Des Sauvages et du Courage Ivoirien
Si Nous autres, Sauvages, qui avons grandit sous les cocotiers, émigrons par millions vers l'Europe, ça n'est pas parce qu'un jour, réveillés par une noix de coco tombée sur notre tête, on s'est joyeusement dit : "Tiens, pourquoi ne pas aller envahir l'Europe sur des pirogues au risque de nos Vies pour chatouiller les nerfs de Papy le Pen !"
Nous fuyons la Misère, l'absence d'Avenir et la Guerre.
Nous fuyons nos familles et les Richesses de nos Pays pour mieux les laisser aux mains de quelques élites africaines, occidentales et multinationales avec la complicité bienveillante d'honorables Démocraties.
Nous fuyons l'absence d'Instruction car le peu d'Ecoles et Universités que nous avons en Afrique sont fermées au gré des envies de mercenaires qui, tiens, eux aussi, un jour tombés de leurs hamacs, ont ramassés le premier bambou qui trainait pour en fabriquer des kalachnikovs et aller terroriser et mutiler leurs pères, leurs frères, sauvagement violer et torturer leurs mères et sœurs, et embrigader les orphelins dans des guerres fratricides, tuant le peu d'Innocence qui leur restait...
Le peu d'Africains qui sont pris au piège dans leur propre pays affrontent courageusement l'Horreur tous les jours. Sans perspective de Travail et de Vie décente, avec des miettes de Dignité bafouée.
Le peu de jeunes Africains qui grandissent dans nos Pays ont pour exemple des pillards, mercenaires, hommes d'affaires véreux et politiciens corrompus. Nos Espoirs sont en fuite. Nos Cerveaux absents, à l'abri, à l'Etranger.
Et le peu d'Africains qui ne se résignent pas et tentent le douloureux périple vers un Ailleurs meilleur sont traqués et chassés comme des Bêtes, une fois en Europe.
Votre attention s'il vous plaît, une fois raccompagnés en Afrique, les Sauvages sont encore moins chez eux : qu'ils n'osent même pas rêver un jour disposer et vivre de leur Riche Terre.
Enfin, la majorité d'Africains qui essayent de survivre dignement en Afrique accepterait n'importe quel dictateur au pouvoir, pourvu qu'on les laisse vivre en Paix et qu'on cesse de les traumatiser avec le Spectre de la Guerre.
La Boucle est bouclée, le Piège refermé. Bienvenus dans nos Républiques bananières, chez nous les Sauvages. Nous n'aimons pas travailler, nous détestons l'instruction, mais nous adorons nous entretuer sans raison.
Unie ou divisée par la guerre, combien de fois la Côte d'Ivoire va-t-elle devoir répéter à son excellence Ouattara qu'elle ne veut pas de lui en tant que Président ?
Son acolyte, monsieur Soro, a-t-il sérieusement un jour cru que les Ivoiriens le laisseraient gouverner la Côte d'Ivoire comme il a dirigé sa bande de Rebelles ? Monsieur Soro a-t-il réellement cru que les Ivoiriens se laisseraient dirigés par l'homme responsable de la division de leur Pays depuis des années ainsi que de pillages, exactions et meurtres de civils coupables d'avoir un jour rêvé la Paix ?
Combien monsieur Soro a-t-il reçu pour diviser et meurtrir son Pays ? Cet Argent vaut-il toutes les Vies de ses Frères et le basculement sans retour de la Côte d'Ivoire dans la Terreur ?
Messieurs Soro et Ouattara ont-ils un seul des membres de leur famille, un seul être aimé en Côte d'Ivoire, ce Pays qu'ils menacent de mettre à feu et à sang ?
Aujourd'hui, la France, Patrie des Droits de l'Homme, soutient des groupuscules rebelles en Côte d'Ivoire pour imposer, de gré ou de force, un candidat dont les Ivoiriens ne veulent pas.
Les Ivoiriens ont un jour cru à tort qu'ils pourraient librement choisir leurs Président et Avenir : ils sont donc aujourd'hui forcés par les Puissances Mondiales de choisir leur avenir entre le Rwanda, Haïti et le Congo.
L'un dévasté par un génocide qui a été perpetré sous le regard impassible des notables Institutions Démocratiques Internationales. L'autre payant jusqu'à ce jour le prix d'avoir désiré la Liberté plus que tout. Et le dernier, enfin, l'exemplaire République Monarchique Bananière, à laquelle toute Démocratie moderne Africaine devrait ressembler.
Mais que l'Occident nous dise clairement, à nous autre Sauvages, à quelle sauce doit-on manger notre Démocratie et notre Souveraineté, des fois qu'on aurait mal compris ?
Que l'Occident nous dise clairement que la Colonisation n'est pas finie, et que la France a toujours besoin de nos Richesses pour conforter sa Puissance Géostratégique.
Que l'Occident nous dise clairement que, nous autre Sauvages, n'avons jamais cessés d'être ses Esclaves et ses sous-fifres.
Nous sommes les Actes de nos Etats.
Notre Ignorance et Indifférence sont des Approbations et Encouragements silencieux à des politiques qui se placent au dessus de la Morale.
Lorsque vous rentrerez chez vous ce Soir, regardez la personne que vous aimez le plus au monde et serrez-la fort contre vous. Remerciez le Destin d’être né en Occident et priez ce même Destin que les décisions de vos gouvernements ne vous ôtent pas ce que vous avez de plus cher en restants impuissants.
Et n’oubliez pas que lorsque, demain, vous vous préparerez pour aller travailler en vous parant de vos bijoux, démarrerez votre voiture pour sortir de votre cocon confortable, que tout votre Monde et puissance matérielle tourne autour de Richesses que l’Afrique continue de payer au prix de son sang, en basculant chaque jour un peu plus dans l’indicible de la Guerre.
74 réactions à cet article
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Ce texte émouvant pose de bonnes questions.
Vous écrivez : « Monsieur Soro a-t-il réellement cru que les Ivoiriens se laisseraient dirigés par l’homme responsable de la division de leur Pays depuis des années ainsi que de pillages, exactions et meurtres de civils coupables d’avoir un jour rêvé la Paix ? »
La division ! Mais de quelles divisions parle-t-on ? De fait, le grand principe « diviser pour régner » est un principe en or pour tous les prédateurs du monde. Faut-il rappeler que diabolique est construit sur diabole, qui divise !
En France, le pouvoir n’agit pas autrement. Et les mondialistes font de même dans la vieille Europe, en construisant cette UE qui a vocation, par construction, à se diviser : un comble !-
Merci pour ce bel article, qui révèle enfin certaines vérités occultées par les politiques et leurs journaleux officiels.
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Un rude plaidoyer, plein de vérités ..
La plupart d’entre nous savons tout cela. Pour ce qui concerne l’exploitation du continent Africain, les multinationales s’en chargent sans demander leur avis aux citoyens que nous sommes.
Par contre, l’auteur se sert de cela pour défendre l’indépendance Africaine, justement, et se voit obligé de défendre Gbagbo, parce qu’il s’oppose « officiellement » à l’occident.
C’est là que le bat blesse, Au vu des multiples exactions de ces 10 années de pouvoir, L.G devrait être inculpé pour crime contre l’humanité. Ce qui ne fait, hélas, pas de Ouattara, l’homme providentiel de la C.I.
Pauvre Afrique .-
C’est un très beau texte sur la condition difficile des Africains chez eux, de leurs exils forcés, du piège dans lequel ils sont pris.
Mais vous dites :Aujourd’hui, la France, Patrie des Droits de l’Homme, soutient des groupuscules rebelles en Côte d’Ivoire pour imposer, de gré ou de force, un candidat dont les Ivoiriens ne veulent pas.Que je sache, les résultats REELS de l’élection présidentielle ont donné plus de 54% à Monsieur Ouattara ; et ce n’est que par des magouilles du Conseil Constitutionnel, totalement inféodé à Gbagbo, que ce résultat a été inversé, au mépris du vote d’une majorité d’Ivoiriens.Du coup, tout votre émouvant plaidoyer tombe à l’eau, et vous vous rangez dans le camp des anti-démocrates, qui font tant de mal à votre pays.Respectez le vote de vos compatriotes, et vous retrouverez une légitimité à parler au nom des Ivoiriens.-
@ Sisyphe, je crois savoir que dans le nord du pays il y a eu plus de votants que d’inscrits. Il me semble avoir avoir lu que le bourrage des urnes n’est pas le fait des partsans de Bagbo, bien au contraire. Nous n’avons pas à donner des leçons de démocratie, à personne : regardez ce que les dirigeants européens ont fait de notre vote de 2005.
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@ JL
le scrutin s’est déroulé, selon les dires mêmes de Gbagbo (avant les résultats) de façon satisfaisante, et dans le calme.Rappelons, au passage, que ce scrutin a été repoussé de son échéance initiale, pendant 5 ans, par Gbagbo. !!!Alors, si nous n’avons pas de « leçons à donner », il faut également savoir de quoi on parle.Gbagbo est un autocrate, qui s’accroche au pouvoir, au prix de milliers de morts depuis des années, qui a prolongé illégalement le scrutin de 5 ans, et qui, battu par les urnes aux dernières élections, continue de conserver le pouvoir illégalement.C’est tout. -
Sisyphe, oui, il faut savoir de quoi on parle.
« ... Dominique Ouattara, qui est aussi très proche des milieux israéliens, progresse dans le monde des affaires : en 1996, la PDG du groupe AICI devient présidente de la société qui gère l’Institut Jacques Dessange, basé à Washington et deux ans plus tard elle acquiert les franchises de « Jacques Dessange » aux Etats Unis. Salons de coiffure, instituts de beauté, le groupe acquiert une envergure internationale.
... Villa à Neuilly et dans le Midi, relations dans la jet set internationale, le couple Ouattara est riche, très riche, ce qui rassure beaucoup d’Ivoiriens « au moins ils n’ont pas besoin de voler… » Alors que Simone Gbagbo, élue du quartier populaire d’Abobo se concentre sur l’action politique, Dominique Ouattara crée la fondation Children of Africa[dont son amie, la princesse Ira de Fûrstenberg, sera la marraine et qui construit écoles, maternités, centre d’accueil pour enfants de la rue dans plusieurs pays. »
C’est là -
@ JL
je n’ai jamais dit que Ouattara serait .... moins pire pour les Ivoiriens ; mais le verdict des urnes, dans une démocratie, est incontournable.C’est le choix des Ivoiriens ; les Français ont bien élu Sarkozy... -
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@ JL
Décidément, dans le genre buté, on fait difficilement plus borné que vous.
Alors, je vous laisse un dernier lien, et je clos là la discussion, car un dialogue est impossible avec vous.Vous partez sur votre idée, et aucun élément d’information ne peut vous en faire changer ; c’est bien, vous avez raison sur tout.Aussi, je vous demande de ne plus intervenir sur mes posts ; je n’y répondrai plus ; asez perdu de temps.Pourquoi l’Union africaine lâche Gbagbo et pas BéchirL’instance africaine continue à soutenir le dirigeant soudanais mais appelle, avec la Cédéao, l’Ivoirien à quitter le pouvoir. En fond, on assiste à l’affirmation d’une diplomatie africaine.Juste un extrait :L'opposant Alassane Ouattara est proclamé vainqueur le jeudi 2 décembre par la commission électorale indépendante (CEI). Son adversaire, le président sortant, Laurent Gbagbo l'a lui été le vendredi par le Conseil constitutionnel. Quelques heures plus tard, le conseil de paix et de sécurité de l'Union africaine réuni à Addis Abeba appelle au respect de la volonté populaire et des résultats «tels que proclamés par la commission électorale indépendante» et met en garde contre«toute tentative de créer un fait accompli». Aucun nom n'est cité, mais c'est une reconnaissance de fait de la victoire d'Alassane Ouattara.allez, bonjour chez vous. -
Sisyphe, la voix de son maître !
Je me disais bien aussi, vu son entêtement à soutenir la doxa au sujet du dérèglement climatique, que ce type n’était pas net. -
« vu son entêtement à soutenir la doxa au sujet du dérèglement climatique »
Je veux dire : avec la même intolérance que celle dont il fait preuve ici. -
Les résultats de l’élection ivoirienne sont basés sur un comptage manuel : le comptage électronique a lui révélé des irrégularités dans le Nord qui est toujours aux mains des Rebelles.
Je respecte parfaitement les Ivoiriens, mais pas les tricheurs.
Le Président du CEI, proche de Seguela, lui-même grand ami de Bongo, Biya et autre perles de Dictatures, a proclamé les résultats du scrutin hors délai à l’Hôtel du Golf.
La Constitution Ivoirienne prévoit, dans le cas de non proclamation des résultats dans les délais légaux, la saisie du Conseil Constitutionnel.
Je vous remercie donc de respecter l’institution suprême de la Côte d’Ivoire, ainsi que sa Loi et sa Constitution avant de donner aux autres des leçons de respect.
Et enfin, rappelez-moi déjà de quel courant politique le Président du Conseil Constitutionnel Monsieur Debré est-il et par qui a-t-il été nommé ? Rappelez-moi donc la tendance politique de droite de la majorité des politiques qui siègent au Conseil Français ? Donnez-moi le nom d’un seul président étranger qui aurait donné un ordre au Conseil Constitutionnel ?
Ridicule...
Je l’ai dit et le répète, il faut que la France et tout un chacun cesse de donnez des ordres aux africains et aux pays, et s’ingérer grossièrement dans leur vie politique et économique, à l’aide de propagande, manipulation politiques de l’opinion publique, en faisant passer les pays africains pour des grossières républiques bananières. -
Le Président du CEI, a proclamé les résultats du scrutin hors délai à l’Hôtel du Golf.
La Constitution Ivoirienne prévoit, dans le cas de non proclamation des résultats dans les délais légaux, la saisie du Conseil Constitutionnel.Ben voyons !
Et 5 ans pour différer l’élection présidentielle, c’était pas du « hors délai » ??
Je vous remercie donc de respecter l’institution suprême de la Côte d’Ivoire, ainsi que sa Loi etsa Constitution avant de donner aux autres des leçons de respect.
Et enfin, rappelez-moi déjà de quel courant politique le Président du Conseil Constitutionnel Monsieur Debré est-il et par qui a-t-il été nommé ? Rappelez-moi donc la tendance politique de droite de la majorité des politiques qui siègent au Conseil Français ? Donnez-moi le nom d’un seul président étranger qui aurait donné un ordre au Conseil Constitutionnel ?Rigolo d’avouer, dans le même texte, que la décision d’élire Gbagbo est le fait du seul Conseil Constitutionnel, et, plus bas, de faire la démonstration que le Conseil Constitutionnel ivoirien est, comme en France, entièrement allégué au pouvoir en place !C’est, donc, avouer, la forfaiture du Conseil Constitutionnel ; merci de la démonstration.Et, s’il vous plait, arrêtez de jouer les indignés et de monter sur vos grands chevaux, en vous prétendant représenter les Ivoiriens ; je connais personnellement un ami Ivoirien, et la communauté ivoirienne à Paris, qui n’a pas du tout la même vision que vous sur cette histoire.En fait, vous vous présentez comme représentant les Ivoiriens ; ce qui est FAUX ; vous ne représentez que la partie des Ivoiriens favorables au dictateur Gbagbo, et, depuis les dernières élections, il est prouvé que vous ne représentez donc qu’une minorité.Vous soutenez un dictateur, qui fait fi des suffrages du peuple ivoirien, désavoué non seulement par toute la communauté internationale, mais également, comme je l’ai indiqué par un lien plus haut, par , le conseil de paix et de sécurité de l’Union africaine.Si vous désirez que l’image de République bananière ne colle plus aux pays d’Afrique, commencez par ne pas soutenir des procédés de République bananière.
Merci. -
Sisyphe ignore superbement que la France s’apprête unilatéralement à « donner la signature bancaire » à Ouattara.
Dans cette perspective on se prépare à évacuer nos ressortissants. Je présume que ce n’est pas par crainte des représailles de la part de la police ni de l’armée de Gbagbo, mais au contraire en prévision de la colère du peuple.
Autrement dit, cela démontrerait à qui en douterait, que le peuple soutient Gbagbo et est contre Ouattara. Ou tout au moins, que le peuple ne supporte pas cette ingérance inadmissible. -
« On ne souligne quasiment jamais que l’expression »communauté internationale « est classiquement utilisée pour désigner Washington et tous ceux qui en viennent à s’aligner avec elle, pas seulement sur cette question, mais d’une manière assez générale » (Chomsky)
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L’élection Ivoirienne a été clôturée par la décision de sa plus haute juridiction, le Conseil Constitutionnel. Sa décision est irréversible et prime sur toute autre proclamation, notamment celle de la Commission Electorale Indépendante.
C’est une question de Droit constitutionnel et Souveraineté ivoirienne, et donc de Démocratie, n’en déplaise à certains.
Toute tentative de discuter la décision du Conseil Constitutionnel est donc une grossière ingérence.
Par ailleurs, la France qui se veut démocratique, ne peut légalement pas intervenir dans ce conflit, en remettant en cause la décision de la plus haute juridiction ivoirienne.
Elle peut encore moins soutenir et encourager la destitution d’un candidat élu au profit d’un autre par les armes et la rebellion.
Cela a une définition : encourager un coup d’Etat et donc un embrasement civil.
Cela va à l’encontre des principes démocratiques et du droit international !
On ne destitue pas un candidat élu par un coup d’état, ou alors nous n’avons pas la même définition de la Démocratie !
Une dernière chose : Loukachenko, dictateur au pouvoir de la Biélorussie depuis 16 ans, a été réelu avec 80% des voix lors du scrutin du 19 Décembre dernier.
Où sont donc la communauté Internationale et la Démocratie française pour condamner cette dictature flagrante et déstituer le Président par un coup d’état ?
Qu’on me réponde à cette question !
Vous dites que je prouve que le Conseil Constitutionnel ivoirien est entièrement acquis à la cause du dictateur Gbagbo, tout comme en France ? Est-ce à dire que la France est une dictature ? Que de raccourcis fallacieux pour se discréditer tout seul...
Vous connaissez des Ivoiriens : tiens donc, moi aussi.
Et si on est tous d’accord sur nos divergences politiques, cessez donc à votre tour de brandir à tout va l’étendar ridicule de la Dictature, car l’Histoire française et l’actualité politique internationale prouvent parfaitement que l’Etat français et la communauté internationale ne taxent de dictature que les pays où ils ont des intérets économiques et par extension géostratégique. Pour preuve, les beaux jours des dictatures de Bongo, Bokassa, Biya, Mobutu ou Loukachenko récemment qui sevissaient ou sévissent en toute impunité, avec même la bénédiction de notre Chère France et des institutions internationales.
Et je vous defis de me prouver l’inverse ! Si vous ne versez pas dans la malhonneteté intellectuelle ! -
Baratin et mensonges.
Juste ceci, venant d’un lien africain ; Afrique actu :et encore ceci, venant d’un blog ivoirien :tout y est dit : rideau ! 
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Gros malin, sisyphe !
Tout est dit en effet, mais dans la réponse de Mr Jean-Jacques Bekanti et non pas dans ce texte qui réjouit notre commentateur qui prend des vessies pour des lanternes et veut nous imposer sa vision partisane, celle de Sa communauté internationale ! pff ! -
@ JL
Je vous l’ai déjà dit ; cessez de venir me flairer le derche comme un clébard ; je ne m’adresse pas à vous, et votre avis ne m’intéresse pas.De l’air. -
Je t’emmerde Sisyphe. Tu peux signaler ce post en modé.
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@ sysiph :
Fantastique : vous avez Internet et le haut débit ! Donc accès aux différents médias !
Mais je ne vous demande pas de répondre à mes questions par des articles que vous n’avez pas écris.
Il ne suffit pas, dans un débat, de balancer tel ou tel article, pour se dispenser de répondre à des questions, des faits et arguments que l’on vous pose !
L’intérêt de lire des articles, toutes sources confondues, et bouquins, est de rechercher l’information, les faits dissimulés, les raisons pas toujours apparentes et utiliser SES NEURONES dans l’analyse des faits recoupés. Et non pas emprunter gaillardement des idées qui circulent dans les médias de propagande de guerre froide, chaude ou tiède et se poser en moralisateur qui détient la vérité, l’unique.
Que répondez-vous à l’ingérence de la France et au mépris des institutions souveraines de la Côte d’Ivoire ?
Que répondez-vous à la provocation et incitation de la France au conflit civil ivoirien, comportement antidémocratique et condamnable ?
Que répondez-vous à l’exemple de la Belle Dictature Biélorusse qui prospèrent à la connaissance de tous les pseudos libérateurs des peuples sous dictatures que sont les ‘ricains et la France et dont tout le monde n’a cure ?
Pourquoi la Côte d’Ivoire et pas la Biélorussie ?
Répondez-mois ou alors ce débat n’ira pas plus, car il aura atteint la limite de votre mauvaise foi !
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@ sauvage
n’essayez pas de noyer le poisson..Il n’y a pas plus d’ingérence de la France dans les affaires ivoiriennes, que de l’ONU, de la communauté internationale, de l’Union Africaine.Il y a une demande unanime de respecter la sanction des urnes, honteusement baffouée par Gbagbo et son ami du Conseil Constitutionnel.Ce sont les ivoiriens qui le disent, comme le prouvent les articles et textes ivoiriens que j’ai proposés en lien.En l’occurence, pas besoin de beaucoup de neurones, pour reconnaître une forfaiture.Je ne sais pas quel est votre intérêt personnel à vous ranger dans le camp de Gbagbo, mais je ne vous reconnais aucune légitimité à invoquer la loi ivoirienne, ou à représenter l’avis majoritaire des Ivoiriens.Votre réaction sur Une lettre VENANCE KONAN à son amie Paul Yao N’dre président de la cour constitutionnelle de Côte d’Ivoire , peut-être ?Vous connaissez Venance Konan ? -
@ Sam Turlupine :
Et vous vous connaissez Jean Jacques Béchio ? Ancien énarque, diplomate et ancien représentant de la Côte d’Ivoire à l’ONU, il a déclaré que « l’ONU est en train de mettre le feu en Côte d’Ivoire ».
C’est bien beau de balancer des articles et opinions tout cuits, encore faut-il utiliser ces mêmes neurones auxquels vous faites référence, pour analyser par soi-même les faits et arguments des deux parties. Et non pas avec des béquilles intellectuelles ou mieux propagande de guerre tiède ou froide.
La France a des accords avec la Côte d’Ivoire depuis l’indépendance qui l’autorise un stationnement permanent de contingents militaires, les services publics, secteurs bancaires et marchés stratégiques de ressources sont détenus par des grands groupes français (Bouygues, Société Générale etc) On parle non pas d’échanges commerciaux équitables, mais de monopoles.
Vous avez raison : pourquoi parler d’ingérence quand en réalité il s’agit bel et bien de monopoles stratégiques que la France détient depuis des décennies et n’a pas l’intention de céder ?
Cela a toujours été le cas sous Houphouët et la France n’a aucune intention de changer de politique africaine, surtout en Côte d’Ivoire, son ancien grand miracle économique de l’Afrique de l’Ouest. Et quoi de mieux pour cela que de placer SON candidat, comme elle l’a toujours fait dans toutes les autres dictatures africaines francophones ?
Quoi de mieux pour garder la mainmise sur la Côte d’Ivoire que de la brider par des monopoles industriels, bancaires et commerciaux, tout en la rendant dépendante des subventions économiques, différentes aides ou politique structurelles drastiques du FMI et BM ou encore la surveillant étroitement par les conseillers militaires et fonctionnaires français omniprésents dans la politique ivoirienne ?
Les 14 anciennes colonies de la France sont toutes aujourd’hui en écrasante majorité fâchées avec la Démocratie et les droits de l’homme : Tchad (régime dictatorial perpétrant d’innombrables massacres d’opposants où Déby a été soutenu par son grand ami Chirac), Togo, Cameroun, Congo etc etc etc… Les fraudes massives électorales qui permettent aux dictateurs de se maintenir au pouvoir sont connues voire encouragées des politiques français, leurs permettant ainsi de conserver un système de corruption qui permet un accès facilité aux ressources. Relisez mes posts précédents ! Tout est expliqué ! Ou alors vous ne prenez même pas la peine de lire l’argumentaire des autres et pondez vos liens d’article pour seul argument ???
Lisez donc l’Afrique Trahie de Caplan, Françafrique ou Noir Silence et Procès de Verschaves, la Grande Désillusion de Joseph Stiglitz ou Franz Fanon : ce ne sont pas des journalistes mais bien des économistes, scientifiques et prix Nobels qui pointent du doigt l’ingérence, le néocolonialisme et l’exploitation systématique et organisée des puissances occidentales de l’Afrique. Non seulement de la France. Tous les mécanismes y sont disséqués.
Lisez donc. Instruisez-vous. Informez-vous. Pour de vrai. Avant de venir statuer péremptoirement et pompeusement sur une question que avez parcourue en surface, mais dont vous ignorez toute la complexité.
Ca nous évitera des remarques aussi inutiles.
Excellente journée.
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@ Sauvage
Tout ce que vous racontez sur les liens entre la France et les pays d’Afrique est connu.MAIS OUATTARA n’est pas le candidat de la France ; il est celui qui a été choisi par une majorité d’Ivoiriens, et EST le nouveau Président de la République, comme l’ont reconnu toutes les instances démocratiques, dont l’ONU, l’Europe, l’Union Africaine.Vous pouvez broder tant que vous voulez, la vérité c’est ça, et rien d’autre.D’ailleurs, que je sache, pendant ses 10 ans de règne, c’est bien Laurent Gbagbo qui a participé à mettre en place tous les réseaux d’influence dont vous parlez, qui a contribué à offrir des monopoles aux Bouygues et consorts, qui a profité de cette situation ; politiquement ET financièrement.Et vous viendriez maintenant jouer les père-la-pudeur ?Mais de qui vous moquez vous ?Il y a une question à laquelle vous n’avez pas répondu ; quel est VOTRE intérêt personnel à soutenir Gbagbo, à maintenir au pouvoir , un autocrate, qui refuse la sanction des urnes ?Quel est votre intérêt à dénier à la majorité du peuple ivoirien de choisir son président ?Quel est votre intérêt personnel à soutenir une forfaiture, privant les Ivoiriens de leurs votes ?Quel est votre intérêt personnel à entretenir une situation, qui a fait, à ce jour, près de 200 morts, en 5 jours, sous l’ordre du dictateur Gbagbo, et de ses chefs de guerre, dont le sanguinaire Charles Blé Goudé ?Tant que vous n’aurez pas répondu à ces questions, votre témoignage n’est pas crédible une seule seconde. -
@ sisyphe : Votre mauvaise foi n’a d’égal que votre strabisme intellectuel...
Dites-moi, vous, quel est votre intérêt à refouler à la réalité ? Votre confort petit-bourgeois ? Vos convictions nationalistes indéboulonables ?
Je fais parler les faits : vous trouverez ci-dessous les références à des ouvrages d’économistes et prix Nobel qui dénoncent et dissèquent les pillages organisées des puissances mondiales de l’Afrique.
Mes articles sont documentés et argumentés, contraitement à vos arguments qui se limitent au mythe d’organisations internationales depuis longtemps en crises, ne représentant plus les droits de l’hommes ! N’importe quelle personne, s’intéressant un minimum à la géopolitique le sait...
Enfin, ci-dessous un article pertinent et réaliste de l’association Survie sur la crise Ivoirienne.
Je vous laisse à votre langue de bois à l’argumentaire fallacieusement factice qui a de beaux jours devant elle.
Cordialement.
_____________________________________________________________________Côte d’Ivoire : la France pyromane ne doit pas jouer au pompier
Communiqué, le 23 décembre 2010
L’association Survie rappelle que la France porte une grande responsabilité dans la crise qui secoue la Côte d’Ivoire depuis 8 ans. Malgré ce que prétendent l’ONU et les puissances occidentales, les conditions n’étaient pas réunies pour éviter une large fraude, particulièrement au Nord du pays. La seule issue semble désormais l’apaisement entre les deux camps et non l’affirmation de la victoire de l’un sur l’autre. La France doit procéder au retrait de son opération militaire au profit de troupes internationales sous commandement onusien.
Pour la première fois de leur histoire, les citoyens ivoiriens ont voté dans une élection présidentielle véritablement pluraliste et ouverte. Malgré des conditions extrêmement défavorables, la participation fut massive. Mais depuis trois semaines, la Côte d’Ivoire est séquestrée par « deux présidents ». Tandis que l’un, Laurent Gbagbo, se crispe sur son pouvoir, la « communauté internationale » est en passe d’imposer l’autre, Alassane Ouattara, aux Ivoiriens.
Pour cerner l’immense responsabilité de la diplomatie française dans l’impasse que vit actuellement la Côte d’Ivoire, il est nécessaire de poser quelques jalons historiques.
À l’automne 2002, l’Élysée refuse l’application des accords de défense à une Côte d’Ivoire en proie à une rébellion armée approvisionnée par un pays voisin. Au contraire, un cessez-le-feu est imposé, entérinant la partition du pays.
En janvier 2003, lors des accords de Marcoussis, la diplomatie française impose l’entrée des rebelles dans le gouvernement ivoirien. À Abidjan, des manifestants refusent que les portefeuilles de la Défense et de l’Intérieur soient confiés aux rebelles, comme le prévoyait l’exécutif français.
En novembre 2004, un engrenage tourne au drame. Au cours d’une offensive aérienne de l’armée ivoirienne sur les zones rebelles, neuf soldats français de l’opération Licorne et un civil américain trouvent la mort. Craignant un putsch orchestré par l’armée française après qu’elle a détruit l’aviation militaire ivoirienne, des manifestants envahissent certains quartiers d’Abidjan. L’armée française tire sur des manifestants, faisant plus de soixante morts.
Les accords de Pretoria d’avril 2005 calquent la structure de la Commission Électorale Indépendante (CEI) sur le plan de table des négociations de Marcoussis, aboutissant à une surreprésentation des rebelles, assurant aux partis d’opposition une large majorité[1]. Dans la foulée, le Rassemblement des Houphouëtistes pour la Démocratie et la Paix (RHDP) est créé à Paris, réconciliant deux anciens ennemis[2], Henri Konan Bédié et Alassane Ouattara, autour d’un accord électoral destiné à assurer la victoire de l’un des deux sur Laurent Gbagbo. L’Union Européenne impulse, à travers les Nations Unies, un Programme d’Appui aux Processus Électoraux dont la CEI est le principal bénéficiaire. Le descriptif de ce programme[3] laissait déjà augurer un passage en force :
« Pour les prochaines échéances électorales, il est à prévoir que le problème de confiance se posera avec une acuité encore plus grande et exigera le recours à des pouvoirs décisionnels exceptionnels pour contrecarrer l’incapacité d’atteindre des consensus politiques en temps utile. »
Début 2007, depuis Ouagadougou, Michel de Bonnecorse, chef de la cellule africaine de l’Élysée sous Jacques Chirac, annonce que la fin de la rébellion n’est pas un préalable aux élections[4]. Quelques semaines plus tard, Laurent Gbagbo, Guillaume Soro, leader de la rébellion, et Blaise Compaoré, président du Burkina, signent les accords de Ouagadougou : Guillaume Soro devient premier ministre. Fin 2007, un accord complémentaire a pour unique objet de confier à la société française Sagem Sécurité le volet technique de l’élaboration des listes électorales[5].
Ce 2 décembre 2010, le Conseil Constitutionnel ivoirien, essentiellement favorable à Laurent Gbagbo, constate l’expiration du délai imparti à la CEI pour annoncer les résultats provisoires. En effet, la CEI a échoué à trouver un consensus sur l’ampleur d’irrégularités dans le scrutin. Le président de la CEI Youssouf Bakayoko se rend alors au Golf Hôtel, où se trouvent déjà Henri Konan Bédié, Alassane Ouattara, Guillaume Soro, le représentant du secrétaire général de l’ONU et les ambassadeurs français et américain. Ces derniers lui promettent protection jusqu’à l’aéroport, en échange de la proclamation de résultats. Bakayoko annonce la victoire de Alassane Ouattara devant les caméras occidentales. Le lendemain, le Conseil Constitutionnel annonce l’invalidation du scrutin dans sept départements de la zone contrôlée par les rebelles et la victoire de Laurent Gbagbo.
Prétendre organiser une élection satisfaisante sans mettre fin à la partition du pays[6] était absurde. On s’étonne qu’aucune autorité internationale ne l’ait exigé sérieusement. Malgré les énormes moyens mis en œuvre, le scrutin n’a pas offert les garanties brandies par l’ONU.
Croire que l’élection présidentielle sortirait la Côte d’Ivoire de la crise était un leurre. Aucun des candidats du second tour ne sera capable à lui seul de guérir la société ivoirienne de ses plaies. Ni Alassane Ouattara, l’économiste libéral qui a fait carrière dans les grandes institutions financières internationales, l’adepte des privatisations, des coupes dans les budgets sociaux et autres plans d’ajustement structurel, l’ami très apprécié de l’Élysée. Ni Laurent Gbagbo, le socialiste devenu rapidement allié des grands groupes français, le nationaliste souvent - et sans doute volontairement - ambigu.
Il est urgent que les initiatives d’apaisement soient privilégiées[7]. Si la « communauté internationale » a une once de bon sens, c’est dans cette voie qu’elle doit pousser les acteurs de cette crise et non dans le refus de voir la réalité et dans l’illusion qu’on peut imposer une solution de force à un pays divisé. Le risque est de plonger la Côte d’Ivoire dans la violence.
Nous demandons que tout soit fait, à commencer par le retrait de l’opération Licorne au profit d’un renforcement de l’ONUCI, pour la réconciliation des Ivoiriens et non pour assurer la victoire d’un camp sur l’autre, ce qui serait lourd de menaces pour l’avenir de la Côte d’Ivoire.
— Association Survie 107, boulevard Magenta 75010 Paris Tél : 01 44 61 03 25 Fax : 01 44 61 03 20[1] Par le jeu des alliances politiques, le président et trois des vice-présidents de la CEI sont favorables à Alassane Ouattara. Le quatrième vice-président est favorable à Laurent Gbagbo.
[2] Au milieu des années 90, la Cellule Universitaire de Recherche et de Diffusion des Idées du Président Henri Konan Bédié promeut l’ivoirité. Cette notion aux forts relents xénophobes fut instrumentalisée pour écarter Alassane Ouattara de la vie politique ivoirienne.
[3] Programmes d’Appui au Processus Électoral CIV-46362 (2006-2007, 58 millions de dollars) et CIV10-57717 (2008-2011, 75 millions de dollars) du Programme des Nations Unies pour le Développement.
[4] « Le but des pays raisonnables est qu’il y ait des élections libres et honnêtes en octobre [2007], ce qui donnera un président légitime qui sera soit élu, soit réélu, et c’est à ce président de mettre un terme à cette crise. »
[5] Le montant du contrat dépasse finalement les 200 millions d’euros. Filiale du groupe Safran, Sagem Sécurité est devenue Morpho.
[6] Les accords de Ouagadougou exigeaient le désarmement des rebelles et le rétablissement de l’État de droit sur tout le territoire. Sur la reconversion de la rébellion dans l’économie de guerre, consulter les rapports du groupe d’experts ad’hoc de l’ONU.
[7] Par exemple celle de la Convention de la Société Civile Ivoirienne. En outre, on attend la publication du rapport de la mission de Thabo Mbeki. Ce dernier avait contribué à faire retomber la pression après les événements de novembre 2004.
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@calmos
les mêmes instances internationales ont laissé Karzai en Afghanistan , sont elles impartiales ?
mais c’est une affaire exclusivement ivoirienne , qu’ils règlent eux même le blème ! -
En effet, Calmos, les pirogues continueront de tenter la traversée. Savez-vous pourquoi ?
Les pays africains sont les principaux fournisseurs de ressources minières ou matières premières telles que le cuivre, le cobalt, l’uranium, le zinc ; les diamants, or, argent, platine ; charbon, schistes bitumineux, pétrole, gaz ; coton, cacao, café etc... La liste est longue.
La liste des multinationales canadiennes, américaines, françaises et autres qui ont exploités et continuent à exploiter ces ressources sur le sol africain au mépris des règles environnementales, est encore plus longue.
Sachez que les contrats que ces multinationales signent avec les dirigeants africains (dictateurs pour la plupart proches des politiques occidentaux) sont des quasi monopoles.
Voila pourquoi les pirogues vont continuer à arriver en Occident. Les puissances occidentales ne peuvent décemment pas penser continuer l’exploitation sous-marines des ressources africaines, en créant misère et pollution en passant, et croire que la misère ne les rattrapera pas !
Puissances occidentales soutenues par les politiques drastiques des ’soi-disant’ aides financières des FMI ou Banque Mondiale qui maintiennent et accentuent la misère africaine.
Il faut analyser le problème à sa source, et non pas hurler à l’invasion des sauvages en bon français chauvin à la vue des Africains de Barbès.
Pour plus d’informations, n’hésitez pas à vous reporter à l’ouvrage de Joseph Stiglitz, prix Nobel d’Economie, qui démontent dans la Grande Désillusion les fausses idées que l’on se fait des ’aides’ internationales aux pays du tiers Monde. Ainsi que Noir Silence, de François Xavier Verschaves qui dénoncent les complicités des dictateurs africains avec les politiques français de tous bords (gauche, droite etc).
Pour ce qui est de la Côte d’Ivoire, le débat est très simple : ce pays n’avait pas de Constitution digne de ce nom avant les années 2000, alors que l’indépendance date de 1960.
Les groupes Bouygues et Bolloré y sont en position de monopoles depuis des années, quant à l’armée française, c’est encore plus limpide —> elle n’est jamais partie de la Côte d’Ivoire depuis son Indépendance.Vous en connaissez, vous, des contingents militaires sénégalais, américains ou chinois stationnés en banlieue parisienne ?
Vous le connaissez, vous, le pays qui oserait défier le Conseil Constitutionnel français en cas d’élection présidentielle pour placer Ségolène au pouvoir à la place de Sarkozy en cas de litiges posts électoraux ?
Mieux que ça, aller installer Ségolène au pouvoir en la soutenant par les armes et les menaces ?
Appliquée à la France, ce scénario devient vite comique... Appliquée à une République Africaine, il est banal, entendu, normal. Arrêtons la banalisation de l’assistance africaine par les occidentaux !
Ce qui se passe aujourd’hui est une question d’Indépendance et Souveraineté Ivoirienne : la Côte d’Ivoire n’a aucun ordre a recevoir de Sarkozy, Obama ou toute autre institution internationale. Les déçus des élections patientent 5 ans. Et s’organisent en opposition.
C’est comme cela que cela se passe dans les Démocraties.
Ils ne prennent pas les armes. Ils n’appellent pas leurs partisans à prendre les armes. Ils ne sont pas soutenus par des milices armées responsables d’exactions et crimes.
Du reste, pour information, la promulgation de Choi, à la tête d’une Institution dite pacifique (donc qui règlerait les conflits au lieu de les attiser) et non politique, des résultats de l’élection ivoirienne se base sur un comptage manuel. Le comptage électronique a démontré des bourrages d’urnes dans le Nord, toujours aux mains des Rebelles, qui n’ont pas été désarmés, en dépit des différents accords qui se sont succédés depuis le début de la crise Ivoirienne.
Enfin, les Africains cesseront d’affluer dans les pays occidentaux quand les puissances occidentales cesseront de manipuler des pantins-dictateurs africains qui monopolisent les richesses de leurs pays, et pourront correctement travailler, étudier et vivre dans leurs propre pays. C’est une question de logique.
Les Africains cesseront d’affluer en Occident quand les citoyens occidentaux cesserez d’analyser avec mépris la Misère de l’Afrique, et réaliserons que leur confort quotidien n’est rien d’autre que sacrifices de milliers d’africains.
Je finirais en citant Chirac : « Ce continent, nous lui avons d’abord pris ses richesses. C’est curieux, disait-on alors, ces Africains ne sont bons à rien. Puis les colons ont envahi ses bois sacrés, pillant le cœur même du chamanisme. C’est étrange, s’étonnait-on, ces gens-là n’ont pas de culture. Aujourd’hui, on agit de même, mais avec plus d’élégance. L’Occident leur pique leurs cerveaux, par le biais d’une institution condamnable : les bourses. Il s’agit là, à mes yeux, d’une autre forme d’exploitation. Soyons clairs : on s’est bien enrichi à ses dépens. Nous devons, c’est vrai, encourager la marche vers la démocratie. Mais sans arrogance, sans humilier. »
Excellente soirée. -
En effet, Calmos, les pirogues continueront de tenter la traversée. Savez-vous pourquoi ?
Les pays africains sont les principaux fournisseurs de ressources minières ou matières premières telles que le cuivre, le cobalt, l’uranium, le zinc ; les diamants, or, argent, platine ; charbon, schistes bitumineux, pétrole, gaz ; coton, cacao, café etc... La liste est longue.
La liste des multinationales canadiennes, américaines, françaises et autres qui ont exploités et continuent à exploiter ces ressources sur le sol africain au mépris des règles environnementales, est encore plus longue.
Sachez que les contrats que ces multinationales signent avec les dirigeants africains (dictateurs pour la plupart proches des politiques occidentaux) sont des quasi monopoles.
Voila pourquoi les pirogues vont continuer à arriver en Occident. Les puissances occidentales ne peuvent décemment pas penser continuer l’exploitation sous-marines des ressources africaines, en créant misère et pollution en passant, et croire que la misère ne les rattrapera pas !
Puissances occidentales soutenues par les politiques drastiques des ’soi-disant’ aides financières des FMI ou Banque Mondiale qui maintiennent et accentuent la misère africaine.
Il faut analyser le problème à sa source, et non pas hurler à l’invasion des sauvages en bon français chauvin à la vue des Africains de Barbès.
Pour plus d’informations, n’hésitez pas à vous reporter à l’ouvrage de Joseph Stiglitz, prix Nobel d’Economie, qui démontent dans la Grande Désillusion les fausses idées que l’on se fait des ’aides’ internationales aux pays du tiers Monde. Ainsi que Noir Silence, de François Xavier Verschaves qui dénoncent les complicités des dictateurs africains avec les politiques français de tous bords (gauche, droite etc).
Pour ce qui est de la Côte d’Ivoire, le débat est très simple : ce pays n’avait pas de Constitution digne de ce nom avant les années 2000, alors que l’indépendance date de 1960.
Les groupes Bouygues et Bolloré y sont en position de monopoles depuis des années, quant à l’armée française, c’est encore plus limpide —> elle n’est jamais partie de la Côte d’Ivoire depuis son Indépendance.Vous en connaissez, vous, des contingents militaires sénégalais, américains ou chinois stationnés en banlieue parisienne ?
Vous le connaissez, vous, le pays qui oserait défier le Conseil Constitutionnel français en cas d’élection présidentielle pour placer Ségolène au pouvoir à la place de Sarkozy en cas de litiges posts électoraux ?
Mieux que ça, aller installer Ségolène au pouvoir en la soutenant par les armes et les menaces ?
Appliquée à la France, ce scénario devient vite comique... Appliquée à une République Africaine, il est banal, entendu, normal. Arrêtons la banalisation de l’assistance africaine par les occidentaux !
Ce qui se passe aujourd’hui est une question d’Indépendance et Souveraineté Ivoirienne : la Côte d’Ivoire n’a aucun ordre a recevoir de Sarkozy, Obama ou toute autre institution internationale. Les déçus des élections patientent 5 ans. Et s’organisent en opposition.
C’est comme cela que cela se passe dans les Démocraties.
Ils ne prennent pas les armes. Ils n’appellent pas leurs partisans à prendre les armes. Ils ne sont pas soutenus par des milices armées responsables d’exactions et crimes.
Du reste, pour information, la promulgation de Choi, à la tête d’une Institution dite pacifique (donc qui règlerait les conflits au lieu de les attiser) et non politique, des résultats de l’élection ivoirienne se base sur un comptage manuel. Le comptage électronique a démontré des bourrages d’urnes dans le Nord, toujours aux mains des Rebelles, qui n’ont pas été désarmés, en dépit des différents accords qui se sont succédés depuis le début de la crise Ivoirienne.
Enfin, les Africains cesseront d’affluer dans les pays occidentaux quand les puissances occidentales cesseront de manipuler des pantins-dictateurs africains qui monopolisent les richesses de leurs pays, et pourront correctement travailler, étudier et vivre dans leurs propre pays. C’est une question de logique.
Les Africains cesseront d’affluer en Occident quand les citoyens occidentaux cesserez d’analyser avec mépris la Misère de l’Afrique, et réaliserons que leur confort quotidien n’est rien d’autre que sacrifices de milliers d’africains.
Je finirais en citant Chirac : « Ce continent, nous lui avons d’abord pris ses richesses. C’est curieux, disait-on alors, ces Africains ne sont bons à rien. Puis les colons ont envahi ses bois sacrés, pillant le cœur même du chamanisme. C’est étrange, s’étonnait-on, ces gens-là n’ont pas de culture. Aujourd’hui, on agit de même, mais avec plus d’élégance. L’Occident leur pique leurs cerveaux, par le biais d’une institution condamnable : les bourses. Il s’agit là, à mes yeux, d’une autre forme d’exploitation. Soyons clairs : on s’est bien enrichi à ses dépens. Nous devons, c’est vrai, encourager la marche vers la démocratie. Mais sans arrogance, sans humilier. »
Excellente soirée. -
« Nous fuyons la Misère, l’absence d’Avenir et la Guerre. »
Malheureusement il semble que tous vos problèmes sont en train de vous rattraper. L’Europe n’a plus rien à offrir et il me semble que les motivations qui poussent les africains à émigrer ne trouvent pas de réponses à l’arrivée. Et si on se met à fuir dés qu’une dictature se met en place il ne restera bientôt pas beaucoup d’endroit sur terre pour accueillir tous les réfugiés . Je propose donc que chacun reste chez soi et se batte sur son sol pour ce qu’il estime être en droit d’attendre de son pays. Je ne suis pas pour la guerre civile et pour faire tomber des têtes, mais si c’est le prix à payer pour pouvoir vivre en homme libre dans des conditions respectables alors je n’hésiterai pas . Et il me semble bien que nous en prenons le chemin .-
Ce que vous dites est tout a fait exact, sauf que s’il y en a qui doivent commencer par rester chez eux, ce sont les Francais.
Virons toutes nos société qui exploitent les ressources naturels des sols africians. Arretons de le ur vendre des armes, et d’armer les groupes de rebelles qui sont les plus enclins à vendre les ressources naturelles qi appartiennent aux Africians. Bref arretons de les exploiter, de les saigner à blanc comme nous faisons depuis la colonisation, et puis après laissons les se developper, exploiter leur propres ressources, et disposer d’une économie locale viable...
Pourquoi Elf, Bollore, BNP et autres investissent autant d’argent en Afrique ?
Si nous récuperons une part de la main d’oeuvre des pays afrcains, eux voient leur ressources naturelles volées, achetés pour des miettes de pains, par des dictateurs avides de pouvoirs, qui nous n’avons céssé de mettre en place et de soutenir...
L’immigration africiane n’est que la conséquence de nos actes !
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Les immigrés sont une très bonne affaire pour l’économie française : ils reçoivent de l’Etat 47,9 milliards d’euros, mais ils reversent 60,3 milliards. Autant dire un solde positif de 12,4 milliards d’euros pour les finances publiques, qui ne représente pourtant que la part monétaire de transferts bien plus importants. Dans ce pays de 64,7 millions d’habitants, 6,5 millions de Français comptent au moins un immigré dans leur famille. Les chiffres de l’immigration légale sont très fluctuants. En France, on recense environ 5,3 millions de résidents étrangers avec leurs familles.
Une équipe de chercheurs de l’université de Lille, sous la direction du Pr Xavier Chojnicki, a réalisé pour le compte du ministère des Affaires sociales une étude sur les coûts de l’immigration pour l’économie nationale. Travaillant sur des chiffres officiels, les chercheurs ont décortiqué tous les grands postes de transfert des immigrés. Il en ressort un solde très positif. Les chercheurs ont remis leur rapport en 2009, au terme de trois ans d’études. Les 47,9 milliards d’euros que coûte l’immigration au budget de l’Etat (2009) sont ventilés comme suit : retraites, 16,3 milliards d’euros ; aides au logement, 2,5 milliards ; RMI, 1,7 milliard ; allocations chômage, 5 milliards ; allocations familiales, 6,7 milliards ; prestations de santé, 11,5 milliards ; éducation, environ 4,2 milliards.
De leur côté, les immigrés reversent au budget de l’Etat, par leur travail, des sommes beaucoup plus importantes : impôt sur le revenu, 3,4 milliards d’euros ; impôt sur le patrimoine, 3,3 milliards ; impôts et taxes à la consommation, 18,4 milliards ; impôts locaux et autres, 2,6 milliards ; contribution au remboursement de la dette sociale (CRDS) et contribution sociale généralisée (CSG), 6,2 milliards ; cotisations sociales, environ 26,4 milliards d’euros.
A ce solde positif de quelque 12,4 milliards d’euros il faut ajouter d’autres revenus pas toujours monétaires, mais d’une grande importance sociale et économique : les immigrés occupent l’immense majorité des emplois dont les Français ne veulent pas, et 90 % des autoroutes ont été et sont construites et entretenues avec de la main-d’œuvre étrangère. Sans immigrés, les prix à la consommation (produits agricoles et autres) seraient bien plus élevés, la main-d’œuvre étrangère étant bien moins payée.
La comptabilité réalisée par les chercheurs de l’université de Lille fait ressortir aussi de profonds changements sociaux. Majoritairement jeunes, les immigrés sont de grands consommateurs : comme nous venons de le voir, ils versent environ 18,4 milliards d’euros à l’Etat sur leurs dépenses personnelles, notamment en TVA. Les immigrés ont modifié en profondeur le sport et les arts populaires français : la grande majorité des footballeurs de haut niveau sont issus de l’immigration, et les artistes d’origine immigrée, noirs et maghrébins, peuplent le Top 50 de la chanson populaire.
Parallèlement, de nombreux métiers, en particulier dans les services, ne fonctionnent en France que grâce à l’immigration. Plus de la moitié des médecins hospitaliers dans les banlieues sont étrangers ou d’origine étrangère. Pas moins de 42 % des travailleurs des entreprises de nettoyage sont des immigrés. Plus de 60 % des ateliers de mécanique automobile de Paris et de la région parisienne appartiennent à des mécaniciens et petits entrepreneurs d’origine étrangère.
Dans un domaine aussi crucial que l’avenir du système des retraites, les immigrés jouent un rôle des plus favorables. Le très officiel Comité d’orientation des retraites est parvenu à cette conclusion : “L’entrée de 50 000 nouveaux immigrés par an permettrait de réduire de 0,5 point de PIB le déficit des retraites.”
Xavier Chojnicki commente ces résultats en ces termes : “Il s’agit d’un processus historique lié à la structure de la population immigrée, majoritairement jeune. Comme ils sont peu qualifiés, les immigrés sont très souvent au chômage. Mais ils dépensent aussi beaucoup et sont très entreprenants. Les pensions que nous versons aux retraités sont plus que compensées par la consommation et les cotisations sociales que paient les plus jeunes, parmi lesquels on trouve des gens très dynamiques.”
Source : http://www.courrierinternational.com/article/2010/12/02/les-tres-bons-comptes-de-l-immigration
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Oh oui j’ai lu l’article, et à aucun moment le monsieur se plaint de sa condition en France, mais de sa condition d’africain, chez lui, en Côte d’Ivoire.
Donc ça ne sert à rien de venir ici lui dire de rentrer chez lui, il y est déjà.Donc vous sautez sur l’occasion pour venir vomir votre xénophobie, comme sur tous les fils où vous passez. Vous n’aimez pas les noirs et les arabes, c’est votre droit, mais un peu de retenue s’il vous plait. Vous mettez tout le monde dans le même sac (malien, ivoirien, congolais, ghanéen ...) alors que leurs problématiques sont différentes, voire même à l’opposé.D’ailleurs, on voit bien que vous vous n’avez pas lu l’article pour ne pas comprendre ce que demande l’auteur.Ciao. -
@ Juluch,
Autant pour moi, le monsieur est français. -
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Ce paternalisme empreint de racisme est tout simplement immonde.
Relisez-vous... -
@ Juluch — « Sans déconner » vous en avez d’autres dans votre vocabulaire ?
Non, sérieusement, parce qui si votre analyse de la crise ivoirienne est à la hauteur de votre vocabulaire, il y a à craindre que celle-ci soit ’indigente’ !
« Rentrez tous chez vous si les occidentaux sont des saligauds exploiteurs ! »— mais je suis chez moi, ne vous en faites strictement pas.
Du reste, vous n’avez AUCUN ordre à donner à hauteur de votre ignorance criarde.
Avant de venir parler au nom de tous les Français, assurez-vous d’abord de la connaitre, votre propre Histoire.
L’histoire de la Belle France collabo du Gouvernement Vichy, l’Histoire de la Belle France qui a institutionnalisée la torture pendant la Guerre d’Algérie, l’Histoire de la France mittérrandienne qui a soutenu le gouvernement Habyarimana dans ses exactions de Tutsis !
Oh non, j’ai beaucoup mieux, connaissez-vous votre propre Géographie et pouvez-vous me citer une seule ressource naturelle stratégique ou matière première dont le sol Français regorgerait ? Les croissants et camembert ne comptent pas !
La puissance politique, stratégique et économique moderne de la France a un prix. Celui de pillages systématiques passés, actuels et certainement futurs de pays du tiers Monde, à coup, d’abord de colonisation, puis de néo-colonisation, en passant par des coups d’états, financements de rebellions et autres politiques du gouvernement de De Gaulle et son mythique Foccart, fondateur du réseau Françafrique qui a soutenu, corrompu et placé à la tête des pays Africains des illustres dictateurs tel Bongo, Biya, Bokassa, Mobutu ou Mougabé.
Oh mais, que dis-je, autant de nouveaux mots pour vous d’un seul coup doivent être tétanisants pour vous...
Allons donc, remballez votre racisme primaire pour aller l’agiter devant vos comparses du FN. Eux adorerons votre argumentaire basique ’nous être forts et eux être sales, paresseux et incapables’.
Excellente soirée.
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Pour info, je suis Français, chez moi, en France. Désolé d’être la cause de votre déception !
Les faits, chiffres et arguments seront donnés à tous les intervenants qui ont pris la peine de lire et commenté l’article.
Excellent après-midi.-
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Gaffe !
Le chef de la milice Juluch veille !il va vous obliger à sortir vos papiers ; au besoin de force...
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Je peux toujours te passer du papier Q, si tu as besoin...
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Le plus étonnant, c’est que sur les dizaines de millions d’africains qui ont bénéficiés de l’éducation dans les pays occidentaux (tient là on ne parle pas de pillage), combien repartent vers l’Afrique de leurs ancêtres pour tenter de construire le pays ? Si peu.
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Par courageux_anonyme (xxx.xxx.xxx.217) 21 décembre 15:35Le plus étonnant, c’est que sur les dizaines de millions d’africains qui ont bénéficiés de l’éducation dans les pays occidentaux (tient là on ne parle pas de pillage)
Bah oui ; c’est tellement plus pratique...
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Je suis d’accord avec vous sur le fait que beaucoup d’Africains souffrent de la misère, des guerres civiles, du banditisme et des exactions des politiques. Mais, ce ne sont pas les plus pauvres qui partent en Europe. Ils restent chez eux car ils n’arrivent pas à trouver l’argent pour partir. Certes, les familles peuvent se cotiser, mais une famille de pauvre arrive péniblement à réunir quelques centaines d’euros ou de dollars et il en faut des milliers. Il existe un nombre non négligeable d’escrocs, de voleurs et d’aigrefins qui quittent leur pays avec l’argent volé ou détourné car ils risquent la prison ou les représailles des victimes chez eux.
Par contre, nombreux sont les ouvriers et paysans, ainsi que les membres de la classe moyenne honnête et travailleuse qui restent chez eux et font fructifier et se développer leur pays.
Ces sapeurs, ballados et petits voyous que l’on retrouve à Château-d’Eau ou Barbès étaient souvent déjà des délinquants en Afrique et donnent une image totalement fausse du Continent, sans parler des petites canailles venues de Trechville
Ils arrivent hélas à apitoyer une gauche angélisée qui ne connait rien à l’Afrique
Et l’Afrique, ce n’est pas uniquement la misère, certains pays ont une croissance supérieure à 6% comme le Ghana, l’Ouganda
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certains pays ont une croissance supérieure à 6% comme le Ghana, l’Ouganda
c’est facile quand on a rien , de faire en sorte d’avoir trois fois rien , soit une croissance à 200% ! -
Bonsoir Sauvage.
Dans le problème de ce pays, j’ivoirien (pardon, c’est plus fort que moi.) de différent avec la France. Nous avons deux parties politiques aussi tricheurs que chez vous. Mais vous dites :
« Aujourd’hui, la France, Patrie des Droits de l’Homme, soutient des groupuscules rebelles en Côte d’Ivoire pour imposer, de gré ou de force, un candidat dont les Ivoiriens ne veulent pas. »
Petite rectification, si vous voulez bien :
Aujourd’hui, la France, Ex patrie des droits de l’homme, est soutenue par des grands groupes bancaires qui veulent nous imposer par les médias, un homme du FMI, dont les Français ne veulent pas.
Bienvenu dans la démocratie moderne. On peut vous envoyer les mammouths du parti socialiste, ils ont des défenses…….. Oui en ivoire, (c’est bien, vous suivez.) .
Plus sérieusement, c’est au peuple de choisir son destin. Comment prendre position sans vivre sur place. Je n’ai pas confiance aux médias.
1789, ce n’était pas une partie de plaisir. C’était une étape pour une certaine conception de la liberté.
Cordialement.
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Article qui aurait pu s’avérer intéressant si l’auteur n’était pas un escroc : dans un premier temps, il s’affirme comme appartenant à la communauté africaine puis, plus tard dans les commentaires, se dévoile comme étant français. Finalement le bobo stigmatise beaucoup mais se contente d’observer pour alimenter son besoin de moralisme qu’il saura lancer à la face d’autrui mais qu’il sera incapable d’appliquer à lui-même.
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La morale est en effet difficile à approcher pour certains : les méthodes pour la contourner et éviter le débat sont le relativisme, minimisation ou encore étiquetage passablement risibles, en somme.
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HONTE POUR CET ARTICLE !
Je suis IVOIRIEN moi ! Et je suis en Côte d’Ivoire même en ce moment !
J’ai voté à Abidjan, et je n’ai pas voté Gbagbo, loin de moi une pareille idée !
Dans mon quartier, parmi mes frères, mes amis, mes collègues, tout mon entourage... aucun n’a voté Gbagbo ; le ressentiment amer est tel que chaque jour on espère faire la fête de la libération... quand enfin on entendra Gbagbo est tombé !
Cet article est un immense mensonge, une désinformation !
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Honte, dites-vous ? Vous pouvez avoir honte, en effet… Nous aussi on baigne dans la propagande médiatique et impérialiste.
Les élections sont un moment intense dans une Démocratie : le peuple vote et affirme son choix pour l’avenir, en se divisant en 2 camps politiques distincts au second tour.
Il y a toujours un gagnant et un perdant. L’insatisfait s’organise en opposition et attend 5 ans.
Mais les choix du peuple ou de l’institution souveraine qu’est le Conseil Constitutionnel sont fondamentaux pour construire une Démocratie !
Quelle Côte d’Ivoire voulez-vous construire avec un Ouattara qui ne respecte pas ses propres Institutions ?
Quelle Côte d’Ivoire voulez-vous construire avec un Ouattara prêt à s’emparer du pouvoir par les armes, les bains de sang, coups d’états et rébellion ? Avez-vous déjà vu de telles représailles en Occident Moderne ? Soyons sérieux quelques secondes ! On peut contester les résultats d’un scrutin mais strictement pas prendre les armes pour basculer son Pays dans la violence !
Un opposant qui emploie de telles méthodes et s’allie à des Rebelles est, tout comme le nom de rebelles l’indique, un Antidémocrate et un criminel de guerre prêt à tout.
Demanderiez-vous à un terroriste de gouverner un pays ? Un rebelle n’est rien d’autre qu’un terroriste responsable d’exactions et pillages en tous genres. Guillaume Soro est un Rebelle.
Messieurs Ouattara et Soro peuvent donc retourner à la direction des FMI ou autre groupuscules armées.
Ils peuvent aussi accepter leur défaite, déposer les armes et aider à la reconstruction de leur pays, en se joignant à l’équipe du gouvernement de Gbagbo, pacifistes et universitaires, pour donner un sens au mot Démocratie conjuguée à l’Afrique Moderne !
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Très bel article, qui évoque la différence fondamentale entre la légalité et la légitimité...L’ Afrique aux africains et la France dehors !
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Les Africains éduquéspreférent largement vivre dans cet occident qu ils conchient journelement . Le malheur est monsieur que ces africains eduqués au lieu de retrousser leurs manches se sont débiné et laisse le si courageux si seul petit peuple africain totalement abandonné face au prevaricateurs que des gens comme vous soutiennent !toute ma compassion vas aux africains vivant l enfer quotidien auquel les condamnent les potentat locaux aux ordres des multinationales.
Potentats possedant hotels particuliers par dizaines ici et laissant le peuple africain crever , mon mépris le plus total vas aux avocats journalistes architectes medecins africains passant leur temps à pleurnicher le colonialisme et leur négritude ventre plein et cul au chaud ici en occident
je ne vous salue pas !-
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Mais ne me saluez donc pas si vous pensez avoir la science infuse : avant de cracher sur les cadre supérieurs africains vivant en Occident, renseignez-vous d’abord pour savoir si la classe moyenne existe dans les pays africains, à combien s’élève donc un salaire de fonctionnaire, d’enseignant-chercheur ou médecin en Côte d’Ivoire ou ailleurs en Afrique ! Renseignez-vous d’abord sur le nombre de conflits armés financés par des lobbies politico-industriels occidentaux et comment brident-ils le pouvoir.
C’et bien facile de pérorer dans un pays en Paix avec son SMIC qui tombe tranquillement à la fin de chaque mois !
Vous pouvez cracher sur les Noirs d’Occident à hauteur de votre condescendance nationaliste et votre Haine Raciste viscérale, mais elle ne touche personne, et surtout pas le réel débat : relisez l’article, j’y précise bien que la Côte d’Ivoire s’oppose aujourd’hui au Paternalisme des réseaux Françafricains de la France de Foccart et à la mainmise de la France sur notre économie, industries, ressources et politique pour que les Ivoiriens reconstruisent leurs propre pays eux-mêmes.
Oh pardon, c’est écrit entre les lignes, et pour le lire, encore faudrait-il avoir des connaissances historiques minimales…
Lamentable de voir comment c’est facile de taper sur les Africains et en parallèle difficile de reconnaître les pillages occidentaux des français (nos pillages) ainsi que notre collaboration aux Dictatures africaines pour un accès facilité aux ressources.
Dans tous les cas, vous pouvez agiter votre éventail d’arguments racistes, que ça ne m’empêchera pas d’affirmer que la richesse et puissance de la France occidentale est en grande partie basée sur le colonialisme et l’exploitation néocolonialiste quasi monopolistique qu’elle se dispute avec d’autres puissances mondiales encore aujourd’hui !
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La classe moyenne existe de plus en plus en Afrique en milieu urbain
Un bon paramètre est le nombre croissant de femmes qui conduisent, ce qui veut dire soit bon salaire pour s’acheter une occasion japonaise ou mari, père, amant capable d’acheter un second véhicule
Cette classe moyenne aime consommer, faire la fête, mais ne claque pas autant que l’oligarchie politico administrative qui détourne de façon outrancière -
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Hm… Je vous remercie pour vos précisions sur la classe moyenne africaine qui reste vague et ne prouve rien.
C’est simple, prenez l’exemple de la Côte d’Ivoire : Abidjan a été le centre économico-culturel de la Côte d’Ivoire pendant des décennies. Français expatriés et investisseurs étrangers y ont coulés des jours heureux, avec l’accueil chaleureux des ivoiriens. Les mêmes que l’on a taxé de racistes anti-blanc alors qu’aucun expat n’a jamais été inquiété par un problème de visas, titre de séjour ou attaque physique pendant des décennies. Bien au contraire.
Ouattara, Chef de gouvernement d’Houphouët dans les années 90 a dévalué le F CFA, divisé le salaire des fonctionnaires en 2, introduit le phénomènes des loubards dans les manifs pacifiques des étudiants (phénomène qui perdure et travers des continents puisque ces sbires sont venus cassé du Pro Gbagbo le 19 Décembre à République, à Paris, à coups de bars de fer et chaises de terrasse de café) ; ainsi que fermés tous les Internats d’études qui ont permis à la génération ivoirienne de l’Indépendance d’obtenir des bourses d’études et accéder à l’enseignement supérieur.
Voilà le visage de Ouattara, candidat de l’occident et du FMI.
Quant à notre pays, à part Abidjan et surtout ses quartiers résidentiels, où quelques ivoiriens survivent en gravitant dans les cercles luxueux des expats, politiciens et capitaines d’industries, Adjamé est pauvre, Bingerville est pauvre ! Le reste du pays l’est tout autant, soit plongé dans l’analphabétisme, soit sous contrôle des rebelles, armés et soutenu par on ne sait qui mais en tout cas jamais désarmé à l’initiative de la France. Bien au contraire.La classe moyenne dont vous parlez, c’est quelques heureux qui gravitent autour de l’élite franco-ivoirienne !
Le salaire d’un enseignant-chercheur, lui, ne dépasse pas 800 euros. Et encore, c’est généreux. A titre comparatif, Ouattara avait reduit le salaire des fonctionnaires en 2. Celui-ci, en revanche, n’a jamais été menacé même en temps de guerre, et surtout ces derniers temps, sous le gouvernement de Gbgagbo, si grand ‘villageois et dictateur’… ‘Dictateur’ qui s’est pourtant évertué a gouverné son pays, que dis-je, une moitié de pays sans qu’en face la France ne dénonce jamais la présence de rebellions et criminels dans le Nord !
Soyons clairs : Ouattara représente les intérêts d’une petite élite qui concentre les richesses du pays ! Et vu comment il envoie au casse-pipe des ivoiriens pour faire un coup d’état, c’est clair qu’il n’en a cure ni de la démocratie, ni de la classe moyenne et encore moins des simples ivoiriens et leur condition.
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@ juluch :
Et vous qui vous dites ‘pas raciste’ avez une fâcheuse manie de remettre sur le tapis la question de la nationalité.
C’est une chose que l’on n’apprend pas au FN, mais on peut PARFAITEMENT être français, et RECONNAÎTRE la responsabilité de la France dans de nombreux conflits africains. Et ça n’est pas être anti-français, que de dénoncer toutes les magouilles politiciennes françaises au nom de la grandeur de la France.
Avez-vous répondu à ma question et m’avez-vous donné une seule ressource française ? Il ne suffit pas de répondre ‘on paye les pays étrangers et leurs dictateurs corrompus’ pour se dédouaner de ce que la France fait dans ses ex colonies. La France plaçait des dictateurs dans ses anciennes colonies par le biais des réseaux Foccart, en écrasant toute tentative d’opposition à la Dictature africaine dès qu’elle apparaîssait. Et oui, contrairement à ce qu’on fait croire, les africains se sont opposés aux nombreuses dictatures qui gangrènent leurs Pays.
Mais toutes ces oppositions étaient violemment écrasées par la cellule Françafrique : assassinat de Patrice Loumoumba au Congo, destitution du pouvoir par un coup d’état (oh surprise) de Kouamé Nkrumah au Ghana ou Sékou Touré en Guinée, sans oublier Thomas Sankara en Haute Volta (Burkina).
Quant au prix des matières premières, le témoignage scandaleux de Le Floc Prigent, ex dirigeant d’Elf, confirme que le pétrole du Gabon était vendu au groupe à des prix risibles avec la complicité de Bongo, grand ami ou marionnette de Foccart. Les témoignages existent : en films, en livres, sur Internet. Il suffit juste de chercher.
Et oui, on peut être français et connaître son Histoire. Car il ne suffit pas de dire : j’aime aveuglement la France donc je ne la critique pas !
Aimer son pays c’est aussi aborder son Histoire dans toute sa complexité : le problème d’immigration est directement lié aux phénomènes de pillages passés. Et oui, notre confort français et occidental a été payé au prix fort et nos politiciens français ont les mains sales.
Ca craint, pour des chauvins et racistes de reconnaître que vous devez quelque chose aux Africains et que la grandeur de la république Française a une part d’ombre et horreur.
C’est pourtant la réalité.
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yep pas la science infuse moi , mais je connais et je sais qui fait quoi et qui donne des leçons culs au chaud , je me demande d’ailleurs comment vas vivre l afrique avec ces nouveaux copains chinois ;Et ne vous méprenez pas je suis sur que la solution du probeme africain
ce sont les africains eux meme comme par exemple en RSA ou une oligarchie ethniquement homogene à 96% c’est coulée dans le costume des africaaners et ou puisque vous semblez
au fait de tout les chiffres de l oms et de l oua annonce une perte de l’esperance de vie d’un noir de 9 ans ou le taux d’alphabetisation qui etait un des plus elevé d’afrique est en chute libre doublé chez les fille ou la caste dirigeante detourne les aides de l oms en laissant le sida ravager les towship je vous parle d’un autre de vos pote comme Mugabé qui vas faire
redecouvrir la famine a une region qui ne la jamais connue !estce a dire que je regrette l apartheid si je vous dis que l afrique compte son lot de sombre connards a la gueule desquels de pseudo eduqués non pas les tripes de cracher mais preferes comme vous servilement défendre et pleurnicher sur un occident qu ils copient jusqu’a y installer familles et commensaux !
j’ ai aimé l afrique monsieur celle de pauvres gens survivants debout dans un enfer crée
par une connerie bicolore dont vous procédez ! -
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Et puis si Gbagbo s’oppose à la France c’est à cause de son alignement derrière les néocons américains et les évangélistes
Evincer les Français et les cathos en faveur des Américains tel était le programme de Gbagbo-
@ Yang : et c’est pour ça que la « Communauté internationale » autrement dit, Washington, soutient Ouattara ?
Vous voulez nous faire prendre des vessies pour des lanternes ?
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Elles étaient où, la France et la communauté internationale, en1991 quand la junte militaire au pouvoir pouvoir en Algérie avait invalidé les élections qui avaient porté le « Front islamiste de salut » en tête des suffrages ?
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JL
Bush n’est plus au pouvoir, vous semblez l’oublier
Ne connaissant pas tout le contexte, je ne peux prendre parti pour l’un ou autre candidat, mais le nationalisme de Gbagbo est avant tout dirigé pour garder le pouvoir
Ouattara serait-il mieux, je n’en sais rienA l’auteur
Il ne faut pas tomber dans le misérabilisme, en CI tous ceux qui gagnent entre 800 et 1000 euros ne sont pas tous des affidés prébendés par le pouvoirQuant à la dévaluation du CFA ce n’est pas une décision unilatérale des dirigeants africains
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« le nationalisme de Gbagbo est avant tout dirigé pour garder le pouvoir » (George Yang)
Connaissez vous un seul dirigeant actuel dont l’action ne soit pas dirigée pour garder le pouvoir ?
Reste à savoir si le nationalisme est meilleur ou pire que le pétainisme ! Pour ma part j’estime que la France crève de trop de libre échange ou , ce qui revient au même, de pas assez de protectionnisme.
Mais je sais que les mondialistes apatrides pensent différemment, et c’est là que le bât blesse. -
Garder le pouvoir ET l’argent
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Et 5 ans pour différer l’élection présidentielle, c’était pas du « hors délai » ?? 
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