DSK et le complot Epstein : approximations, erreurs ou mensonges et élucubrations

Il est bon, si ce n'est excellent de, avant de commencer, recadrer quelques petits détails et de mettre ce histoire abracadabrantesque de complot en contexte.

Rappelons qu'Epstein est l'ami de Taubman et que celui-ci, encore plus vénal que Diallo, a voulu s'enrichir d'abord avec DSK favori à l'Elysée - un bon client pour faire des ventes -, ensuite avec l'affaire DSK dans son livre, ses livres plutôt. L'ironie est qu'il a causé Banon de chercher la notoriété au travers de son procès alors que lui c'est exactement ce qu'il fait : notoriété comme un moustique se nourrit du sang des autres.

Ensuite cette théorie très réchauffée du complot arrive après la révélation de l'affaire du Carlton dans laquelle on apprend que DSK est violent avec les femmes, au moins une - et plusieurs si on en croit madame Manhattan- , celle qui est la compagne call girl de Dodo a Saumure, une pute quoi, et bien que ce soit son métier - donc consentante a priori (contre quelques menues monnaies il va de soi, mais pas farouche sans doute, car une conversation - précieuse entre toutes - entre deux protagonistes qui ne se savent pas écoutés parelnt de DSK et l'un en dit ce qu'il faut ne cesser de reprendre ceci : 

Ce même jour, à 16 h 33, Kojfer s’entretient avec un proche, le proxénète présumé Dodo la Saumure. Il y est à nouveau question de DSK. 

« Dodo :… Tu sais quand je lui avais ramené des filles, tu te souviens. René : Je sais. 

Dodo : Il avait voulu baiser Béa dans les toilettes, d’ailleurs en force. 

René Kojfer :…C’est un gros cochon il est pire que moi. »

Les choses sont claires : il a voulu « baiser » Béa, on consentante et avec force. On appelle cela une tentative de viol, ou pour le moins une agression sexuelle, ce dont il a été accusé par le parquet de paris dans l'affaire Banon.

Dans ce contexte si favorable à DSK apparaît une soi-disante bombe, des révélations d'un enquêteur imprécis, élucubrateur et peut-être menteur. Ce qui n'étonne pas les derniers vaillants soldats qui, assommés après toutes les révélations, se croient sauvés (on a vu au travers des commentaires qu'il y en a qui ont du pisser dans leur culotte de joie se précipitant sur cette tartufferie pour essayer de retrouver un peu de couleurs) : ils avaient raison ! DSK piégé !, donc ce qui ne les étonne pas, pas plus que les journalistes qui ont reproduit sans aucun recul les déclarations d'Epstein, c'est que a- tous les éléments sont connus (enfin presque tous) depuis le début et qu'il ne faut pas six mois ni pour y réfléchir, ni pour trouver les éléments complémentaires, et que donc ce n'est que maintenant que cela apparaît après : l'apparition de l'affaire Carlton, les stratégies de la défense de DSK qui changent les unes après les autres (alibi, innocente, acte consenti, immunité etc.).

Venons en au cœur du sujet, à notre ami Epstein. Il a voulu reconstituer le parcours de DSK, mais déjà cela commence très mal. Eh oui, mes amis, quand on veut faire le grand détective, on se doit d'être précis. Or ce grand enquêteur mélange allègrement les heures du Blackberry de DSK et celles du Sofitel. Or il se trouve qu'il y a un décalage de 2 mn entre les deux « garde-temps ». 2mn en soi ce n'est rien mais quand cela est un des éléments de la démonstration et que les 7 mn avec Diallo peuvent entre 6 ou 8 cela change et surtout cela prouve déjà un peu de légèreté et ce n'est pas bon quand onv eut prouver que l'on est un tout bon dans l'enquête.

Notre ami commet donc ce petit pécher d'imprécision. Mais il comme aussi quelques oublis. Tiens au fait qu'oublie-t-il ?

- que DSK est parti précipitamment, que celui qui a pris le taxi derrière lui a témoigné que DSK était agité (selon le chauffeur), qu'il a téléphoné à son épouse dans le Taxi, qu'il a parlé d'alibi, qu'il a voulu l'immunité diplomatique, qu'il a d'abord nié toute relation. Dans tout ceci ce qui est gênant ce sont : la précipitation (son oubli) et le coup de téléphone à Anne Sinclair, celui du taxi.

Epstein use d'une méthode bien connue : faire croire que ce qui est tout à fait normal dans un contexte courant, est une preuve intangible d'autre chose. Il insinue des contre-vérités (ce qui habituel chez tous eux qui veulent nous faire prendre des vessies pour des lanternes) ou il s'arrange avec la vérité et distille que des choses sont caches et très difficiles d'accès, que seuls des immenses spécialistes peuvent réaliser. Exemple ? Exemple : le Blackberry. Selon lui et les spécialistes qu'ils auraient interrogés, il serait très difficile de débrancher le GPS (en fait ce n'est pas le GPS c'est la localisation du téléphone). Donc très difficile, seuls des spécialistes le peuvent, donc ce sont des espions qu'ils l'ont volé. Patatras je vais vous donner deux méthodes qu'un enfant de six ans (cinq peut-être) peuvent faire : a - ôter la batterie. Ollala que c'est dur ! ! b- aller dans le menu réglage et demander de désactiver la localisation. Ollala hyper-super-méga dur ! Il faut dix ans de MIT, cinq au MI5 et MI6, 8 au 2é bureau et avoir dirigé pendant quatre ans l'unité d'élite du FBI dans la lutte contre le hacking pour savoir faire cela. Ceci est donc soit nous rendre pour des cons, soir c'est un mensonge, en tout cas cela donne déjà de la gite à son raisonnement.

Ce n'est pas tout. On nous présente DSK comme un génie. Bien. Un génie, en plus averti que l'on veut le piéger très bien. Un homme averti en vaut deux, imaginer donc un génie qui vaut deux génies ! Einstein et Vinci en un seul homme, cela fait du grabuge. Cet homme averti par une espionne à son service au sein de l'UMP l'avertit qu'un e-mail a été lu, donc que son Blackberry et ou son iPad sont piratés. Que fait le génie ? Le petit voyou du coin avec un QI d'une huître va s'acheter un téléphone avec carte prépayé dans le coin sans que personne ne le sache et appelle avec ce téléphone. Ce ne dit pas faire une dépense affreuse pour un homme qui gagnait 450 000 US $ par an. Non, le génie qui suppose son téléphone hacké ne fait rien de mieux de téléphoner à sa femme avec celui-ci et donc avertir les espions que l'on sait qu'ils espionnent. Bravo !. Bien mieux au lieu de contacter son copain flic, ou des spécialistes il demande à sa femme de contacter Fouks, celui qui fait sa campagne de com ! Le faire directement, quelle idée saugrenue. Plus il y a d'intermédiaires mieux c'est. C'est bien connu. C'est comme les femmes pour garder un secret elles se mettent à plusieurs. Voilà un cerveau qui tourne bien. Il fait exactement ce qu'il ne faut pas faire. Par ailleurs Epstein nous dit que dans le taxi il appelle sa file avec un autre Balckberry, ce qui veut dire que sa fille aurait répondu à un appel de ce dernier-ci mais le génie utilise l'autre dans sa chambre, celui qui est hacké !

Ensuite, car cela ne s'arrête pas là ce petit cirque imbécile. Jamais jusqu'alors Anne Sinclair ne parle de cet appel si important. Non des proches. Des rumeurs quoi comme disent les sbires pro-DSK. Jamais, ce couple qui aiment les avocats et attaquer en justice, n'attaquent et ne portent pas plainte, pas plus que les éminents avocats n'utilisent cette précieuse information dans le procès. Epstein, lui ne tient pas cette information ni de DSk ni de Sinclair mais de tierces personnes. Pourquoi dans sa quête de vérité 'a-t-i pas interroger les deux principaux intéressés et pourquoi cette information est-elle si tardive ? Ombre. Ombre.

Continuons un peu. DSK, toujours aussi inspiré téléphone à sa fille avec ce même Blackberry piraté (peut-être est-ce simplement de la radinerie) alors qu'il a de nombreux téléphones de rechange. Il avertit à 12h 13 qu'il sera en retard. Alors puisqu'il a averti il doit être un peu pressé, mais certainement pas précipité comme le prouvent les vidéos et les témoignages. Il est précipité et non, seulement pressé. Mais si on est pressé et que le restaurant est à moins de 12 mn à pied (c'est Epsein qui nous dit 8 blocks et j'avais retrouvé par Google le parcours) et sortant à 12 h 28 il y serait sans se presser à 12 h 40. Il arrive à 12 h 54. Il utilise un taxi qui sera pris dans la circulation. Tout cela est bien incohérent. Bon Epstein oublie cette fameuse conversation avec son épouse quand il est dans le taxi disant que quelque chose de rave tait arrivé. or si Epsein dit que le matin il a déjà averti pour le piratage, c'est donc qu'il s'est passé autre chose.

Passons à soit une approximation, sit un mensonge tout simplement. Il déclare que pendant 3 mn pleines dans son article, mais 4 lors d'un reportage, ce sera combien dans un mois  ? une heure et demie de joie avec pétards et feu d'artifice, un responsable de la sécurité et un autre homme font une sorte de danse de joie. Or le Sofitel déclare que cette fête dure exactement 8 sec. 8 sec ! Et tout ce qui peut être la cause de cette joie : pari gagné, histoire entre hommes, enfin tout ce qui peut déclencher de la joie est remplacé par une seule hypothèse : ils ont réussi à piéger DSK ! Alors que pour Diallo la déchirure dans l'entre jambe des collants, des cellules épithéliales de DSK sur la culotte de Diallo, les rougeurs dans une zone vaginale, tout ce qui peut laisser penser à une agression sexuelle est traité par les avocats de DSK ou par ses sbires comme de pures spéculations, mais 8 sec d'une vidéo, sans que l'on sache ce qui s'est dit devient la certitude que c'est un complot. Rue89 : Premier point : la « danse de joie » décrite dans l'article, entre le responsable technique de l'hôtel et un autre employé, n'aurait pas duré trois minutes mais huit secondes, sans qu'aucune « extraordinaire danse de fête n'ait pu être constatée », assure le Sofitel. Et ces gus nous donnent des leçons ! Il est vrai que l'honnêteté intellectuelle n'est pas leur fort. Donc nos journalistes français qui se font l'écho de cette théorie décoiffante n'ont pas pris la peine de vérifier auprès du Sofitel à propos de cette vidéo. Il aura fallu atterre que l'hôtel fasse un commentaire. De toutes façons qu'il nous la montre, on veut juger par nous-mêmes et il faudrait que des lecteurs sur les lèvres nous fassent la traduction de leur conversation. Eux, en tout cas ont dit à leur direction que c'était pour autre chose. De plus, les deux hommes, interrogés par le management de l'hôtel, « ont catégoriquement nié que cet échange ait quelque lien que ce soit avec Monsieur Strauss-Kahn ». Or ces deux hommes ont été interrogés par la police qu'ils fêtaient un résultat sportif. Pourquoi l'enquêteur de génie n'a-t-il pas interrogé ces deux hommes plutôt que d'élucubrer à partir d'une joie qui est déclarée pour un résultat sportif ce qu'il ne dit pas dans son enquête ne citant pas l'interrogatoire de la police qui a le procès verbal de cette déclaration qui éclaire leur geste ? Et pourquoi toujours passe-t-il sous silence tous les éléments qui éclairent de façon simple et logique les faits ? Au moins par honnêteté intellectuelle comme cela se doit lorsqu'on est un enquêteur intègre et sérieux..

Mais ses élucubrations ne s'arrêtent pas là. En effet, sous prétexte que le Sofitel refuse de donner le nom du client de l'autre chambre cela veut dire que c'est louche. Alors que la vérité toute simple, sortant encore nue du puits c'est que c'est confidentiel ! Affaire DSK ou non, c'est comme le secret médical. Ils n'ont certainement pas à donner à Epstein le nom de ce client, non parce qu'il serait impliqué mais tout simplement parce que c'est en toute logique et très professionnellement confidentiel : CONFIDENTIEL ! mais évidemment ceux qui vendent des vessies pour éclairer trouvent tout bizarre, même ce qui est la norme. La justice pourra le demander, et ce serait bien. 

Mais voici une suite à ces élucubrations. Le client de la chambre 2820 serait un mystérieux complice ? Er pourquoi donc Diallo serait-elle entrée dans cette chambre ? Ô étrange histoire de la vie des hôtel ! Une femme de ménage entre dans une chambre pour faire le ménage ! Et mystère des mystères cette chambre est celle de l'étage dont elle a la responsabilité. C'est étrange. Voilà un complot grandeur himalayesque. Mais oui, bien sûr, c'est une couverture. Le ridicule ne tue pas, heureusement sinon Esptein serait raide mort. Mais voilà, Diallo entre dans cette chambre. une ombre insoutenable. Le Figaro : Par ailleurs, le groupe Accor apporte des précisions sur l'occupation de la chambre 2820 qui se trouve sur le même palier que la suite 2806 occupée par DSK. « L'historique informatique des chambres montre que le client de la chambre 2820 a procédé au règlement de sa chambre (check-out) à 11h36 et que la femme de ménage a fait le ménage de cette chambre immédiatement après, indique l'hôtel. L'insinuation selon laquelle le client occupant la chambre 2820 serait impliqué dans l'incident est donc fausse et sans fondement ». Le Sofitel s'est toujours refusé à communiqué l'identité de ce client pour des raisons de « confidentialité ». Il est bien évident que ceci est vérifiable et que la justice à les pièces en main. Et pourquoi est-elle retournée dans cette chambre ? Quelle question car en fait, si elle a été agressée, elle est dans une situation morale dévastée et ne sait pas ce qu'elle fait doit faire, a fait. Les spécialistes des agressées sexuelles le savent tous, pas les avocats de DSK, ni ses sbires. Ni Epstein, le grand enquêteur.

Tiens, ce qu'oublie de dire Epstein. Il demande pourquoi Diallo est entrée dans une chambre occupée, ce qui n'est pas normal, la suite de DSK. Or pourquoi lui oublie-t-il de dire que c'est parce que le garçon de l'étage lui a dit qu'elle pouvait y aller car la chambre était libre. Ô le petit oubli. Que d'ombre, que d'ombre !!!! Mais c'est mieux, cette explication qui est extraordinairement logique et qui explique pourquoi la carte magnétique du garçon n'a pas marqué sa sortie, ce qui parapit louche à Esptein est en bâtit une question, une ombre. Trop fort le gus ! S'il n'a pas utilisé sa carte pour sortir c'est parce que Diallo est entrée et l'a trouvé là et qu'il est sorti la laissant dedans. Ce qui est contradictoire avec ce que dit Epstein quand il affirme que DSK a vu Diallo dans le ahll quand elle dit qu'elle l'a vu plus tard sortant de la salle de bain. La théorie d'Epstein ne tient pas justement à cause du garçon d'étage.

Idem Epstein dit que c'est très louche d'avoir attendu pour avertir la police. Tout d'abord il oublie de dire que tous les témoignages prouvent que Diallo, ayant peur de perdre son emploi, ne veut pas qu'on appelle la police. Donc pour le complot il faut que tous ces témoins mentent, tous. Mais en plus c'est parfaitement contradictoire avec un complot car, alors, l'intérêt est d'appeler le plus vite possible la police afin de faire arrêter le plus vite possible, aussi, DSK et éviter qu'il ne s'échappe. Epstein est un génie comme DSK qui appelle avec son Blackberry hacqué.

Revenons au Blackberry et cette escroquerie intellectuelle de nous faire croire que c'est si compliqué de désactiver le pseudo-GPS. Déjà c'est simplissime. Ensuite nous avons vu que le génie DSK agit comme un abruti de première en téléphonant avec un téléphone hacqué tout en disant qu'il est hacqué Complétant cette géniale façon d'agir il demande non directement à une agence de sécurité mais à son épouse à téléphoner à une personne qu'il pourrait joindre directement (oh non autant augmenter de façon exponentielle le nombre d'intermédiaires c'est tellement mieux !). DSK l'utilise pour appeler sa fille malgré ses nombreux téléphones de rechange. Mais Epstein crée un lien assez effarant entre la perte du téléphone, le fait qu'il ne soit pas retrouvé et un complot. Il ne nous dit pas quand il a été volé. Comme il nous démontre que Diallo a quitté la chambre, donc DSK reste seul, il prend un taxi et va voir sa fille. il ne rend compte que dans le taxi pour l'aéroport. Alors quand ces espions ont-ils volé le téléphone ? Mais surtout quel est le rapport entre le vol du téléphone par les espions et l'accusation de viol ? quel est le lien direct ? Et pourquoi le voler ? Pour éviter qu'il sache qu'il est hacké ou pour éliminer le SMS compromettant ? mais tient ce SMS n'est pas aussi dans le téléphone de celle qui l'a envoyé ? mais bien sûr, que je suis bête j'avais oublié qu'il y avait un récepteur, mais bon dieu, aussi un émetteur. Faire disparaître le récepteur ne suffit pas il faut éliminer l'envoyeur ! Mais son iPad n'est pas volé et serait lui aussi hacqué. Alors on prend le Blackberry mais non l'iPad. Ils ont forts et amateurs à la fois ces espions. On veut aussi nous faire croire que cet avertissement est primordial,, mais les journaux ont été plein de la déclaration de SK à des journalistes au printemps disant qu'il savait d'avance qu'on voudrait le faire tomber avec un scandale et qu'on l'accuserait de délit sexuel. Donc ce SMS n'apprend rien et n'est pas une nouvelle. 

Comme argument suprême, d'une imbécilité rare, serait sa possible victoire à l'Elysée. Le plus simple B.A.-BA de la manipulation politique serait d'agir au moment le plus favorable pour éliminer DSK. Cette période aurait été décembre 2011, janvier ou février mais surtout pas mai qui laissait suffisamment de temps pour trouver un remplaçant, ce qui fut le cas.

En fait cet article est d'un très faible niveau d'intégrité intellectuelle.Il parle d'ombres quand en réalité tous les faits sont connus et ont une explication. Il y a seulement ce Blackberry disparu. Mais Epstein ne dit ni où ni comment il aurait été volé. Si en revanche il a été oublié dans la précipitation dans sa chambre, alors si quelqu'un l'a récupéré ensuite, ce n'était pas programmé et donc pas un complot. De plus sans ce téléphone oublié, jamais DSK n'est arrêté et le vol aurait donc eu cet effet non désiré mais miraculeux de réussir à attraper DSK avant son envol pour la France. C'est un article extraordinairement faible et utilisant toutes les techniques habituelles pour faire des comparaisons, des suggestions, des rapprochements qui ne prennent qu'un sens parce qu'on le leur donne. En fait Epstein part de la conclusion à laquelle il veut arriver (complot politique) et cuisine les indices en détournant les faits, oubliant volontairement des points importants, faisant coïncider en les tordant les éléments pour qu'ils répondent à la conclusion, comme ce scientifique qui a peint les souris blanches en noir afin de prouver à ses pairs que ses théories étaient vraies.

Au fait petit déail, mais n'est-ce pas le diable qi se loge dans les détails. J'avais parlé il y a quelque temps d'un journaliste qui avait minuté tout ce qui s'était passé dans e Sofitel. Et savez-vous ce qu'il en avait conclu ? Qu'il n'y avait pu y avaoir eu de relation sexuelle. Que c'était impossible selon le timing. Et savezvous qui était ce journaliste ? Epstein ! (Après avoir fait irruption dans l’affaire DSK en juillet, dans un article pour le Daily Beast où il minutait la rencontre entre Nafissatou Diallo et Strauss-Kahn pour démontrer qu’un rapport sexuel était impossible, blog/Express )

Epstein est un faussaire.