééminence des zélites fort satisfaites de répandre comme naturelle l’existence des gueux.
                        Autrement dit, une révolte parait inévitable, et si je le déplore, je ne vois pas d’autre piste pour effacer la domination de l’extrême bourgeoisie LRNREZ, qui inclut les saussialisses en peau de lapin.
                        Quant aux multiples crétin(e)s con(ne)s vaincu(e)s qui bavent ici contre les islamogochiasses insoumises, je leur souhaite bien du plaisir, car comparées à la profondeur et à l’objectivité du travail chez lfi, ils elles sont totalement négligeables, et ne suscitent que de l’amusement.


                      • ddacoudre ddacoudre 26 octobre 2024 23:24

                        @suispersonne
                        bonjour
                        sur mon blog tu auras des réponses dans certains articles, mais il ne peut pas y avoir de miracle
                        cordialement ddacoudre overblog.


                      • suispersonne 27 octobre 2024 12:04

                        @ddacoudre
                        Je n’ai pas trop le temps d’aller sur d’autres liens, et je préfère l’éviter (méfiance personnelle à l’égard des pistages de google, salesforce, microsoft, etc, qui s’incrustent partout sans frein).
                        Peux tu m’expliquer « mais il ne peut pas y avoir de miracle » ?
                        Merci.


                      • ddacoudre ddacoudre 27 octobre 2024 19:32

                        @suispersonne
                        bonour
                        je vais copier sur mon blog une discussion que j’ai eu avec plenel. j’y explique, pourquoi il ne peut y avoir de miracle. je fais le travail et je te reprends sur ago
                        a +
                        voila le lien http://ddacoudre.over-blog.com/2024/10/je-suis-personne.html
                        bonne lecture.


                      • Eric F Eric F 25 octobre 2024 19:39

                        La mortalité n’est pas élevée, mais quid des risques de détérioration cérébrale, ou encore des perturbations de la vie quotidienne du fait du besoin addictif ?

                        https://www.futura-sciences.com/sante/actualites/medecine-cannabis-deteriore-capacites-intellectuelles-abaisse-qi-40920/


                        • pemile pemile 25 octobre 2024 20:12

                          @Eric F

                          Chez les jeunes ados d’après l’étude, pas chez l’adulte.


                        • Fanny 25 octobre 2024 20:23

                          @Eric F

                          quid des risques de détérioration cérébrale

                           

                          Le tabac tue par cancer du poumon …

                          L’alcool tue par cancer du foie et accidents de la route …

                          La drogue rend idiot en détruisant le cerveau des jeunes.

                          Je suis pour le tabac et l’alcool et l’interdiction des drogues car tuer les vieux (en majorité) ne me pose pas de problème.

                          En revanche, rendre les jeunes idiots, ça m’ennuie.


                        • ddacoudre ddacoudre 26 octobre 2024 09:52

                          @Eric F
                          bonjour
                          non pas quid, c’est une réalité dans la prise des troubles de toutes les addictions, même le tabac quand un sujet est en manque.
                          cordialement


                        • Eric F Eric F 26 octobre 2024 10:35

                          @ddacoudre
                          L’addiction risque de conduire à la surconsommation et l’escalade de produits de plus en plus forts, mais aussi l’obsession et le besoin d’argent pour y pourvoir.
                          Mais plus grave encore apparait la destruction de neurones dans le cerveau notamment chez les ados mais pas que, puisque l’enquête que j’ai mentionnée mesure une perte de QI de 8 au bout de 30 ans chez les consommateurs de cannabis et dérivés, par rapport à) la population de référence. L’alcool a haute dose a aussi des effets cérébraux délétères, je ne pense pas que ce soit le cas du tabac.

                          Vous gagnez le point sur le fait que malgré l’interdiction, la consommation en France est supérieure à des pays qui ont autorisé voire organisé la vente de canabis, par contre cela n’a pas supprimé dans ces pays les problèmes de narcotrafics mafieux, comme on le voit aux Pays Bas.
                          Bref, je préfèrerais que l’interdiction puisse être réellement appliquée, mais c’est apparemment illusoire comme le fut la prohibition aux USA des années 20....


                        • Eric F Eric F 26 octobre 2024 10:38

                          @Fanny

                          ’’Je suis pour le tabac et l’alcool et l’interdiction des drogues car tuer les vieux (en majorité) ne me pose pas de problème’’


                          à propos de drogue, la pharmacopée de bien des vieux ne doit rien envier à la dose des jeunes camés...

                        • Fanny 26 octobre 2024 11:02

                          @Eric F
                          à propos de drogue, la pharmacopée de bien des vieux ne doit rien envier à la dose des jeunes camés...


                          Oui, mais elle est plus diversifiée, se neutralisant mutuellement (j’en suis à 14 médocs, que j’avale consciencieusement chaque jour. Des « amis » qui me veulent du bien me disent qu’avec ça, je devrais être mort depuis longtemps).


                        • ddacoudre ddacoudre 27 octobre 2024 09:03

                          @Eric F
                          bonjour
                          le premier problème c’est de savoir pourquoi l’on se drogue, et d’avoir une éducation en conséquence, le second, c’est une source d’économie souterraine d’argent facile malgré le risque, le troisième ça ne tari pas la délinquance et la criminalité lié aux inégalités de la répartition de la rareté qui en est la source.
                          le tabac n’a d« effet psychique qu’en cas de manque mais tu as raison il ne détruit pas des neurones. qu’on l’interdise ou non ça ne changera pas le développement de la criminalité ou la délinquance. mais ça évitera de foutre en prison des homme pour des prunes compte tenu des risques minimes par rapport aux autres causes de mortalité. la lutte contre l’alcool le tabac les drogues commence par l’éducation familiale et le mimétisme social. le tabac n’a d »effet psychique qu’en cas de manque mais tu as raison il ne détruit pas des neurones.
                          cordialement.


                        • pemile pemile 27 octobre 2024 16:58

                          @Eric F " puisque l’enquête que j’ai mentionnée mesure une perte de QI de 8 au bout de 30 ans chez les consommateurs de cannabis et dérivés « 

                          bis repetita, uniquement quand la consommation débute chez le jeune ado,

                           »Autre découverte de ce travail : les fumeurs ayant commencé seulement à l’âge adulte ne souffraient pas d’un tel écart intellectuel avec les non-fumeurs."



                        • SilentArrow 28 octobre 2024 14:11

                          @Fanny

                          14 médocs ?
                          Vous connaissez certainement l’expression « mort-né ».
                          Quand les toubibs rigolent entre eux, ils utilisent parfois l’expression « mort-guéri » pour désigner les victimes d’acharnement médical.


                        • tinga1 26 octobre 2024 00:23

                          Les drogues légales coutent plusieurs dizaines de milliards chaque année à la sécu, l’alcool est classée juste entre la cocaïne et l’héroïne au niveau dangerosité, le cannabis est très loin derrière.

                          Le Pantagruelion ( tiers livre Rabelais) accompagne l’humanité depuis la nuit des temps, meilleurs papiers, comestible,cordages, médecine, matériel de construction, dé-pollueur de sols, narcotique relativement inoffensif, rien qui ne justifie son interdiction ni toutes les âneries proférées par des incultes.  


                          • ddacoudre ddacoudre 26 octobre 2024 10:00

                            @tinga1
                            bonjour
                            c’est moins un problème de monétaire que punitif. c’est une honte que des humains soient punis pour cela, comme hier on en punissaient pour adultère, faiseuse, d’anges et j’en passe. toutes les addictions sont nuisibles aux humains, même celle d’être hypocondriaque. qui n’est que psychique.
                            cordialement ddacoudre overblog.


                          • Spartacus Lequidam Spartacus Lequidam 26 octobre 2024 09:46

                            Dépénaliser entraine une demande enorme.

                            On peut imaginer une offre multiplié par 1000 et une baisse de prix ou le joint sera égal au prix d’une friandise.

                            La pénalisation ou déppénalisation vu sous l’ange de la santé est une faute de sens. Il faut regarder cela sous l’angle de « marché ».

                            L’alcool avec une conso modérée, n’est pas grave.

                            Pareil pour les drogues.

                            Mais le marché, l’offre, le prix eux créent le problème par l’abondance et créent une demande et une offre enorme. Pire le marché crée la culture sociale de la consomation.

                            Les conséquences sont donc sur la société contrairement au discourt angélique une catastrophe sanitaire pâr la multiplication des cas d’abus de consomation comme pour l’alcool et créer une culture de la consomation.

                            Dire que parce que l’un est grave comma l’alcool, l’autre est pas grave est irresponsable.

                            Les deux sont graves. L’alcool est devenu culturel, la drogue pas encore. Heureusement.


                            • ddacoudre ddacoudre 26 octobre 2024 10:09

                              @Spartacus Lequidam
                              salut spartacus ça fait longtemps.
                              tu n’as pas du lire mon article toutes les études réalisé dans les pays ayant dépénalisé infirment ce que tu dis.
                              le marché c’est ton obsession. les addictions ont ses sources dans des pratiques sociales et des recherches d’apaisements ou d’évasions.
                              cordialement


                            • Eric F Eric F 26 octobre 2024 11:01

                              @ddacoudre
                              ’’ les addictions ont ses sources dans des pratiques sociales et des recherches d’apaisements ou d’évasions’’
                              Retour à l’« Assommoir », générations zombifiées, non du fait d’un travail abrutissant ou de la misère absolue, mais la vacuité.


                            • Spartacus Lequidam Spartacus Lequidam 26 octobre 2024 11:55

                              @ddacoudre

                              Il y a longtemps que je ne crois pas aux « études » sociales. Elles sont toutes corrompues de politique. et subjectives.
                              Elles sont réalisees réalisées en général par des sociologues militants interesés.

                              Quand bien même les études se fieraient à un questionnaire, la meure de l’usage d’une drogue entreine une sous déclaration.

                              Du fait de l’interdit légal et même si l’anonymat des répondants est garanti, les consommateurs interrogés peuvent craindre de reconnaître une pratique stigmatisée. 

                              Par contre les études de santé sont plus probante puisqu’elles ne sont pas déclaratives mais prises sur les chiffres des admissions et là, elles démontrent toutes une augmentation des problèmes.
                              https://unric.org/fr/loics-alerte-sur-les-dangers-de-la-legalisation-de-lusage-non-medical-du-cannabis/


                            • ddacoudre ddacoudre 26 octobre 2024 23:28

                              @Spartacus Lequidam
                              je ne parle pas d’études de politiciens mais de spécialiste de ces questions qui sont des scientifiques médicaux. maintenant tu peux être comme st Thomas, bien que tu crois en la monnaie qui est une fiction.
                              cordialement.


                            • ddacoudre ddacoudre 26 octobre 2024 23:35

                              @Eric F
                              tu n’y es absolument pas. les bacchanales grecques étaient du à la prise de champignons hallucinogène qu’il digéraient chaque fois qu’ils consommaient des céréales stockées dans des citernes et qui macéraient. d’autre chamane les utilisaient pour entrer en conctact avec les esprits, beaucoup d’autre ont servi de pharmacopée et s’il, en connaissaient les effets apaisant en ignoraient les addictions. dans des pays d’Amérique du sud mâcher des feuilles de coca, apaisaient les souffrances de labeurs harassants.
                              cordialement.


                            • Mozart Mozart 29 octobre 2024 12:07

                              Personnellement je ne compare pas la drogue et l’alcool. Quand je bois un verre de vin, je le goûte, je le savoure. Par contre quand quelqu’un se shoot, je ne vois pas ce qu’il y a de savoureux. Donc faux débat.


                              • ddacoudre ddacoudre 29 octobre 2024 12:26

                                @Mozart
                                bonjour
                                le même plaisir que j’ai eu à fumer durant 50 ans. il y a des goulées de fumer que l’on déguste, et d’autres qui écœure quand on fume trop. tu as des préjugés la dessus. le cerveau apprécie pareillement toutes les addictions ? il n’y a n’a pas un pour la drogue et un pour l’alcool. pareil pour la bouffe,l’excès écœure.
                                cordialement. ddacoudre overblog


                              • SilentArrow 30 octobre 2024 00:42

                                Décriminalisez surtout les armes de guerres et autres pour les citoyens qui n’ont pas de casier judiciaire. C’est scandaleux un pays où les seul à posséder des armes sont les criminels et les flics.

                                Il y aurait moins de cambriolages si les niktamers savaient qu’ils allaient être reçus avec du gros calibre.

                                Et les élus se foutraient moins de l’avis de la population si celle-ci était armée jusqu’aux dents.

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