Faudrait pas prendre les Enfants du bon Dieu pour des Canards Laqués
Après avoir cabossé le QI moyen de la population et s’être appropriée la finance et les forces armées d’une bonne partie du monde par la corruption ou la tyrannie, la clique affairiste a fabriqué en phase un une vaste Idiocracy, avant de faire (phase deux) de ses idiots utiles des bécasses inutiles. Il s’agit à présent de les shooter, eux et d’autres personnes au QI diversifié, non rentables en priorité. C’est la phase trois, en cours.
Toute la basse-cour ahurie a pu suivre in vivo, les étapes de ce vieux plan, plus ou moins détaillées sur le document Risette commis par un faux rom, pardon forum de mondains. Lequel doc s’acharne, au moyen de mille croche-pattes, sur les chers enfants du Bon Dieu que nous sommes. Les gros actionnaires veulent le rester (gros), avec la férule, la pilule et le butin.
La phase 4 en toute logique devrait éliminer les secteurs populaciers les plus avertis, toutes classes confondues, sauf celle des serviteurs essentiels. Hélas pour ces derniers, leur longue proximité obligée avec tant de contaminés les condamne aussi à terme. Quand ils se seront fait la malle, il ne restera pas pierre sur pierre du monument Risette, ni Paul ni Jacques, ni Klaus.
Car en phase 5, non explicitée dans le doc, mais prévue par d’autres, le désert de Gobi, actuellement grand comme la France, s’est étendu à la terre presque entière ; l‘empereur fils du Sous-Sol en est le chef suprême incontesté. Les survivants et les canards y cherchent de l’eau.
Ce qui nous amène tout naturellement à la phase 6, où les idiocrates délirants finissent par crever la bouche ouverte. Les Mongols les ont tolérés un moment, puis sortis de la yourte sans ménagements, pour inutilité crasse et dévoration de leurs faibles ressources. Cete apothéose n’apparaît pas dans le protocole des sages de la Risette, mais est relaté dans des bibles anciennes et de vieilles prophéties auxquelles on peut accorder la confiance du charbonnier.
Si encore, en phase trois, ils nous prenaient pour des sauterelles, les faux roms ; nous pourrions nous laisser porter par la bise ou le foehn, adieu, république cheptelle ! L’herbe sera toujours plus verte et les élus moins verdâtres ailleurs, après tout.
Même pas. Ils se préparent à nous tordre le col, comme on le fait aux poules et aux oies. Pire encore : ouvrant les frontières aux criquets, nos équarrisseurs ferment la porte au bec des petits canards blancs.
Les exemples historique de casse de pays, sans cérémonie mais à grands crimes, abondent en ce vaste monde : l’holodomor et ses émaciés. Pol Pot. La guerre de 14, Hiroshima. Gengis Khan et ses hordes. Etc.
Nous avons donc matière à nous désoler : ils vont recommencer ! Achever toute l’Europe, la France, surtout, qui est dans l’œil du cyclone. Un si beau pays que c’était, il n’y a pas si longtemps. Les Huns arrivent sur les chevaux blêmes de l’apocalypse ! Par l’ouest ? Par l’est ? Par le sud ? Sauve qui peut ! La France est prise en tenaille, presque encerclée. Reste une porte de sortie, au nord. Mais fermée à double tour.
Il paraît que les affairistes ont décidé de faire leurs affaires en Chine. L’Europe croulant sous les dettes, dépouillée de ses industries, envahie, surpeuplée, parasitée, accablée d’ex-cols blancs désactivés et de cols-verts suractivés, perd tout intérêt pour ceux qui ont le négoce dans le sang (versé).
Le Français recyclé en Chinois des années trente − ou Gauchi, synthèse culturelle de Gaulois et de maoïsé − voilà ce que concoctent sur l’hexagone nos mondialistes, qui s’y connaissent en science poubelle. Ah le métissage décivilisationnel ! La deuxième vie du déchet !
Côté oriental, on trouvera le Chinois franchouillé − ou Chigo, synthèse culturelle de Chinois et de Gaulois. Sa vie ? Mystère et Macao. Cognac à l’alcool de riz ? Paupiettes aux pousses de soja ? Liu-Chao-Chimère ? Macron tse toung ?
Le Gauchi a, quant à lui, un profil connu : c’est un employé − comme on disait autrefois − ou un serf − tel qu’il s’envisage tous les matins − vêtu d’orangé tendre aux couleurs du levant, occupé et surveillé dix heures par jour à faire tourner Amazon, Google, Carrefour, Lidl, Microsoft, Citybank, Lenovo, BFM, Cnews etc., avec sa petite tête irremplaçable par l’IE et ses mains expertes.
On le rémunère en nouvelle monnaie électronique, car il faut bien qu’il se métro-boulot-bobo-cocaïse de façon repérable, à tout instant. Ses malheurs et déboires infligés font monter les actions des actionnaires, sans qu’il en profite. Ses bonheurs microscopiques sont à lui seul, c’est toujours ça de pris.
L’indispensable conjoint économique, indifféremment gauchi ou chigo, assurera le loyer commun, car on ne saurait pourvoir tout seul à tous ses besoins, quand l’UE fait la farce. L’enfant éventuel du couple, dressé au civisme industriel, administratif et sociétal-lgbébête par l’école et la garderie de nuit, n’encombrera pas l’espace parental ; d’ailleurs est-il bien de lui, d’elle ou d’eux, ce gosse qui ne sourit plus ? Le parent ne le verra que le dimanche (pour les Gauchis) ou le lundi (pour les Chigos), s’il en ressent le besoin. Pour l’entendre ânonner les inepties dont on l’a gavouillé en classe les jours de non-grève, est-ce bien la peine de se déplacer !
Quant à l’ancienne religion, remplacée par le culte de stars dégenrées, demeurées, vilaines et refaites, elle occupera ses courtes soirées virtuelles de bosseur bolossé, bien las, pas encore doux-amer ni couenne-sucrée, tel que le voudraient les gars de la Risette : il en a gros sur la patate, et ça lui donne un air sec. Amer tout court, vinaigre même, le Gauchi.
Mais enfin, entends-je, ce Français gauchi-là, tout sans-espoir qu’il soit, n’est qu’à peine sinoïsé ! Le supplice chinois le plus raffiné consistait à dépecer vivant, petit bout par petit bout, le convaincu d’opposition à l’Empire du Milieu. Nous sommes loin du compte ! Le Gauchi vivotera lui, au moins ! Jusqu’à, au plus, 45 ans ! S’il fonctionne, évidemment.
Mouais, bref.
Un peu d’optimisme : même s’il se tirait les yeux vers les tempes avec ses deux index, même en avalant six bols de riz par jour, le Gauchi ne réussirait jamais à obtenir cette forme en amande parfaite de l’œil asiatique, ni cette uniformité de taille, de corpulence et de comportement solidaire du Chinois-mao-méphisto-usino naturel.
C’est peut-être regrettable, mais, aussi cochintchinisé et bâillonné qu’il soit en 2021, le Français, à sa façon amortie, apparemment amorphe, met la tête sous l’aile et médite.
Il va tenter de donner un sens à ce qu’il fait, à ce qu’on lui impose. Il va ronchonner dans sa tête. Il va courir à perdre haleine, espérer changer de vie, de résidence, de pays, trouver une occupation faute de métier, se raconter qu’il a un choix. Il va retrouver ses quelques amis, chez lui, chez eux. Se mettre à douter, très très lentement.
Et puis un jour…
Chassez-lui le naturel, il est revenu au galop.
Le voilà qui déboule en piqué sur la baraque « chez Risette » où festoient en catimini les actionnaires. Il renaît ! Et façonne et bidouille et bidoche comme il a toujours fait. Le sévère modérateur chinoïde qui l’habitait retourne dare-dare à Pékin avec son uniforme à quatre épingles, ses mains expertes, ses baguettes pour les nouilles et sa discipline implacable, exemplaire, productive, collective, héroïque, etc. Quand le canard s’est défilé, comment fait-on pour le laquer, s’est-il dit avec sagesse.
Le Français s’est réveillé, poussé hors du lit par une musique militaire qui n’est pas de son crû. Il ne veut plus être amer, juste un peu acide. Gauchi, lui ? C’est ce qu’on va voir. Il n’est pas allé trimer, en ce printemps ensoleillé. D’ailleurs, il n’a plus d’emploi. Il s’attarde à la terrasse du Café Réfractaire, ouvert par effraction dans sa ville hexagonale, au pied de la vieille église close. Partout autour, des gratte-ciel abandonnés en cours de construction. D’autres croulant sous le poids des charge. Ça et là des gens tout de noir et de gris vêtus, qui cheminent en solo, en fourmis, avec ou sans but.
Il commande une côte de bœuf, un côte-du-Rhône, trois cafés serrés. Le salaire d’une semaine. Il se promet de beaucoup lire tant d’auteurs négligés, et d’apprendre le judo et la savate, et plus encore, et plus méchant, pour faire suer la Cochintchine Affairiste. Il n’a rien contre la Chine historique, le Français, attention. On leur doit la boussole et la poudre.
Je suis chez moi, dit-il, c’est comme ça. Le monde a une dette historique et esthétique envers la France. Belles œuvres, belles âmes, beaux arts, bons vins, beaux combats, beaux entours et beaux atours. La France, c’est une belle histoire, à poursuivre et laisser vivre.
Qu’on se le dise, mister président !
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