Exclusif : le journaliste grand-reporter Brice Couturier fait 4 révélations fracassantes au sujet de Chavez et du Venezuela
C'est hélas passé inaperçu dans notre démocratie où des populistes de mauvais aloi ne cessent de s'en prendre aux journalistes, mais le chroniqueur grand reporter Brice Couturier a fait jeudi matin sur France Culture pas moins de 4 révélations fracassantes sur le Venezuela de l'autocrate dictatoro-fascisto-antisémito-orang-outango Chavez.
Certes Brice Couturier n'est pas né de la dernière pluie et sa présence au sein du comité de rédaction de la revue le Meilleur des Mondes explique indéniablement beaucoup de choses. On se souvient que le principal fait d'armes de la revue est sa courageuse résistance face aux manifestations en 2003 d'opposants à la guerre en Irak. La revue affirmait notamment qu'elle n'avait "aucune confiance dans la parole de Saddam Hussein assurant n'avoir ni armes de destruction massive ni liens avec les terroristes", ce qui en filigrane revenait aussi à dire "nous avons pleine confiance dans les assertions du gouvernement Bush sur les ADM en Irak et sur les liens entre Saddam Hussein et Al-Qaïda". Chacun aujourd'hui est en mesure de savoir combien une telle position manifestait une prescience supérieure à la moyenne. On sait à présent ce qu'un tel soutien à la courageuse mais difficile guerre au terrorisme de Georges Bush avait de pertinent et de judicieux : l'Irak est aujourd'hui un pays uni, libéré, démocratique et en plein développement.
Or, nous le disions, Brice Couturier fait partie de cette remarquable revue et nous avons pu admirer jeudi dans les Matins de France Culture combien décidément ces gens sont en avance sur tout le monde. Le chroniqueur fit en effet pas moins de quatre révélations fracassantes sur le Venezuela du gorille stalino-antisémito-nationaliste Chavez, ce qui fait quand même beaucoup pour un homme qui n'est jamais allé à Caracas. Toute révélation auquelle le journaliste n'a pas eu le temps d'apporter le premier début d'un semblant d'une once d'ombre de preuves mais il nous semble que l'on peut tout du même faire confiance à la parole de quelqu'un écrivant dans la revue le Meilleur des Mondes dont la prescience, nous pensons l'avoir démontré en préambule, n'est plus à démontrer. Voici les quatre révélations inouïes faites ce matin-là par notre atlantico-sioniste préféré :
1. Chavez a la main mise sur l'ensemble du spectre médiatique vénézuelien ; n'importe quel touriste peut s'en rendre compte en se rendant à Caracas dans un kiosque à journaux : on n'y trouve que des dépliants à la gloire du Lider Superbo (c'est le nom que les partisans chaviste donne à leur idole) ; à la télévision, c'est encore pire ;
2. Le gorille métis antisémite paye les gens pour se faire élire, par le moyen grotesque de "programmes sociaux" type rendre la vue à des centaines de milliers d'individus atteints de la cataracte, ce qui fait autant d'électeurs dans la poche, construire des logements sociaux, redistribuer les immenses latinfundias des nantis aux paysans pauvres, subventionner des produits de première nécessité, faire venir des médecins cubains dans les barrios pour suppléer la défection des médecins locaux (occupés au golf), on en passe et des plus populisto-fascisto-orang-outango-communiste ;
3. Chavez aide par une étroite collaboration l'Iran à obtenir la bombe nucléaire (on imagine que Brice Couturier présentera bientôt un dossier explosif à la tribune de l'ONU) ;
4. Contrairement à ce que pensent savoir des "messieurs-je-sais-tout", Henrique Capriles Radonski n'est pas un candidat de droite néo-libérale, mais bien un candidat de gauche, dans la lignée d'un Lula ; pour preuve, il est soutenu par le parti social-démocrate du coin (membre de l'Internationale socialiste comme le regretté et courageux Papandréou, qui a tant apporté en son temps à la population grecque).
Avec ces quatre révélations de haute tenue, sans compter celles de l'invitée Renée Frigosi (notamment l'allégence complète du gorille métis Chavez aux narco-trafiquants), l'auditeur de France Culture était décidément gâté ce matin-là. Et il savait au moins où passait l'argent de la redevance audiovisuelle ; car en effet, il ne fait aucun doute que pour fournir autant de révélations exclusives, Brice Couturier a dû se taper auparavant des mois et des mois d'une enquête rigoureuse et exhaustive. Pour ceux qui auraient raté ce grand moment de radio, lorsque l'excellence de nos journalistes français approche la perfection d'une chaîne comme Fox News aux Etats-Unis, c'est ici (à 15'12).
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