Etude socio-historique de l’eschatologie judéo-nazaréenne
Je souhaite ici apporter ma modeste contribution à l'étude socio-historique de l'eschatologie judéo-nazaréenne en exposant la manière dont la communauté de Jérusalem exilée à Pella et Kokabé aurait pu interpréter les événements survenus en Italie et en Mésopotamie durant le règne de l'empereur Titus (79-81 ap. J.-C.).
Le siège de Jérusalem, en 70 de notre ère, fut un événement décisif de la première guerre judéo-romaine, la chute de Massada, en 74, y mettant un terme. L’armée romaine, menée par le futur empereur Titus, qui fut secondé par Tibère Alexandre, assiégea et conquit la ville de Jérusalem, qui avait été tenue par ses défenseurs depuis 66. La ville fut mise à sac, et le second Temple détruit. Ce siège, dit-on, coûta la vie à plus d’un million de personnes[1].
L’historien Hirsch GRAETZ (1817-1891) apporte les précisions suivantes :
« Les prisonniers faits pendant cette guerre dépassaient le nombre de 900 000[2]. Ceux qu’on avait pris à Jérusalem, Titus les fit parquer sur l’emplacement du temple, laissant à un affranchi, et à son ami Fronto plein pouvoir sur eux. Il n’excepta que les princes de la maison d’Adiabène[3] ; mais il les envoya à Rome, chargés de fer, comme des otages devant lui garantir la fidélité du roi d’Adiabène. Tous ceux qui furent reconnus ou dénoncés comme ayant pris part à la lutte furent mis en croix, sur l’ordre de Fronto[4]. Les survivants durent envier leur sort. En effet, 17 000 d’entre eux moururent de faim, tant on leur mesurait la nourriture avec parcimonie. Une partie des prisonniers refusèrent d’accepter des Romains le moindre aliment, aimant mieux périr d’inanition. Parmi ceux qui survivaient, Fronto choisit les plus beaux jeunes gens pour orner le triomphe du général ; de ceux qui étaient âgés de plus de dix-sept ans, une partie fut envoyée en Égypte pour y travailler à perpétuité dans les mines au compte des Romains, comme naguère les prisonniers de Galilée avaient été employés aux divers travaux de l’isthme de Corinthe. La plupart des jeunes gens furent répartis entre les provinces pour jouer leur vie dans les cirques. Les plus jeunes et les femmes furent vendus à l’encan, et, vu leur grand nombre, cédés aux marchands d’esclaves à des prix dérisoires. C’est ainsi que les fils et les filles de Sion furent dispersés dans l’empire romain pour y gémir esclaves. Que de souffrances durent subir ces infortunés.
[…] Quant au doux Titus, quelle fut sa conduite lorsque, après avoir fait immoler ou vendre comme esclaves des myriades de créatures humaines, on lui amena enchaînés les plus robustes jeunes gens de la Judée ? Il tint sa cour à Césarée et donna à ses amis des fêtes sanglantes, dans le goût romain. Des bêtes féroces étaient amenées dans un cirque et les prisonniers judéens forcés de se battre avec elles jusqu’à ce que, vaincus, ils fussent mis en pièces. Parfois le spectacle changeait : les prisonniers devaient lutter les uns contre les autres et s’entretuer. C’est ainsi que périrent 2 500 nobles jeunes gens à l’occasion de la fête anniversaire de son frère, l’ignoble Domitien (24 octobre). De là, Titus se rendit à Césarée de Philippe, au pied du mont Hermon, où résidait le roi Agrippa et où il organisa de nouveaux combats de bêtes fauves et de prisonniers. Là encore, de nombreuses victimes expirèrent sous les yeux de Titus et de Bérénice. A Béryte, au jour natal de son père (17 novembre), Titus déploya la plus grande prodigalité, et ce furent encore des Judéens qui rougirent de leur sang le sable de l’arène. Dans toutes les villes de Syrie, Titus procura à la haine païenne le réjouissant spectacle du martyre des Judéens. Telle était la douceur et telle la philanthropie du grand empereur [5] ! »
Le sort de l’Italie antique dans la littérature apocalyptique juive
C’est au cours de cette sombre période que furent rédigés certains passages d’une littérature composite de caractère apocalyptique annonçant et appelant sur Rome-Babylone, la grande pécheresse, les plus terribles fléaux :
« Lorsque après quatre ans aura brillé une grande étoile qui, à elle seule, détruira la terre entière en raison de l’honneur qu’ils avaient tout d’abord rendu à Poséidon, le dieu des marins, du haut du ciel, une grande étoile s’abattra sur la mer divine. Elle consumera la mer profonde, Babylone elle-même et la terre italienne à cause de laquelle ont péri bien des Hébreux saints et fidèles et le peuple de vérité. Au milieu de mortels méchants tu souffriras des maux, mais ensuite, tu ne seras que désolation durant de nombreux âges, haïssant ton sol, parce que tu as chéri la magie, parce que l’on voit chez toi des unions adultères, des rapports criminels avec les jeunes garçons. Ô perverse cité, efféminée et injuste, cité qui de toutes a le destin le plus cruel ! Malheur à toi, très impure cité de la terre latine, Ménade amie des vipères, c’est en veuve que tu seras assise sur tes collines et le fleuve du Tibre pleurera sur toi, sa compagne à l’esprit meurtrier et au cœur impie ! Tu ignorais ce que peut Dieu et ce qu’il te préparait, mais tu disais : Il n’y a que moi et nul ne m’abattra. Or, voici que, toi et tous les tiens, le Dieu qui toujours existe va vous détruire, et il ne subsistera plus sur cette terre le moindre indice de ton existence comme jadis lorsque le Grand Dieu avait obtenu tes honneurs[6]. »
« O Italie, trois fois malheureuse, tu vas attendre, toute désolée, sans que personne te pleure, de périr tel un monstre funeste dans la terre florissante. Là-haut, à travers le vaste ciel, on entendra dans un fracas tonitruant la voix de Dieu. Même les flammes impérissables du soleil n’existeront plus et on ne verra plus la lumière brillante de la lune, à la période finale, lorsque Dieu régnera. Tout deviendra noir, les ténèbres seront sur la terre, les mortels seront aveugles ; il y aura des bêtes féroces et du malheur[7]. »
La petite apocalypse synoptique
C’est également en cette fin de premier siècle que les judéo-nazaréens, issus de la communauté de Jérusalem et qui demeuraient attachés aux prescriptions judaïques[8], relatèrent la prédiction de Jésus relative à la consommation du mauvais éon présent[9] et à l’avènement du Royaume de Dieu :
« Voyez-vous tout cela ? Je vous le dis en vérité, il ne restera pas ici pierre sur pierre qui ne soit renversée. […] Prenez garde que personne ne vous séduise. Car plusieurs viendront sous mon nom, disant : C’est moi qui suis le Christ. Et ils séduiront beaucoup de gens. Vous entendrez parler de guerres et de bruits de guerres : gardez-vous d’être troublés, car il faut que ces choses arrivent. Mais ce ne sera pas encore la fin. Une nation s’élèvera contre une nation, et un royaume contre un royaume, et il y aura, en divers lieux, des famines et des tremblements de terre. Tout cela ne sera que le commencement des douleurs. Alors on vous livrera aux tourments, et l’on vous fera mourir ; et vous serez haïs de toutes les nations, à cause de mon nom. Alors aussi plusieurs succomberont, et ils se trahiront, se haïront les uns les autres. Plusieurs faux prophètes s’élèveront, et ils séduiront beaucoup de gens. Et, parce que l’iniquité se sera accrue, la charité du plus grand nombre se refroidira. Mais celui qui persévérera jusqu’à la fin sera sauvé. Cette bonne nouvelle du royaume sera prêchée dans le monde entier, pour servir de témoignage à toutes les nations. Alors viendra la fin. C’est pourquoi, lorsque vous verrez l’abomination de la désolation, dont a parlé le prophète Daniel, établie en lieu saint, alors que ceux qui seront en Judée fuient dans les montagnes ; que celui qui sera sur le toit ne descende pas pour prendre ce qui est dans sa maison ; et que celui qui sera dans les champs ne retourne pas en arrière pour prendre son manteau. Malheur aux femmes qui seront enceintes et à celles qui allaiteront en ces jours-là ! Priez pour que votre fuite n’arrive pas en hiver, ni un jour de sabbat. Car alors, la détresse sera si grande qu’il n’y en a point eu de pareille depuis le commencement du monde jusqu’à présent, et qu’il n’y en aura jamais. Et, si ces jours n’étaient abrégés, personne ne serait sauvé ; mais, à cause des élus, ces jours seront abrégés. Si quelqu’un vous dit alors : Le Christ est ici, ou : Il est là, ne le croyez pas. Car, comme l’éclair part de l’orient et se montre jusqu’en occident, ainsi sera l’avènement du Fils de l’homme. En quelque lieu que soit le cadavre, là s’assembleront les aigles[10]. »
Autre version assez similaire donnée par l’évangéliste Luc :
« Les jours viendront où, de ce que vous voyez, il ne restera pas pierre sur pierre qui ne soit renversée. […] Prenez garde que vous ne soyez séduits. Car plusieurs viendront en mon nom, disant : C’est moi, et le temps approche. Ne les suivez pas. Quand vous entendrez parler de guerres et de soulèvements, ne soyez pas effrayés, car il faut que ces choses arrivent premièrement. Mais ce ne sera pas encore la fin. Une nation s’élèvera contre une nation, et un royaume contre un royaume ; il y aura de grands tremblements de terre, et, en divers lieux, des pestes et des famines ; il y aura des phénomènes terribles, et de grands signes dans le ciel. Mais, avant tout cela, on mettra la main sur vous, et l’on vous persécutera ; on vous livrera aux synagogues, on vous jettera en prison, on vous mènera devant des rois et des gouverneurs, à cause de mon nom. Cela vous arrivera pour que vous serviez de témoignage. Mettez-vous donc dans l’esprit de ne pas préméditer votre défense ; car je vous donnerai une bouche et une sagesse à laquelle tous vos adversaires ne pourront résister ou contredire. Vous serez livrés même par vos parents, par vos frères, par vos proches et par vos amis, et ils feront mourir plusieurs d’entre vous. Vous serez haïs de tous, à cause de mon nom. Mais il ne se perdra pas un cheveu de votre tête ; par votre persévérance vous sauverez vos âmes. Lorsque vous verrez Jérusalem investie par des armées, sachez alors que sa désolation est proche. Alors, que ceux qui seront en Judée fuient dans les montagnes, que ceux qui seront au milieu de Jérusalem en sortent, et que ceux qui seront dans les champs n’entrent pas dans la ville. Car ce seront des jours de vengeance, pour l’accomplissement de tout ce qui est écrit. Malheur aux femmes qui seront enceintes et à celles qui allaiteront en ces jours-là ! Car il y aura une grande détresse dans le pays, et de la colère contre ce peuple. Ils tomberont sous le tranchant de l’épée, ils seront emmenés captifs parmi toutes les nations, et Jérusalem sera foulée aux pieds par les nations, jusqu’à ce que les temps des nations soient accomplis[11]. »
Nombre d’événements qui, disait-on, avaient été prophétisés par Jésus s'étaient déjà produits :
- quatre famines avaient fait des ravages à Rome, en Judée et en Grèce[12] ;
- des affrontements sanglants entre Galiléens et Samaritains avaient eu lieu sous l’administration du procurateur Cumanus[13] ;
- des dizaines de milliers de Juifs ayant suivi des charlatans dans le désert afin d’y voir les signes de leur délivrance avaient été tués ou faits prisonniers par la cavalerie et l’infanterie lourde romaine[14] ;
- Néron avait envoyé le général Corbulon et cinquante mille hommes guerroyer contre Vologèse Ier, roi des Parthes[15] ;
- des tremblements de terre avaient ébranlé les villes d’Apamée, Caprée, Chio, Colosse, Hiérapolis, Laodicée, Lyon, Pompéi, Rome, Thyatirène, etc.[16] ;
- des massacres mutuels de Juifs et de païens s’étaient déroulés à Anthédon, Ascalon, Cadasa, Césarée, Damas, Gaba, Gadara, Gaza, Hesbon, Hippos, Philadelphie, Ptolémaïs, Scythopolis, Sébasté, Tyr, ainsi qu’à Alexandrie[17] ;
- une pestilence avait sévi à Rome[18] ;
- les nazaréens avaient été persécutés par leurs frères de sang[19] ;
- la bonne nouvelle du Royaume avait été annoncée dans toutes les villes d’Israël et de l’oikoumene où résidaient des communautés juives[20] ;
- les judéo-nazaréens s’étaient enfuis de Jérusalem après que Cestius Gallus[21] et ses troupes se soient retirés de la ville[22] ;
- Vespasien avait conquis la Galilée après avoir assiégé ses forteresses[23] ;
- la sédition et la guerre civile s’était répandue dans toute la Judée[24] ;
- Julius Vindex, légat de la province de Gaule lyonnaise, s’était rebellé contre Rome et avait levé une milice de près de cent mille hommes[25] ;
- l’Italie avait plongé dans la guerre civile durant l’année dite des quatre empereurs[26] ;
- une terrible famine avait sévi à l’intérieur des murs de Jérusalem[27] ;
- finalement, après un siège d’environ cinq mois, Titus avait pris la ville sainte et le Temple avait été détruit par le feu[28].
Réfugiés à Bérée en Coelé-Syrie, dans la Décapole au voisinage du territoire de Pella, et en Basanitide dans le village appelé Kokabé[29], les judéo-nazaréens attendaient que les prodiges annoncés par Jésus se manifestent dans leur propre génération :
« Aussitôt après ces jours de détresse, le soleil s’obscurcira, la lune ne donnera plus sa lumière, les étoiles tomberont du ciel, et les puissances des cieux seront ébranlées. Alors le Fils de l’homme paraîtra dans le ciel, toutes les tribus de la terre se lamenteront, et elles verront le Fils de l’homme venant sur les nuées du ciel avec puissance et une grande gloire. Il enverra ses anges avec une trompette retentissante, et ils rassembleront ses élus des quatre vents, depuis une extrémité des cieux jusqu’à l’autre. Instruisez-vous par une comparaison tirée du figuier. Dès que ses branches deviennent tendres, et que les feuilles poussent, vous connaissez que l’été est proche. De même, quand vous verrez toutes ces choses, sachez que le Fils de l’homme est proche, à la porte. Je vous le dis, en vérité, cette génération ne passera point, que tout cela n’arrive[30]. »
Cette attente n’allait pas se prolonger très longtemps.
[1] Flavius Josèphe, Guerre des Juifs, VI, 9.
[2] Pour sa part, Josèphe ne fait état « que » de quatre-vingt dix sept mille prisonniers.
[3] L’Adiabène était un petit royaume situé autour de la ville d’Arbèles. Vers l’an 30, ses souverains s’étaient convertis au judaïsme.
[4] Fronto était un officier de Titus.
[5] H. Graetz, Histoire des Juifs, Tome II, De la destruction du second Temple (70) au déclin de l’exilarcat, trad. de l’allemand par M. Wogue. Éditions Lévy, Paris, 1884, pp. 395-397.
[6] V. Nikiprowetzky, « Oracles sibyllins », V, 155-176, in La Bible, Écrits intertestamentaires, Édition publiée sous la direction d’A. Dupont-Sommer et M. Philonenko, Paris, Gallimard, 1987, pp. 1117-1118.
[7] Ibid., V, 342-350, pp. 1129-1130.
[8] Épiphane de Salamine, Panarion, XXIX, 7, 2-6.
[9] L’expression én tê sunteleïa tou aiônos est habituellement traduite par « à la fin du monde », ce qui est un contresens. Deux expressions proches, sunteleïa tôn aiônôn (Hébreux 9, 26) et ta telê tôn aiônôn (I Corinthiens 10, 11), visent respectivement l’aboutissement et les fins des temps anciens, c’est-à-dire ceux des époques (aiôna) avant le Christ. Et quand le terme aiôn est au singulier, il vise manifestement le temps actuel (le « siècle », comme on le traduit parfois), dont l’aboutissement sera la manifestation du Fils de l’homme.
[10] La Sainte Bible, Matthieu 24, 2-28, trad. Louis Segond, La Maison de la Bible, Genève, 1962.
[11] Ibid, Luc 21, 6-24.
[12] Actes 11, 28 ; Flavius Josèphe, Antiquités judaïques, XX, 2, 5 ; 5, 2 ; Dion Cassius, Histoire romaine, LX, 11 ; Eusèbe de Césarée, Histoire ecclésiastique, II, 8 ; II 12 ; Orose, Histoires contre les païens, VII, 6-17.
[13] Flavius Josèphe, Guerre des Juifs, II, 12 ; Tacite, Annales, XII, 54.
[14] Actes 21, 38 ; Flavius Josèphe, Antiquités judaïques, XX, 8, 6 ; Guerre des Juifs, II, 13, 4-5. Voir également Ibid., VI, 5, 2 ; Eusèbe de Césarée, Histoire ecclésiastique, II, 21.
[15] Tacite, Annales, XIII, 6 et suivants ; Dion-Xiphilin, Histoire romaine, LXII, 19 et suivants.
[16] Tacite, Annales, XII, 43 ; XII, 58 ; XIV, 27 ; XV, 22 ; XVI, 13 ; Suétone, Vie des Douze Césars, Tibère, LXXIV ; Claude, XXII ; Néron, XLVIII ; Galba, XVIII.
[17] Flavius Josèphe, Guerre des Juifs, II, 18.
[18] Tacite, Annales, XVI, 13 ; Suétone, Vie des Douze Césars, Néron, XXXIX.
[19] Actes 4, 3 ; 7, 59 ; 8, 1-3 ; 12, 1-3 ; 13, 50 ; 14, 2-6 ; 14, 19 ; 16, 22-24 ; 17, 5-9 ; 21, 27-32 ; 23, 12-15 ; 24, 5-9 ; 25, 2-7 ; Flavius Josèphe, Antiquités judaïques, XX, 9 ; Eusèbe de Césarée, Histoire ecclésiastique, II, 9 ; II, 23 ; II, 25 ; III, 5.
[20] Romains 10, 18 ; Colossiens 1, 23. Voir également Actes 2, 5-11 ; Eusèbe de Césarée, Histoire ecclésiastique, II, 3 ; III, 1.
[21] Gaïus Cestius Gallus fut légat de Syrie à partir de 63 ou 65, succédant au fameux général Corbulon.
[22] Flavius Josèphe, Guerre des Juifs, II, 20, 1 ; Eusèbe de Césarée, Histoire ecclésiastique, III, 5, 3.
[23] Flavius Josèphe, Guerre des Juifs III et suivants.
[24] Ibid., IV, 3 et suivants.
[25] Suétone, Vie des Douze Césars, Néron, XL-XLI ; Galba, IX ; Dion-Xiphilin, Histoire romaine, LXIII, 22 ; Plutarque, Vie de Galba, IV et suivants.
[26] Il s’agit de l’an 69 au cours duquel Galba, Vitellius, Othon et Vespasien se succédèrent sur le trône. Cf. Tacite, Histoires, II et III ; Suétone, Vie des Douze Césars, Vitellius, IX et suivants ; Dion-Xiphilin, Histoire romaine, LXV, 11-21 ; Plutarque, Vie d’Othon, VIII et suivants.
[27] Flavius Josèphe, Guerre des Juifs, V, 10 et suivants.
[28] Ibid., VI ; Suétone, Vie des Douze Césars, Titus, V ; Dion-Xiphilin, Histoire romaine, LXVI, 4-7.
[29] Épiphane de Salamine, Panarion, XXIX, 7, 7-8 ; XXX, 2, 7-9 ; Eusèbe de Césarée, Histoire ecclésiastique, III, 5, 3.
[30] Matthieu 24, 29-34.
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