Enseigner le fait religieux, peut-être mais comment ?
Durant les cinq années que j'ai passées en Afrique du Nord, j'ai côtoyé dans mon commandement des hommes de cultures diverses et il ne m'est jamais venu à l'esprit de blesser qui que ce soit dans ses croyances. Il n'empêche qu'aujourd'hui, les fantastiques avancées dans le domaine des connaissances, notamment historiques, nous obligent à la réflexion concernant les religions. C'est ce que j'ai voulu dire dans mon précédent article (1). Je crains que M. Manuel Valls commette une erreur en décidant d'apporter, dans la précipitation, la caution de notre République à des représentants religieux qui enseignent des "interprétations", au moment même où la recherche historique les remet en question.
Je connais les textes fondateurs des trois religions du Livre, mais soyons clair ! Comme pour l'immense majorité de mes concitoyens, mes guides et mes modèles ne sont plus aujourd'hui Jésus ou Mahomet. Les belles figures qui marquent mon esprit sont, par exemple, le centurion qui, face à l'empereur Maximien, se brûle la main droite portant l'épée plutôt que d'exécuter un acte contraire à l'honneur et à l'humanité (2). C'est Cyrano de Bergerac qui préfère le parler vrai plutôt que la compromission ou le renoncement. Ce sont les femmes intelligentes du débat télévisé, qui, bien souvent, sont plus "voyantes" que les hommes.
Après avoir lu et compris (plus ou moins bien) les thèses des auteurs islamologues que j'ai cités dans mon précédent article, chouette, me suis-je dis, voici une "édition(s) de Paris" à laquelle je pourrais proposer, avec quelque chance de succés, mon "Prophète au visage voilé" dont le manuscrit dort dans mes tiroirs depuis 1987.
La collection est dirigée par Mme Marie-Thérèse Urvoy, licenciée en langues orientales, islamologue reconnue, experte consultante auprès du Parlement et du Sénat. Premier écueil, la tendance de la collection est, sauf erreur de ma part, de minimiser l'influence dite essénienne dans le processus historique qui a conduit à l'islam et au christianisme alors que je l'estime déterminante. Le deuxième écueil est, en contrepartie, l'invention d'une idéologie judéonazaréenne messianiste et d'un judéochristianisme qui auraient existé en parallèle avec le christianisme fondé par Jésus-Christ.
Si j'ai bien compris la thèse "scientifique" qui aurait, aujourd'hui, le vent en poupe, il y aurait eu un courant messianiste prolongé par l'islam, prosaïquement historique, et puis, vers l'an 30, un événement extraordinaire : un dénommé Jésus dit des choses étonnantes. Recueillies dans les évangiles, elles donnent un nouveau sens à l'humanité. Cet homme, Jésus-Christ, est crucifié, mais phénomène absolument inouï, il est ressuscité, véritable clef de l'histoire, clef des siècles à venir. (3)
Si j'ai bien compris l'état de la recherche, il y aurait d'un côté un courant messianiste prolongé par l'islam, prosaïquement historique, que les historiens peuvent décortiquer, remettre en question, dégager de leurs oripeaux, et d'un autre côté, une vérité révélée dans les évangiles, parole de Jésus-Christ.
Mon approche est tout autre. Précisons d'abord que les Esséniens ne se sont, eux-mêmes, jamais appelés ainsi, mais pieux, saints ou parfaits (4). Le mouvement dit "essénien" n'est pas, je cite, un simple arbre qui cache une forêt judéonazaréenne messianiste (5). Il s'agit, en réalité, du judaïsme revenu de l'exil de Babylone qui s'est étendu comme une tâche d'huile depuis la Galilée et l'arrière-pays de Damas. Le livre de Jacques (6), les quatre évangiles, l'Évangile/apocalyse de Jean (7), le Coran, sont comme les branches principales d'un tronc. Ce tronc s'enracine dans le judaïsme ancien du royaume d'Israël, plus particulièrement dans la prophétie de Daniel (8), dans le réglement (essénien) de la guerre et dans l'écrit de Damas (9) où sont annoncées la guerre ultime et la fin des temps (ou d'un temps). Avec toutefois une différence radicale de stratégie entre le christianisme et l'islam de Médine. Dans le cas du christianisme (et de l'islam de La Mecque), le choix a été la conversion/persuasion pacifique par la Parole, dans le deuxème cas, ce fut par l'épée. Les versets qui avaient recommandé jadis la patience (à La Mecque) furent abrogés et remplacés (à Médine) par d'autres versets “à cause des violences dont ils avaient été victimes”. (10)
Revisiter l'histoire des origines de l'islam, oui, mais sans le faire auparavant pour les quatre évangiles et l'Évangile/apocalypse de Jean me semble d'un parti-pris extrêmement dangereux. Bien sûr qu'il faut tenir compte de l'influence des textes apocryphes et de la gnose. Mais l'important, dans la situation de notre monde actuel, n'est-il pas surtout de mieux comprendre - pour mieux l'exorciser - cette croyance utopique, et ô combien mortelle, de la prophétie de Daniel ? Pour ceux qui ne le savent pas, cette prophétie ancienne annonce que le Seigneur devait venir (doit venir ?) dans une période de désordre ultime, pour établir le royaume de Dieu sur terre avec l'aide armée ou non armée de ses saints, de ses pieux et de ses parfaits (11). Nous sommes soit dans un djihad, soit dans une évangélisation généralisée.
Le grand danger de cette prophétie, il fallait s'y attendre, c'est qu'elle est fausse. En refaisant le calcul, temps par temps, tels que Daniel les a prophétisés, on tombe sur l'année - 130 ou - 95 pour le grand affrontement annoncé qui devait voir la victoire éclatante des fils de lumière sur les fils des ténèbres. Or, à ces dates-là, il ne s'est rien passé. En admettant que Dieu ait été en retard, on arrive à l'an + 70 ou a eu lieu, à Jérusalem, le grand affrontement entre les Juifs et les Romains, mais Jésus n'est pas apparu et ce fut une grande défaite juive. Non seulement Dieu ne s'est pas manifesté mais il a laissé les Romains détruire le magnifique temple que les habitants lui avaient consacré. Ont suivi quelques insurrections sans que le messie se décide à venir. En 614, les Perses s'emparent de Jérusalem et massacrent la population. Toujours pas d'intervention divine. Le calife Omar décide de reconstruire le temple mais Dieu ne se manifeste toujours pas. C'est vraiment à désespérer, non pas de Dieu, mais de la nature humaine qui se laisse ainsi manipuler. SI NOTRE RÉPUBLIQUE EN A LE COURAGE, C'EST CELA QU'IL FAUT ENSEIGNER AUX ÉCOLES.
Au sujet de Jésus.
Bizarre, cette conscience qui est en nous et qui, comme une voix intérieure, nous dit : "Écris !". C'est ce qui s'est passé dans l'esprit de ceux qui ont écrit les premiers versets du Coran (ceux ou celui ?). C'est, de même, ce qui a motivé les auteurs des textes évangéliques. Ils y ont écrit leur vérité, une vérité que je respecte mais qu'il nous appartient, aujourd'hui, de comprendre un peu mieux que cela n'a été fait jusque-là.
Si, dans mon précédent article, j'ai rappelé la scène de la conversion du centurion, c'est pour montrer comment Simon Pierre a eu l'impression que le Christ du ciel se "manifestait" en s'exprimant par sa bouche (12). Manifestation qui, ajoutée à d'autres, a conduit le cercle des apôtres a rédiger une histoire de Jésus. Je n'invente rien : dans l'une de ses épîtres, Jean évoque les "manifestations" du Seigneur avant que, dans son espérance, il vienne en gloire. (13)
Lorsque l'évangile de Matthieu proclame : En vérité, je vous le dis, vous n'aurez pas fini de porter la Parole aux villes d'Israël que le fils de l'homme viendra, cela signifie que si cette parole du "Fils de l'homme" s'est bien exprimée sur terre, dans les communautés et dans les textes, on attendait toujours que ce "Fils de l'homme" vienne en gloire en apparaissant dans le ciel. (14)
Dans ces conditions, Mme Marie-Thérèse Urvoy devrait plutôt dire que c'est l'islam messianique qui s'inscrit dans le prolongement des évangiles et que c'est le christianisme des pères de l'Eglise qui a dévié en clôturant le mystère par une crucifixion, une résurrection présentée comme réelle d'un corps physique (15), et une attente de retour. En réalité, comme le dit clairement l'épître aux Hébreux, le Christ n'a fait que "goûter" la mort dans le corps d'une communauté sainte, en esprit (16), puis en ressuscitant toujours en esprit, dans une autre communauté, et ainsi de suite. (17)
M. Dupont-Sommer avait raison de dire que le christianisme s'enracinait dans la secte des Esséniens (18). J'irai même plus loin en disant, comme Renan, que le christianisme est un essénisme qui a réussi.
Illustre précurseur, à l'origine de la pensée essénienne devenue chrétienne, Jean-Baptiste a ouvert le chemin en prophétisant, dans l'évangile de Jean, une espérance dans un Jésus qui se serait incarné dans un conseil galiléen essénien réformateur ; un conseil réformateur qui aurait succédé à un conseil essénien ancien, dit de Dieu, qui n'était plus en phase avec l'évolution des idées qu'avait apportée en Palestine la colonisation romaine. C'est à Jean-Baptiste, personnage historique attesté, qu'il faut attribuer le mérite d'avoir inventé un Jésus plus humain que celui du Protévangile de Jacques ou de l'Apocalypse de Jean. Tout cela, je l'ai expliqué dans mes ouvrages (19). C'EST CELA QU'IL FAUT ENSEIGNER À L'UNIVERSITÉ.
Au sujet de Mahomet.
Dans ces conditions et dans ce prolongement, on devine que Mahomet ne peut être qu'un conseil de sept membres, comme l'était le conseil restreint des Esséniens (20), comme l'était aussi, en quelque sorte, le Jésus de Jean. L'âge de 110 ans à laquelle est mort son grand père ne s'explique, en effet, que s'il s'agit de la durée de vie d'un conseil dans une suite généalogique de conseils qui se succèdent dans le temps (21). On devine que si le conseil Mahomet est mort en 632, ce n'est pas par maladie humaine mais parce que l'oumma musulmane, reproduction du grand conseil essénien, l'a conduit à l'éclatement ou à la démission ; une mort que la Sirah de Tabari a relatée dans la sublimation du récit poétique d'un enterrement fictif de première classe ; enterrement fictif dont tous les Juifs encore intelligents de cette époque comprenaient le sens caché : le Prophète avait sept sabres et sept chevaux (22). C'EST DE CELA QUE LES MÉDIAS DEVRAIENT DÉBATTRE.
Dans mon manuscrit, j'ai montré la poésie et tous les sens cachés que Tabari - ou plutôt l'auteur qu'il a copié - à mis dans son texte. Je n'ai pas l'intention de modifier mon dit manuscrit pour tenir compte des récents travaux de recherche des auteurs que j'ai cités. D'autres que moi le feront. En ne donnant principalement à Mahomet que l'intention de réaliser l'unité de l'Arabie, peut-être l'ai-je un peu trop vite exonéré de cette folle ambition expansionniste de guerre sainte qui animera ses successeurs. Dans mon explication de la bataille de Mouta, j'ai bien compris que son objectif était de s'emparer de la forteresse de Macheronte. J'ai bien compris que son intention était de soulever la population des environs, mais je n'ai pas mis en exergue le fait qu'en cas de victoire, il se serait présenté comme un nouveau Josué se préparant à franchir le Jourdain pour reconquérir la terre promise (23). C'EST CETTE STRATÉGIE QU'ON DEVRAIT ENSEIGNER DANS LES ÉCOLES MILITAIRES.
L'évangile de Matthieu.
Cette croyance utopique, et ô combien mortelle, dans la prophétie de Daniel annonçant que le Seigneur allait venir dans une période de désordre ultime pour rétablir le royaume de Dieu sur terre se trouve aussi dans l'évangile de Matthieu (cf extraits de mon Histoire du Christ, tome II, chapitre 15), je cite :
1. « En vérité, je vous le dis, vous n'aurez pas fini de porter la Parole aux villes d'Israël que le Fils de l'homme viendra ».(24)
2. « En vérité, je vous le dis, il y en a parmi vous qui ne goûteront pas la mort avant d'avoir vu venir le Fils de l'homme avec son royaume ». (25)
3. « Lorsque vous verrez l'Abomination et la Désolation annoncée par le prophète Daniel, si quelqu'un vous dit : “Voici le Christ”, n'y allez pas, car il s'élèvera de faux Christs. Comme l'éclair qui traverse le ciel du Levant jusqu'au Couchant, ainsi viendra le Fils de l'homme. » (26)
4. « Soyez vigilants, car c'est au moment que vous n'y penserez plus que le Fils de l'homme viendra. Veillez ! » (27)
5. « Lorsque le Fils de l'homme viendra en gloire, avec son cortège d'anges, il s'asseoira sur son trône et il jugera les nations ». (28)
Soyons clair ! Je ne dis pas que Jésus n'est pas venu. Je dis qu'il est bien descendu, mais anonymement, invisible et inconnu dans le corps et dans l'esprit de la communauté. En fait, Mathieu n'en sait pas trop. Il semble laisser au lecteur, s'il le souhaite, la possibilité de croire que le mystère s'est accompli dans la résurrection d'un membre de la communauté. Anonymement ? À la vue de tous ? N'oublions pas que cet évangile est le fruit d'un concile, donc le résultat d'un compromis. Et l'épître aux Hébreux semble aller dans ce sens.
Là où il n'y a aucun doute, c'est que l'évangéliste s'est trompé dans son estimation du temps. Cet événement extraordinaire qui devait se produire avant que sa génération ne meure s'est trouvé en effet précédé par tous les signes auxquels on pouvait s'attendre (les premiers troubles, la guerre de Jérusalem), mais il ne s'est pas produit. Jésus, qui était venu dans les consciences, n'est pas venu “en gloire”.
Ces Juifs se sont aussi manifestement trompés sur la forme sous laquelle Dieu pouvait surgir dans le monde... L'esprit nourri par la lecture des textes sacrés, l'âme angoissée par les signes annonciateurs de la fin d'un monde centré spirituellement sur Jérusalem, ils ont cru que la fin des temps était arrivée. On mesure combien grande fut leur déception lorsque le feu transforma en ruines fumantes la Ville sainte et son temple sans que Jésus vienne “en gloire” comme l'avait annoncé l'Apocalypse de Jean. Bien sûr, il ne faut pas mettre tout le monde dans le même sac. Paul et Philippe ont fait tout ce qui était dans leur pouvoir pour empêcher le conflit, et la communauté chrétienne de Jacques a eu raison de quitter la ville quand il était encore temps.
Si ces hommes, dont nous ne sous-estimons pourtant pas l'intelligence, pouvaient revenir dans notre époque, voyant la percée formidable et glorieuse de l'évolution, quelles seraient leurs réactions ? « Oui, nous diraient-ils probablement, notre espérance dans la venue apocalyptique d'un Fils de l'homme en gloire était peut-être trop simple et un peu naïve. Peut-être aurait-il fallu davantage comprendre dans l'esprit, dans l'évolution et dans le symbole plutôt que dans la lettre. » Puis, constatant l'extraordinaire cheminement suivi par la Parole et ses fruits innombrables, conscients de s'être trouvés à un moment unique de l'Histoire sur la flèche de l'évolution, que pourraient-ils ajouter sinon ceci : « Seigneur, pardonne-nous nos erreurs ; ne regarde que la foi de ton Eglise. » Fin de citation.
Mais aujourd'hui, après tout ce que j'ai écrit et publié, sept livres, 296 articles Agoravox, je me pose la question : Foi ou mauvaise foi ? On ne peut pas demander aux citoyens français dont les pères ont vécu dans l'islam de se couvrir la tête de cendres et à ceux dont les pères ont vécu dans le christianisme de ne pas le faire ; d'un côté, les damnés de la terre, de l'autre, les enfants du bon Dieu.
Qu'on ne se trompe pas sur l'auteur de cet article, qui, autant que faire se peut, n'a cherché qu'à remplir sa tâche d'historien. Qu'on me pardonne mes quelques erreurs mais qu'on me reconnaisse, au moins, le mérite d'avoir replacé les illustres capitales gauloises de Gergovie et de Bibracte sur leurs véritables sites. Mais je ne sais pas si cette ultime satisfaction me sera donnée dans mes vieux jours.
Emile Mourey, 16 février 2015, http://www.bibracte.com
Copie à Mme Najat Vallaud-Belkacem, Ministre de l'Éducation nationale
M. Bernard Cazeneuve, Ministre des cultes
Ministère de la Culture
DRAC Bourgogne
Mme Marie-Thérèse Urvoy
Mme Leila Qadr
Renvois
1. http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/les-textes-musulmans-sont-ils-162994
2. En 507 avant JC, à Rome, Mucius Scaevola se brûle la main droite en défiant l'empereur qu'il voulait assassiner. Sur un autel semblable, saint Maurice, en 286, agit de même, refusant d'exécuter les révoltés de la légion thébaine.
3. Le grand seret de l'islam, par Olaf, page 21. Les "Éditions de Paris" ont publié du père Édouard-Marie Gallez, "Le messie et son prophète" tome I et II, de Olaf, "Le grand secret de l'islam" , de Leila Qadr et Arrun Amine Saad Edine, "les 3 visages du Coran".
4. Rouleau de la Règle, V, 5.
5. Le messie et son prophète, tome I.I. Le dossier "essénien" ; une forêt que cache un arbre.
6. Cité par Origène vers 249 (Commentaires sur Matthieu 10, 17)
7. L'Apocalypse de Jean - rien à voir avec les évangiles - est, en réalité, la prophétie à l'origine du soulèvement de Jérusalem, comme l'explique Flavius Josèphe (Guerre des Juifs, 6, 31).
8. Ancien Testament, 12, 1-13.
9. Documents de Qoumrân, Règlement de la guerre. Écrit de Damas, fragments. Texte complet retrouvé en Égypte.
10. "Tuez les infidèles où vous les trouverez" Sourate IX, vers. 74, Tabari , page 125, éditions Sinbad.
11. 1 Maccabées, 2, 27 et Écrit de Damas.
12. Actes des Apôtres, 10, 1-48, mon interprétation : lien, note 1.
13. Première épître de Jean, 3, 8.
14. Évangile de Matthieu, 10, 23
15. Alors que Paul doutait encore : "si le Christ n'est pas ressuscité, notre foi est vaine", épître aux Corinthiens, 1 Co 15.
16. Épître aux Hébreux, He 2, 9.
17. Les évangiles en sont les témoignages.
18. Je remercie Mme Dupont-Sommer de m'avoir remis quelques documents après le décès de son mari.
19. Mon "Histoire du Christ, tome I ", chapitre 11, publié en 1996.
20. La grande assemblée de Dieu rassemblait tous ceux qui s'étaient engagés dans la nouvelle alliance après un stage de deux ans. Le conseil de Dieu comprenait 15 membres. 12 représentaient les 12 tribus, 3 représentaient les lévites. Rouleau de la Règle, Vi, 14 - 20.
21. Généalogie du Prophète, Tabari, page 37. Son grand aïeul, Ismaël, a vécu 137 ans, son grand père Abd al-Muttalib, 110 ans.
22. Tabari, page 335.
23. Tabari, page 269.
24 à 28. Évangile de Matthieu, 10,23 - 16,28 - 24,15 - 24,24 - 24,27 - 24,44 - 25,13 - 24,31
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