France : les régions qui tuent !...
chômage, misère, espérance de vie, cancers, ...
En France, il y a des régions de misères, des maisons qui tuent, des zones abandonnées à leurs solitudes, aux cancers de la vie, avec l’alcoolisme et le jeu comme seuls échappatoires.

Je n’avais pas imaginé mon pays si pauvre et si triste en dehors de nos cités de banlieue.
Il a fallu ce rêve d’échapper au bruit et à la grisaille de la ville pour que je me retrouve prisonnier d’une nature plus sombre encore que le béton des villes.
Je vis dans la Nièvre, perdu dans un village aux volets fermés où chacun reste chez soi faute de savoir où aller.
J’ai découvert le danger des maisons délabrées, des trottoirs défoncés, des stupidités de l’incompétence qui arrachent une jambe où un bras dans le meilleurs de cas.
J’ai découvert les campagnes d’où l’on ne peut s’échapper. De la nature si belle qui cache des villages et des vies si tristes.
Je voulais savoir... la Nièvre est-elle la région d’exception où le retour dans le passé est un rêve pour le touriste et un cauchemard pour celui qui y vit ?
Chez nous, les morts se multiplient par les cancers, les suicides et les "accidents". L’espérance de vie y est de 7 ans moindre qu’à Paris. Jolie nature !
La solitude est un risque.
Comment peut-on survivre sans téléphone ni voiture dans un village sans commerce, sans liens sociaux, sans commerçants qui passent... rester des jours sans manger vraiment en attendant l’hypothétique ravitaillement des services sociaux... d’urgence.
job
le granit nous irradie
27 réactions à cet article
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Ou là là, tous les articles de cet auteur sont d’une tristesse... Y en a-t-il d’autres comme moi qui ont envie de se suicider ? On pourrait organiser un suicide collectif ce week-end, ça vous dit ? Quelqu’un a-t-il un diffuseur de monoxyde carbone à nous prêter, s’il vous plaît ?
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J’oubliais... Pourquoi mettre en gras un mot sur deux ?
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C’est une réalité qui se cache et ceux qui s’y trouvent piégés ne parlent pas... honte, culpabilité, peur de parler ?...
J’aime la vie, et pour eux aussi il faut changer çà... et pour ceux qui rêvent de nature loin de la ville, il faut parler, prévenir.
Combien d’isolés, sans internet ni courage de communiquer pourront dénoncer leur mise à l’éoart de la société... de votre vie, internautes des villes, ils n’en connaissent que ce qu’ils en voient à la télé ou en lisent dans les journaux... mais là aussi, çà ne les encourage pas à vous envier.
Voilà deux monde qui ne se connaissent pas où le plus riche envie parfois le plus pauvre.
Je voudrais pourtant de ma prison apprendre à ces gens à dire non, on veut vivre et participer, ne pas voir toujours les mêmes arbres ni le même horizon.
js
à Annie, Michel, Roland
et ceux qui ne sont plus ou se sont échappés -
S’ennuyer à la campagne c’est quand même um comble. Je ne connais pas la Nièvre, peut-être que les gens sont des sauvages, mais habitant moi-même à la campagne, je ne changerais pour la ville pour rien au monde. Il y a tout le temps du monde à la maison, essentiellement des amis (j’ai pratiquement pas de famille). On se fait des hommelettes aux champignons, des tartiflettes, des crêpes au jambon, on mange des châtaignes, etc... Bref, la qualité de vie est toute autre que en ville. Le travail est beaucoup moins stressant aussi, on n’a pas la notion du temps. On travaille dans des secteurs manuels (menuiserie, maraichers, élevage, cultures, tourisme, etc...). Je pense que l’auteur ne serait pas plus heureux en ville malheureusement. Mais quand on voit quelqu’un à la campagne, il faut lui dire bonjour, parler 5 minutes, faire connaissance, la prochaîne fois que vous voyez cette personne, vous dîtes « Tiens, encore toi ! », et puis vous l’invitez à prendre le café, etc... Après ça il y a des gens qui font des amis tout de suite, et puis il y en a d’autres qui sont plus exigeants. Il faut faire le premier pas, car les gens en général ne font pas le premier pas, ils sont rétissants.
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c’est un peu déprimant comme article ,mais habitant la Seine et Marne ,il y a toute une ribambelle de petits villages paumés sans rien également avec des gens qui s’emmerdent tout autant ,quelques jeunes désoeuvrés qui n’ont aucun horizon ,des vieux qui semblent l’avoir toujours été ,et dans la France profonde on devine la vie de beaucoup de gens pas très folichonne non plus ...... et il est peu probable que ça bouge beaucoup ,personne n’aurait l’idée d’investir dans quoi que ce soit dans ces trous perdus ....... barrez vous vite si vous le pouvez !!!!!
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Triste réalité de certaines régions rurales où s’ajoute au problème d’emploi, pour celui n’est pas du coin, celui de la solitude.
Vous posez la question qui est de savoir si votre région est un cas spécifique ? Hélas, non, je peux citer le cas des Cévennes où le nombre des RMIstes est grand. Ils n’ont pas pour la plupart d’accès à internet, cependant il y a des associations (secours populaire, Resto du Coeur, etc...) qui vont de village en village ce qui est un avantage indéniable. Mais sinon, l’alcool, la misère affective, l’absence de perspective, le sentiment d’être piégé, sont tout aussi présents. Il reste des expédients pour pouvoir se faire un peu plus d’argent, la saison des champignons devient une obligation pour espérer en vendre sur les marchés, il en va de même avec la chasse... Mais encore faut-il avoir une voiture en état de marche.
Bon courage, l’ami.
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La campagne est une vie différente, enrichissante pour celui qui sait s’adapter. Tout d’abord quand on s’installe à la campagne il faut du terrain. Avoir un appartement en pleine campagne comme à Paris est un non sens.
Vous avez baissé les bras. A la campgane chacun est responsable de sa vie.
- danger des maisons délabrées : réparez vous-même votre maison au lieu de vous plaindre.
- trottoirs défoncés : en échange de quelques trous vous ne payez pratiquement pas d’impôts locaux.
- ni téléphone, ni voiture, pas de commerce : pas de téléphone ? là vous m’étonnez. S’il y a peu de voitures, cela vous permet d’aller faire vos courses une fois par semaine au marché du bourg voisin. On y trouve des produits frais et des gens sympathiques.
- attendre le ravitaillement des services sociaux : si vous avez une mobilité réduite je vous comprend mais sinon sachez qu’un jardin bien cultivé donne de quoi manger toute l’année. Procurez-vous l’Almanach Vermot et le bouquin de Clause. Elevez des poules. Une poule donne un oeuf par jour pendant des mois.
Il n’est nullement besoin de sortir de chez soi pour avoir milles choses à faire et rencontrer des gens. A Paris, beaucoup de gens sont complètement solitaires au milieu d’une foule immense.
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Le but de mon article est de dénoncer une situation de danger due à l’isolement en zone rurale sans voiture ni argent ni moyen de communiquer dans des maisons à risques.
Ma région, la Nièvre est victime de l’enclavement qui l’isole de la vie économique et du brassage de population. Le progrès et la rencontre des autres ont parfois du bon mais si les dérives agissent comme des grains de sable.
L’assistanat par les minimas sociaux n’est pas la vie. Cela empêche tout projet d’envergure et toute rencontre entre classes sociales différentes. Les pauvres restent avec les pauvres éternels spectacteurs. Les acteurs sont mobiles et ont leurs intérêts ailleurs que dans la région et dans d’autres domaines. Ils ne se mélangent pas.
Pas de revenu ni rencontres sociales d’autres milieux font qu’il n’y a aucun échapatoire à l’exclusion pour ceux qui sont dans la misère et l’isolement. Ils restenront toute leur vie des éternels assistés dépendants.
Ils y a des murs infranchissables dans la nature pire que ceux des villes à cause du vide et de la distance.
Cela atteint l’intégrité physique des gens. Cela se voit à la morphologie plus lourde et arrondie. La misère fait grossir. Le silence perpétuel paupérise l’esprit.
Les Restaurants du Coeur et les assistances sociales n’apportent pas l’autonomie, bien au contraire. Ils servent à éviter de mourir trop tôt et que çà se voit... mais pas à se remettre debout et à progresser. Sans rien, on ne fait rien. La misère est un piège.
Oui, il y a dans des maisons isolées, des gens sans téléphone ni voiture. Imaginez le coût d’une voiture pour quelqu’un qui est au RMI ?
Difficile pour des gens aisés de s’imaginer le double handicap de l’isolement géographique et de la misère puisque l’on juge avec ce que l’on connaît. Toute action se heurte à l’absence d’argent.
La moindre démarche importante est à 150 km aller-retour et nécessite plusieurs semaines de tergiversations pour se faire conduire.
Les vieilles maisons font rêver les gens des villes... connaissez-vous le radon, la poussière, l’humidité, les matériaux toxiques ?...
bien sûr, les gens aisés se font construire des maisons modernes ou réhabilitent pour quelques temps et à grand frais des vieilles maisons tout en conservant des solutions de retraites.
C’est une erreur de croire que nous ne payons pas d’impôts locaux ou foncier. Avec mon RMI dans une maison en ruine dont j’occupe 58 m pour l’habitation, on me demande 920 euros d’impôts fonciers ! C’est pire qu’en ville pour un inconfort et un coût énergétique accru.
Les gens isolés dans les hameaux sans commerces ne connaissent pas les produits bio. On leur distribue des produits sucrées ou gras, des biscuits dont les chiens ne veulent pas (testé ce week-end avec un chien de la ville). Les courses complémentaires se font à Aldi quand on peut se déplacer. Effacez l’idée des produits frais de qualité... c’est pour les gens qui ont de l’argent.
Le jardin et les animaux ne sont pas la solution à tout, il y a les maladies, il faut avoir le terrain...
J’ai la chance de vivre ma misère dans un village privilègié par rapport à la vraie solitude. Je me rends compte qu’il y a toujours pire que la misère dont on se plaint.
js
je parlerai pour vous
qui ne demandez rien -
et en plus cette année y’a même pas de soleil !
on devrait y installer le siège social de lexomil !
mais que fait Sarko ?
Beregovoy qui était de là bas s’est suicidé......
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exact pour Beregovoy, mais il y a tous ces inconnus que l’on veut ignorer.
Ces malades que l’on ne soigne pas, ces rendez-vous chez le médecin qui prennent 3 mois d’attente... quand il est trop tard. Ces soins inaccessibles.
C’est vrai que les antidépresseurs nous sont distribués sans limitation... mais çà nous fait dormir et çà nous abrutit.
js
comme un bête de laboratoire
je veux comprendre votre vérité
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Job votre nom vous va à ravir, souvenez-vous :
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Ceux qui se sont intéressés au 11 sept avec un oeil critique,savent que les présumés coupables n’auraient jamais pu empécher la chasse de décoller pour abattre les avions détournés (aprés le 1er au moins).De plus personne ,pas méme la commission d’enquéte ne sait pourquoi et comment le batiment 7 s’est écroulé sur lui méme dans le style démolition controlée !(le 3em a s’étre effondré ce jour là ! et oui : il y a eu 3 tours démolies ce jour là ).Enfin pourquoi le FBI a confisqué les caméras des hotels et stations de service autour du pentagone, caméras qui comme les centaines autour du pentagone ont filmé la scéne qu’on nous cache ? Que les sceptiques aillent sur www.reopen911.info, ils verront à quel point nous avons TOUS été manipulés...
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C’est clair, mais va faire comprendre ça à des moutons qui se dressent contre tout ce qui sort du prêt-à-penser et du politiquement correct. Toute la thèse officielle du 11 septembre et un non-sens complet. Comment aussi un avion peut s’encastrer dans un trou de 1m de diamètre dans le pentagône et de manière horizontale ? LOL
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Quoi ? le 11 septembre perpetre par des RMIstes de la nievre ?
Vous y allez fort avec votre theorie du complot !
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J’ai vécu pendant pas mal d’années à Clamecy, dans la Nièvre, justement ! Je confirme que c’est un pays perdu de misères, physiques (alcoolisme et consanguinité) et morales (ils se haïssent d’un village à l’autre). Si on ajoute à cela le fait que la plupart des gens vivent de l’aide sociale ... J’y était l’un des rares à payer des impôts, on a fait le tour de la question. Évidemment, bien sûr, ils votent à gauche !
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Voilà un témoignage de la réalité locale.
Les grandes familles s’en sortent assez bien et ceux qui souffrent sont les isolés. Pas de travail pour eux... on les « roulent dans la farine » en leur faisant croire qu’on fait le maximum pour défendre leurs intérêts. Mais ils sont condamnés à leur état d’isolés sans ressources jusqu’à la fin de leur vie.
Evidemment, il y a aussi des belles voitures et des belles maisons pour des retraites discrêtes.
Bizarre, bizarre... la misère est « fabriquée ».
js
Si quelqu’un m’avait dit cela
avant que je vienne...
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bonjour,
je vis moi aussi à la campagne,
pour faire du jardinage, il ne faut pas beaucoup de terrain : un joli potager dont les plans sont bien alignés, est agréable à contempler. à défaut, les pots sont de bons supports pour un plan de tomates...
inspirez-vous des « jardins de curé »...
vous pourriez peut-être demander à un voisin de vous « prêter » quelques mètres carrés pour y faire vos plantations.
en ce qui concerne les maladies, il existe des traitements de base qui restent bio, et qui évitent de trop « charger » chimiquement le sol, comme la « soupe d’orties ».
les poules sont général vaccinées quand on vous les vend.
à la campagne, il y a de la poussière, un peu plus qu’en ville, surtout quand on chauffe au bois. pour éliminer le radon, il suffit de ventiler la maison. à la différence d’un appartement en ville, une maison à la campagne, jeune ou vieille, a toujours besoin d’entretien. bricoler, vous occuperait l’esprit.
contactez par mail, la communauté emmaüs la plus proche de votre domicile, il y a peut-être un vélo pas trop cher que vous pourriez utiliser pour aller faire vos courses dans un village voisin.
allez, un peu de courage, secouez-vous un peu et essayez de remonter la pente...
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Si quelqu’un m’avait dit...
Personnellement, c’est ma liberté intégrale que je veux retrouver et quitter la région... j’en ai assez vu et je veux retrouver la sécurité de la ville...
Mais le propos de cet article concerne tous ces gens qui souffrent et ne vivent pas.
C’est sûr qu’un jardin et une maison en ruine est une occupation à plein temps... mais ces gens-là aimeraient peut-être une vie plus diversifiée avec la liberté de faire leurs achats, d’avoir une médecine de prévention, d’aller au restaurant avec des amis.
Pourquoi est-on toujours malade dans ces hameaux ?... pourquoi vieillit-on si vite et meure-t-on si tôt ?
j’ai vu Michel mourir d’un cancer en quelques mois : ils l’ont laissé sans soin jusqu’aux dernières semaines, quand il était trop tard.
Je ne veux pas « aménager » la misère pour la rendre supportable. Je la refuse pour moi et pour les autres... surtout après une vie de travail et d’initiatives méritantes.
js
J’en ai assez vu de la Nièvre
pour préférer ma ville natale
-
@ l’auteur.
Je suis vraiment desole pour vous, vous etes une remarquable et typique victime de l’ideologie gauchisante sur la protection que l’etat providence devrait (selon certains) a ses enfants.
J’ai pas ci, j’ai pas ca et « on » ne fait rien pour nous... Bref c’est toujours les autres et « on »
Sortez du monde des illusions mon vieux, c’est VOUS le probleme, je veux dire c’est en vous et vous etes impregne d’ideologie mensongere.
Je vis dans des pays ou le telephone est plus que rare (enfin de moins en moins, maintenant meme les clodos ont un portable) il n’y a ni eau courante, ni electricite souvent,le medecin loin et financierement inabordable,et certes les enfants mal foutus ne font pas de vieux os, ce qui est vite remplace, on ne prolonge pas stupidement (mais tres profitablement)la souffrance des vieux, quant a internet (cette grosse illusion qui me fait penser aux anes qui croient que la planete est un village)vous voulez rire, on a vecu sans cela qq millenaires de facon somme toute potable.
Mais en gros on n’y croise que des sourires. Curieux ca quand meme, parce que dans la Nievre comme a Paris on croise plutot des gueules de raie stressees.
Vous trouvez surtout que vos merites, surement eminents, ne sont pas reconnus a leur juste valeur.
D’ailleurs les miens non plus, maintenant que j’y pense
En ville, ici ou ailleurs et comme depuis toujours ce qui fait l’Homme, c’est qu’il fait face, meme et surtout parce que tout est tres tres temporaire.
Et que vous savez quoi JOB, tout cela n’a pas vraiment d’importance.
Le mieux est en vous et pas ailleurs, mais il est la.
Salam Aleikoum l’Ami
Iren-Nao
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Tres bon commentaire.
L’etat providence sous couvert d’aider les gens (l’idee n’est pas si mauvaise que ca au depart) rend les gens dependants et incapables de penser qu’ils peuvent s’en sortir tout seul.
Je me suis toujours demande pourquoi le taux de suicide ou la prise d’anti-depresseurs etait aussi develope en France. Car malgre les defaitistes de tout bord la France offre :
- une des meilleures bouffes au monde
- les meilleurs alcools
- une education presque gratuite
- une securite sociale qui marche pas trop mal, avec une sante moyenne pour les individus parmi les meilleures
- c’est le pays le plus visite on doit donc avoir un tres beau patrimoine
- un nombre d’heures travaillees parmi les plus faible ...Donc resumons, nous sommes en bonne sante, nous ne travaillons pas trop, nous avons beaucoup de choses a visiter et beaucoup de bonne bouffe et alcool pour accompagner mais nous sommes parmi les plus malheureux au monde, c’est quand meme bizarre.
@l’auteur,
Courage, vous pouvez vous en sortir.
-
- Attaquer les gens à coup d’idéologie, c’est se laver les mains devant l’injustice... jusqu’au jour où vous êtes vous-mêmes touchés et que vous vous retrouvez seuls... l’absence de solidarité et de résistance ouvre la voie royale à la plus belle des dictactures. Je pose une vraie question car je vois des gens souffrir et mourir trop tôt dans la Nièvre.
- ma vie, je me la suis construite moi-même entouré d’amis solidaires... jusqu’à l’âge de 50 ans où je suis arrivé, par naïveté ou ignorance, dans cette région où j’ai découvert l’égoïsme et l’exclusion mais aussi des gens qui souffrent.
- Je n’ai guère de dette à l’égard de la société car dans toute ma vie, je ne suis allé que 6 ans à l’école, j’ai pris la responsabilité de mon travail et j’ai payé mes charges. Je suis né d’une famille ouvrière et j’ai progressé jusqu’à l’âge de 50 ans où je suis arrivé dans la Nièvre et où tout a été détruit faute de liens sociaux.
- l’état « providence » c’est payer des impôts pour la santé, la sécurité, la formation, le développement, etc... bien sûr, ceux qui n’en veulent pas peuvent quitter la France plutôt que de la remettre en cause... sans égoïsmes, le pays marcherait mieux. J’accepte de payer des impôts quand j’en reçois la contre-partie comme c’était le cas par le passé.
- je respecte de la vie et je la défend, l’homme n’est pas une marchandise, j’aime le progrès et la planète, la solidarité et l’intelligence... c’est pourquoi je n’insulte pas les gens car je ne suis pas bon en tout, je ne connais pas tout et j’ai besoin des autres.
- si je me révolte c’est bien parce que je crois en moi (et en les autres)... mais moins en la société, moins en le système
- si je me révolte, c’est parce que je veux m’en sortir... je me bats aussi pour les autres... et pour que l’on ne nous détruise pas systèmatiquement ce que l’on construits avec peu de moyens.
Quand il n’y a plus de justice, il faut des justiciers... le monde devient un rapport de force, une jungle... où il ne fait pas bon être seul.
Le sujet de cet ariicle est « Pourquoi certaines régions son dangereuses ? »
js
On n’achève pas les victimes !
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- Attaquer les gens à coup d’idéologie, c’est se laver les mains devant l’injustice... jusqu’au jour où vous êtes vous-mêmes touchés et que vous vous retrouvez seuls... l’absence de solidarité et de résistance ouvre la voie royale à la plus belle des dictactures. Je pose une vraie question car je vois des gens souffrir et mourir trop tôt dans la Nièvre.
- ma vie, je me la suis construite moi-même entouré d’amis solidaires... jusqu’à l’âge de 50 ans où je suis arrivé, par naïveté ou ignorance, dans cette région où j’ai découvert l’égoïsme et l’exclusion mais aussi des gens qui souffrent.
- Je n’ai guère de dette à l’égard de la société car dans toute ma vie, je ne suis allé que 6 ans à l’école, j’ai pris la responsabilité de mon travail et j’ai payé mes charges. Je suis né d’une famille ouvrière et j’ai progressé jusqu’à l’âge de 50 ans où je suis arrivé dans la Nièvre et où tout a été détruit faute de liens sociaux.
- l’état « providence » c’est payer des impôts pour la santé, la sécurité, la formation, le développement, etc... bien sûr, ceux qui n’en veulent pas peuvent quitter la France plutôt que de la remettre en cause... sans égoïsmes, le pays marcherait mieux. J’accepte de payer des impôts quand j’en reçois la contre-partie comme c’était le cas par le passé.
- je respecte de la vie et je la défend, l’homme n’est pas une marchandise, j’aime le progrès et la planète, la solidarité et l’intelligence... c’est pourquoi je n’insulte pas les gens car je ne suis pas bon en tout, je ne connais pas tout et j’ai besoin des autres.
- si je me révolte c’est bien parce que je crois en moi (et en les autres)... mais moins en la société, moins en le système
- si je me révolte, c’est parce que je veux m’en sortir... je me bats aussi pour les autres... et pour que l’on ne nous détruise pas systèmatiquement ce que l’on construits avec peu de moyens.
Quand il n’y a plus de justice, il faut des justiciers... le monde devient un rapport de force, une jungle... où il ne fait pas bon être seul.
Le sujet de cet ariicle est « Pourquoi certaines régions son dangereuses ? »
js
On n’achève pas les victimes !
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- Attaquer les gens à coup d’idéologie, c’est se laver les mains devant l’injustice... jusqu’au jour où vous êtes vous-mêmes touchés et que vous vous retrouvez seuls... l’absence de solidarité et de résistance ouvre la voie royale à la plus belle des dictactures. Je pose une vraie question car je vois des gens souffrir et mourir trop tôt dans la Nièvre.
- ma vie, je me la suis construite moi-même entouré d’amis solidaires... jusqu’à l’âge de 50 ans où je suis arrivé, par naïveté ou ignorance, dans cette région où j’ai découvert l’égoïsme et l’exclusion mais aussi des gens qui souffrent.
- Je n’ai guère de dette à l’égard de la société car dans toute ma vie, je ne suis allé que 6 ans à l’école, j’ai pris la responsabilité de mon travail et j’ai payé mes charges. Je suis né d’une famille ouvrière et j’ai progressé jusqu’à l’âge de 50 ans où je suis arrivé dans la Nièvre et où tout a été détruit faute de liens sociaux.
- l’état « providence » c’est payer des impôts pour la santé, la sécurité, la formation, le développement, etc... bien sûr, ceux qui n’en veulent pas peuvent quitter la France plutôt que de la remettre en cause... sans égoïsmes, le pays marcherait mieux. J’accepte de payer des impôts quand j’en reçois la contre-partie comme c’était le cas par le passé.
- je respecte de la vie et je la défend, l’homme n’est pas une marchandise, j’aime le progrès et la planète, la solidarité et l’intelligence... c’est pourquoi je n’insulte pas les gens car je ne suis pas bon en tout, je ne connais pas tout et j’ai besoin des autres.
- si je me révolte c’est bien parce que je crois en moi (et en les autres)... mais moins en la société, moins en le système
- si je me révolte, c’est parce que je veux m’en sortir... je me bats aussi pour les autres... et pour que l’on ne nous détruise pas systèmatiquement ce que l’on construits avec peu de moyens.
Quand il n’y a plus de justice, il faut des justiciers... le monde devient un rapport de force, une jungle... où il ne fait pas bon être seul.
Le sujet de cet ariicle est « Pourquoi certaines régions son dangereuses ? »
js
On n’achève pas les victimes !
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Voilà bien la maladie du monde moderne : il y est interdit de s’ennuyer ! Il faut absolument se divertir, il faut du spectacle, de l’événementiel, du festif ! Il faut que ça bouge, que ça « moove » ! Heureusement il y a encore quelques endroits en France qui échappent à ça. Je vais de temps en temps en vacances en Bretagne. Il m’y arrive de ne rien faire tout en étant heureux : juste regarder un coucher de soleil dans la campagne, à l’heure où tombe le calme (on n’entend plus les voitures circuler), ou sur la plage. Ou, la nuit tombée, écouter le chant du hibou, dans son lit avant de dormir.
Le radon ? Arrêter de fumer et ouvrir les fenêtres régulièrement, pour minimiser les risques de cancer
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J’espère peu des forums sur internet si ce n’est d’informer pour que d’autres ne tombent pas dans le même piège.
Le meilleur est la compassion, le pire le sarcasme.
La misère des autres est rarement comprise tant qu’on n’est pas dedans.
Dans la Nièvre, on ne peut compter que sur soi et les solutions ultimes.
Combien auront compris que je regarde autour de moi ceux dont la condition est pire que la mienne ?
Je m’adresse essentiellement à ceux qui veulent quitter la ville... réfléchissez bien avant de couper vos racines à ce que le retour soit possible.
La campagne a bien ses avantages... mais le prix à payer est parfois démesuré quand il en vient à détruire tout ce qui fait votre vie.
La Nièvre n’est sans doute pas le cas général (je l’espère)... mais la solitude est une vulnérabilité même si la foule est une gêne, parfois.
Bon, on va mourir en silence, désolé...
js
l’individualisme est la voie des dictatures
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Quelqu’un vous proposait de faire du bruit.... Moi j’ai du matériel son, je traine mes basquets un peu partout, et je balance des voix, des cris, sur diverses radios « hors système »... qui sait, nos routes devraient peut-être se croiser ? Quel est votre e-mail ? A bientôt peut-être, Sophie ([email protected])
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merci Sophie, je vous ai envoyé un mail privé.
C’est bien du bruit qu’il faut faire pour se faire entendre, pour obtenir un peu de justice... mais il faut être résistant pour cela.
Il faut avoir la force et la volonté de réagir pour voir jusqu’à quel point l’imposture démocratique peut accepter ce qu’elle nous fait croire.
Pendant ce temps, dans la Nièvre, hier, j’ai appris qu’un jeune vient de subir l’ablation d’une partie de l’intestin par erreur avec la pose d’un anus artificiel...
La santé, çà craint dans un pays où l’on ne privilégie pas la compétence mais l’argent et dans les régions abandonnées comme la Nièvre.
La Nièvre est une véritable jungle sur laquelle les médias devraient allumer quelques projecteurs... mais la Nièvre est une réserve qui cache beaucoup de misères et d’anomalies de cette société des intérêts individuels.
Si un forum permet d’obtenir des résultats, de l’action... çà serait formidable parce que je croiyais n’arriver qu’à une prise de conscience et à recevoir occasionnellement de stupides réflexions.
Il faut agir... pour ne pas le regretter demain.
js
La misère est possible
tant qu’on ne fait rien
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