Fiscalité, le crime contre l’humanité français (partie 3)
Les nombreux commentaires provoqués par mes deux précédents articles sont révélateurs : Celui qui s’attaque à la fiscalité française, ne trouvera pas des soutiens, mais des ennemis féroces. Le libérateur qui viendrait ouvrir les portes de ce camp de prisonnier dit « Bercy » sera surpris de trouver des prisonniers qui ne veulent pas s’échapper. Les malheureux préfèrent la sécurité et le confort relatif de l’internement assuré par l’Etat providence, tortionnaire bienfaiteur, à la liberté proposée par l’inconnu.
Ce constat a sans doute été fait par nos amis politiciens, car la fiscalité n’est le cheval de bataille d’aucun candidat à l’élection présidentielle française, tous préférant les thèmes plus démagogiques de l’identité Nationale et de l’immigration.
Tout juste abordent-ils le sujet de la fiscalité du bout des lèvres, quand il faudrait tout détruire et simplifier pour redonner un avenir à la France, une justice sociale (vraie, pas prétendue), une redistribution équitable du produit économique entre ceux qui concourent et contribuent à la richesse du pays, et tout simplement, le sourire et la joie.
La triste religion marxiste (opposition gotesque et manichéenne du « Capital » et du « Travail »), a recouvert de sa Burqa l’esprit du travailleur français qui affuble du sobriquet de « petit bourgeois » celui qui veut retirer la taxe sur son travail afin d’augmenter son salaire, et les profits de son employeur, et libérer cette relation de travail du joug d’une fiscalité redistributive immorale, injuste, sadique, et ignoble.
Tout comme les islamistes, les adeptes de cette religion marxiste, qui n’est rien d’autre qu’une secte d’imposteurs qui instrumentalise les ouvriers, voudraient me pendre à l’échafaud, et m’invitent dans leurs commentaires, à me raisonner moi-même, à « revenir dans le droit chemin » et à « me remettre en question ». Techniques empruntés à l’union soviétique et à l’église catholique du temps de l’inquisition.
Qu’ils soient eux incapable de réfléchir et de sortir de leurs reflexes conditionnés et vocable marxiste, qui ne leur appartient d’ailleurs pas plus que la burqa appartient aux islamistes, ne leur effleure pas l’esprit. Ils sont plus formatés encore que des machines. Ce sont les chiens de garde du Capital Socialisme, tels des « Kapos », gardiens de camps auto désignées, à la fois victime et complices. Ce sont eux qui manifestent sous les pancartes de la CGT et de la CFDT tous les week-ends avec leurs banderoles. A la fois victimes, critiques, profiteurs et électeurs du « système » Capital Socialiste. Une bonne partie des Gilets Jaunes, de nombreux chômeurs, ou miséreux entretenus au RSA, petits retraités apeurés… Ils ne veulent rien changer. Ils veulent un peu plus, c’est tout. Quelques miettes de plus. Ils mendient comme des junkies un peu plus à « l’Etat Providence ». Le système fiscal français, néo féodalisme, à fabriqué des sous hommes « unter dem Menschen ». Cette fois il ne s’agit pas d’une race inférieure, mais d’être humains appauvris intellectuellement, divertis, et manipulés par les idéologies, le divertissement et l’information. « Lobotomisés » comme remarquait Louis Ferdinand Céline dans les années 30. Mes mots sont brutaux, mais le constat aussi est brutal. La réalité de la maladie sociale et économique française et plus largement occidentale. Cette réalité fiscale, à laquelle je m’oppose, est je le répète un crime conte l’humanité. La fiscalité tue chaque année au nom de la redistribution sociale, des hommes et des femmes en France. Célibataires, pères et mères de famille, jeunes, vieux, femmes, hommes, oui, la fiscalité conduit des ménages à la faillite, à la misère et à l’extrémité de l’exclusion, le suicide économique et social. Certains de mes détracteurs habiles voudraient faire croire qu’ils ne voient pas le lien entre « crime contre l’humanité » et le taux d’imposition en France, m’accusant de faire du « clicbait », c’est à dire d’attirer le lecteur par des titres outranciers. Je tiens ferme aux mots et aux expressions que j’utilise. La fiscalité française est un crime contre l’humanité. Le crime contre l’humanité est une incrimination née en 1945 dans le statut du tribunal militaire de Nuremberg, établi par la charte de Londres. L’article 7 du statut de Rome donne la liste des crimes de droit commun qui sont des crimes contre l’humanité, dès lors qu’ils sont commis sur ordre « dans le cadre d’une attaque généralisée ou systématiques dirigée contre toute une population civile ». Dans cette liste figure le meurtre, et l’esclavage. L’impôt quand il capte plus de 80 pourcent de ce que gagne un petit entrepreneur et lui laisse seulement de quoi se nourrir et revenir le lendemain au travail après avoir dormi dans sa voiture, n’est rien d’autre que de l’esclavage, qui conduit au suicide, donc au meurtre. De même, l’impôt ou les taxes, quand il ou elles pèsent sur des ouvriers qui gagnent le SMIC, est un crime contre l’humanité. N’en déplaise à tous les adeptes de la secte Capital Socialiste. Le Capital Socialisme tue avec une arme qu’il braque sur tout un peuple, un impôt exorbitant et meurtrier. L’impôt n’est plus un moyen de redistribution social équitable, c’est une arme de guerre, un terrorisme d’Etat prodiguée sur tout un peuple, un système qui peut tuer, et tue en masse une catégorie de citoyen. Quand il tue des dizaines de milliers de femmes et d’hommes chaque année et supprime l’avenir souriant d’une jeunesse, il s’agit bien d’un crime contre l’humanité, n’en déplaise à ceux qui en profitent et en vivent.
Peter K
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