Être pauvre au 21ème Siècle
Être pauvre ou plutôt le devenir, on ne nait rien, on le devient. Un jour, VOUS serez peut-être à la rue. Un jour peut-être, VOUS, n’aimerez plus notre chère république.
Les hommes politiques ont beau dire, leurs réformes stupides se servent à rien. Il faudrait faire quelque chose de vrai, quelque chose qui marche. Ne me dites pas, vous citoyens français qui lisez actuellement mes quelques lignes, qu’aucun sentiment de peine ne vous perturbe le cœur en entendant à la télé une famille de 10 enfants vivant dans 10 mètres carrés tout au plus avec une miche de pain pour une semaine... Et là vous changez de chaine pour tomber sur la bande annonce du film hors du commun qui sortira cet été où l’actrice Carla Bruni tentera d’éblouir le pays, vous rechangez et ça parle du palace du président.
Certes les conditions de vie de certains en France ne changeront pas de suite, écrire ce que j’écris non plus, mais peut-être que VOUS prendrez conscience. Dorénavant quand votre ventre sera plein, vous ne jetterez plus votre sandwich mais le donnerez à ce sans abri juste en face, qui fut un temps à votre place ou peut-être que vous le jetterez, peut-être même que vous ne lirez même pas ceci jusqu’à la fin. Peut-être oui.
L.G
26 réactions à cet article
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à Lydie Gomas
J’ai 16 ans mais je comprends assez bien les choses. J’ai mes idées, mes opinions et je n’ai pas peur de les dire. Plus tard, je veux être journaliste. Enfin « plus tard » n’est qu’un état d’esprit...
Les gens ne comprennent pas toujours mes articles comme ils le devraient, aussi je vous demande d’ouvrir votre esprit. Sachez que je ne suis pas encore très politique. Je n’ai pas de parti. Aussi mes écrits ne sont en aucun cas influencés.-
etre pauvre en france,esse la meme chose que d’etre pauvre en inde ou en afrique ?
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Qu’est-ce qui empêche les « pauvres » de s’enrichir par les mêmes moyens que les milliardaires ?
Vous remarquerez les guillemets au mot pauvre, pour ce commentateur les pauvres, ça n’existe pas, ce n’est qu’un mot.
Il est clair que cette personne n’a jamais eu faim !
Quant à ce qui empêche les pauvres de devenir milliardaires, c’est essentiellement la naissance, 98% des riches descendent de familles riches. L’ambition, la cupidité, la tromperie sont aussi des moyens relativement efficaces.
Par contre le travail ... ça c’est une illusion. Pour la demi-douzaine d’exemples de gens « qui se sont faits eux-mêmes » combien de gens qui n’ont pas eu de chance. Parce que lorsqu’on interroge ces personnes, tous expliquent qu’ils ont eu a chance de rencontrer la bonne personne, ou de tomber par hasard sur telle ou telle opportunité, ...
Mais pour nos chers commentateurs, la pauvreté ne saurait être qu’un choix.
Rassurons les, dans le monde qui se construit, ils ont une certaine chance de rejoindre les rangs des pauvres, quelles que soient leurs certitudes de gens bien assis.
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finael (xxx.xxx.xxx.120) 24 avril 19:48
Les guillemets ne signifient pas la négation des « pauvres absolus » (le texte joint témoigne d’un vrai souci d’éradiquer la pauvreté). Leur seul but était d’indiquer qu’il existe plusieurs degrés de pauvreté en comparaison de la richesse absolue des milliardaires.
Un nanti capitaliste
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Qu’est-ce qui empêche les « pauvres » de s’enrichir par les mêmes moyens que les milliardaires ?
Déjà milliardaire c ’est taper trop haut , mais ce qui empêche les pauvres de s’ enrichir , c ’est toutes sortes de préjugés , la peur de se lancer , le manque de courage , de motivation , de créativité , l’ absence de confiance en soi , le manque d’ idées , la niaque , une petite part d’ inconscience , le plaisir de se réaliser et mille autres choses .
Mais réussir c ’est pas bien vu ici .
Ici , l’ idée c’ est de partager ce qu’ on a pas ....
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T’ es tombé du dixième ou du quinzième étage ?
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La majorité des pauvres subissent la pauvreté,mais il y en a qui la choisissent comme les moines et les moniales qui font « vœux de pauvreté » dans les monastères chrétiens et bouddhistes.
Parmi ceux et celles qui choisissent la « simplicité volontaire » il y a surement des pauvres
http://fr.ekopedia.org/Simplicit%C3%A9_volontaire
Si la pauvreté est parfois choisie, la misère est toujours subie. Majid Rahnema a écrit un livre a ce sujet : « quand la misère chasse la pauvreté »
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(@L’ auteur).
Vous dite : ( une jour peut-être vous n’ aimerez plus notre chère république.) Fin de citation.Bien moi il y a longtemps que je ne l’ aime plus la république, cette salope !VINVIN.-
Merci pour « certains » commentaire.
Pour repondre a dautre,ce qui empeche les pauvres de sortir de ce cercle vicieux ce nest rien dautre que leur position. Ils sont seul,exclu de la société...
Aller donc demander à quelquun « vous etes pauvre,pourquoi ne pas changer ? » Je trouve cela assez pathétique on voit bien que vous ne savez pas ce que cela veut dire que de vivre dans de telles conditions.-
Lydie Gomas (xxx.xxx.xxx.253) 25 avril 17:35
« Merci pour »certains« commentaire »S.Est-ce à dire que « d’autres » commentaires n’auraient pas l’heur de vous plaire ? Fi donc...
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Je pense que j’a été très clair.
Et je mexcuse d’avoir oublier ce vitale de « S » à commentaires,ça tout évidement. -
Je pense que j’ai été très clair.
Et je mexcuse d’avoir oublier ce vitale de « S » à commentaires,ça change tout évidement. -
Lydie Gomas (xxx.xxx.xxx.253) 26 avril 09:57
« Je pense que j’ai été très clairE.
Et je m’excuse d’avoir oubliÉ ce vitale »S« à commentaires, Ça change tout évidemMent ».Bravo pour les corrections !
Un détail, cependant : on ne s’excuse pas mais on présente ses excuses...
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Vs jouer ac les mots sans vs préocuper de leur sgnification veritables.
S’excuser & présenter ds excuses c’est la mm chose,surtout que je le faisait ironiquement. -
Lydie Gomas (xxx.xxx.xxx.253) 26 avril 11:52
Vous joueZ avec les mots sans vous préoCcuper de leur sIgnification véritable (s).
S’excuser & présenter des excuses c’est la même chose, surtout que je le faisaiS ironiquement.
Vous devriez suivre l’utile conseil d’Anonyme (xxx.xxx.xxx.82) 24 avril 15:23à Lydie Gomas
J’ai 16 ans mais je comprends assez bien les choses. J’ai mes idées, mes opinions et je n’ai pas peur de les dire. Plus tard, je veux être journaliste. Enfin « plus tard » n’est qu’un état d’esprit...
Les gens ne comprennent pas toujours mes articles comme ils le devraient, aussi je vous demande d’ouvrir votre esprit. Sachez que je ne suis pas encore très politique. Je n’ai pas de parti. Aussi mes écrits ne sont en aucun cas influencés.Mais, peut-être, êtes-vous particulièrement fière de votre orthographe et de votre syntaxe de future journaliste illettrée...
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Apparamt l’écriture sms vous ne connaissez pas.
Hé bien ? A quoi bon parler ac une illittrée de 16 ans ? -
Lydie Gomas (xxx.xxx.xxx.253) 26 avril 12:09
« Apparamt l’écriture sms vous ne connaissez pas ».
Si. Mais il y a un lieu spécifique pour elle.« Hé bien ? A quoi bon parler ac une illEttrée de 16 ans ? »
À rien, effectivement !... -
Les définitions de la pauvreté qui s’appuient sur des montants de revenu en fraction d’un revenu médian n’ont absolument aucune signification, si ce n’est de mal mesurer l’inégalité, ce que fait bien mieux le coefficient de Gini.
Mais cette définition est bien pratique pour les idéologues, toujours assurés par la définition même de cette « pauvreté » de pacotille d’avoir un chiffre qui donnent à leurs élucubrations un côté scientifique.Les statisticiens sérieux étudient plutôt l’évolution du nombre de personnes vivant avec moins qu’une certaine somme choisie arbitrairement (généralement un dollar/jour actualisé en pouvoir d’achat) pour saisir les tendances.
Mais pour n’importe qui d’un peu sensé, est pauvre celui qui travaille du lever du jour au coucher pour juste vivre. Chose inimaginable pour les assistés qui se délectent d’articles sur les « pauvres » lus sur un ordinateur payé par l’assistance sociale.
Sans commentaire additionnel.
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Je nais en aucun cas dit que cette notion s’appuyais sur des chiffres. Dailleurs je ne parle avec des chiffres que très rarement,je suis nul en maths.
Dans mon article,jai juste voulu donner mon avis sur un certain sujet,laissez moi donc penser comme je veut,cela n’est t-il pas un des principes de la liberté ?
Je nais parlé que de sujet vrai,de cas veritables sans m’attarder sur « ces » chiffres.P.S : Les guillemets me sont propre.
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Je ne vois pas que je vous ai interdit quoi que ce soit.
Vous n’aimez pas les maths, mais ça ne vous empêche pas de vous appuyer sur des chiffres. Dois-je vous citer ?.... Le nombre de pauvres en France ne fait qu’augmenter. Selon les derniers chiffres, la France compterait jusqu’à 8 millions de pauvres, soit 13 % de la population...etc...Avez-vous une fois déjà travaillé du matin au soir le ventre creux ? Non bien sûr. Ceci est la pauvreté, et est en voie d’être éradiquée de la planète. Ceci est un fait.
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Vous ne me connaissez pas, ne savez strictement rien de ma vie,donc vs ne pouvez rien affirmé.
Le mot « augmenter » n’est pas un chiffre pour moi.
Les quelques chiffres mineurs de mon texte sont la pour nous mettre en situation. il n’y rien de calculler,pour ca,il faut voir avec l’insee.
Je trouve quon parle un peu pour rien. Si vs naimez pas ce que j"écris vous n’aviez qua ne pas vs attarder a rédiger un commentaire. J’apaitrez un peu impulsive,mais cest l’adolecence qui veut ça. -
Pardon Waldgander,mais je nais pas compris de qui & à qui vous vous adressiez.
Si cest à moi,je nais insulté personne,lizez mon article mes commentaires,il ny a rien dinsultant. ou peut etre que je vous es mal compris. -
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Je nais en aucun cas dit que cette notion s’appuyais sur des chiffres. Dailleurs je ne parle avec des chiffres que très rarement,je suis nul en maths.
Dans mon article,jai juste voulu donner mon avis sur un certain sujet,laissez moi donc penser comme je veut,cela n’est t-il pas un des principes de la liberté ?
Je nais parlé que de sujet vrai,de cas veritables sans m’attarder sur « ces » chiffres.P.S : Les guillemets me sont propre.
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La misère, c’est la pauvreté sans les moyens de subsistance. Le capitalisme promet la richesse et sème la misère, partout dans le monde.
« Si nous nous obstinons à concevoir notre monde en termes utilitaires, des masses de gens en seront constamment réduites à devenir superflues. » (Hannah Arendt )
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Dslée du mal entendu 
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