Gardasil, alerte, risque imminent d’obligation d’une vaccination anti HPV inutile, et parfois dangereuse, pour les filles et garçons
SOYONS VIGILANTS. Alors que de nombreux médecins, étrangers et français, citoyens, patients parfois victimes, tentent d’informer depuis de très nombreuses années sur l’inutilité et les risques du vaccin contre les papillomavirus, une nouvelle offensive des lobbies pharmaceutiques conduit à nouveau certains députés à tenter de l’introduire dans la loi d’obligation vaccinale, déjà probablement la plus large au monde.
Nous-mêmes avons analysé le bénéfice-risque de ce vaccin initialement destiné à la gente féminine, mais les garçons risquent bientôt d’être visés[1] également, et dénoncé à plusieurs reprises[2] [3]son inutilité couplée à ses risques tant chez la femme[4] que chez l’homme.[5] Le temps passé depuis son autorisation de mise sur le marché par la FDA en juin 2006 ne fait qu’apparaitre de nouveaux arguments contre cette vaccination, dont le plus fort est l’augmentation du nombre de cancers du col dans les populations les plus vaccinées, qui devrait inciter ces pays à suive l’exemple du Japon et de l’Autriche et à supprimer la recommandation.
Attention danger, risque imminent d’obligation d’une vaccination anti HPV inutile, et parfois dangereuse, pour les filles et garçons. Par le docteur Gérard Delépine, chirurgien et statisticien
Lettre ouverte aux parlementaires, et à tous les citoyens.
SOYONS VIGILANTS. Alors que de nombreux médecins, étrangers et français, citoyens, patients parfois victimes, tentent d’informer depuis de très nombreuses années sur l’inutilité et les risques du vaccin contre les papillomavirus, une nouvelle offensive des lobbies pharmaceutiques conduit à nouveau certains députés à tenter de l’introduire dans la loi d’obligation vaccinale, déjà probablement la plus large au monde.
Nous-mêmes avons analysé le bénéfice-risque de ce vaccin initialement destiné à la gente féminine, mais les garçons risquent bientôt d’être visés[1] également, et dénoncé à plusieurs reprises[2] [3]son inutilité couplée à ses risques tant chez la femme[4] que chez l’homme.[5] Le temps passé depuis son autorisation de mise sur le marché par la FDA en juin 2006 ne fait qu’apparaitre de nouveaux arguments contre cette vaccination, dont le plus fort est l’augmentation du nombre de cancers du col dans les populations les plus vaccinées, qui devrait inciter ces pays à suive l’exemple du Japon et de l’Autriche et à supprimer la recommandation.
Attention, certains députés veulent imposer une vaccination qui peut augmenter le risque de cancer du col de l’utérus, ainsi que le prouvent les publications internationales des registres nationaux du cancer.
La France est championne du monde des obligations vaccinales. Mais en la matière, le lobby des soins inutiles et potentiellement dangereux en veut toujours plus. Ainsi 8 députés [6] viennent de déposer un projet de loi pour créer une obligation vaccinale supplémentaire contre le papillomavirus[7]. Et le très récent diner élyséen entre le président et les représentants des géants pharmaceutiques n’est pas là pour nous rassurer.[8]
« PARIS (Reuters) - Une trentaine de dirigeants des plus grands groupes pharmaceutiques mondiaux seront reçus lundi par Emmanuel Macron pour un dîner consacré à l'attractivité de la France, avant un Conseil stratégique des industries de santé mardi.
"C'est un peu le 'Choose France' des industries pharmaceutiques", a-t-on déclaré à la présidence française, en référence au sommet de l'attractivité organisé en janvier dernier avec quelque 140 dirigeants de multinationales. » (…) Matignon notait en octobre que le secteur représentait 300.000 emplois directs et indirects et 53 milliards d'euros de chiffre d’affaires en France et qu'il contribuait positivement à la balance commerciale à hauteur de 7,7 milliards d'euros ».
Croyez-vous aux coïncidences ?
ANALYSE DE LA PROPOSITION DE LOI QUI RENDRAIT OBLIGATOIRE LE GARDASIL
Le préambule du projet de loi reprend l’argumentaire habituel des laboratoires pharmaceutiques largement diffusé par les médias [9] [10] et leurs experts confortablement rémunérés tels que le docteur Monsonego[11] ou le professeur Descamps[12].
Ce préambule rappelle certes quelques faits véridiques indiscutables : il existe plus de cent souches de HPV, les vaccins protègent éventuellement contre l’infection par les 4 à 9 souches incluses dans le vaccin (soit seulement 2 à 5% des 200 souches connues), contre les verrues génitales et certaines dysplasies sans préciser que rien ne démontre qu’il protège contre le cancer. Il précise que certains pays (États-Unis, Suède, Australie, Norvège, Canada) atteignent des taux de couverture vaccinale qui satisfont les actionnaires des fabricants des vaccins.
Quoiqu’il en soit, il est extrêmement inquiétant de lire dans l’exposé des arguments justifiant la proposition de loi imposant le vaccin, un certain nombre de contre-vérités connues :
« Il existe plus de cent-vingt sortes de papillomavirus humain (HPV), et une quinzaine sont considérés comme étant à haut risque car ils peuvent provoquer des cancers notamment les HPV 16 et 18 à l’origine de 70 % des infections ». Or la seule chose démontrée est la corrélation statistique entre présence de papillomavirus et cancer, sans que personne n’est jusqu’à présent réussi à démontrer un lien de CAUSALITE direct.
« il existe des vaccins efficaces contre le papillomavirus. En France, les vaccins actuels proposent une vaccination efficace contre 70 % des HPV cancérigènes, et un nouveau vaccin viendra bientôt augmenter ce taux à 90 % ». Que signifie pour les députés « efficacité » ? le vaccin est efficace sur les infections des souches visées par le vaccin (seulement 4 à 9 des près de 200 souches répertoriées) mais rien ne prouve qu’il puisse prévenir le cancer invasif et encore moins éviter la mort par ce cancer. Citer l’Australie comme pays succès du vaccin : « En Australie, où 80 % des femmes et 75 % des hommes sont vaccinés, les cas de lésions à HPV ont quasiment disparu » laisse pantois, comme l’exposé qui suit vous le démontrera, puisque dans ce pays hautement vacciné le nombre de cancer du col (comme d’ailleurs les autres cancers dont la responsabilité est attribué au HPV) continue d’augmenter et que la fréquence annuelle de nouveaux cas ne diminue pas.
Enfin nier le risque d’effets secondaires graves qui ont entraîné des manifestations dans de nombreux pays (Danemark, Irlande, Japon, Colombie) et des plaintes en justice de médecins contre l’agence européenne du médicament, laisse rêveur sur la qualité du dossier scientifique fourni aux députés et bientôt aux sénateurs.
QUE FAUDRAIT-IL EXPLIQUER AUX PARLEMENTAIRES ?
Le frottis régulier (tous les trois ans en période d’activité génitale) meilleur garant du dépistage précoce du cancer du col
L’infection à papillomavirus ne constitue pas en France de 2018 un problème réel de santé publique, ni pour les femmes, ni pour les hommes. Chez les femmes, depuis que le dépistage par frottis est utilisé, le nombre annuel de morts par cancer du col de l’utérus est constamment inférieur à 1000 en France, et les femmes qui en meurent sont presqu’uniquement celles qui ne l’ont pas pratiqué tous les trois ans. Il faut d’ailleurs féliciter l’engagement (même s’il est très tardif) de la ministre à promouvoir ce dépistage qui est, à ce jour, le seul qui ait apporté la preuve de son efficacité à réduire la mortalité[13].
Cependant, il convient aussi de prévenir la surmédicalisation liée au sur diagnostic d’infections à papillomavirus banales mais dépistées par prélèvement systématique qu’il convient d’éviter ! Positives, elles entrainent trop souvent une surveillance inutile par nouveaux examens et parfois des conisations très précoces, parfois inutiles. Le respect des indications des conisations est nécessaire pour éviter des complications injustifiées. Trop de soin peut nuire à la santé !
Poids social très bas du cancer du col de l’utérus, du cancer anal de l’homme[14]
Ces moins de 1000 décès annuels par cancer du col, qui auraient pu presque tous être évités par le dépistage sont à comparer aux fardeaux annuels du cancer des poumons (23000 décès), du sein chez la femme (11 883 décès), ou du cancer de la prostate (8207 décès) [15].
Par contraste avec l’’efficacité prouvée du dépistage par frottis, les vaccins Gardasil ou Cervarix 12 ans après leur autorisation de mise sur le marché, n’ont toujours pas prouvé qu’ils étaient capables d’éviter un seul cancer invasif du col de l’utérus et les relevés des registres du cancer suggèrent même que ce vaccin est parfois susceptible d’en augmenter le risque.
AU DELA DE L’INUTILITE ET DES EFFETS SECONDAIRES NON NEGLIGEABLES, LE RECUL ACTUEL DEPUIS LE DEBUT DE LA VACCINATION MONTRE UN EFFET CONTRAIRE A CELUI ESPERE :
AU LIEU DE DIMINUER LE NOMBRE DE CANCERS DU COL, IL L’AUGMENTE PARFOIS
Curieusement, les députés signataires du projet de loi ne parlent pas des résultats avérés du vaccin sur le risque de cancer invasif du col de l’utérus, son unique justification officielle.
Car au lieu de diminuer le risque de cancer invasif du col de l’utérus, les vaccins anti HPV le maintiennent à un niveau élevé ou l’augmentent !
Après 12 ans de recul et plus de 200 millions de jeunes filles vaccinées dans le monde [16] pour une facture globale de près de 100 milliards de dollars payée directement ou indirectement par les citoyens, on peut en effet tirer un bilan de l’efficacité de la vaccination de deux manières :
1°) En examinant l’évolution de l’incidence[17] (fréquence annuelle de nouveaux cas par tranche de 100 000 femmes) du cancer invasif du col de l’utérus dans chaque pays, avant et après vaccination, méthode déjà validée en 2003[18]
2°) En comparant la dernière incidence standardisée monde[19] au taux de couverture vaccinale anti HPV dans les différents pays.
L’évolution de l’incidence du cancer du col de l’utérus avant et après vaccination par Gardasil peut être tracée de manière parfaitement fiable dans les registres nationaux des cancers contrôlés et publiés par les ministères de la santé des pays concernés.
En Australie, d’après l’Australian Institute of Health and Welfare, , l’incidence du cancer du col avait diminué de près de 50% passant de 12 en 1995 à 7 en 2004 (avant la campagne de vaccination) avec une diminution encore plus marquée de la mortalité, grâce au dépistage par frottis et aux progrès des traitements. Mais depuis la campagne de vaccination débutée en 2007, on ne constate plus aucune diminution, ni de l’incidence, ni de la mortalité[20]. En 2017, l’incidence du cancer du col de l’utérus est estimée à 7.1 et la mortalité du cancer du col de l’utérus a augmenté de près de 15% passant de 1.7 en 2014 à 2 en 2017[21][22]. Et nos députés citent l’efficacité australienne !
Le ministère australien de la santé estime le nombre de nouveaux cas de cancer du col en à 912 en 2017 et à 930 en 2018. Prétendre comme nos députés que « les cas de lésions à HPV ont quasiment disparu » en Australie constitue donc une contre vérité ! Comme on ne peut pas imaginer que ces députés mentent volontairement, on peut conclure qu’ils sont mal informés et qu’ils auraient dû vérifier eux même les informations fournies par les experts liés aux laboratoires avant de diffuser cette « fake new » dans un projet de loi.
En Grande Bretagne, d’après Cancer Research UK, office of national statistics, l’incidence du cancer du col avait diminué (grâce au dépistage par frottis) de 12.4 en 1995 à 9.27 en 2004. Mais depuis la vaccination, on ne constate plus aucun progrès, ni sur l’incidence qui stagne de 9,3 en 2006 à 9,6 en 2015[23] ni sur la mortalité qui reste à 3[24].
Au Canada. D’après la Société canadienne du cancer l’incidence du cancer du col avait diminué (grâce au dépistage) de 18 en 1972 à 8.1 en 2008. Mais depuis la vaccination, on ne constate plus aucun progrès sur l’incidence qui stagne à 8.3 en 2017[25].
Aux USA, d’après le SEER cancer statistics review du National Cancer Institute, l’incidence du cancer du col était passée de14.8 en 1975 à 6.66 en 2007. Mais depuis la vaccination on ne constate plus de diminution de l’incidence qui atteint 6.68 en 2015[26].
En Norvège, d’après le Cancer Registry of Norway Oslo : avant la vaccination, l’incidence standardisée avait fortement chuté grâce au dépistage par frottis passant de 24 en 1965 à 7 en 2004. Mais depuis la vaccination, elle remonte atteignant 13.9 en 2014 et 14.9 en 2015[27]
En Suède, d’après le Nationellt Kvalitetsregister för Cervix cancerprevention (NKCx) : avant la campagne de vaccination, l’incidence du cancer du col avait diminué (grâce au dépistage) de 18 en 1967 à 7 en 2006[28]. Dans ce pays, l’incidence standardisée monde du cancer du col de l’utérus a augmenté significativement depuis la vaccination passant à 10.3 en 2012 et 11,49 en 2015[29]. Cet accroissement est presque exclusivement dû à l’augmentation de l’incidence du cancer invasif chez les femmes de 23 à 49 ans qui atteint plus de 50% depuis 2006 (11 en 2006 versus 17 en 2015), alors que ce sont celles qui ont le taux de couverture vaccinale le plus élevé (85%)[30].
Ainsi dans les pays dont les populations ont accès au dépistage par frottis, celui-ci a partout entraîné une diminution considérable de l’incidence du cancer du col (de 40 à 60%)[31]. A l’opposé, l’introduction de la vaccination n’a permis de diminuer ni l’incidence, ni la mortalité du cancer du col de l’utérus, contrairement à ce qui est promis par les médecins liés au laboratoire et par de nombreuses autorités sanitaires mondiales. Et dans les pays nordiques, les campagnes de vaccination ont même été suivies par une augmentation de l’incidence du cancer.
Dans cette comparaison, la France, peu vaccinée, peut servir de pays témoin. D’après Santé publique France, l’incidence du cancer du col de l’utérus en métropole a constamment diminué passant de 15 en 1995 à 7,5 en 2007, 6,7 en 2012 et 6 en 2017. Cette diminution de l’incidence s’est accompagnée d’une diminution de la mortalité de 5 en 1980 à 1,8 en 2012 et 1,7 en 2017[32]. La France, peu vaccinée par le Gardasil, a une donc une évolution nettement plus satisfaisante tant pour l’incidence que pour la mortalité que celle des pays cités en exemple par les députés qui veulent imposer la vaccination.
Comparaison des incidences standardisées récentes aux taux de couverture vaccinale.
Les avocats de la vaccination prétendent qu’un taux de couverture vaccinale élevé permet de diminuer le risque de cancer invasif du col de l’utérus. Pourtant la comparaison de l’incidence et des taux de mortalité aux taux de couverture vaccinale montre plutôt le contraire.
En Australie, la couverture vaccinale anti HPV dépasse les 85%, mais, en 2017 l’incidence du cancer du col de l’utérus est de 7 et la mortalité est de 2
En Grande Bretagne malgré une couverture vaccinale dépassant les 80% [33] l’incidence en 2015 atteint 9,6 et la mortalité 3
En Suède le taux de couverture vaccinale est proche de 75% mais l’incidence2015 atteint 11.49.
Aux USA, en 2017 le taux de couverture vaccinale est de 60% pour une incidence du cancer du col de l’utérus de 6.8 et une mortalité spécifique à 2.3.
En France, en 2017, la couverture vaccinale anti HPV est très faible (environ 15%) pour une incidence du cancer du col de l’utérus de 6 et une mortalité spécifique à 1,7
Dans les pays à forte couverture vaccinale, l’incidence des cancers invasifs et la mortalité sont donc plus élevées qu’en France, et l’obligation vaccinale proposée par certains députés veut supprimer ce paradoxe français qui protège nos enfants !
REVENONS SUR LES EFFETS DELETERES QUE PEUVENT DIFFICILEMENT NIER NOS DEPUTES !
Dans leur préambule, les députés nient que le Gardasil puisse entraîner (comme tout traitement) des complications alors que le Japon, l’Autriche et le Danemark ont arrêté de promouvoir cette vaccination après des complications graves, parfois même mortelles et que des familles victimes de ces vaccins ont organisé des manifestations publiques dans plusieurs pays du monde (Japon, Colombie, Irlande), et que des médecins danois ont porté plainte contre l’agence européenne du médicament (EMA) qui a refusé de répondre aux questions qu’ils ont posé après la notification d’accidents neurologiques sévères non répertoriés dans les registres de EMA.
En France, plusieurs plaintes sont en cours[34].
« Parmi les pathologies les plus fréquemment évoquées par les victimes défendues par Me Coubris figurent la sclérose en plaques, le lupus, des encéphalomyélites aiguës disséminées (inflammations du système nerveux central) et des myofasciites à macrophages (une maladie qui se traduit par des douleurs musculaires et une fatigue chronique) ». Une commission d’enquête parlementaire qui pourrait entendre des experts, citoyens et associations indépendants des laboratoires, n’ayant de près ou de loin aucun lien d’intérêt avec des laboratoires, serait un premier pas pour éclairer le parlement.
EN CONCLUSION, la balance bénéfice-risque n’est pas en faveur de la vaccination, a fortiori de son obligation.
Une mesure sanitaire obligatoire ne doit pas reposer sur la foi dans une vaccination ou des conflits d’intérêts cachés, mais sur des faits avérés, vérifiables par chaque citoyen. Or les faits établis par les relevés officiels des registres du cancer montrent que la vaccination anti HPV ne protège pas contre le cancer invasif du col de l’utérus, mais parait plutôt maintenir sa fréquence à un niveau élevé,voire parfois même l’augmenter.
Battons-nous contre cette proposition de loi qui menace nos enfants, en informant, chacun, notre député, notre sénateur, nos élus intermédiaires, que personne ne puisse ne pas savoir.
Seul ce travail de proximité de chaque citoyen cet été, pourra éviter cette nouvelle catastrophe de rentrée que pourrait être la vaccination anti HPV, comme l’a été et l’est encore l’obligation de la vaccination contre l’hépatite B [35].
Appliquons le principe de précaution ! Faisons respecter le droit de chaque être humain à disposer de son corps !
[2] http://maveritesur.com/gerard-delepine/gardasil-nos-arguments-contre-le-vaccin-reaffirmes/927 25 09 2014
[3] http://maveritesur.com/andree-delepine/cancer-du-col-le-vaccin-gardasil-prochain-scandale-sanitaire/760 4 mars 2014
[6] Laure de LA RAUDIÈRE, Agnès FIRMIN LE BODO, Pierre MOREL-À-L’HUISSIER, Vincent LEDOUX, Antoine HERTH, Charles de COURSON, Christophe NAEGELEN, Meyer HABIB
[7] PROPOSITION DE LOI visant à ajouter le vaccin contre le papillomavirus sur la liste des vaccinations obligatoires déposée le 27 juin 2018
[8] https://www.boursier.com/actualites/reuters/les-geants-pharmaceutiques-recus-lundi-par-macron-221735.html 6 07 2018
[9] Pierre Kaldy, Le Figaro S du 15/03/2018
[10] France télévision le 09/09/2016 à 10 :35
[11] Qui a réalisé des études cliniques rémunérées sur les vaccins HPV pour GSK et Merck, est ou a été consultant rémunéré pour de nombreuses sociétés pharmaceutiques, et a siégé dans les comités de conseil pour GSK, Sanofi Pasteur MSD, Roche, Geneprobe ou Abbott diagnostic
[12] Qui a signé 124 conventions avec l’industrie pharmaceutique, dont 16 avec Sanofi Pasteur MSD et 3 avec GlaxoSmithKline, et a reçu en 4 ans 199 avantages financiers pour un montant de 40 550 euros, sans compter ses nombreux contrats commerciaux les plus rémunérateurs exclus par la loi de toute déclaration.
[13] Qui était néanmoins basse 3000 environ pour 65 millions de français et environ un peu plus de la moitié de femmes.
[14] Mois de trois cent décès annuels et moins de 1000 cas/an IBID référence n°6
[15] Jéhannin-Ligier K, Dantony E, Bossard N, Molinié F, Defossez G, Daubisse-Marliac L, Delafosse P, Remontet L, Uhry Z. Projection de l’incidence et de la mortalité par cancer en France métropolitaine en 2017. Rapport technique. Saint-Maurice : Santé publique France, 2017. 80 p
[16] L Bruni, M Diaz, L Barrionuevo-Rosas et al Global estimates of human papillomavirus vaccination coverage by region and income level : a pooled analysis Lancet Glob Health 2016 ; 4 : e453–63 www.thelancet.com/lancetgh Vol 4 July 2016
[17] Fréquence annuelle de nouveaux cas pour 100 000 femmes
[18] Lehtinen M, Paavonen J. Effectiveness of human papillomavirusvaccination. Int J STD AIDS 2003 ;14:787–92
[19] Taux standardisés monde : incidence brute rapportée une « population standard monde » pour corriger les éventuels biais liés aux particularités démographiques de chaque pays
[20] Australian Institute of Health and Welfare & Australasian Association of Cancer Registries 2017
[21] Cancer in Australia : in brief 2017. Cancer series no. 102. Cat. no. CAN 101. Canberra : AIHW
[22] A Cervical cancer statistics in Australian Institute of Health and Welfare 2018
[24] Source : cruk.org/cancerstats
[25] Comité consultatif de la Société canadienne du cancer : Statistiques canadiennes sur le cancer
2017. Toronto, ON : Société canadienne du cancer ; 2017. Disponible à www.cancer.ca/statistiques.
[26] SEER cancer statistics review 1975-2015 Table 5.2 Cancer of the Cervix Uter National Cancer Institute
[27] Cancer in Norway 2016 - Cancer incidence, mortality, survival and prevalence in Norway. Oslo : Cancer Registry of Norway, 2017.
[28] Engnola G, Ferlay J, Christensen N, Kejs AMT, Hertzum-Larsen R, Johannesen TB, Khan S, Leinonen MK, Ólafsdóttir E, Petersen T, Schmidt LKH, Trykker H and Storm HH. NORDCAN : Cancer Incidence, Mortality, Prevalence and Survival in the Nordic Countries, Version 7.3 (08.07.2016). Association of the Nordic Cancer Registries. Danish Cancer Society. Accessed on 14.12.2016. Available from http://www.ancr.nu
[29]Nationellt Kvalitetsregister för Cervix cancerprevention (NKCx), Center för Cervixcancerprevention. : http://
nkcx.se/templates/_rsrapport_2017.pdf
[30] LARS ANDERSSON Increased incidence of cervical cancer in Sweden : Possible link with HPV vaccination Indian Journal of Medical Ethics Online First Published April 30, 2018
[31] S Vaccarella, S Franceschi, G Engholm, S Lonnberg, S Khan, F Bray 50 years of screening in the Nordic countries : quantifying the effects on cervical cancer incidence British Journal of Cancer (2014) 111, 965–969 doi : 10.1038/bjc.2014.362
[32] Francim, HCL, Santé publique France, INCa. Projections de l’incidence et de la mortalité par cancer en France métropolitaine en 2017 - Tumeurs solides [Internet]. Saint-Maurice : Santé publique France [mis à jour le 02/01/2018 ; consulté le 09/05/2018
[33] K Tiley and J White HPV vaccination coverage in adolescent females in England : Public Health England 2016/17
[34] https://www.lemonde.fr/sante/article/2014/04/02/vingt-cinq-nouvelles-plaintes-bientot-deposees-contre-le-gardasil_4394385_1
[35] Voir les nombreuses contributions du docteur et expert auprès des tribunaux, Marc Girard sur son site http://www.rolandsimion.org/?lang=fr. « N’en déplaise à l’INSERM, les risques de la vaccination contre l’hépatite B ne relèvent pas d’idées reçues germées dans le cerveau dérangé d’anti-vaccinalistes irresponsables : dès 1991, des éléments technico-scientifiques clairs, précis et concordants ont été communiqués aux autorités sanitaires par le principal fabricant, conformément à la loi. Depuis lors, celles-ci n’ont eu de cesse de les occulter ou de les falsifier pour promouvoir l’idée reçue que l’introduction de cette vaccination était un progrès « évident ».
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