Encore les syndicats
Je sais qu'il est difficile de dire ici tout le mal qu'on peut penser des syndicats, mais tant pis, l'occasion est trop belle d'en remettre une petite couche.
Je profite donc de cette occasion pour dire mon désaccord total avec la grève lancée par les syndicats CGT, Sud Rail et UNSA de la gare Saint Lazare, pour défendre un petit groupe de collègues inconscients voire dangereux pour les usagers. Ces mêmes syndicats si prompts à condamner, fort justement, leurs employeurs quand ils négligent la sécurité des personnes qu'ils transportent, devraient de la même façon condamner les agissements irresponsables de ces individus.
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| Accident de Bretigny sur Orge |
Petit rappel des faits : dans une vidéo, filmée par un de leurs collègues, un dimanche soir de février 2013, on y voyait des agents rigolards boire un cocktail rhum-piment-citron dans la salle de repos. L'un d'eux, à son poste d'aiguillage, disait avoir oublié de « clignoter » un train entrant sur un quai occupé. Conséquence, huit agents sont sanctionnés : apparemment normal !
Mais non ! Ces syndicats, aussi déraisonnables qu'imbéciles, décident de prendre les usagers du train en otages pour une cause indéfendable. Un minimum de respect pour ces gens qui doivent eux aussi aller travailler et qui participent à leur garantir leurs fins de mois.
J'imagine bien les usagers des trains ; pour pimenter leur déplacement, faire cuire des crêpes dans les compartiments et les arroser de rhum. Ah ! Mais c'est interdit... Pourtant ces usagers ne sont pas au travail, ils n'ont pas eu le temps de déjeuner avant de monter dans le train pour se rendre à leur boulot.
Les syndicats précités, vous vous êtes trompés de victimes : les utilisateurs de vos trains n'ont pas participé à la petite fiesta-crêpes-rhum, c'est pas eux les coupables. Vous voulez sans doute que les usagers du train respectent les consignes et respectent les cheminots, alors faites de même, respectez le règlement et respectez les voyageurs.
Malgré que ce fait soit marginal, comme affirmé par la direction de la SNCF, nul ne doit passer à coté de la sanction. Personnellement, lorsque j'ai mérité une sanction, et même si celle-ci me paraît sévère, je ne prends personne en otage ; tout juste quelques amis vont partager mon mécontentement et me dire « c'est bien fait pour ta g....., la prochaine fois tu feras gaffe ».
Dd
10 réactions à cet article
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Démosthène bonjour,
Désolé de ne pouvoir atteindre votre degré d’intelligence et de réflexion.
Par contre je suis moins borné et vindicatif que nombre de mes contradicteurs. -
Moi ce qui me choque c’est qu’on trouve que boire un verre sur le lieu de travail (et ici en dehors des horaires de travail et sans dépasser les 0,5g/l) est un acte grave qui mérite une mise à pied. Mais par contre prendre la route avec un verre dans nez ça ne pose pas de problème ...
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voila un petit article qui montre comment la vie serait belle pour certain sans syndicat...mais patience, on y arrive !
voir : MEFIEZ-VOUS DES SYNDICATS !
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Non Robert, pas sans syndicats, mais sans syndicats « stupides et irresponsables ».
Mais ce genre de finesse t’échappe, seule la réflexion primaire t’étant accessible
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Bonjour Robert,
« Méfiez vous des syndicats »
Belle parodie ! N’importe qui peut écrire l’exact contraire avec la même ironie, j’espère que vous le savez ! -
Ce qu’il serait honnête de relater :
1 L’auteur de la vidéo est un stagiaire (licencié depuis par l’entreprise) incapable de réussir son examen statutaire.... Il a agit par vengeance ou pour se faire bien voir
2Le local en question n’est pas un local de repos, mais un réfectoire, puisque les travailleurs postés que sont les aiguilleurs font la journée continue et « bénéficient » d’une« pause casse-croute » dans un local équipé.
3 Le fait pour un aiguilleur de ne pas« clignoter » un train revient en fait à le faire ralentir et perdre qq minutes. Cela arrive tous les jours, ne constitue en aucun cas un danger pour les circulations et ne peut faire l’objet d’une sanction s’il s’agit d’un fait isolè.
4 Deux agents ont apparemment été « identifiés » par la direction comme « coupables » de libations. (Comment ? On peut se poser la question... Les caméras modernes sont sans doutes munies d’éthylotests... )...Or, Huit ont été sanctionnés... Que reproche-t-on aux six autres ???.... De ne pas avoir balancé leur collègues... Et c’est pour cette raison que les syndicats sont en grève.
Il fait ajouter que ces sanctions arrivent en même temps que d’autres relatives à la dernière grève. La direction a la main lourde (grève sur Clermont avec 130 demande de sanctions) et recherche la provocation.-
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Garance 27 septembre 2014 08:00Sampi
Comme si de créer un syndicat était possible dans C’PaysAussitôt les mafias syndicales en place le traiteraient de « Jaune »Insulte suprême : « Jaune »« Dégage : pas touche au grisbi ; c’est nous qu’on tiens le buziness »En France il n’y a pas de syndicats : que des mafiasLa pire d’entre elles la CGT sous les ordres du Parti Communiste français pour qui elles vampirise les CE de toutes les boites nationaliséesDe temps en temps il y a bien des ébauches d’enquêtes voir même de procédures : aucune n’a abouti et n’aboutira jamais : L’UMPS et le patronat y trouvant leur intérêt pour qu’il en soit ainsiLa CGT se permet même d’ appeler directement à voter dans les médias , comme elle l’a fait dernièrement pour ton BouffiAlors que des textes de loi l’en interdisentEn Allemagne il y à de vrais syndicats pour qui l’intérêt des travailleurs est leur prioritéRésultat : 90 % des travailleurs allemands sont syndiquésEn France : http://www.alternatives-economiques.fr/representation-des-salaries---7---de-syndiques_fr_art_475_31745.html7 % dont 5 pour les fonctionnaires !!!!!Les pires chiffres de la planèteUn Karcher ne suffira pas pour nettoyer le « syndicalisme » français : je ne vois que le lance-flammes pour le faire
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Un esclave qui touche 20 000 euros par mois, cette phrase pourrait paraitre absurde ... mais Sampiero ne repère toujours pas les bugs de son logiciel ideologique.
Et bien sûr il relève les « paroles insensées » de ses interlocuteurs.Il va aussi nous dire que le chômage c’est la liberté et le bonheur.
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