Fiscalité, le crime contre l’humanité français
On ne tue pas qu’avec des balles, des virus et des bombes. On tue aussi avec des lois. Des lois fiscales à l’origine d’un impôt outrancier et démesuré. Les impôts, les charges sociales, la fiscalité assassine sur les petites et moyennes entreprises en France, conduisent à la faillite, à la mort économique, à la mort sociale et à la mort tout court avec son cortège de maux : chômage, stress intenable, destruction des familles, maladies, cancer, suicides.
Impôt et crime contre l’humanité.
Quand un système fiscal capte 75% du fruit l’activité d’une classe moyenne laborieuse il n’est pas outrancier de parler de servage, d’esclavage ou de crime contre l’humanité quand bien même ce système fiscal plaide sa cause en se qualifiant de « redistributif ». Les bourreaux c’est connu savent donner des noms doux à leurs atrocités. « Arbeit macht Frei », le travail rend libre, avaient écrit les nazis sur le fronton d’Auschwitz.
Servitude qui plus est discriminatoire car seules les classes moyennes laborieuses paient l’impôt alors que les très riches - ceux qui font les lois-, y échappent en s’établissant dans des paradis fiscaux, tandis que ceux qui ne travaillent pas reçoivent des aides.
L’impôt a atteint un tel niveau en France et les conséquences sont tellement graves pour les classes moyennes laborieuses que tout débat autre que la question fiscale, est anecdotique et constitue de se fait une diversion politique.
Plus l’impôt est haut et injuste, plus les médias serviteurs divertisseurs et chiens du garde du système occuperont l’espace avec des thèmes sensationnels tels que, attentats, Islamisme, Burqua, Immigration, Identité Nationale, Covid. Diversion politique dont Eric Zemmour, chevalier blanc autorisé et faux opposant du système est le dernier ersatz pour égarer les foules et cacher le véritable crime, le crime économique. La mise en servitude de tout un peuple.
Bercy, berceau du crime contre l’humanité.
La notion de crime contre l'humanité est issue d’une incrimination créée en 1945 dans le statut du Tribunal militaire de Nuremberg établi par la Charte de Londres.
Elle désigne une « violation délibérée et ignominieuse des droits fondamentaux d'un individu ou d'un groupe d'individus inspirée par des motifs politiques, philosophiques, raciaux ou religieux »..
L'article 7 du Statut de Rome donne la liste des crimes de droit commun qui sont des crimes contre l'humanité dès lors qu'ils sont commis sur ordre « dans le cadre d'une attaque généralisée ou systématique dirigée contre toute population civile ». Dans cette longue liste figure l’esclavage.
Asservissement par l’impôt.
Que pensez d’un Etat qui capte 75% du fruit de l’activité de la classe laborieuse de son pays et fixe le salaire minimum à 1300 euros par mois ?
La fiscalité française constitue bien une attaque généralisée et systémique contre un ensemble d’individus avec un but politique (la domination sans partage d’une élite) et pour conséquence une mise en esclavage de tout un peuple. Les Romains et les esclavagistes de l’ancien régime entretenaient leurs esclaves, ils leur fournissaient toit et nourriture. En France les esclaves vivent dans des logements sociaux et touchent le fameux SMIC. Les soft powers (télévision, médias), les drogues (alcool, cannabis), la machine à vices et à rêves (pornographie, alcool, cinéma) ont remplacé les boulets et les chaînes. L’argent disait Tolstoï ne représente qu’une nouvelle forme d’esclavage impersonnel, à la place de l’ancien esclavage personnel. L’employé se présente à son travail pour sa paie misérable. Le petit chef d’entreprise travaille 7 jours sur 7 comme un Hamster qui fait tourner une roue pour avoir de la nourriture dans sa cage, pour payer ses charges sociales. Et le lot de chômeurs, armée d’épouvantails, sert de repoussoir.
Tout ceci pour quoi, pour le bien être de qui ?
Des retraites misérables et un service public (Police, Hôpital) qui ne fonctionne plus.
A l’heure où j’écris ces lignes l’hôpital français n’est plus que l’ombre de lui même, et il faut quatre mois pour obtenir un rendez-vous chez un médecin spécialisé.
Quant à la police, elle ne sert plus qu’à assommer, ficher et arrêter les victimes contestataires toujours plus nombreuses du régime. Celles-ci seront durement punies, tandis que les petits délinquants et les multinationales ne seront jamais inquiétés par des magistrats de gauche qui respectent néanmoins la misère sociale et le Capital, dont ils sont les serviteurs sadiques (justice Capital Socialiste).
Au stade où en sont les choses, il n’est plus possible de se satisfaire d’un changement de régime qui rétablira la Justice sociale, la vraie, avec un impôt modéré, équitable, et juste.
Il faudra demander des comptes à toute cette classe politique qui depuis la deuxième guerre mondiale a fait ou laissé faire les tortionnaires fiscaux qui ont mis en place ce système machiavélique et diabolique.
Il faudra voir qui sont les personnalités politiques qui ont voté ces lois –ou se sont abstenus de voter contre-, fabriqué le malheur, les ruines, les maladies, les suicides, et semé la mort. Il faudra juger les acteurs de cette prétendue « crise économique » permanente qui fabrique des milliardaires, les planificateurs et metteurs en scène de ce « chômage » organisé, les producteurs de ces cancers lucratifs et les grands organisateurs de cette soi disant « redistribution sociale ». A l’heure ou j’écris,
BFMTV titre « hausse des impôts 95% des français seraient favorables à une hausse des impôts pour payer la dette COVID19 ». La « démocratie » a besoin du consentement de la victime, comme toute tyrannie. Sans quoi le bourreau ressent une espèce de mauvaise conscience et la victime un sentiment d’injustice. Et c’est dommageable pour tout le monde. On est dans le procès sadique décrit par le Marquis de Sade, dans Justine ou les malheurs de la vertu.
Pourtant, il faudra établir et rétablir les responsabilités politiques. Et demander punition et réparation aux auteurs de ce système, crime économique organisé ignominieux. Parce que, comme disait Montesquieu « il n’y a point de plus cruelle tyrannie que celle que l’on exerce à l’ombre des lois et avec les couleurs de la Justice ». Il faudra, si l’on veut bâtir une société démocratique digne de ce nom, d’abord faire voter un dispositif légal approprié pour établir une juridiction d’exception comme les tribunaux de Nuremberg, pour juger les criminels de cette parodie de démocratie. Trois chefs d’accusation pourront être retenus : le complot, comme à Nuremberg, le crime contre l’humanité, et la haute trahison. Il faudra discuter dans le cadre serein de la nouvelle démocratie pour voir si la peine de mort doit être rétablie pour ces crimes qui ont semé la mort d’un nombre difficilement quantifiable d’êtres humains. Il faudra compter les morts, et rappeler les noms de chacune des victimes anonymes. Il faudra juger comme à Nuremberg ceux qui ont semé la mort de manière préméditée, organisée et systémique, et ceux qui ont exécuté et accompli les ordres en connaissance de cause.
Peter K.
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