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Faut-il avoir des doutes sur les vaccins ? lettre ouverte à Monsieur le professeur Bricaire

Lettre ouverte à Monsieur le Professeur Bricaire, suite à l’émission le téléphone sonne, sur France Inter, animée par Pierre Weill le mardi 21 avril 2015. que l'on peut réécouter ici : http://www.franceinter.fr/player/reecouter?play=1082485

 

Monsieur Bricaire,

Nous vous avons écouté avec une grande attention ce mardi 21 avril sur France inter, dans l’émission « Le téléphone sonne », où vous étiez confronté à Michèle Rivasi, députée européenne d’Europe Ecologie.

Vos prises de position extrémistes en faveur du « tout vaccination » et la condescendance avec laquelle vous traitez ceux qui ne partagent pas votre point de vue nous amènent à vous interpeller, nous qui sommes victimes des effets indésirables induits par certains vaccins ou certains composants de ces vaccins. Nous réagissons donc à certains de vos propos.

Mme Rivasi : C’est un scandale. Dans la mesure où on a une obligation vaccinale, je trouve que là c’est de la vente forcée. Parce que quand vous ne trouvez pas de DTP tout seul, vous êtes obligé d’avoir un hexavalent (et il y a plein de gens qui ne savent pas que dans l’hexavalent, il y a l’hépatite B, qui n’est pas obligatoire).

M. Bricaire : mais nécessaire.

Mme Rivasi : mais nécessaire, c’est aux parents à juger !

M. Bricaire : non ce n’est pas aux parents à juger. (…) Ce qui est scandaleux c’est de lutter contre la vaccination et en particulier quand vous êtes député ; moi je trouve que c’est quand même dommage qu’on fasse passer des messages qui gênent à l’interprétation d’une utilisation correcte des vaccins en France.

Respecter la loi, Monsieur Bricaire, c’est important ! Seule la vaccination contre diphtérie, tétanos et polio est obligatoire. Un vaccin doit répondre à cette obligation. Et sans aluminium, comme cela était le cas avant juin 2008.

Respecter les élus du peuple, Monsieur Bricaire, c’est important ! Mme Rivasi a exprimé clairement sa position : « Moi, je vaccine mes enfants sur le DTP. (…) Je ne suis pas anti-vaccination. (…) Il n’a jamais été question de supprimer la vaccination Pourquoi caricaturer et déformer systématiquement les propos de ceux qui émettent des critiques à l’égard de la vaccination ?

Respecter le rôle des parents, Monsieur Bricaire, c’est important ! Vous avez réussi à persuader quelques députés de faire voter un amendement à la loi de santé autorisant la vaccination des adolescents en dépit de l’opposition des parents. Manifestement, les vaccinations contre l’hépatite B et le papillomavirus (Gardasil) sont visées. Vos arguments en faveur de telle ou telle vaccination sont-ils si faibles que vous craigniez que les parents ne vous suivent pas ? Ou pensez-vous que, en-dehors de vous-même et de quelques-uns de vos collègues, les français sont incapables de réfléchir ?

M. Weill : l’auditeur évoquait le risque de Sclérose en Plaques à la suite d’un vaccin.

M. Bricaire : ce sont des rumeurs qui sont colportées et non démontrées, il faut là aussi être très clair.

Respecter la démarche scientifique sur le lien Sclérose En Plaques (SEP) - vaccin contre l’hépatite B, Monsieur Bricaire, c’est important ! Vous avez le droit de dire qu’il n’y a pas consensus sur la question. Mais vous n’avez pas le droit d’omettre des opinions différentes des vôtres. Cela est malhonnête vis-à-vis des auditeurs de France Inter.

Mme Bachelot, alors ministre de la santé, colporte-t-elle des rumeurs lorsqu’elle reconnait le lien entre des SEP survenues chez des pompiers volontaires et la vaccination contre l’hépatite B ?

Avez-vous oublié l’étude cas-contrôle de Hernan ? Il a retrouvé un risque accru de survenue de SEP dans les trois années suivant une vaccination contre l’HB. Préférez-vous ne retenir que les études précédentes, financées par l’industrie pharmaceutique, qui n’ont pas trouvé de risque particulier ? Peut-être avez-vous oublié que ces études ne surveillaient que l’année suivant la vaccination ?

Avez-vous oublié l’étude américaine GEIER D.A.et coll. « A case-control study of serious autoimmune adverse events following hepatitis B immunization  ». Autoimmunity. 2005, 38(4) : 295-301 ?

Les Pr Bégaud (spécialiste en pharmaco-épidémiologie, directeur de l’unité INSERM 657, et ancien vice-président de la commission de pharmacovigilance de l’Agence du médicament) et Costagliola (experte en pharmaco-épidémiologie et épidémiologie clinique, directrice de recherches à l'INSERM) colportent-ils aussi des rumeurs lorsqu’ils écrivent dans le rapport sur la surveillance et la promotion du bon usage du médicament en France remis à Marisol Touraine en juillet 2014 : « la notification d’un millier de cas d’atteintes démyélinisantes de tous types chez des adultes a créé une situation de crise sanitaire majeure décrédibilisant la campagne initiée en 1994, rendant extrêmement difficile son repositionnement et introduisant une méfiance tenace de l’opinion vis-à-vis de toute vaccination » ? Vous rappelez-vous que ce même Pr Bégaud admettait que « dans certains cas notifiés, il est difficile de croire au hasard. Il existe en effet un certain nombre de cas de scléroses en plaques qui semblent liées au vaccin HB »  ?

Peut-être auriez-vous pu parler aussi de l’étude de Dominique Le Houézec (2015) qui identifie, à partir de deux sources de données, celles du système national d’Assurance-maladie (CNAM) et du système de pharmacovigilance de l’ANSM (Agence nationale de sécurité des médicaments et des produits de santé), une augmentation de 65 % des cas de scléroses en plaques (SEP) dans les deux années suivant la campagne de vaccination de masse contre l’hépatite B ?

Mme Rivasi : Pourquoi pousse-t-on les jeunes filles à se faire vacciner avec le Gardasil alors qu’il y a plein d’effets secondaires ?

M. Bricaire : Non. Aucun effet secondaire. Si vous considérez que le cancer du col de l’utérus n’est rien, alors oui on peut s’abstenir de vacciner.

Mme Rivasi : mais il y a le frottis vaginal !

M. Bricaire : c’est trop tard !

Respecter le principe de précaution vis-à-vis du Gardasil, Monsieur Bricaire, c’est important !

Vous savez que le cancer du col de l’utérus est un cancer de faible incidence (1 000 décès estimés en 2011, soit 0,7 % de l’ensemble des décès par cancer - INCA 2011). Vous savez aussi que « le frottis de dépistage est le meilleur moyen de lutter contre le cancer du col de l’utérus » (Assurance Maladie - 2013), et que « la mise en place d’un dépistage organisé dans certains pays d’Europe du Nord a permis de réduire l’incidence et la mortalité du cancer du col de 80% » (HCSP 2007).

Vous ne pouvez ignorer non plus que des effets indésirables graves sont imputés à ce vaccin. Leur nombre réel est en hausse de 71% sur la période septembre 2011 - septembre 2013, par rapport à la période novembre 2006 - septembre 2011, selon le dernier rapport de l’Agence du Médicament (2014).

La généralisation du Gardasil, comme cela a été annoncé début 2014, aurait un coût pour la sécurité sociale de 926 M° d’euros sur 3 ans.

Vous pouvez retrouver tous ces éléments de manière détaillée ICI ou ICI, Monsieur Bricaire. Si vous analysez réellement cette vaccination au regard de la balance bénéfice-risque qui est votre outil de mesure, le doute ne vous saisit-il pas ? Vous rappelez-vous que le doute fait partie de toute démarche scientifique ?

M. Bricaire : L’aluminium il y en a dans bien d’autres produits que dans le vaccin et dans les vaccins s’il y en a une quantité infime absolument infime, c’est rien à côté de toute la consommation d’aluminium que nous avons tous. (…) Il ne va pas dans le cerveau, cela n’a jamais été démontré.

Respecter la démarche scientifique au sujet de l’aluminium utilisé comme adjuvant vaccinal, Monsieur Bricaire, c’est important ! Il est tout d’abord absurde de comparer deux modes de pénétration aussi différents que l’ingestion et la vaccination. Par la vaccination, vous faites pénétrer un produit neurotoxique directement dans l’organisme, en franchissant ainsi les barrières naturelles de l’organisme. Ensuite, nous vous conseillons d’étudier précisément ce que peuvent écrire certains de vos confrères sur les effets délétères de cet adjuvant. Enfin, concernant la pénétration de cet aluminium vaccinal dans le cerveau, n’hésitez pas à consulter vos collègues de l’Académie de médecine, qui écrivent dans leur rapport de juin 2012 : « Cinétique de l’aluminium vaccinal chez l’animal. Extrapolation à l’homme. La concentration d’Al26 va en décroissant : rein> rate> foie> cœur> ganglions> cerveau. (…) ». Ceci a aussi été confirmé par les travaux des Pr Gherardi et Authier (Unité INSERM U955).

M. Bricaire : Les travaux de Monsieur Gherardi ne sont pas sérieux. Ce n’est pas parce qu’ils sont financés par le ministère de la santé qu’ils sont sérieux.

Respecter vos collègues chercheurs de l’INSERM, Monsieur Bricaire, c’est important, même si vous n’êtes pas d’accord avec eux ! Vous connaissez sans doute le Pr Yehuda Shoenfeld ? Il est le plus éminent spécialiste international dans le domaine des maladies auto-immunes. Il s’appuie sur les travaux menés par les Pr Gherardi et Authier : « La maladie post-vaccinale la plus étudiée est peut-être le syndrome de myofasciite à macrophages (MFM), pour lequel un lien de cause à effet a été clairement établi. La MFM est une maladie du système immunitaire signalée pour la première fois en France par Gherardi et al. Elle est provoquée par un dépôt d’aluminium, utilisé comme adjuvant dans différents vaccins, ce qui déclenche une maladie musculaire liée au système immunitaire  » (2010). Vous connaissez peut-être Orphanet, portail de référence sur les maladies rares et les médicaments orphelins, mené par un consortium d’une quarantaine de pays et coordonné par une équipe française de l'INSERM. Elle intègre dorénavant cette réalité : « La Myofasciite à Macrophages appartient au groupe de syndromes auto-immuns/inflammatoires induits par les adjuvants (ASIA). Elle est déclenchée (…) par l’injection de vaccins contenant de l'hydroxyde d'aluminium comme adjuvant, et peut survenir jusqu'à 10 ans après la vaccination.  »

Respecter la justice, Monsieur Bricaire, c’est important ! Pouvez-vous ignorer que le Conseil d’Etat, à 6 reprises depuis novembre 2012, reconnait le lien aluminium vaccinal – myofasciite à macrophages et établit ainsi une solide jurisprudence ?

Mme Rivasi : Quels étaient vos liens d’intérêts avec les laboratoires pharmaceutiques ?

M. Bricaire : aucun.

M. Bricaire, quelque minutes plus tard : je n’ai pas de lien avec l’industrie pharmaceutique, je travaille avec l’industrie pharmaceutique pour préparer des vaccins.

M. Bricaire, quelque temps plus tard : je ne suis pas financé par les laboratoires ! Je travaille avec les laboratoires pour le bien d’un certain nombre d’avancées vaccinales. Et vous avez raison, oui, pour le Prevenar 13 qui est un excellent vaccin, puisque vous voulez, j’ai travaillé avec eux.

Respecter la transparence, notamment vis-à-vis des auditeurs de France Inter, Monsieur Bricaire, c’est important !

Comme le rappelait le Pr Harousseau, Président de la Haute Autorité de Santé, lors du colloque Méd’Océan de 2012 : « un conflit d’intérêt, c’est un lien avec l’industrie pharmaceutique, positif ou négatif, direct ou indirect, qui est susceptible de modifier son impartialité. (…) A partir du moment où vous avez eu des rapports avec l’industrie pharmaceutique, vous perdez inconsciemment votre objectivité. »

La santé de la population, la santé des enfants, sont des biens inestimables qui méritent une transparence totale sur le plan des connaissances scientifiques et de l’indépendance réelle de ceux qui se présentent comme des « experts », notamment dans le cadre de la sécurité vaccinale. L’information du public, et le débat démocratique qui l’accompagne, doit s’exercer en toute clarté.

Entendez-vous le Pr Montagnier, virologue et prix Nobel de Médecine, lorsqu’il émet cette critique en 2012 : « ce sont souvent les adjuvants qui créent ces problèmes de réactions anormales aux vaccins. (...) J’enrage de voir que ce problème est totalement nié pour des intérêts pharmaceutiques, des intérêts politiques  » ?

Monsieur Bricaire,

Il est logique que la population se détourne d’une politique vaccinale si manifestement sous influence. Et malheureusement, le corollaire en est que la population se détourne aussi de la parole publique. Et cela est très grave. 200 vaccins sont en voie de développement. Dans ce contexte, penser que la population va les accepter sans réagir est une absurdité.

L’alternative est simple :

  • Soit l’adhésion de la population est recherchée, ce qui nécessite une remise à plat du système actuel, avec une volonté de transparence totale et l’application du principe de précaution,
  • Soit des mesures coercitives sont prises pour obliger la population à recevoir ces vaccins et nous entrerons alors dans une spirale très dangereuse sur le plan politique.

 

RAPPEL : notre combat concerne la sécurité d’utilisation des vaccins, et uniquement cela. Il est maintenant admis que l’aluminium vaccinal migre dans l’organisme pour s’accumuler dans le cerveau. Cet aluminium est un neurotoxique. Nos demandes : 1) La recherche indépendante doit être financée de manière massive et urgente, de façon à ce que l’on connaisse au plus vite les conséquences de cette accumulation d’aluminium dans le cerveau. 2) Dans l’attente des résultats de ces recherches, la population, et en priorité les malades et leur famille, doit pouvoir bénéficier de vaccins de base sans aluminium, d’autant qu’ils existaient jusqu’en 2008. 3) Pour ces mêmes raisons, il ne saurait être question de généraliser à l’ensemble de la population un vaccin adsorbé sur aluminium.

 

Didier LAMBERT

Président E3M

06 72 41 20 21

http://www.asso-e3m.fr

[email protected]

 

Catherine Gaches

Présidente du Revahb

06 11 22 67 40

http://www.revahb.fr/

[email protected]

 


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24 réactions à cet article    


  • njama njama 23 avril 2015 14:04

    Qui dit obligation vaccinale dit « vaccination de masse ».

    La vaccination obligatoire DTP est théorique puisqu’elle est inapplicable actuellement pour cause de rupture de stocks chez le fournisseur, et donc les sanctions coercitives pénales sont inapplicables.
    L’obligation vaccinale vient en contradiction évidente avec la déontologie médicale et la Loi du 4 mars 2002 (dite loi Kouchner) qui consacre deux principes étroitement liés l’un à l’autre :
    le consentement libre et éclairé du patient aux actes et traitements qui lui sont proposés, et son corollaire, le droit du patient d’être informé sur son état de santé (article L.1110-2 du Code de la Santé Publique).
    L’information et le consentement du patient constituaient une obligation déontologique pour tous les médecins et une obligation contractuelle pour les médecins libéraux. http://www.aavac.asso.fr/loi_kouchner/loi_4_mars_2002_analyse_loi_kouchner. php
    Chez nos amis belges l’équivalent c’est la Loi relative aux droits du patients du 22 août 2002, dont l’article 8 exige le consentement libre et pleinement éclairé pour tout acte médical, aucune exception n’étant explicitement faite dans la loi, en matière de vaccins. Le médecin doit communiquer à temps les informations relatives aux bénéfices, mais aussi aux risques et aux alternatives possibles.


    • alberto alberto 23 avril 2015 14:22

      J’ai écouté l’émission, j’attendais l’instant où P. Weill lui demanderait  :" ils vous paient combien, les labos, pour faire leur promo ?

      Quand on connait aujourd’hui la quantité de vaccin qu’on enfile à un individu entre le moment de sa naissance et celui de sa retraite, pas étonnant de constater la progression des SEP , Alzheimer, autismes, etc vu les quantités concomitantes d’aluminium et de mercure introduites à chaque vaccination !  

      Y z’ont pas demandé, non plus, si lui, le Pr. Bricaire, il en prenait, des vaccins, pour sa santé à lui...


      • REVAHB 23 avril 2015 14:34

        @alberto
        Michèle Rivasi a tout de même réussi à lui faire dire qu’il travaillait avec les laboratoires. Ceci dit il travaille avec tous les labos. 


      • njama njama 23 avril 2015 14:27

        La vaccination DTP (diphtérie-tétanos-polio) est-elle (encore) utile ?

        la diphtérie : cette maladie est absente de nos pays, et, de plus, facilement curable par des antibiotiques. Ce vaccin ne peut empêcher la contagion.
        le tétanos : maladie qui n’est pas contagieuse ! En France, la moyenne d’âge des personnes qui ont contracté la maladie est de 78 ans, avec une mortalité de 30 %. On vaccine donc nos enfants pour une maladie qui touche les personnes âgées. Aucune étude scientifique ne prouve l’efficacité de ce vaccin.
        la poliomyélite, une maladie qui n’existe plus chez nous et qui donc ne peut y « prospérer ».

        Concernant la coqueluche : lorsque ce vaccin a été ajouté au DTP, les accidents vaccinaux ont commencé à se multiplier, surtout les encéphalites. Ce vaccin a été, à titre d’exemple, interdit en Allemagne en 1973, la fréquence de cette atteinte cérébrale étant jugée trop importante… Depuis que l’Allemagne a renoncé à imposer cette vaccination, aucune catastrophe sanitaire due à la coqueluche n’a été signalée.
        source : initiativecitoyenne.be


        • njama njama 23 avril 2015 14:38

           Selon la lettre d’information du Professeur Joyeux du 15 octobre 2014, « le Conseil technique de la vaccination a préconisé la levée de l’obligation de la vaccination contre Diphtérie-Tétanos-Poliomyélite (DTP) » en septembre 2014.


        • njama njama 23 avril 2015 14:48

          Le professeur Bricaire devrait tout de même savoir qu’un bon nombre de ses collègues médecins ne partagent pas ses opinions totalitaires sur la vaccinations :

          « L’arrêt de la vaccination obligatoire est inéluctable »
           20/03/2015
          Mais, « la fin de la vaccination obligatoire est inéluctable », juge Daniel Floret*, président du Comité technique des vaccinations (CTV). D’ailleurs, pour lui, la vaccination imposée contre le DTP a peu d’intérêt, notamment parce que « les pays qui laissent le choix aux parents ont un taux de couverture vaccinale à peu près similaire au nôtre ».

          « Cela fait plusieurs années que l’on se pose la question du maintien de l’obligation, souligne pour sa part François Vié Le Sage, pédiatre* expert d’Infovac. »Imposer certains vaccins et en recommander d’autres établit une hiérarchie qui n’a pas lieu d’être. Aujourd’hui, les vaccins contre la coqueluche, le pneumocoque ou la rougeole, sont seulement recommandés alors que ces maladies posent plus de problèmes de santé que la polio, la diphtérie et le tétanos !"

          * Les Dr Floret et Vié Le Sage sont également membres de la Société française de pédiatrie. Le Dr VIé Le Sage est aussi responsable du groupe vaccinologie à l’Afpa (Association française de pédiatrie ambulatoire)
          http://www.lexpress.fr/actualite/societe/sante/la-fin-de-la-vaccination-obligatoire-est-ineluctable_1662969.html


          • njama njama 23 avril 2015 14:56

            Mme Rivasi : Pourquoi pousse-t-on les jeunes filles à se faire vacciner avec le Gardasil alors qu’il y a plein d’effets secondaires ?

            M. Bricaire : Non. Aucun effet secondaire. Si vous considérez que le cancer du col de l’utérus n’est rien, alors oui on peut s’abstenir de vacciner.

            Le professeur Bricaire a-t-il écouté le Message urgent de son collègue le professeur Henir Joyeux, cancérologue et chirurgien qui a lancé avec l’Institut pour la Protection de la Santé Naturelle (IPSN), une pétition contre le projet de vaccination des enfants, filles et garçons du primaire dès 9 ans, à propos du cancer du col de l’utérus et d’autres localisations d’infections virales dues au papilloma virus (HPV).


            • doctorix, complotiste doctorix 23 avril 2015 15:31

              Tout le débat s’est passé sur la base d’une efficacité indiscutable des vaccins.

              Or même ce point est totalement faux : il y a eu 700 épidémies de rougeole en Chine dans une population vaccinée à 99%.
              http://www.initiativecitoyenne.be/article-pourquoi-la-chine-connait-elle-des-epidemies-de-rougeole-alors-que-sa-population-est-vaccinee-a-99-124662626.html
              D’autre part, si les vaccins sont tellement surs, pourquoi leur prix comprend 6% destinés à l’indemnisation des victimes ?
              Maintenant, voici 50 raisons, pas moins, de ne pas vacciner vos enfants : 
              Alors qu’on aurait du mal à en citer trois ou quatre pour le faire, sans mentir trois ou quatre fois...
              Et pour ceux qui continueraient à penser, comme le Pr Bricaire, que les vaccins ont le moindre rôle dans la disparition des épidémies, voici de quoi les détromper (en hommage à l’excellent Sylvie Simon, disparue récemment) :
              Le Pr Bricaire est un menteur, comme le lui a clairement signifié Rivasi ; c’est un cancrelat qui doit disparaître de l’espace médiatique, et surtout de l’espace médical.
              Je veux dire aussi que bon nombre de mes confrères, prenant progressivement conscience de l’intoxication dont ils ont été victimes depuis le tout début de leurs études, se rangent petit à petit du côté des opposants aux vaccins : deux sur trois ont des doutes sur l’efficacité des vaccins, un sur trois sur leur innocuité.
              Quoiqu’on tente de vous marteler le contraire, la vaccination sera bientôt reléguée dans les poubelles de l’histoire de la Médecine.
              Il y a eu quelques morts le jour du 11Novembre 1918 : essayez de ne pas faire partie des dernières victimes de cette escroquerie, qui n’a que trop duré.

              • cevennevive cevennevive 23 avril 2015 15:45

                @doctorix, bonjour,


                je suis heureuse de vous retrouver ici.

                Et si j’ai écrit le commentaire ci-dessous, c’est parce que je ne vous voyais pas dans ce forum.

                Cordialement.


              • liebe liebe 23 avril 2015 15:51

                @doctorix
                Certains voulaient votre avis sur cet article : http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/penurie-de-vaccins-organisee-166009


              • doctorix, complotiste doctorix 23 avril 2015 16:00

                @cevennevive

                Il serait bien dommage que le fait que je ponde mes commentaires nous prive des vôtres, toujours pertinents et pleins de chaleur humaine.
                Contrairement au Pr Bricaire, je ne suis pas un gourou, et mes avis ne sont que ceux d’un homme qui a pris la peine d’étudier, sans rien recevoir pour cela.
                Médecin ou pas, le bon sens doit nous diriger, et non l’intérêt.

              • cevennevive cevennevive 23 avril 2015 16:09

                @doctorix,


                Peut-être me manquiez-vous cher docteur.



              • doctorix, complotiste doctorix 23 avril 2015 22:19

                @liebe
                C’est fait.


              • cevennevive cevennevive 23 avril 2015 15:42

                Bonjour,


                Cette situation est épouvantable et surtout intolérable... Comment des parents avertis peuvent-ils laisser injecter à leur bébé ce cocktail de saloperies ? 

                Laissons ces gourous dans leur propagande et leurs mensonges.

                Un jour peut-être ces « vaccins » subiront-ils le même sort que certains médicaments délétères, supprimés des rayons des pharmacies à cause de leurs effet secondaires très lourds.

                Regardez la liste des médicaments supprimés depuis ces dernières années. N’en avez-vous pas pris, ne serait-ce qu’une seule fois ? Combien a-t-il fallu de malades lourds, de morts, pour qu’il arrivent à les supprimer ?

                Il en sera certainement de même avec ces nouveaux vaccins. Alors, si vous avez un bébé, attendez plusieurs mois pour le faire vacciner (si toutefois vous le désirez).

                Pour les réfractaires aux vaccins, je vous confie tout bas qu’il est possible « d’y couper ». J’ai travaillé dans l’enseignement, puis dans une clinique, puis avec du public. Pourtant, les seuls vaccins que j’ai eus sont ceux que l’on m’a injectés tout enfant. Mon carnet de vaccination, curieusement, avait disparu dans une inondation, ou dans un incendie, ou à l’étranger, ou gardé par un ancien employeur...


                • cevennevive cevennevive 23 avril 2015 15:58

                  On vous a fait peur avec les épidémies, les maladies. On vous dit que vous risquez ceci ou cela. La vaccination va vous protéger de tout...


                  J’ai fait de multiples voyages à l’étranger. J’ai l’une de mes filles qui parcours le monde. Personne ne nous a obligées, elle ou moi, à nous faire vacciner contre ceci ou cela.

                  N’est-ce pas curieux ?

                  Sachez protéger votre corps, votre santé et votre intégrité physique vous-mêmes en refusant d’ingérer n’importe quoi, en refusant de boire n’importe quel liquide, en réfléchissant avant de prendre l’une ou l’autre de ces pilules miracles, et en reculant devant une seringue dont vous ignorez le contenant.

                   





                  • njama njama 23 avril 2015 16:29

                    Concernant les effets secondaires des vaccins, ce professeur est dans le déni total, c’est inouï. Peut-être est-il possible qu’après tant d’années de convictions, il soit très difficile pour les disciples de Pasteur d’admettre que des vaccins puissent représenter un danger potentiel, même marginal ?

                    Interview du Professeur François Bricaire par Anne Jeanblanc pour Le Point.fr 09/10/2014 « Le refus de vaccination est une attitude irresponsable »
                     
                    AJ : Et pourtant, il y a des accidents de vaccination qui font régulièrement la une des journaux...

                    FB Ce sont toujours des cas particuliers, uniques. Mais ce n’est pas parce qu’un problème de santé se manifeste après une injection vaccinale qu’il est possible d’établir un lien de cause à effet entre les deux. Il peut s’agir de relations purement temporelles. D’ailleurs, on ne peut prouver que de façon exceptionnelle que le vaccin est responsable de la maladie constatée. Malgré cela, les ligues contre les vaccins exploitent beaucoup ces problèmes.
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                    19 septembre 2013
                    Gardasil : Des empreintes génétiques retrouvées dans les cadavres de jeunes filles victimes du vaccin
                    Pour la première fois dans l’histoire de la vaccination, on a découvert un mécanisme biologique qui explique un grave effet secondaire du Gardasil.

                    Une étude récente, publiée en novembre 2012 dans le journal Pharmaceutical Regulatory Affairs, révèle l’évidence que les composants viraux du vaccin Gardasil contre les papillomavirus (HPV) peuvent pénétrer la barrière du cerveau et déclencher une vasculite cérébrale, forme rare et sévère d’inflammation du cerveau qui peut mener à de graves désordres auto-immuns et même à la mort.

                    lire la suite : http://www.sylviesimonrevelations.com/tag/vaccin%20gardasil-cervarix%20danger/


                    • njama njama 23 avril 2015 17:03

                      « 200 vaccins sont en voie de développement.  »
                      A croire que c’est une activité à très haute valeur ajoutée !
                      Comme dans tous processus de fabrication industrielle, les limites sont fixées par le marché, et, de là naît inévitablement le besoin d’en conquérir d’autres, de se diversifier, que l’on vende des téléviseurs ou des vaccins.
                      Le calendrier vaccinal, une réelle nécessité de santé publique, ou un bon de commande industriel ? faute de pouvoir planifier des épidémies, il est possible de planifier la vaccination !
                      Les liens entre le monde politique et les labos sont bien établis, très officiellement "les laboratoires pharmaceutiques constituent les partenaires naturels des pouvoirs publics"

                      Tout cela n’est pas très connu bien sûr du grand public, sauf du monde politique. Nos sénateurs qui examinent et valident ce que font nos députés auraient bien du mal de se défausser en faisant les innocents !

                      Voir particulièrement à partir du Titre II

                      Rapport n° 476 (2006-2007) de M. Paul BLANC fait au nom de l’Office parlementaire d’évaluation des politiques de santé, déposé le 28 septembre 2007 http://www.senat.fr/rap/r06-476/r06-476.html

                      II RÉPONDRE AUX ENJEUX DE DEMAIN
                      Au-delà de son objectif de court terme d’améliorer le taux de couverture de la population, la politique vaccinale doit, à plus long terme, être en mesure de répondre aux besoins en matière de recherche et de production nationales de vaccins et aussi de jouer un rôle moteur dans l’aide aux pays les plus pauvres.
                      Pour relever ces défis, les laboratoires pharmaceutiques constituent les partenaires naturels des pouvoirs publics, en raison des moyens humains, techniques et financiers qu’ils mobilisent. En effet, le marché mondial du vaccin est en constante expansion, avec une augmentation des ventes de 13 % à 14 % chaque année, soit deux fois plus que les médicaments traditionnels.
                      [...]
                      Le marché des vaccins ne comprend qu’un petit nombre d’acteurs : quatre laboratoires fournissent ainsi 90 % des produits. En France, ils sont trois (GlaxoSmithKine, Sanofi-Aventis et Wyeth) à se partager 95 % du marché. Ces industriels consacrent 15 % à 20 % de leur chiffre d’affaires à la recherche et au développement de nouveaux vaccins.
                      [...]
                      B UNE PRODUCTION NATIONALE COMPÉTITIVE MAIS CONCURRENCÉE
                      La France est le premier pays producteur de vaccins et exporte 85 % de sa production. Notre pays dispose donc d’atouts certains mais il est de plus en plus directement confronté à la concurrence des pays émergents.
                      [...]
                      De par sa tradition industrielle en vaccinologie, la France possède de nombreuses usines sur son territoire. Son attractivité ne se dément pas à ce jour : récemment, GlaxoSmithKline a investi 500 millions d’euros dans la création d’une entité ouverte dans le Nord-Pas-de-Calais et destinée à la production de son nouveau vaccin contre le cancer du col de l’utérus.

                      Cette situation favorable doit être confortée par les pouvoirs publics par une politique ambitieuse d’installation et de maintien des sites de production, notamment grâce à une fiscalité attrayante. Au-delà du soutien à ce secteur économique, la France doit en effet conserver, et même accroître, sa capacité de production de vaccins pour être en mesure de faire face à l’augmentation brutale de la demande intérieure et mondiale en cas d’épidémie (de grippe aviaire ou de chikungunya, par exemple).

                      etc.

                      Voir aussi ÉTUDE ET ANNEXES

                      1. ORGANISER UN PROJET NATIONAL FORT AUTOUR DE LA VACCINATION

                      Si les pouvoirs publics ont pour ambition d’améliorer les performances de la politique vaccinale française, la priorité est d’accorder à la vaccination une place majeure dans la politique nationale de santé publique.

                      1.1. ÉTABLIR UN PLAN NATIONAL POUR LA VACCINATION

                      La loi du 9 août 2004, relative à la politique de santé publique précise que : « Pour certains problèmes de santé, notamment ceux pour lesquels il y a nécessité de coordonner les actions d’intervenants multiples sur plusieurs années, la politique de santé publique définit des plans stratégiques pluriannuels organisant des ensembles d’actions et de programmes cohérents. »

                      La création d’un plan national de santé publique en faveur de la vaccination, dès 2009, constituerait un instrument privilégié pour répondre aux difficultés actuelles de la politique vaccinale française.

                      Après les avancées que représente la loi du 9 août 2004 relative à la politique de santé publique, il s’agit maintenant de passer à une politique plus forte de promotion de la vaccination.

                      L’ambition est triple : assurer suite à l’élaboration d’une recommandation vaccinale la logistique opérationnelle nécessaire de mise en application et de suivi, promouvoir la vaccination auprès du grand public et afficher la volonté étatique de soutenir les professionnels de santé dans leur rôle de vaccinateurs.


                      • REVAHB 23 avril 2015 17:25

                        @njama
                        Nous avons écrit un article concernant les conflits d’intérêts mais il n’ a pas passé la barre des modérateurs d’agoravox. 


                      • njama njama 23 avril 2015 19:04

                        @REVAHB
                        pour la modération, je ne sais pas ...
                        En fait j’ai repris en bonne partie un de mes commentaires qui date du temps de la pandémie H1N1.
                        Il faut rafraichir les mémoires, on ne le sait pas assez que d’autres enjeux considérés comme d’importance économique nationale sont derrière la politique de santé publique. A ce niveau, le raisonnement dépasse de loin, et déborde même de beaucoup les seuls intérêts de la santé des personnes. Comme toutes entreprises, les Labos de Big Pharma raisonnent en terme capitaliste de développement, de croissance de leurs chiffres d’affaires, et sont complétement déjantés de considérations éthiques. Le lobbying est intense auprès des médecins mais aussi dans les ministères, comme au niveau de l’Europe.
                        Comme « les intérêts économiques et industriels » feront partie des domaines visés par la Loi Renseignement, je pense malgré tout que les critiques de la politique vaccinale ne seront pas concernées puisque nous ne sommes pas vraiment censés connaître les données économiques sous-jacentes.
                        Pour ce qui est de l’obligation vaccinale, même si en France elle a été reconnue de nature constitutionnelle par le Conseil d’État, ce n’est qu’au plan légal, purement juridique, et cela n’empêche en rien de continuer à la remettre en cause pour différentes raisons scientifiques.


                      • doctorix, complotiste doctorix 23 avril 2015 22:28

                        @njama

                        D’autres intérêts, certainement.
                        Les plans du nouvel ordre mondial, qui est une réalité largement évoquée par divers présidents, Bush, sarkozy, incluent le puçage RFID à l’occasion de vaccinations. Ces puces mesurent aujourd’hui moins d’un dixième de mm, et passent facilement dans une aiguille même pas très grosse.
                        Le jour venu, comment pourra-t-on les introduire dans nos organismes s’il ne reste aucun vaccin obligatoire ?
                        C’est un aspect qu’on aurait tort de négliger. Et les faux-culs du Conseil Constitutionnel ne peuvent pas ne pas avoir inclus cette notion dans leurs débats.

                      • Corinne Colas Corinne Colas 23 avril 2015 19:13
                        Des sous encore des sous toujours une affaire de gros sous !Ci-dessous un extrait de « La Lettre Santé Nature Innovation par Jean-Marc Dupuis » :« le vaccin DTP Mérieux (sans aluminium), aujourd’hui retiré du marché, coûtait 6,54 EUR contre 40 EUR pour le vaccin hexavalent avec aluminium INFANRIX Hexa de GlaxoSmithKline ! Le Revavix (avec aluminium) coûte, lui, 50 % plus cher que l’ancien vaccin sans alu, et cela sans aucun avantage thérapeutique. 

                        Ce prix ne serait pas un problème en soi s’il n’y avait pas, par derrière, des pratiques assimilables à de la »vente forcée », selon la députée européenne Michèle Rivasi. 

                        « Nous sommes ni plus ni moins dans un schéma de vente forcée et de désinformation du consommateur, avec la complicité du HSCP. Et quand on sait que le Pr Daniel Floret, président du Comité technique des vaccinations (CTV), n’est pas exempt de conflits d’intérêts avec les fabricants de vaccins, on est en droit de se poser des questions. A qui profite le crime ? Aux laboratoires pharmaceutiques bien évidemment », a-t-elle déclarée lors d’une conférence de presse le 24 mars 2015. 

                        Dilemme insurmontable
                        Au-delà d’un débat scientifique nécessaire et légitime sur l’utilité et les dangers de cette vaccination, mais qui est interdit de fait par les Autorités de santé françaises, parents et médecins sont confrontés à un dilemme insurmontable dans l’état actuel des choses : 

                        1. le seul vaccin DTP sans aluminium a été retiré du marché en juin 2008. Les laboratoires Mérieux, qui disposent toujours aujourd’hui d’une autorisation de mise sur le marché (AMM) pour ce vaccin, en ont cessé la production. Cela veut dire que, depuis 7 ans maintenant, les parents n’ont pas d’autre choix que de faire injecter à leurs enfants un vaccin contenant un des pires poisons qui soient. Pour rappel, l’aluminium est un dangereux neurotoxique (toxique pour les nerfs et le cerveau). Il est soupçonné de provoquer la maladie de Parkinson. 
                        2. Depuis le mois de septembre 2014, la situation est devenue plus absurde et dangereuse encore. Même les vaccins DTP avec aluminium sont devenus introuvables en pharmacie. Les représentants des deux labos qui produisent ces vaccins (GlaxoSmithKline et Sanofi) viennent d’informer les pharmacies qu’ils ne les commercialiseront pas en 2015 et sans doute pas non plus en 2016. 
                        3. Pour respecter leur obligation vaccinale, les parents sont désormais censés faire injecter à leurs enfants un vaccin dit « hexavalent », le seul qui contienne encore le DTP, mais qui a l’immense avantage de contenir en plus un cocktail de 3 vaccins avec aluminium (coqueluche, Haemophilus influenzae et hépatite B), dont les conséquences sur le système immunitaire immature des enfants ne sont ni mesurées, ni maitrisées
                        Dangers du vaccin hexavalentIl existe un débat sur les « simples » vaccins, qui ne concernent qu’une maladie, avec encore récemment le scandale des décès en Italie et la mort de deux enfants en France officiellement reconnus comme causés par le vaccin contre la gastro. L’un des nourrissons avait reçu une injection de Rotarix, du laboratoire GSK, et l’€™autre s’était vu administrer le vaccin Rotateq de Sanofi Pasteur MSD. 

                        Mais les vaccins « hexavalents », qui prétendent immuniser contre 6 maladies graves d’un coup, sont plus controversés encore. 

                        Les travaux du Pr Gherardi (Inserm) et du Pr Authier (Institut de Recherche médicale Henri Mondor) ainsi que ceux d’€™autres chercheurs étrangers ont montré que ces vaccins seraient neurotoxiques. Ils entraîneraient des maladies dégénératives et auto-immunes par la quantité de vaccins injectés au cours de la première année de vie alors que le système immunitaire du nourrisson est fragile. 

                        Pratiqués sur des petits de quelques semaines seulement, ils fonctionnent en déclenchant une tempête du système immunitaire dont il est tout à fait normal de redouter les conséquences, aussi bien sur le long terme, avec les maladies auto-immunes, que sur le cours terme, avec un choc anaphylactique. (Un choc anaphylactique est un accident potentiellement mortel provoqué par un emballement de nos défenses naturelles qui inondent l’organisme de cellules et messagers immunitaires). 

                        A noter que le calendrier vaccinal recommande en effet de réaliser le même jour le vaccin Prevenar, qui comporte pas moins de 13 valences de pneumocoques (nombre de maladies contre lesquelles le vaccin est censé protéger). Or, les réactions neurologiques peuvent augmenter lorsque l’on combine ces différents vaccins. 

                        De plus, à deux mois, la barrière hémato-encéphalique des enfants n’est pas achevée. Il s’agit de la barrière naturelle qui protège le cerveau des toxines pouvant être présentes dans le flux sanguin. C’est la raison pour laquelle injecter à un nourrisson un produit chargé en aluminium serait bien plus problématique encore que chez l’adulte, avec un risque important de déchets d’aluminium dans le cerveau. 

                        L’ombre menaçante de la sclérose en plaquesComme si cela ne suffisait pas, le vaccin contre 6 maladies (dit « hexavalent ») contient le redoutable vaccin contre l’hépatite B, dont on n’a jamais vraiment su s’il pouvait déclencher ou non la sclérose en plaques. 

                        Rappelons que l’hépatite B est une maladie que vous n’attrapez pas comme la grippe ou les oreillons. Il n’est raisonnable d’envisager la vaccination que pour les personnes ayant des comportements à risque ou travaillant en étroite relation avec ce type de public (infirmières, éventuellement travailleurs sociaux). 

                        Un petit bébé élevé dans des conditions normales n’a aucune raison d’attraper l’hépatite B, et donc de courir les risques liés à la vaccination. 

                        Les parents mis dans une situation intenable par les autoritésCe dossier accablant oblige les parents à choisir entre fermer les yeux et se boucher les oreilles (une option choisie par l’écrasante majorité), ou s’informer et, dans la mesure du possible, agir avec les moyens légaux qui leur restent. 

                        Et malheureusement, dans ce domaine, l’horizon semble plutôt bouché. Le Conseil constitutionnel, dans une décision du 20 mars 2015, a donné tort à deux parents, les époux Laresre, qui justement avaient signalé la situation absurde dans laquelle ils se trouvaient vis-à -vis de leur obligation vaccinale DTP et avaient renoncé à faire vacciner leurs deux enfants. 

                        Cette décision, qui paraît contraire à la Loi Kouchner du 4 mars 2002 sur la liberté de choix thérapeutique, semble d’autant plus anachronique que le vaccin DTP n’est plus obligatoire dans aucun pays d’Europe en dehors de la France [1] ! 

                        Au lieu de faire pression sur les laboratoires pour qu’ils fournissent un vaccin sans adjuvants dangereux et sans souches de maladies superflues, les autorités choisissent donc de sanctionner les parents, tout en les obligeant à faire courir des risques inutiles à leurs enfants. "

                        • Corinne Colas Corinne Colas 23 avril 2015 19:50

                          Les députés qui mouillent leur chemise pour le bien commun ne sont pas les plus nombreux malheureusement... mais ils existent.. Alors sans se préoccuper des étiquettes des uns et des autres, soyons à l’affût et n’hésitons pas à soutenir leur travail lorsque c’est nécessaire !


                          Pour les Agoravoxiens du Sud, rendez-vous à la 20 ème Fête Ecobiologique « Naturavignon » 
                          les 09/10 mai sur le domaine de la Souvine -route de Bel Air (cycle de conférences et reste du programme sur le site « avenir84.org ») :

                          « la politique du médicament en France : en finir avec les conflits d’intérêts et la surconsommation »

                          conférence de Michèle Rivasi le samedi 09 mai 2015 18h-20h 

                          Ne pas rater non plus celle du professeur Gilles-Eric Séralini, et d’autres encore...

                          On entend trop souvent : « ça j’y crois pas » mais il ne s’agit pas de croire ou de ne pas croire, à nous de nous informer et de poser des questions à la source, ne soyons pas des veaux !

                          « L’obligation de subir nous donne le droit de savoir » comme le dit Annie Thébaud-Mony, autre conférencière...
                           smiley

                          • benjaminma 24 avril 2015 06:52
                            Salut tout le monde,

                            Alors je suis vraiment sceptique, je crois en effet que comme tous les médicaments et traitements, le but est de gérerer des profits. Donc de garder les gens malades ou bien les fragiliser.

                            Par contre, j’ai été obligé de prendre le vaccin contre l’Hep B dans le cadre d’un échange universitaire et j’ai eu des relations avec une personne portant le virus. J’ai multiplité les prises de sang et au final je n’étais pas atteint (je donne mon sang régulièrement et j’ai spécifiquement demandé des vérifications).

                            Tout ça pour dire, j’ai eu la peur de ma vie et grâce à ce vaccin forcé je ne souffre pas de l’Heb B à priori. Donc ma position c’est que l’on devrait continuer à dénoncer la composition des vaccins mais comme technique cela fonctionne.
                            J’ai aussi entendu parlé d’une alternative aux vaccins qui serait étouffée car elle pourrait nuire grandement à toute l’industrie, c’est bien possible. Mais en attendant que la vérité soit connue ouvertement c’est bien à conseiller.

                            Et oui j’ai appris ma leçon, mais je vous assure qu’il est simple de faire une erreur. Merci à ce vaccin même si c’est une saloperie sans nom. Pour le coup.

                            • njama njama 24 avril 2015 08:59

                              @benjaminma
                              j’ai été obligé de prendre le vaccin contre l’Hep B dans le cadre d’un échange universitaire
                              vous pourriez préciser quel type d’échange, et entre quelles universités ?

                              voilà des moyens coercitifs pratiqués d’ailleurs dans les formations médicales et para-médicales où les étudiants sont soumis aux obligations d’immunisation

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