Garder la santé sur les réseaux sociaux
Le numérique entre en scène positivement et négativement via de multiples circuits et ainsi de multiples outils.
Lire un livre ou les journaux ont été suivis par des blogs et des forums de discussions.
Le téléphone et le minitel permettaient des contacts visuels et rapprochés avec des interlocuteurs souvent connus par chaque utilisateur.
Internet a permis de mondialiser les contacts dans la virtualité.
Les réseaux sociaux ont pris la relève en ont accaparant toutes les attentions du public.
Cette forme de contacts virtuels a été généré par un besoin de rapprochement sociaux. Le but initial était d'interconnecter des gens pour créer des (faux) amis sur le mur de Facebook en mixant des messages, des commentaires, des Likes, des infos personnelles, des photos, des vidéos, des lieux et des centres d’intérêt.
Volontairement virtuel international et interactif, le réseaux social permet à ses utilisateurs d’échanger et de partager des idées en textes, en images ou en sons.
On compte d'après une liste actuelle, 60 réseaux sociaux différents qui ont tous leurs spécificités propres mais qui ont tous l'envie de capter l'attention de ses interlocuteurs à leur profit pour faire passer des messages et des publicités pour entrer dans leur frais d'exploitation.
On doit assumer que la santé est aussi altérée par eux.
Les dix premiers réseaux sociaux
Sur les 60, je n'en retiens que le 10 premiers.
Meta/Facebook
Plus d’un internaute actif sur deux dans le monde est sur Facebook. Près d’un internaute actif sur deux dans le monde utilise YouTube et WhatsApp.
Facebook, devenu Meta, a été fondée en 2004 par Mark Zuckerberg.
Il est devenu un des géants du Web, regroupés sous l'acronyme GAFAM, aux côtés de Google, Apple, Amazon et Microsoft.
Depuis près de 30 ans, Mark Zuckerberg a créé sa richesse que l'on évalue à près de 120 milliards de dollars. Il détient 13 % du capital, mais dispose d'actions spéciales lui assurant 60 % des droits de vote, soit le contrôle absolu de l'entreprise et de son conseil d'administration.
L'entreprise s'est développée et a acquis Instagram, WhatsApp et Oculus VR.
La question posée "Les réseaux sociaux de Meta nuisent-ils à la santé des ados suite aux 48 Etats américains qui attaquent Meta pour protéger les jeunes.
?
Qui dit jeunes dit aussi adultes qui sont intégrés avec la même question.
Ces réseaux sociaux se livrent à une lutte commerciale sur le même terrain de la publicité.
En 2007, pour en parler sur ce site, ce fut "Allô, Virtuel, ici, Fantôme"
En 2010, ce fut "Livres de figures sociales ou sociables ?"
En 2012, ce fut "Le culte du monopole ?"
En 2013, ce fut "Cannibalisés par le Web ?" "Non, mais allô quoi, Fakebook ?,
"Pseudos, modération et censure"
X/Twitter
Le réseau social de microblogage Twitter (« gazouillis » en français), a été créé le par Jack Dorsey, Evan Williams, Biz Stone et Noah Glass qui avaient ressenti le besoin du public de croiser le fer sur des sujets d'actualité.
Des micro-messages instantanés, accessibles de partout et gratuits sont nés de l'imagination de ses concepteurs mais toujours limités à 280 caractères envoyés souvent par SMS d'un Smartphone ou équivalent transportable plutôt que par un PC.
Le , ces micro-messages comptaient 313 millions d’utilisateurs actifs par mois avec 500 millions de tweets envoyés par jour, disponibles en plus de quarante langues. La rentabilité financière n'est pas assurée. Le 27 octobre 2022, Elon Musk confirme son rachat des actions de Twitter. Les mesures qu'il prend de rationalisation et les déclarations qu'il fait après son arrivée entraînent une forte réduction du nombre des salariés de la société. En 2018, Twitter annonce pour la première fois avoir fait du profit. Depuis le Twitter a été rebaptisé progressivement "X".
En avril 2023, la société X Corp. absorbe Twitter, Inc. Le , Elon Musk annonce l'abandon de la marque « Twitter » au profit de « X » accompagné du changement d'un logo reprenant celui qui avait été été créé en 2021 pour un podcast intitulé X Pod, et inspiré par la majuscule mathématique ajourée. Toutes les réflexions des utilisateurs sont précédées du signe « # » (croisillon) appelé en anglais "hashtag", au Québec, « mot-clic » depuis depuis . Le sujet du message établit un classement des mots les plus utilisés et engendre des détournements du système par la publicité, sur le même principe que le bombardement des questions posées au moteur de recherche de Google. X/Twitter collecte des données personnelles comme des informations de "valeur" sur ses utilisateurs et les partage avec des tierces parties comme des actifs de l'actualité puisqu'elles disparaissent au bout de 30 jours après avoir demandé de supprimer son compte. Il se réserve implicitement le droit de les vendre.
Le une faille de sécurité a été rapportée par Nitesh Dhanjani et Rujith Nitesh par l'utilisation de FakeMyText en envoyant un message à la place de la victime et en modifiant l’en-tête du SMS pour se faire passer pour un autre numéro. Cette usurpation d’identité ne peut être réalisée que si l’on connaît le numéro de téléphone rattaché au compte X/Twitter. À la suite de cette annonce, un code PIN est utilisé pour authentifier le message SMS.
L'addiction est née. Le gratuit s'est transformé ou dévié par la réception parallèle de publicité. Rien n'est jamais totalement gratuit.
De plus en plus, des versions payantes mais sans publicité sont proposées.
On assiste à une sorte de lutte intestine "Elon Musk contre Mark Zuckerberg" dans un projet qui n'a plus rien à voir avec la fortune mais de combat d'arts martiaux mixtes dont on ne sait qui en sortira vainqueur entre l'intelligence ou le muscle.
Le 27 octobre dernier, une proposition de ne pas twitter pendant une journée a été faite
.
Je n'ai pas appris quel en fut le résultat et s'il y a eu beaucoup d'utilisateurs qui ont mis en pause leurs messages qui souvent sont des réactions épidémiques sans avoir été précédées par une analyse.
En un jour, l'évolution ne doit pas avoir ébranlé le "système des réseaux sociaux".
L'utilisation du numérique à l'école
Le 12 novembre, dans "Demain", l'école imagine l'intelligence artificielle augmentée pour accélérer l'éducation
La Suède, pourtant très avant gardiste, fait marche arrière à l'éducation traditionnelle
Où est la bonne solution ?
En fait, il n'y en a pas vraiment.
la solution est très dépendante de l'élève et de sa psychologie fonctionnelle.
L'isolement dû au Covid a permis de constater que certains élèves se sont sentis mieux disposé en étant seul, en silence, face à leur écran pour étudier. D'autres par contre, préfèrent étudier ensemble dans un cadre communautaire.
"Les études supérieurs ? Impayables" ont un prix qu'il faut pouvoir rembourser une fois sortis de l'éducation.
Apprendre, c'est toute la vie.
En 2020, à la suite d'un livre, j'écrivais "Tous crétins digitaux ?
Les MOOC apportent une solution qui ne se réserve pas à un âge pour se remettre à niveau avec ses connaissances et se réadapter en permanence en suivant l'actualité.
Ces MOOC sont en plus mis à jour en permanence alors que les cours scolaires doivent suivre des programmes de manière plus étroite.
En fait, les deux systèmes d'apprentissage vont probablement se concurrencer mais sans disparaitre.
Réflexions du Miroir
Du paradigme numérique, j'ai connu une période pendant laquelle il y avait le traitement de l'information mais sans communications. Le "C" s'est ajouté pour passer aux TICs. Pendant plus de 25 ans, j'ai connu ses concepts de base du numérique où on travaillait sans aucune communication, en "stand alone" dont les impacts restaient locaux et donc rapprochés.
Les télécommunications via Internet et le Web ont mondialisées les contacts. Une rationalisation des activités s'est poursuivie pour éviter les redondances d'efforts de par le monde. Je fais partie d'une école ancienne. J'ai besoin d'un vrai clavier et pas d'un Smartphone sur lequel j'utilise mes pouces.
Retraité, j'ai commencé en 2005 un site que l'on appelait alors "blog gratuit" avec des articles personnels, généralement succincts, rendant compte d'une actualité éclectique autour d'une thématique particulière avec un temps pour récolter les informations avant de les semer, sans mal à se faire du bien.
J'ai testé les machines. Aujourd'hui, il m'arrive de tester les hommes de contacts avec les mêmes principes de base en testant par des "crash tests" pour percer des secrets de fabrication.
Quinze ans après, il s'est mué en journal personnel qui n'est plus gratuit pour répondre à mon usage.
Près de 19 ans de réflexions à replanter dans des articles plus récents pour donner le contexte du passé.
Sur X/Tweeter, je n'ai jamais été enregistré. Je n'en parle donc pas.
Si je suis enregistré sur Facebook et LinkedIn, je n'y suis que très rarement ou par hasard ou encore, pour suivre un email qui m'invite à y aller voir de plus près.
Participer aux réseaux sociaux, être sur le Web apporte de bons côtés pour retrouver des gens que l'on a pu connaître dans son passé mais il est aussi la porte d'entrée aux pubs, aux extrémismes et aux arnaques de tous types qui ressemblent à une cyberguerre de premier niveau.
Pas de bisounours à bord, pas de philanthropes comme on pourrait le penser de prime abord pour trouver des amis de par le monde. Chercher l'intérêt d'un interlocuteur pour en faire partie s'impose avant d'aller plus en avant dans les confidences réciproques.
La liberté d'expression est passée par là. Le risque de déverser impunément (sous peine de devoir organiser des poursuites judiciaires longues et épuisantes) sa hargne et sa haine en virant aux harcèlements contre un interlocuteur qui ne plait pas, n'est pas une vue de l'esprit.
En d'autres mots, il faut être bien dans sa peau et dans sa tête pour résister à un assaut éventuel.
"Etre soi et le rester" est le mot d'ordre que j'avais écrit dans "Au diable les convictions et les préjugés", d'accord. Mais cela veut dire qu'il ne faut pas empiéter sur celle d'un interlocuteur pour lui imposer sa propre vision.
Dans "Syndrome de Eriofne", il était dit qu'il faut accepter le débat, la polémique et même l'insulte. L'insulte n'est pas importante. L'importance le devient dans la manière d'y répondre à la bonne hauteur en "retour de flamme".
J'ai eu les trois versions pendant ces 19 ans. Des surprises aussi dont j'ai parlé dans "La prise de bec" et dans ", "Pratiquer sans croire" et "Le Miroir pour professeur".
Je n'ai jamais prêché une vérité plutôt qu'une autre. Je reste ouvert à toute éventualité à 360°C mais je n'accepte pas les prêches en retour qu'elles soient religieuses ou politiques.
Que l'on ai quelques similitudes de visions n'empêchent pas de se retrouver face à un mur d'incompréhension dans un autre moment. On n'a jamais de clone de soi-même. Nous ne sommes pas des robots avec les mêmes circuits de plaques électroniques.
Sur le Web, ce sont les effusions d'émotions qui se répandent sur la toile avec les araignées qui attendent leurs proies.
Disons une fois pour toute que sur Internet, la vie privée n'existe plus. Qu'on le veuille ou non, cette vie privée nourrit les bases de données pour que des logarithmes recherchent pour cibler ses proies par des pubs. C'est dire aussi que plus il y a de commentaires vifs qui s'entretuent, plus cela rapporte à celui qui possède les rennes du site.
Comment contrecarrer les appétits de communications et de publicité qui prennent un temps infini à consulter ?
Par ces 5 étapes sensées affoler les algorithmes avec l'esprit de la contradiction
.
- Liker tous les posts
- Suivre toutes les références médiatiques
- Etre attentif des followers pour les éviter
- Choisir l'ordre de ces posts les plus récents par abonnement
- Créer un espace pour de nouvelles idées et désactiver les plus utilisées.
Ouais. Peut-être. J'aime les contradictions. Mais, si, en plus, un utilisateur a peur de perdre son individualité dans les échanges d'idées par la communication dans une relation du faible contre l'esprit fort, cela risque de faire mal à l'équilibre des forces.
Pour ne pas être emmerdé, fermer le ban, et couper toutes connexions internet.
On n'apprend plus rien mais on reste sécure.
On apprenait que pour que les infos restent privées sur Facebook, il fallait désormais payer une cotisation.
Le cactus de Gaëtan dit "au revoir Facebook" sans dire adieu
.
Mon site Réflexions du Miroir me sert personnellement d'interface pour informer des choses qui me viennent à l'idée. Ecrire, c'est apprendre avant de le faire à un interlocuteur ou à plusieurs et pas nécessairement pour avoir des réponses qui approuvent ou désapprouvent.
Les extrémismes de tous les types ont pris la relève.
Il y a une différence importante entre (s')informer et communiquer.
Il est clairement à découper les objectifs en deux parties : l'information en préambule et mon interprétation titrée "Réflexions du Miroir". Je me mets d'office dans le clan de l'information sans pour cela vouloir communiquer outre mesure à défendre une opinion ou une conviction. Recevoir des commentaires positifs et négatifs à la suite de mes billets, je les reçois avec plaisir, en un forum de discussion comme agoravox.fr.
Le pseudo choisi est souvent plus explicite que le nom propre.
Il doit seulement être accompagné d'une description claire et quasiment complète des objectifs de son auteur.
Lire est la première étape de la recherche.
Ecrire est une école personnelle. Elle oblige à se renseigner, à chercher à comprendre.
"Informer" c'est vouloir instruire de quelque chose en transmettant ou en publiant une ou plusieurs informations comme le fait un journal et plus comme un blog qui ne reprendrait uniquement qu'un sujet spécifique.
"Communiquer" c'est par l'ensemble des interactions avec un tiers qui véhicule d'autres idées est une source d'informations et le journal personnel est une des voies possibles.
Avant Internet, un journal était maintenu par écrit, en secret, pour se remémorer les bonnes et les mauvaises passes de la vie. Le Web permet de les partager par une communication interpersonnelle dans un groupe virtuel avec l'ensemble de moyens et de techniques permettant la diffusion de messages d'une organisation sociale auprès d'une plus large audience.
C'est une consommation d'électricité dont les batteries ne peuvent contenir l'énergie souvent à peine une journée à capter ces messages.
C'est une fatigue qui devient chronique à attendre le bip qui se manifeste à n'importe quelle heure
.
Est-ce encore vraiment de l'information sur les réseaux sociaux ou sautes d'humeur qui deviennent un combat pour influencer les autres ?
Je ne fais pas de prêches. Mon journal personnel sur Internet ou ailleurs me sert à moi-même pour voir l'évolution du temps parfois considéré quelque peu, asocial.
Le philosophe français Daniel Bougnoux en 2001 précise : « Nulle part ni pour personne n'existe la communication. Ce terme recouvre trop de pratiques, nécessairement disparates, indéfiniment ouvertes et non dénombrables ».
C'est dire que cela peut très vite se terminer de manière chaotique sans médiation.
Si tout le monde s'accorde pour définir la communication au moins comme un processus psychologique et social, les points de vue divergent lorsqu'il s'agit de la qualifier.
Les « sciences de l'information et de la communication » proposent une approche de la communication basée sur la théorie de l'information, éventuellement complétée par les apports des sciences cognitives. La psychologie sociale s'intéresse essentiellement à la communication interpersonnelle.
Le « métier de la communication » est une activité professionnelle destinée à convaincre ou persuader à travers les médias, par le nom moderne de la rhétorique.
Les principes de la rhétorique
Le livre de Clément Viktorowitch "Le pouvoir rhétorique" reprend ce qu'est la rhétorique dans son introduction : "La rhétorique peut-être un art de la manipulation ou une discipline vieillotte, une étude obsessionnelle des figures de styles, des libraires et des professeurs de français.
Le billet de la semaine précédente "L'orthographe importune le français" est une bonne introduction avec cette différence à faire entre la forme et le fond qui vire parfois au fantasme et aux préjugés avec la volonté de se faire accepter par une interlocuteur ou lecteur. L'art de convaincre par l'esthétisme, la subjectivité qui suivent des règles, fait passer ses convictions jusqu'à l'hypocrisie.
J'ai connu cette façon de pratiquer au travail par "L'happycratie : le bonheur jusqu'à la nausée".
A la retraite, ce n'est plus le cas. Je n'en ai plus envie.
"Apprendre la modestie, c'est savoir qu'on n'a jamais raison et que même si un contact semble suivre les idées transmises par l'acquiescement sur un sujet donné, sur un autre il faut s'attendre parfois au dénigrement sur un autre".
L'alchimie de la pierre philosophale est à l'image virtuelle des émotions transmises par un interlocuteur qui restent à tester par des crash tests.
Il n'y a ni bien ni mal dans l'opération en éliminant toute séduction à la recherche d'un curseur aléatoire suite à un instant de réflexion.
Les vérités se bousculent dans une réalité infinitésimale.
Cela peut commencer ou se terminer par l'expression typiquement belge "Oui, mais non".
Il est peut-être à remettre en question avec ses titres de chapitres.
- Comprendre la rhétorique par le style, l'éloquence, la négociation ou la manipulation.
- Choisir les arguments qui doivent avoir de la rigueur, de l'efficacité et du bon sens.
- Structurer la pensée
- Façonner les émotions de manière implicite et explicite en communiquant sans le dire par la prétérition
- Mobiliser les émotions aussi bien par la raison que par l'irrationalité et l'heuristique.
- Travailler son image
- Reconnaître la tromperie des sophismes et des paralogismes en évitant les chausse-trapes.
- Maitriser le débat
- J'ajouterais personnellement : Préparer les retours de flamme des commentaires
Dans la conclusion du livre "Le pouvoir de la rhétorique", il est dit :
"Influencer els autres, infléchir leur pensée, orienter leurs comportements par son point de vue ou sa volonté, son idéologie ou sa volonté avec enjeux politiques" est peine perdue en dehors des contacts vrais.
La démocratie peut être décrite comme elle est ou telle qu'elle devrait être entre réalisme ou idéalisme.
En 2008, j'écrivais Le prestige d'être simplement "con"
Qui est le plus con des deux : celui qui l'est réellement ou celui qui fait semblant de le paraître ?
Encore un sujet de dissertation très instructif.
Beaucoup de couples se sont créés dans la virtualité d'Internet.
Pour terminer, je choisis la chanson de Obispo interprétée par Laurent Pagny présent lors de ses 30 ans de scène en fin de soirée du ce vendredi.
Ses paroles expriment très bien ce qu'on peut attendre des réseaux sociaux.
Savoir sourire
À une inconnue qui passe N'en garder aucune trace Sinon celle du plaisirSavoir aimer
Sans rien attendre en retour Ni égard ni grand amour Pas même l'espoir d'être aiméMais savoir donner
Donner sans reprendre Ne rien faire qu'apprendre Apprendre à aimerRefrain :
Aimer sans attendre
Aimer à tout prendre Apprendre à sourire Rien que pour le gesteSans vouloir le reste
Et apprendre à vivre Et s'en allerSavoir attendre
Goûter à ce plein bonheur Qu'on vous donne comme par erreur Tant on ne l'attendait plusSavoir y croire
Pour tromper la peur du vide Ancrée comme autant de rides Qui ternissent les miroirsMais savoir donner
Donner sans reprendre Ne rien faire qu'apprendre Apprendre à aimer(refrain)
Savoir souffrir
En silence sans murmure Ni défense ni armure Souffrir à vouloir mourirEt se relever
Comme on renaît de ses cendres Avec tant d'amour à revendre Qu'on tire un trait sur le passéMais savoir donner
Donner sans reprendre Ne rien faire qu'apprendre Apprendre à aimerAimer sans attendre
Aimer à tout prendre Apprendre à sourire Rien que pour le gesteSans vouloir le reste
Et apprendre à vivre Et s'en allerApprendre à rêver
À rêver pour deux
Rien qu'en fermant les yeux Et savoir donner Donner sans rature(Refrain)
Allusion
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