Dictature Mondiale : Nous sommes le dernier barrage !
Contre la mise en place d’un pass sanitaire, deux manifestations d’une importance inédite ont eu lieu les 17 et 24 juillet… Les rassemblements s’enchaînent, des veillées pour la liberté sont organisées, des pétitions sont signées. Pourtant, les institutions font la sourde oreille, et le projet de loi continue son chemin, portant avec lui la promesse d’un avenir bien sombre.
Dimanche 25 juillet et depuis Tahiti, le « Président » réagit à la manifestation de la veille. Près de 161 000 Français sont descendus dans les rues samedi, exprimant leur opposition, défendant des droits, tels que la liberté de choix et le droit à l’intégrité physique, principes jusqu’alors considérés comme acquis dans un pays comme la France.
Emmanuel Macron reste, devant les caméras, fidèle à lui-même. Manquant diablement d’humilité, il persiste et signe, crachant ouvertement à la figure du peuple.
Chacun est libre de s’exprimer, dans le calme, dans le respect de l’autre, sauf à ce que le virus ne cède aux manifestations, mais tel que j’ai compris son fonctionnement depuis le début, je ne crois pas qu’il y ait grande efficacité à manifester contre lui.
Pirouette ! Le « Président » ignore donc les revendications, ne comprenant visiblement pas si bien le fonctionnement d’un virus. Car on ne vaccine jamais en pleine période épidémique. Et pour le contrer, il faut aussi miser sur des lits de réanimation, des moyens allégués aux services de santé, des traitements, une immunité naturelle. Personne n’a manifesté contre un virus, mais contre une stratégie gouvernementale qui semble moins sanitaire que politique.
Notons d’ailleurs une de ses questions rhétoriques, fortement révélatrice de sa pensée profonde. Elle fait froid dans le dos et devrait interpeller le plus grand nombre…
Que vaut votre liberté ?
Il ose mettre dans la balance une des valeurs principales de notre République, voire la remettre totalement en question, utilisant la fameuse excuse sanitaire dont la gravité est largement amplifié par ses médias complaisants.
Nous le savions, Emmanuel Macron sait parler. Il fait preuve d’une mesquinerie subtile et retourne donc, à la force de son art oratoire, la situation à son avantage. Une occasion en or de réitérer les mêmes propos propagandistes, visant à stigmatiser ses opposants, à les pointer du doigt, à diviser un peu plus le peuple, à l’énerver, jusqu’à ce qu’il s’entretue :
Si demain vous contaminez votre père, votre mère ou moi-même, je suis victime de votre liberté alors que vous aviez la possibilité d'avoir quelque chose pour vous protéger et me protéger. Et au nom de votre liberté, vous allez peut-être avoir une forme grave (du virus) et vous allez arriver à cet hôpital. Ce sont tous ces personnels qui vont devoir vous prendre en charge et peut-être renoncer à prendre quelqu'un d'autre (...) Ce n'est pas ça la liberté, ça s'appelle l'irresponsabilité, l’égoïsme.
Arguments-émotions en évoquant nos pères et nos mères, et notre propre protection, dans l’éventualité où nous tomberions malades,… En jouant sur la peur anthropologique de la mort et de la maladie, en culpabilisant, Emmanuel Macron sait qu’il vise juste, qu’il touche la corde sensible, qu’il manipule.
Le devoir citoyen, la responsabilité vis-à-vis des autres,… Autant de termes galvaudés aujourd’hui pour parvenir à des fins injustes et déshumanisantes. Selon lui, personne ne devrait déroger aux ordres sous peine d’être un vilain canard, un frein à l’éradication d’un virus. Il l’avait dit, « nous sommes en guerre », et il poursuit dans cette tonalité alarmiste afin de maintenir la pression, puis faire passer ses lois.
Mais contre qui est-il en guerre ? Contre qui s’acharne-t-il ? Contre qui utilise-t-il son pouvoir ?
Le peuple.
Et quelle est son arme principale ? Écoutons-le.
Nous avons une arme : le vaccin.
Souvenons-nous de ce que disait Albert Camus au siècle dernier.
"Le bien-être du peuple en particulier a toujours été l’alibi des tyrans, et il offre de plus l’avantage de donner bonne conscience aux domestiques de la tyrannie".
– Albert Camus, Hommage à un journaliste exilé (1955)
Il y a urgence à ouvrir les yeux : nos politiciens-marionnettes ne nous sauveront pas. Les députés tiennent plus à leurs places qu’à vos enfants. Les laboratoires préfèrent compter les billets plutôt que le nombre de morts dont ils sont les responsables. Et l’Etat Profond veille ; ils ont des projets pour nous. Ils sont déterminés à les mettre en place.
Si la vie est un jeu, ils en connaissent bien les règles et sont sur le point de gagner la partie. Tout se passe exactement comme ils le souhaitent, car notre colère et notre division sont voulues et anticipées.
Ils alimentent notre haine jusqu’à la guerre civile.
Ils veulent que l’on se trompe d’ennemi.
Est-ce pour autant la fin de notre Nation ? Tant qu’une partie n’est pas terminée, on peut toujours tomber sur une carte chance, relancer les dés, ruser sur l’échiquier.
N’oublions pas que nous avons aussi des cartes en mains !
N’oublions pas que nous pouvons aussi jouer !
Nous sommes la Force.
Nous sommes nos valeurs et si parfois certains s’endorment, nous avons le pouvoir de les réveiller. Réfléchir, combattre, lutter, refuser, s’imposer, se réunir. Parce que nous sommes la vie.
Parce que nous sommes des êtres humains et non des paquets de chips à scanner.
Parce que nous sommes le monde. Et qu’ils ne sont qu’un système.
La vaccination n’est pas la liberté. Une politique sanitaire n’est pas une politique de restrictions. Regardez le résultat de plus d’un an de contraintes ; la société se porte-t-elle mieux ? Non, la situation empire… Arrêtons cette politique de la peur et ramenons la science et l’intelligence dans le débat.
Quant à ces hommes de pouvoir, ils n’ont que l’autorité que nous leur accordons :
Ministre, subst. masc. : Emprunt au latin minister, -tri, « serviteur/maître » (v. Ern.-Meillet), « serviteur, domestique ». Celui qui est chargé de remplir une fonction, un office, d'exécuter une tâche pour le service de quelqu'un. (CNRTL)
Président,-ente, subst. : Personne chargée de représenter une collectivité (Montesquieu, Correspondances, 1742)
Un ministre est un serviteur. Le président, notre employé, a pour mission d’agir pour le peuple, pour son pays et sa pérennité. Ils ont oublié leur place et le sens de leur fonction. Ils doivent partir.
Quant aux institutions, qui n’ont de démocratique que l’apparence, elles nous trahissent et ne constituent plus, dorénavant, une barrière aux lois nuisibles décidées en haut lieu. Nous sommes, le Peuple, la dernière institution capable de préserver les idéaux de ce pays. Nous sommes un rempart, capable de faire plier les corrompus et appliquer les préceptes des Droits de l’Homme et du Citoyen.
Si nous ne marquons pas une rupture maintenant, nous sommes tous condamnés.
Alors, quelles sont les moyens d’action ?
- Les manifestations, les rassemblements et les réunions. Se rapprocher des groupes d’entraides pour se réinformer, connaître les dates essentielles et les projets (Facebook, Telegram, Signal, ReinfoCovid,…).
- Les attaques en justice, les plaintes et les pétitions.
- Le boycott, qui, à terme, amènera les établissements utilisant le pass à se rebeller également.
- Garder espoir. Persévérer. Ne pas abandonner. Rester bienveillant. Ne surtout pas céder à la tentation de se quereller entre nous, faire preuve de patience et d’intelligence. Communiquer.
Ensemble, avec des actions coordonnées, nous pouvons faire barrage aux ordres et aux lois liberticides qui nous rongent depuis plus d’un an. Unissons-nous pour notre dignité, notre droit à penser et notre droit à la vie, tout simplement.
Nous sommes notre propre Salut.
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