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Accueil du site > Tribune Libre > « Dialogues désaccordés » : Naulleau en promo, Soral au placard

« Dialogues désaccordés » : Naulleau en promo, Soral au placard

 Après avoir observé deux semaines durant Naulleau en promo dans les médias (télés, radios et presse) - promo censée accompagner la sortie de l’ouvrage tant attendu « Dialogues désaccordés » qui a pour co-auteur Alain Soral -, et l’affirmation sans cesse réitérée de Naulleau (méthode Coué ?) face à ses interviewers d’un « Oui, j’ai accepté de me trouver face à Soral. Mais je n’ai rien lâché. Je me suis battu bec et ongles. J’ai répondu point par point, sans compromis. Je l’ai contredit sur tous les sujets que nous avons abordés », et alors que tous ceux qui ont lu l’ouvrage en question savent que Naulleau s’est très vite retrouvé K.O, et ce dès le premier round, Soral s’amusant les rounds suivants, avec un contradicteur déjà bien sonné, comme un chat avec une souris avant de la dévorer, lassé, à bout de patience… et sans doute aussi dans le souci de ne pas décevoir son public - charitable et compassionnelle envers ses lecteurs Soral ! - avec un combat dans la sueur, le sang et les ecchymoses, la parole tuméfiée, de trois petites minutes, et seulement trois minutes… combat aussi frustrant qu’invendable…

Tout en sachant qu’à aucun moment notre critique littéraire reconverti dans l’animation télévisuelle n’est apparu comme un rival crédible car le combat est outrageusement trop inégal, comment Naulleau a-t-il fait pour ne pas anticiper une telle déconfiture ? Auteur d’aucun ouvrage politique, Naulleau vient de la littérature qu’il a laissée derrière lui pour goûter au caviar servi par les patrons des médias à leurs employés qui savent faire tourner la boutique : consensus, omerta, audience et publicité ; on vous paiera grassement non pas sur votre bonne mine et pas tant non plus sur ceux que vous inviterez mais bien plutôt… sur ceux que vous accepterez de ne pas recevoir et sur les sujets que vous aurez l’obligeance de ne jamais aborder ...

Certes, Naulleau n’a-t-il pas aussi une famille à nourrir à sa faim et au-delà (pour ne rien dire du cavage des oies) ! Et par les temps qui courent à toute vitesse, dans le couple, les partenaires et les enfants ont des exigences, sinon des besoins, sans commune mesure avec celles des générations passées car plus personne ne se contente de peu, même et surtout du nécessaire (ontologique) ! Nécessaire qui passe le plus souvent à la trappe au profit d’un superflu d’un monde marchand toujours sur la brèche jusqu’à l’épuisement financier et psychologique de ses clients…

Aussi, parmi les animateurs et autres journalistes qui ont reçu Naulleau, force est de conclure ceci : soit ils n’ont pas lu l’ouvrage, soit, pris au piège, à aucun moment ils ne peuvent se résoudre à reprocher à Naulleau de ne pas avoir été à la hauteur de l’enjeu ; car enfin… adresser un tel reproche, c’est sans aucun doute prendre le risque de se voir retourner le compliment comme suit : « Mais alors, Monsieur l’interviewer, dites-moi ce que vous vous lui auriez opposé comme arguments ! ». De plus, reconnaître l’impuissance de Naulleau face à Soral, c’est aussi et surtout prendre un autre risque : le risque d’avouer sa propre impuissance et au-delà, celle des acteurs des médias dominants : journalistes, animateurs confondus ; et enfin, avouer cette impuissance c’est bel et bien rendre hommage à Soral et c’est, que l’on veuille ou non, valider ses analyses que l’on ne pourrait décidément pas contrer faute d’arguments. Or, une classe médiatique et intellectuelle sans arguments face à un essayiste comme Soral, c’est plus qu’il n’en faut pour mettre à terre toute une mise en place d’un système de verrouillage de la représentation du réel (société du spectacle) qui ne souffrira aucune remise en cause ; et le premier qui osera cracher dans la soupe, perdra son travail.

Faut bien dire qu’avec Zemmour, les médias sont à fond : ils ne peuvent décidément pas faire plus.

La veulerie, oui ! L’intelligence, le courage et le talent… non ! Mille fois non !

 

 Mais qu’est-ce à dire ?

 

 Conscient ou pas, Naulleau cherche à ouvrir une crise ; il souhaite très certainement donner un grand coup de pied dans la fourmilière : fourmilière médiatique et politique - en ce qui concerne son camp : le PS et les Verts. Seulement, il semblerait qu’il ne sache pas trop comment s’y prendre faute à la fois d’expertise en la matière - car sans expérience, on tâtonne, on s’interroge sans fin : « J’y vais ? J’y vais pas ? Comment et quand et où ? Et après, je fais quoi ? » ; faute de courage aussi ; courage qui demeure, quoi qu’on en dise, la qualité la moins partagée chez les êtres humains – a fortiori quand il s’agit d’êtres humains à l’existence télévisuelle.

Faut bien dire qu’on ne passe pas de la littérature hongroise et à l’animation télé et enfin, à l’agit-prop aussi facilement ! N’est pas Dieudonné qui veut ! De plus, il se pourrait bien que Naulleau n’ait pas encore pris totalement conscience de son désir de couler le navire, le sien et si possible celui des autres en priorité – d’aucuns parleront de sabordage.

Aussi, force est de constater qu’il y a deux Naulleau : habité d’un désir violent, quasi incompressible, l’un souhaite envoyer tout balader, renverser la table, nappe et couverts, sur les convives ; l’autre, à la fois craintif et réaliste, souhaite bon an mal an se maintenir dans les médias en y respectant une partie seulement de ses codes qui se résument à une somme d’interdits aux intérêts bien compris par tous ceux qui y prospèrent économiquement (les médias sont une secte qui a réussi, une quasi religion donc) avant de choisir, finalement, de faire marche arrière face à la caméra ou devant un micro qui lui est tendu, comme empêché, comme impuissant, acceptant même sans contester que l’on caricature Soral.

Or, Naulleau oublie un fait : pour les employeurs, il ne saurait y avoir de demi-mesure : les médias n’acceptent aucun compromis.

 

 « Moi » contre « Sur-moi »… dilemme de "l’homme de gauche" d’une gauche qui s’est couchée devant les puissances d’argent ; torture de celui qui mange à la gamelle de la désinformation par omission, et dont les traits tirés ne sont que la marque de l’outrage faite à l’intelligence et au courage que l’on peut lire sur leurs visages à tous… l’abaissement et la soumission aussi car, ça doit bien peser lourd toute cette servitude, ce suicide ontologique à terme ! Car enfin, à faire l’âne pour avoir de l’avoine, ne finit-on pas... bourricot quoi qu’on puisse penser quand on veut se rassurer ? Et puis, le cynisme n’est pas à la portée de toutes les bourses mentales ; il a son revers de médaille et ce revers porte le nom de dégoût. Oui ! Le dégoût qui viendra bien un jour envahir les consciences de tous ceux qui auront exercer leur métier dans le déshonneur de la mémoire outragée de ceux qui ont donné leur vie, ici et ailleurs, pour que les médias puissent rester un véritable outil et instrument au service de la vérité des conditions de vie et d’existence et non, une tribune pour tribuns en mal de célébrité...

Aussi, il se pourrait bien que la participation de Naulleau à cet ouvrage soit un acte manqué sous la forme d’un gigantesque lapsus, Naulleau ne sachant plus comment se taire sans pour autant pouvoir crever l’abcès de cette bienpensance et de cette dictature qui ignorent superbement la réalité d’une France de la relégation - relégation à la fois économique et culturelle -, sans courir le risque de mettre en danger son avenir professionnel cause d’un Naulleau qu’une épouse ingrate à la mémoire courte trouvera du jour au lendemain beaucoup moins sexy : en effet, un Naulleau à deux ou trois milliers d’euros par mois c’est au lit, sans aucun doute, pas la même qualité de prestation qu’à 15000 euros (on ne compte plus les divorces demandés par les femmes après la perte de revenus du partenaire masculin… pour ne rien dire des cas où celui-ci est au chômage !) ; et pour la même raison… un Naulleau un peu moins « Papa génial ! » aux yeux de ses chérubins… génération à la fois ange et démon.

 

 Reconnaissant tout « l’enfumage » du PS et des Verts de ces trente dernières années, écran de fumée à propos des questions de société qui ne sert qu’à masquer une politique du renoncement au service d’une mondialisation d’une oligarchie sans principe sinon un seul - l’optimisation des moyens de production de l’espèce humaine -, jusqu’à valider les analyses de Soral dans les dernières pages de l’ouvrage qui traitent de la situation internationale… Naulleau serait-il le sparring-partner de Soral ? Cheval de Troie Naulleau, ouvrant ainsi l’accès aux médias dominants à un Soral banni depuis dix ans ?

Oui ? Non ?

 

 « Moi seul dans les médias dominants, suis à même, de par ma culture littéraire, de m’opposer efficacement à Soral ! » Gigantesque acte manqué donc ou bien, immense sursaut d’orgueil sous la forme d’une crise mégalomaniaque de matamore de l’impossible, cette publication de Naulleau ? Un Naulleau don Quichotte tel que Cervantès l’a pensé : difficulté avec l’évaluation de ses propres forces et ses capacités de perception de la réalité qui l’environne ?

Difficile de trancher même si on peut sans se tromper affirmer que la fréquentation assidue des médias accélère le divorce entre soi et une réalité qui vous permet de rester en contact avec une perception et une appréciation d’une réalité-miroir au plus près de ce qui est. Rien n’est plus flatteur (et donc trompeur) que de travailler dans les médias ! Et l’on sait ce qu’il faut penser de la flatterie qui vit aux dépens de ceux qu’elle prend pour cibles : les animateurs passent et trépassent ; les médias, eux, restent après vous avoir vidé ces agents de leur énergie vitale tant intellectuelle qu’humaine après une régression, un rétrécissement et un enfermement subreptices, et ce en moins de temps qu’il faut pour en prendre conscience, jusqu’au jour où, coupé de sa propre réalité comme autant de vérités qui ne nous seront plus accessibles, plus jamais, on perd pied, et l’on ose tout, comme ce dialogue avec Alain Soral, dialogue désaccordé peut-être – et encore, c’est pas sûr du tout ! - mais surtout… dialogue déséquilibré à un point tel qu’il n’y a plus alors qu’une voix, une seule, qui se fait entendre face à des babilles, des balbutiements tout aussi indistincts, et d’autres certes audibles mais éculés et sans perspective : pas d’hauteur, pas de profondeur, tout à plat donc !

Pour faire court : les médias et le succès, ça rend bête.

 

 Naulleau pourra-t-il encore longtemps faire ce grand écart entre ce qui est, ce qui doit être, ce qu’il faudrait faire, ce qu’il est encore possible d’espérer accomplir ?

Paradoxalement, sera-t-il celui par qui le scandale arriva, supplantant ou bien volant la vedette, contre toute attente, à Alain Soral ?

Qui poussera Naulleau à la faute ?

Pour le bien de Naulleau et son avenir, il est vraiment grand temps que cette tournée des médias - comme on fait la tournée des bars - s’achève. Ou bien alors, que Naulleau se décide enfin, une bonne foi pour toutes les fois où on aura pu le trouver hésitant, à se réconcilier avec son inconscient d’homme de « gauche » qui ne sait comment hurler un « C’en est assez de l’imposture ! » ; homme de gauche au bord de la crise de nerfs.

 

 ***

Alors, Naulleau, courage ! Fais donc ton coming-out ! Tu sais, des vacances sur la côte atlantique avec toute la petite famille au camping « les flots bleus »… c’est pas mal non plus. La plupart a survécu.

Après tout, y a pas que les Seychelles.

 


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38 réactions à cet article    


  • robin 25 novembre 2013 14:41

    Naulleau devra très vite comprendre que la capacité de rébellion face au système est proportionnelle à celle de pouvoir vivre en autarcie, tout le monde n’est pas Robinson Crusoé ou en l’occurence, Dieudonné ou Soral.


    • robin 25 novembre 2013 15:10

      Je ne sais pas ce qu’il y a de plus horripilant chez Naulleau : Soit sa posture de St Just tout en restant bien au chaud dans les limites du système ou soit à l’occasion de ce livre une réelle naiveté bisounours de croire qu’il n’y a pas de cordons sanitaires autour de certaines personnalités en infraction flagrante avec la déclaration de Voltaire sur la liberté d’expression qu’on doit laisser au pire de ses adversaires pour faire montre d’un vrai esprit démocratique et démopédagogique.


      • claude-michel claude-michel 25 novembre 2013 15:33

        Naulleau par son manque d’intelligence et de point de vue sur la réalité de ce livre... a perdu ses billes dès la première page...le piège est en place...Soral est un malin manipulateur...

        Il y a des gens qui comprennent...et d’autres non.. !

        • Robert GIL ROBERT GIL 25 novembre 2013 15:48

          j’ai l’impression que les gens reagissent et commencent a se rendrent compte de l’arnaque Soral .

          voir : LE CAS SORAL, LA CASSEROLE !


          • Serge ULESKI Serge ULESKI 25 novembre 2013 16:20

            Soral peut bien voter pour qui il veut « au final »...

            Sauf erreur, le vote est libre...

            il n’en demeure pas moins qu’il est difficile de se passer de son intelligence puisqu’il est celui qui, aujourd’hui en France, développe les analyses les plus courageuses, les plus pertinentes, et les plus talentueuses sur la société française (ce qui lui est arrivée !) de la Seconde Guerre mondiale à nos jours.

            Et ce...d’autant plus qu’il s’appuie sur Rousseau, Marx, Glouscard et Michéa... (pour aller vite)... aussi je doute que la route de ses penseurs mènent tout droit à ce qu’on pourrait appeler le « fascisme » ; mot valise pour les VRP de la pensée.


          • Switcher 25 novembre 2013 17:09

            Moi, j’ai surtout l’impression que les gens commencent à se demander qui est cet hurluberlu blacklisté par les mass-medias depuis 10 ans, que personne ne contredit à gauche sinon par l’insulte et l’anathème, et qui accumule les procès aussi bien à gauche (Delanoë) qu’à droite (Front National).


            J’aimerais vraiment que Soral trouve un contradicteur à sa mesure… Dans le camp de ses nombreux adversaires, on a semble-t’il pas trop envie de se mouiller (sauf à lui envoyer des casseurs ou à menacer sa famille). Je veux parler d’un contradicteur sur le fond.

          • Robert GIL ROBERT GIL 25 novembre 2013 18:32

            personne de serieux ne peut discuter avec lui...a part un psy peut-etre ! Par contre il est malin quand on voit le blé qu’il fait sur le dos des gogos avec ces diverses sociétés.


          • Docteur No Docteur No 25 novembre 2013 22:52

            @ Serge Uleski, 


            en empruntant les chemins de Rousseau et de Marx, on peut très vite se retrouver sur la route du fascisme, très vite, mais comme vous dites, le fascisme est un mot valise, utilisé rarement contre les bonnes personnes...

          • hunter hunter 25 novembre 2013 17:11

            Salut à tous,

            Naulleau n’est pas nul je trouve, simplement,il n’a aucune expérience du terrain où Soral évolue !

            Il réagit et écrit en littéraire, et on voit au fil du bouquin, qu’il n’a vraiment aucune conscience des réalités actuelles.

            Soral l’entraîne sur son terrain, et il se laisse piéger des les premières pages !
            Terrain difficile, boueux, cahoteux, glissant ; Soral évolue en quatre roues motrices, boîte courte et blocage de différentiel, et Naulleau est au volant d’une petite voiture de série, sous-motorisée et avec deux roues motrices seulement !

            Évidemment, il ne peut rien faire : il accélère, les roues patinent, l’embrayage chauffe...alors qu’il aurait fallu se rendre compte tout de suite de la nature du terrain, et changer de véhicule pour un plus adapté !

            Mais bon lui au moins, n’a pas refusé l’invitation !

            Quand il dit qu’il rend coup pour coup.....c’est drôle ! Soral frappe en boxeur pro, maîtrisant stratégie, positionnement et coups, mais Naulleau, ben il frappe un peu comme ma p’tite nièce quand elle avait 10 ans ....

            Bouquin intéressant tout de même ! mais soral cogne parfois un peu fort, et Naulleau essaie de s’en sortir par du verbiage pompeux, trop littéraire !

            Mais c’est logique, puisque c’est la confrontation de deux mondes différents :l’un artificiel, en dehors de la vie, la vraie, et l’autre, son exact opposé, mais ayant bien connu le monde de l’apparence !

            Adishatz (pour ceux qui ne savent pas ce que ça veut dire, www.startpage.com/fra

            H /

            H /


            • Serge ULESKI Serge ULESKI 25 novembre 2013 17:44

              Merci pour votre apport des quelques éléments qui permettent d’expliquer l’échec de Naulleau.


            • hunter hunter 25 novembre 2013 17:50

              Salut Serge,

              J’ai filé cette petite métaphore automobile, parce que c’est vraiment ce que j’ai ressenti à la lecture du bouquin :un combat inégal ; un terrain difficile que seul l’un des deux protagonistes maîtrise, et sur lequel il a piégé l’autre !

              Mais bon, même si Naulleau ne s’en sort pas très bien, il a au moins fait preuve de « cojones », il a accepté le défi !

              C’est un peu comme du temps de ma jeunesse, quand ça tournait un peu vinaigre : des fois on s’en sort, des fois on s’en prend plein la gueule !

              Bref c’est la vie quoi !

              Adishatz

              H /


            • jaja jaja 25 novembre 2013 17:16

              Mise au point de J.Marc ROUILLAN
              23.8.2012

              Hasard malheureux de la toile et projet de créer de la confusion (là où il n’y en a aucune), mon interview donné à deux intervenants de Diktacratie.Com a été reproduit le 23 août sur le site d’Alain Soral.

              Le projet de ce sinistre individu est bien connu. Il est ancien et remonte aux années de la peste brune. Il est tout simplement réactionnaire. En fait, il tente de démontrer qu’il existe une extrême droite qui serait
              antisystème, anti-impérialiste et anticolonialiste. Et mieux, qu’elle serait la seule voie praticable de nos jours.
              Pour cela, il a besoin de construire des ponts imaginaires avec des militants radicalement antisystème, anti-impérialiste et anticolonialiste comme je l’ai été en tant que combattant d’Action Directe et comme je le suis car non-repenti.

              Aujourd’hui cet ignoble ver de terre ose utiliser mon nom et mes mots qu’il sache toute fois qu’aucun lien n’est possible que le seul affrontement à mort entre réaction et révolution, extrême droite et extrême gauche, fascisme et antifascisme, domination blanche et internationalisme.

              Aucune discussion n’est possible avec la racaille réactionnaire.Qu’ils crèvent !


              • Aita Pea Pea Aita Pea Pea 25 novembre 2013 17:27

                Ah le camarade Rouillan ,ce si courageux militant capable de mettre une balle dans la nuque d’une personne désarmée, alors que celle ci n’a meme pas les mains attachées dans le dos .

                Un modèle ,une conscience ...


              • Serge ULESKI Serge ULESKI 25 novembre 2013 17:46

                Merci d’être passé.

                Cela dit, on peut garder son sang froid : le monde continuera de tourner sans nous toujours aussi mal.


              • jaja jaja 25 novembre 2013 17:51

                Bonjour Aïta...
                Toujours à la rescousse des fachos... Tu as sans doute chopé ce virus aux colonies...Ah la supériorité de l’homme blanc tant vantée par Soral le colonialiste....


              • Aita Pea Pea Aita Pea Pea 25 novembre 2013 18:10

                Salut Jaja ,les assassins de sang froid ,j’y peut rien ça passe pas ,et de quelques bords qu’ils viennent ...


              • Rounga Roungalashinga 25 novembre 2013 20:59

                Ce communiqué montre juste l’insondable connerie de Rouillan, incapable de penser autrement qu’avec les catégories que ses maîtres lui ont inculquées. Aucun intérêt.


              • simplesanstete 26 novembre 2013 12:49

                La version musulmane de Rouillan vient de sortir, Abdel machin, çà lui a pris aussi 20 ans à sortir pourtant lui il était libre. Quand on voit la dernière pub de souscripsion du NPA on a tout compris, adolescent retardé en quête de séducsion avec une théorie fausse mais vraisemblabla de 140 ans.


              • simplesanstete 26 novembre 2013 13:32

                Tiens Rounga IMAGINE un match Soral /Nabe, peut être çà lui remontrait sa petite affaire, çà donnerait la même chose du style versus le concept et du style on en est saturé, c’est toute l’innovation + que parfait du subjectif, féminisation qu’il faut libérer, acheter de la perfection........jusqu’ à la création d’un enfant.
                Bien à toi
                Georges


              • Rounga Roungalashinga 28 novembre 2013 10:26

                Un match Soral/Nabe ? Ce serait...surprenant.


              • hunter hunter 25 novembre 2013 17:44

                Tout a fait Aita, tout a fait !

                Mais bon, on a les références qu’on peut !

                En plus avec un message de 2012, n’ayant aucun rapport avec un bouquin de Novembre 2013, mais bon , c’est du détail !

                Et puis il faut bien que les révolutionnaires de salon s’excitent un peu derrière leur ordinateur, tournant sous windows et IE !!

                 smiley

                H /


                • jaja jaja 25 novembre 2013 18:00

                  Bof... mieux vaut être un révolutionnaire de salon qu’un sale con de contre-révolutionnaire, le cul dans son fauteuil, et s’excitant un peu derrière son ordinateur, tournant sous windows et IE !! smiley


                • Aita Pea Pea Aita Pea Pea 25 novembre 2013 18:42

                  Alain Soral : grenouille de Bénito .


                  • Docteur No Docteur No 25 novembre 2013 22:25

                    Alors là on touche le fond, cet article vraiment... Un culte de la personnalité à peine dissimulé, Soral le plus fort... des métaphores puériles qui illustrent parfaitement la conception du débat chez Soral et ses disciples « Naulleau est K.O... », en somme ils ne veulent rien de constructif juste se bastonner verbalement (et connaissant les limites de Soral, cela peut vite déborder vers les poings). Et la vieille rengaine des « dissidents », nous ne sommes pas invités à faire la promotion des livres parce qu’on est des infréquentables, bon en un sens oui c’est possible, sur certains sujets ce n’est même pas la peine de tenter de les aborder ou ce sera brusquement le silence radio (oui vous savez tous desquels je parle). Mais dans le cas de Soral, c’est différent, c’est juste qu’il est très malpoli, il parle fort, est grossier, coupe la parole, bref, ce n’est pas la publicité idéale pour un livre, et mieux vaut laisser ça à Naulleau (que j’aime beaucoup au demeurant), un homme de lettres (modernes, il est agrégé). Quant à reprocher à Naulleau qu’il n’a écrit aucun bouquin de politique... Euh, écrire un livre complotiste (comprendre l’Empire), et un abécédaire (de la bêtise ambiante) navrant où l’on cite des textes de philosophes sans critiques personnelle ça ne fait pas de quelqu’un un spécialiste de la politique, d’ailleurs, si Naulleau est bel et bien agrégé (doctorant peut être ?), qu’en est-il de Soral, peut-il produire une preuve de ses compétences en sciences politiques ?


                    Bref, un article écrit par un disciple de Soral, qui boit ses paroles, comme celles d’un gourou, et un propos un peu fébrile. Mais ce qui vous rend inoffensifs justement.

                    • Rounga Roungalashinga 26 novembre 2013 08:02

                      Mais dans le cas de Soral, c’est différent, c’est juste qu’il est très malpoli, il parle fort, est grossier, coupe la parole, bref, ce n’est pas la publicité idéale pour un livre


                      Quel argument bourgeois !


                    • robin 26 novembre 2013 11:03

                      Rien ne vous retient de vous mesurer à Soral, qu’attendez-vous ?

                      Montrez nous que vous avez des Cojones et de la culture !


                    • Serge ULESKI Serge ULESKI 26 novembre 2013 18:17

                      Qu’est-ce que Naulleau est venu chercher auprès de Soral ?

                      Là est la question. Là est mon interrogation.

                      J’apporte une réponse.

                      Quelle est la vôtre ?

                      (Soral n’est pas en question... le livre n’apportant rien de nouveau à son sujet).


                    • volpa volpa 26 novembre 2013 08:21

                      Il en fait chier pas mal le SORAL et DIEUDONNE


                      • pas perdus pas perdus 26 novembre 2013 15:55

                        Soral et Dieudonné ont juste trouvé une petite niche politico-médiatique qui leur assure des fins de mois très confortables...


                      • simplesanstete 26 novembre 2013 17:32

                        et la tienne, de niche, c’est quoi ?


                      • Serge ULESKI Serge ULESKI 26 novembre 2013 18:26

                        Soral et Dieudonné ont surtout trouvé de quoi nous renseigner sur ceci : qui fait quoi, où, comment, à qui, pour-quoi et pour le compte de qui.

                        Tout travail mérite un salaire, et plus encore lorsque le courage et le talent sont au rendez-vous.


                      • simplesanstete 26 novembre 2013 13:17

                        Très bon article Serge qui pointe l’écartèlement que subi l’individu lambda dans ce présent qui ne fait pas de cadeaux, la course à la satisfaction....entre soumission/conformisme et une petite révolte décalée
                        L’esprit c’est comme les parachutes, si t’en a pas tu t’écrases. La dernière vidéo de Dieudo sur l’attaché de la presse Yann Barthès d’anal +, s’envole littéralement 40000 hier soir, 250000 ce matin.
                        Cette fine équipe, c’est la définition maime du mot sérieux,le tragique et le comique en symbiose, ils joignent les 2 bouts et par là même les aspirants debout qui souhaitent se soulever
                        Neaulleau c’est gentil n’a qu’un œil.....et puis quand maime il va se faire quelques billets, même si il est en remorque, il est sur les plateaux pendant que Soral est chez les libraires, 2 mondes à parts, rencontre de 3eme type qui apparait.


                        • Serge ULESKI Serge ULESKI 26 novembre 2013 18:19

                          « Naulleau est sur les plateaux pendant que Soral est chez les libraires, 2 mondes à parts, rencontre de 3eme type qui apparait. »

                          Et j’ajouterai : Soral est sur Internet, Naulleau dans les médias traditionnels et dits « dominants ».

                          Qui colle au plus près du réel  ? Qui n’en a aucune idée ou bien, une idée si faible sur  : qui fait quoi, où, comment, à qui, pour-quoi et pour le compte de qui.


                          • Serge ULESKI Serge ULESKI 26 novembre 2013 18:25

                            Soral et Dieudonné ont surtout trouvé de quoi nous renseigner sur ceci : qui fait quoi, où, comment, à qui, pour-quoi et pour le compte de qui.

                            Tout travail mérite un salaire, et plus encore lorsque le courage et le talent sont au rendez-vous.


                            • Brice Bartneski bartneski 27 novembre 2013 23:07

                              Ils ont surtout trouvé un filon inexploité fort lucratif.


                            • Brice Bartneski bartneski 27 novembre 2013 23:05

                              « Alain est très fort pour parler intelligemment de choses très connes »

                              Agnès Soral.

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