Feu la télé de Madame (1)
Envahisante, intrusive, harcelante, la télévision occupe de nos jours une très grande place dans la vie des citoyens. Dans cette modeste étude, nous essayerons d’analyser le phénomène télévision ou « télé » ou TV (prononcer tivi comme chez les Anglo-Américains), cette télévision qui est devenue un monstre tyrannique, phagocytant l’espace-temps, asseyant la primauté de l’image — par son côté hypnotique — sur l’écrit et « lobotomisant » les téléspectateurs, selon l’expression de Michel Desmurget. La télé est devenue en effet la « machine à décerveler » du père Ubu, adaptée à notre époque.
Les émissions de télévision sont de nos jours diffusées à jet continu, vingt-quatre heures sur vingt-quatre, saturant le temps d’images et de bavardages ininterrompus. Avec la télévision, l’on est entré dans l’ère des télécrans de 1984 de George Orwell. Et la télévision est le media de masse le plus influent de l’époque actuelle avec Cuitter, Farce-Book et autres « réseaux sociaux ». La télé de nos jours « formatte » (deux ‘t’), mais ce n’est plus un media formateur (un seul ‘t’).
Il était un temps où la télévision, qui était une télévision d’État, avait le mérite de présenter des émissions de bonne qualité, des divertissements pas trop idiots, des trouvailles de valeur (1). L’information objective était rarement au rendez-vous, mais en gros on n’avait pas trop à se plaindre, et il n’y avait pas grand chose d’autre en matière de divertissement audio-visuel, à part le cinéma. La télé était donc obligée d’intéresser le public.
Comme toutes les grandes choses, cela a commencé petitement : quelques heures par semaine seulement dans les années 50. Et il a fallu attendre 1949 avant que Pierre Sabbagh ne lance le premier journal télévisé, qui a pris au fil du temps une place si importante que ce lamentable succédané d’information a été hissé au rang de « grand-messe du soir » — les vêpres, en quelque sorte. Au passage, on notera que c’est la seule émission qui commence pile à l’heure, les autres émissions étant décalées, au gré des réclames publicitaires (pubs), de l’envahissant ego narcissique de certains animateurs d’émissions, ou des reportages sportifs — décalées de plusieurs minutes, voire parfois d’une demi-heure ou même d’une heure.
Nous allons d’abord brosser un très rapide historique de la télévision dite française. Ce fut l’ingénieur Henri de France qui fonda la CGT (Compagnie générale de télévision, 1931), et les émissions de télévision commencèrent ; elles furent d’abord limitées à une heure par semaine. En 1937, ce furent les premières émissions tous les soirs de 20 h à 20 h 30 et il n’y avait qu’une centaine de postes. Pendant la Seconde Guerre mondiale, les Allemands s’emparèrent de la télévision française, et diffusèrent des émissions en français et en allemand. Le plus grand rôle de la télévision française était né sous l’égide de l'Allemagne nazie : la propagande. A la Libération, les émissions (en 819 lignes) étaient limitées à une heure par jour. La télé était un luxe. En 1949 : naissance de la RTF (Radiodiffusion Télévision Française), qui deviendra en 1964 l’ORTF (Office de Radiodiffusion Télévision Française), qui deviendra à son tour en 1992 France Télévisions (sic pour le néo-charabia).
Petit à petit, le nombre des émetteurs s’accrût : Lille, Strasbourg, Marseille, Reims, etc. Et en 1956, il y avait déjà 500 000 récepteurs de télévision en France. En 1964, la France se dota d’une deuxième chaîne, et en 1967 ce fut la naissance de la télé en couleurs. En 1968, apparition du plus terrible fléau de la télévision, après la propagande : la publicité — qui sera supprimée entre 20 heures et 6 heures du matin en 2009 sur les chaînes du service public. En 1972 : 3e chaîne. L’année 1984 vit la naissance de la première chaîne privée, cryptée et payante (Canal+) ; d’autres chaînes privées suivront : en 1986 La Cinq de Silvii Berluscono et, en 1987, TF1 de Bouygues. Ce fut la fin du monopole d’État. La télé numérique viendra ensuite avec C8, W9, RMC, etc. c’est la fameuse TNT (Télévision numérique terrestre), aux contenus pas très explosifs. La télé analogique disparut en 2011. Au début du XXIe siècle, l’intérêt de posséder un téléviseur commence cependant à s’amenuiser petit à petit, et beaucoup de personnes cessent de regarder la télévision à cause des programmes inintéressants, ennuyeux, répétitifs, voire débiles (TPMP, Quotidien, les « séries » américaines et les fameuses « téléréalités »…), et à cause de l’expansion des « tablettes » et des machin-phones. La télé, bien qu’encore très présente, se meurt, la télé est morte.
Nous présenterons d'abord un rapide panorama de la télévision actuelle en passant en revue les principaux types d’émissions. Parmi les centaines chaînes d’un « bouquet » auxquelles son fournisseur d’accès lui permet d’accéder, l’auteur parlera ici d’une vingtaine seulement de chaînes, les autres chaînes soit sont payantes, soit émettent en langue étrangère, soit concernent des télés régionales ou thématiques et, à ce titre, ont un intérêt limité — limité aux gens qui les regardent.
Le cerveau cacahuète d’un téléspectateur moyen (QI ≈ 100)
A tout seigneur, tout honneur : le JT
Voyez, voyez la télé marcher,
Voyez, voyez la cervell’ sauter,
Voyez, voyez les Français trembler ;
(Chœur) : Hourra, cornes-au-cul, vive le père Manu !
(adaptation libre du refrain de la « Chanson du décervelage » d’Ubu Roi d’Alfred Jarry)
Comme signalé plus haut, le JT ou jité (journal télévisé) est la seule émission qui commence pile à l’heure. Sauf événement extraordinaire — ce qui n’arrive que rarement —, il peut être avancé ou retardé. Précision importante : l’auteur entend ici par « journalistes » les journalistes de la télévision dite française, ou french Tivi, qui se distinguent en général par un sens étonnant de l’objectivité et de la neutralité.
Au jité, les infos prioritaires sont celles qui sont sûres de faire de l’audimat, et non pas celles qui ont une importance sociale ou politique. On est loin du classement « à l'ancienne » : infos politiques et sociales françaises ; infos de politique étrangère ; catastrophes (sauf celles d'une grande ampleur, qui étaient traitées en premier) et faits divers ; sport ; météo. Il y a maintenant systématiquement d’abord les grandes catastrophes.(le mot vient du grec καταστροφη qui veut dire : retournement, bouleversement, fin ; c'est effectivement la fin de la véritable information) :
1. ferroviaires ou aériennes, comme l’écrasement d’un avion — surtout s’il y a de nombreuses victimes (« Ah ça, c’est formidable pour l’audimat » se serait exclamé le journaliste D. Cuñadas à propos de l'attentat des Twin Towers). C’est la télé charognard ;
2. terroristes : un camion fou qui fonce sur une foule, faisant de nombreuses victimes (Nice, Barcelone…), provoquant peur et indignation ; c’est la télé effroi.
3. climatiques : inondation ou ouragan dévastant une région ou un pays entiers, arrachant des cris horrifiés aux téléspectateurs médusés ; c’est la télé émotion (2) ;
Et surtout, en cas d’attentat qualifié de terroriste, il est de bon ton de ne pas faire d’amalgame (mot dérivé de l’alchimie, venant de l’arabe [ʿamal al-jamāʿa] : union charnelle, coït. Qui baise qui ?), il est de bon ton de ne pas stigmatiser (dénigrer, ostraciser, condamner) la communauté à laquelle appartient le brave homme de terroriste qui est soit la victime de la société, soit atteint de déséquilibre mental — bref le meilleur fils du monde, comme disait déjà le clément Marot.
Il faut remarquer qu'on voile le visage d’un « présumé » terroriste ou on ne le fait pas apparaître, on tait son nom, mais on livre sans vergogne en pâture au regard d’autrui le visage d’un délinquant français dit de souche, on révèle son nom. Car l’hypocrisie et la lâcheté font partie intégrante de l’information selon les journalistes de la french Tivi.
Le sensationnalisme occupe ainsi une place de choix, avec les erreurs possibles dues à des annonces précipitées. La plus récente affaire est celle de Xavier Dupont de Ligonnès, soupçonné d’avoir assassiné sa famille. La french Tivi — et tous les media — claironnèrent qu’il avait été arrêté en Écosse, mais après analyse ADN, on s’aperçut le lendemain que ce n’était pas du tout lui, mais pas du tout. C’est la télé sensation. Les journalistes, penauds, se sont vaguement justifiés après-coup en disant qu’ils avaient eu des sources policières — et donc sûres. Comme si des infos transmises par la police pouvaient être objectives ! On croit rêver : il n’y a qu’à voir le comptage des participants dans les manifestations, ou les comptes-rendus d’événements par notre jeune et sympathique ministre de la Police. Ceci enfonce encore plus les media dans le ridicule et le manque flagrant de professionnalisme, mais ça fait de l’audimat. Et cela répond à la nouvelle règle de l’information : on diffuse d’abord (course au « scoop »), on vérifie ensuite. Quel contraste avec l’affaire de l’islamiste assassin de la préfecture de Paris, où l’on a connu les détails que petit à petit ; ou du nuage radio-actif de Tchernobyl, dont on a su la vérité que bien après ;.ou l’affaire du nuage empoisonné de Rouen, où l’on connaît pas encore la vérité. Les chiens du journalisme se lancent à la curée dans des affaires peu dangereuses pour eux. Ils sont prêts à clouer au pilori des innocents (affaire d’Outreau, affaire de Ligonnès), mais marchent sur des œufs lorsqu’il s’agit d’affaires mettant en cause de grands groupes industriels ou des membres du gouvernement : affaire de pédophilie concernant Frédéric Le Neveu, par exemple ou celle concernant la fille d’un mythe errant. Les journalistes savaient, mais ne pipaient mot. Cela fait partie des mensonges par omission.
Vient aussi la mort d’un ancien chef d’État, d’un chanteur ou d’un acteur à succès, ou d’une célébrité qui peut mobiliser de nombreuses minutes d’antenne, voire presque tout le jité. C’est la télé people. Est aussi montée en épingle la mort d’un délinquant ou d’un petit trafiquant de drogue surtout s’il appartient à une communauté étrangère et s’il a été pourchassé par la police — ce qui provoque en général des nuits d’émeute dans certains quartiers, preuve patente de la réussite du « vivre ensemble ». C’est la télé communautarisme.
Le sport. Comme jadis, au temps du jeune et moustachu Schiklgruber en Allemagne, ou du sympathique et moustachu Joseph Djougachvili en URSS, le sport symbolise et glorifie la jeunesse, le dynamisme, la force et la santé d’une nation. Il n’est donc pas étonnant que le sport soit porté aux nues par la french Tivi, qui entend ainsi célébrer les héros de notre temps. En premier lieu le fouteballe, sport qui mobilise beaucoup d’heures d’antenne, et qui offre le contraste étonnant et choquant entre l'humble provenance et le niveau intellectuel de ceux qui le pratiquent ou le soutiennent (« supportent ») et les sommes colossales mises en jeu pour les salaires ou les transferts de certains joueurs. Si l’équipe de France gagne lors d’une rencontre, on parle de cela en priorité au jité, on ne tarit pas d’éloges et d’images sur toutes les chaînes. Si elle perd, on s’accorde à reconnaître que l’équipe a bien joué, mais qu’elle a joué de malchance. On n’hésite d’ailleurs pas à louer les services de joueurs étrangers (transferts), qui contribuent ainsi à l’heureuse mondialisation du sport. Le rugby commence à prendre de l’importance, lui aussi. Quant au tennis, on se demande à quoi tient le succès de ce sport ennuyeux. C’est la télé baballe. A ce propos, il faut noter l'alliance étonnante du sport et de la publicité, transformant les fouteballeurs en panneaux publicitaires. Mais ce sujet sera abordé dans un second volet. Les courses (marathon, 100 mètres, etc.) mobilisent aussi beaucoup de téléspectateurs. D’autres activités sportives sont par contre beaucoup moins diffusées (arts martiaux, tir à l’arc ou au pistolet, escrime..). Trop peu rentables pour les annonceurs publicitaires ?
On a aussi droit aux « micro-trottoirs », espèces de petits reportages sur des faits divers, où l’on demande à des personnes, prises au hasard (au hasard ? Curieusement, on interroge souvent en priorité quelqu'un appartenant à une communauté étrangère) dans la rue, ce qu’elles pensent de telle ou telle personne, de tel ou tel événement. Pour un effroyable assassin, le voisinage se déclarera stupéfait, dira souvent de lui que c’était un gentil garçon, bien poli, très discret. Pour des événements moins dramatiques, le journaliste professionnel ira même jusqu'à s’enhardir à interroger des gamins. Et pourquoi pas les chiens du quartier ? C’est la télé crottes de chien.
La politique étrangère n’est que peu évoquée — et pour cause : cela n’intéresse.personne, estiment les estimables rédacteurs en chef. Deux exceptions notables : 1. un événement concernant les Zétazunis, qui est monté en épingle (incendie, violence policière, fait divers inintéressant, etc.), comme si ce qui se passe aux Zétazunis passionnait les Français ; c'est la télé America first. 2. une guerre sanglante dans une partie du globe où on s'étripaille joyeusement, avec de nombreux morts, ce qui rejoint la télé charognard. Les poncifs abondent : les Russes sont restés de vilains bolchéviques avec un couteau (3) entre les dents, on ironise sur l’ubuesque oncle Donald, la chancelière Merkel (4) veut toujours couler la France… C’est la télé clichés.
Il existe bien des chaînes où l’actualité est commentée en direct ; mais cela se réduit souvent à d’insipides bavardages répétitifs, des crialleries de volière entre de prétendus éditorialistes ou experts, qui assènent souvent leurs vérités et des jugement de valeur sans valeur aucune (Zemmour serait un délinquant, par exemple, dixit un honorable garçon de café-épicier reconverti dans le journalisme). Un autre médiacrate — car tel est le nom dont on les affuble — n’apparaît qu’en écharpe rouge (5), et il nous barbe avec ses commentaires. C’est la télé experts.
Et puis, la prétendue actualité du jité dérive gaiement vers les reportages. Sur TF1, s’ils sont tant soit peu importants (de trois à cinq minutes), ils sont pompeusement qualifiés de « grands formats ». Cela peut concerner des sujets de la plus haute importance : la consommation du chocolat en France, pourquoi on n’écrit plus à la main correctement, comment empailler un mort pour le conserver chez soi... C’est la télé gogo.
On a enfin affaire aux discours ou aux interviews d’un chef de l’État ou d’un (ir)responsable politique, provoquant l’ennui et l’endormissement quasi immédiat de nombreux auditeurs. C’est la télé soporifique, qui remplace avantageusement Dodonormyl.
On reste médusé devant l’immense vacuité de l’information télévisée. La place de la vraie information, raisonnée, neutre, objective, indépendante, est presque réduite à zéro. Les « journalistes » n’hésitent d’ailleurs pas à mentir aux téléspectateurs en présentant des infos bidonnées ou truquées (6), servies tout chaud par leur hiérarchie aux ordres du pouvoir. Les journalistes relaient complaisamment la propagande étatique : Politiques-Journalistes, même combat ! (7). C’est même le premier rôle des jités, les journalistes endossant l’habit d’idiots inutiles. On a droit à un lavage de cerveau en continu : par exemple le fameux réchauffement climatique, sous l’égide du G.I.E.C. (8), dont les journalistes officiels du père Ubu qui nous gourverne nous rebattent les oneilles. Quand on sait que ce sont les grands media, ou mainstream en bon frangliche, qui ont contribué à faire élire l’usurpateur connu sous le nom d’Emma Kron, il ne faut pas s’étonner de la propagande et du manque total d’objectivité de l’information à la télé. Les grands oligarques font main basse sur tout, non seulement dans l’industrie, mais également dans la presse, les chaînes d’information, les télécoms et la culture, afin de manipuler et asujettir l’opinion publique. Les infos des jités ne peuvent donc avoir que peu ou pas d’objectivité, sauf peut-être en ce qui concerne les bulletins météo — et encore : cf. les mensonges et affabulations concernant le fameux « réchauffement climatique »..
Cependant le pluralisme journalistique est encore vivace, quoiqu’en disent les mauvaises langues. Un homme comme Marc-Olivier Fogiel est passé dans plusieurs media : direction de BFM-Télé, après être passé par RTL, France Inter, Europe 1, TF1, France Télévisions, Canal+ et M6 (source : Acrimed). Ça, c’est du pluralisme, et du meilleur. Un multimillionnaire comme Claude Perdriel possède Sciences et Avenir, Challenges, L’Histoire, et L’Obs dont il est actionnaire à 30 % (source : Acrimed). Ces deux exemples témoignent, effectivement, de l’objectivité, de la neutralité et de la pluralité de l’information et de la culture en France. Et inutile de parler des quelques grands oligarques qui détiennent comme on l’a vu plus haut les principaux media, tant écrits qu’audio-visuels, assurant et imposant ainsi une prodigieuse unité de pensée (pensée unique), que les plus modernes démocraties dictatoriales nous envient.
(la suite au prochain numéro)
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Notes
(1) Par exemple : Lecture pour tous (1953-1968), La Caméra explore le temps (1957-1966), Les Cinq dernières minutes (1958-1973), Livre mon ami (1958-1968), Cinq Colonnes à la une (1959-1968), La Piste aux étoiles (1960-1970), Les Raisins verts (1963-1964 ; l’émission ne passerait pas aujourd’hui à cause de son humour acide à la Hara-kiri), Droit de réponse (1981-1987), etc. Au passage, il semble que 1968 ait été une petite mort sur le plan culturel.
(2) « La télévision est un média finalement assez grossier, qui a toujours privilégié l'émotion » (Christine Ockrent). « Les idées passent mal à la télé » (Michel Polac).
(3) Précision et objectivité de l’information : selon les journalistes télévisuels, Mikhaïl Harponovitch (assassinat à la préfecture de Police, oct. 2019) aurait tenté de les imiter avec un vrai-faux couteau en céramique inoxydable pour pouvoir passer par les portiques de sécurité — qui n’étaient pas faits pour lui, car il avait une accréditation secret-défense.
(4) Rappelons qu’en bon français une « chancelière » est un coussin chauffant dans lequel on glisse les pieds. Avec Merkel, l’autour ose dire que ce n’est pas le pied.
(5) En France, on glose sur le voile noir des musulmanes, on parle des Gilets jaunes, on glorifie sans fin les exploits des Bleus, on disserte sur la chemise blanche de BHL (« le décolleté le plus sexy de Paris », selon Pierre Desproges), mais on ne parle pas assez de l’écharpe rouge de Chr. Barbeur. Il faut réparer cette injustice
(6) Par exemple la pancarte « Macron dégage » retouchée par Fr-3, réduite à Macron tout court par un louable excès de zèle d’un journaleux de service. Qu'on se rassure FR3 nous a assuré qu'il s'agissait d'« une erreur ».
(7) Curieusement, nombre de journalistes vivent ou vivaient, sont ou étaient marié(e)s avec des personnalités politiques : Fr. Hollande/V. Trierweiler ; D. Strauss-Kahn/A. Sinclair, B. Kouchner/Chr. Ockrent, A. Montebourg/A. Pulvar, J.-L. Borloo/B. Schönberg, Fr. Baroin/M. Drucker, G. Kiejman/L. Debreuil, M. Sapin/V. de Senneville, etc. ; ces deux castes entretenant entre elles des rapports incestueux.
(8) G.I.E.C. = Groupement International d’Experts en Conneries
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